J’avais eu gain de cause mais cela avait été très chaud. Mes parents avaient d’abord voulu me prendre une chambre dans une institution de bonnes surs. J’en avais frémi de rage. A quoi servait-il d’aller étudier en ville si c’était pour me retrouver cloîtrée le soir.
Moi j’avais envie de profiter et de profiter des plaisirs défendus. J’avais envie d’un homme. Je voulais à tout prix savoir ce que c’était qu’avoir un homme en moi, plaisir que mes amies connaissaient toutes pour la plupart.
Dans notre chef-lieu de canton, il ne se passait pas grand-chose. Mes parents de surcroît m’interdisaient de sortir le soir ou de rencontrer des garçons à moins que je ne sois dûment chaperonnée.
J’avais cependant parfois échappé à leur vigilance, assez pour comprendre que je ne laissais pas les hommes indifférents mais pas suffisamment pour avoir perdu la fleur de ma jeunesse. Je devais me contenter hélas des plaisirs solitaires. Sous mes dehors de petite jeune fille sage, je bouillais de fantasmes. Plus je devais attendre et plus j’étais folle. J’aurais baisé le premier venu.
Aussi avais-je résolu de perdre mon pucelage dès mon arrivée à Rennes, grande ville étudiante où les circonstances ne devaient pas tarder à m’être favorables.
Je m’étais organisée pour prendre un rendez-vous au planning familial afin de me faire prescrire la pilule et poser certaines questions.
Et puis fort heureusement, certains cours pouvant avoir lieu de 20 H 30 à 22 H 00, mes parents avaient réalisé que je ne pourrais pas rentrer chez les bonnes surs qui fermaient leurs portes une demi-heure plus tard, ou alors il faudrait que je jeûne puisqu’elles ne servaient plus après 20 H 00. Je fis la mine d’être dépitée mais je jubilais !
La solution fut trouvée par la cousine de maman dont le fils, Léon cherchait un ou une colocataire.
Je connaissais un peu mon petit-cousin (que j’appellerais cousin pour plus de commodité), le garçon le plus insignifiant qui fût me semblait-il, gentil calme mais sans rien d’intéressant à dire, du reste parlant peu. Plutôt petit avec 1,75 m, je gardais le souvenir de lui tel que je l’avais vu deux ou trois ans auparavant sur la plage, avec les cheveux et poils très raides et très noirs, les sourcils épais, comme ses traits, un gros nez une grosse bouche, un torse massif mais plus graisseux que musclé et un petit bidon rondelet disgracieux. A l’époque, je ne m’intéressais pas encore à ce qu’il y avait dans le boxer et je ne me souvenais pas du relief que l’objet de ma désormais principale convoitise pouvait créer dans ce sous-vêtement.
Il partageait son appart avec un autre garçon qui devait reprendre un peu plus tard.
Léon avait l’autre avantage de pouvoir m’emmener en voiture ; L’appart était ancien, en périphérie du centre, tout près de la ligne de métro. Nous y parvînmes en début d’après-midi après un trajet des plus ennuyeux et je craignis en plus de rater mon rendez-vous au planning familial. Fort heureusement, Léon qui m’avait proposé de faire d’indispensables courses devait passer dans son école d’ingénieurs avant et je pus m’y rendre. Je remarquai juste, pendant le trajet, grâce aux manches courtes de son polo, que ses bras étaient beaucoup plus musclés que dans mon souvenir. Mais comme il était assis quand je montai à bord, je ne pus rien voir d’autre.
J’eus mes pilules et les réponses à mes questions : est-ce que cela me ferait mal, comment me protéger, etc…
Je rentrai à temps pour faire mes courses avec mon cousin mais, retenu à son école il m’envoya un SMS pour me dire qu’il prendrait le nécessaire pour quelques jours, le temps qu’on s’organise. Nous préparâmes notre repas à deux et dînâmes en parlant de choses insignifiantes, du moins à mon sens. Il semblait n’être intéressé que par les études et les sciences. Moi j’aurais bien aimé sortir dès ce soir-là, aller à l’aventure et rencontrer un homme, mais je ne savais pas où aller ne connaissant rien encore à la ville ; Cependant j’en profitai pour mieux le regarder. Il semblait avoir minci et ses fesses, rondes, me parurent plus fermes, à l’image de ses jambes musclées dont le contour se dessinait sous la toile du jean. Il ressemblait finalement à un homme et je commençais à nourrir une certaine curiosité pour ce qui se cachait sous le pantalon, le slip et sous le T-shirt.
Très tôt, il se retira dans sa piaule pour "travailler" et je restais enfermée dans la mienne où je préparai ma rentrée du lendemain avant de lire un peu. L’air était doux et les bruits de la ville me parvenaient par la fenêtre ouverte. Je vis de jeunes hommes errer dans la rue, torse nu ou en débardeur ; leurs muscles dessinés et leur peau bronzée m’attiraient.
Je portai ma main à mon entrecuisse et me fis plaisir. Après m’être donné un orgasme clitoridien j’eus soif. Il était déjà 23H00 passées.
Le parquet du couloir était faiblement éclairé par un mince filet de lumière bleutée qui passait sous la porte de mon cousin. Il m’avait pourtant dit qu’il se coucherait de bonne heure, car lui aussi devait commencer tôt ; il était visiblement encore devant son ordinateur.
Je regardai évidemment par le trou de la serrure. Heureusement sans clef. Je ne pouvais pas voir autre chose que le bas du lit. J’y vis, presque jusqu’aux genoux, les jambes nues, puissantes et écartées de mon cousin. Je devinai qu’elles étaient toujours très poilues. Il ne travaillait sans doute pas, dans cette position. Peut-être était-il nu… et alors… D’après les copines, il paraît que tous les garçons font cela… pourquoi pas celui-ci même s’il n’a pas l’air d’y toucher ? Et puis de toute façon, même s’il faisait autre chose, cela me donnerait l’opportunité d’en savoir plus, de voir son torse, s’il était nu et même le paquet, ne serait-ce que sous le slip.
Je décidai de satisfaire ma curiosité et d’ouvrir la porte le plus doucement possible pour ne pas faire de bruit. La poignée grinça ainsi que les gonds et le parquet mais il n’entendit rien. Pour cause, il avait les écouteurs sur les oreilles et était bien trop absorbé par son écran posé à côté de lui.
Tous les garçons font ça, je le confirme.
Celui-là le faisait même très bien.
Il se masturbait en regardant un film porno.
J’eus le temps de bien l’examiner.
L’objet de mes désirs était là, bien vivant, bien dressé, bien dur. Je n’en avais jamais vu en vrai. Elle me parut grosse mais je ne pouvais la comparer à rien qu’à des images volées par des copines sur internet ou dans le caleçon de leurs copains Les lents mouvements qu’il lui imprimait faisaient une légère tension sur le pubis très poilu. Le gland disparaissait ou réapparaissait au gré de ses mouvements. Il était gros avec un bourrelet très prononcé et une incurvation nette entre le sommet et le bout.
Fascinée par ce très bel objet que je voyais en réel pour la première fois je commençai à m’exciter et mis ma main dans ma culotte toute mouillée. Je regardai cependant le reste du mâle.
L’animâle avait changé. Son petit bidon s’était transformé en une ferme surface recouverte de poils montant jusqu’aux pectoraux où ne subsistait plus nulle trace de graisse. Il était musclé mais sans excès. Les tétons roses dominaient les poils qui leur faisaient un écrin viril. Il fallait que j’y aille. Il y avait là un homme. J’en rêvais de puis tant de temps. Il n’y avait pas à atermoyer.
Ce n’est que lorsque je m’approchai qu’il me vit.
En catastrophe, il rabaissa l’écran et essaya sans réussir de ramener le drap, coincé sous la jambe, sur lui. Il cacha son sexe du moins le crut-il, d’une main et de l’autre enleva les écouteurs.
— Annabelle… mais… mais, il faut pas faire ça… on frappe… tu rentres pas dans ma chambre comme ça !
— Tu fais quoi ? (Comme si je ne le savais pas !)
— Va-t’en, va-t’en !
J’étais déjà près de lui et relevai l’écran. Une femme y était bien occupée par trois garçons. Elle avait une bite dans chaque trou. Je n’avais jamais vu ça…
— Je peux regarder la fin avec toi, dis-je en m’allongeant.
— Mais non, mais…
J’étais déjà sur le lit, collée contre lui, la main sur son torse. Il sentait bon. Il avait pris une douche mais la chaleur l’avait rattrapé et des bras exhalaient un effluve léger de mâle. Sa peau était plus ferme que je ne l’aurais cru. Il était très poilu. La tache sombre du pubis était prolongée vers le nombril et, de là, vers la poitrine par un mince filet noir qui allait en s’évasant recouvrant les pectoraux laissant saillir de jolis tétons roses et gonflés comme ceux d’une nourrice.
Je saisis sa verge.
— Quest-ce que… quest-ce que tu fais ?
— Elles sont toutes aussi grosses que ça ?
— Quoi ?
— Les bites !
— Je sais pas… je… j’en ai pas vu d’autres… enfin si, dans les vestiaires… mais pas en érection…
— Ben… et à l’écran…
— Là, ils ne prennent que des… des gars faits pour ça… c’est des mecs surdimensionnés, des acteurs de X. C’est pas du réel.
— La tienne a l’air pas mal par rapport à ce qu’on voit… J’en ai jamais touché une… J’ peux la sucer ?
C’était une question pour la forme. Je n’attendais pas de réponse négative et je tétai déjà le bout du gland avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit.
Ce fut une révélation. C’était chaud, doux et dur. Il avait mouillé. C’était légèrement salé. J’aimais.
Une fois dans ma bouche, il se détendit complètement. Il gémit.
— Hmmmmm… c’est bon… c’est hyper bon…
Je rapprochai mon corps du sien de façon à ce que nous nous trouvions presque tête-bêche mais je restai à côté.
Il ne fut pas long à me caresser. Ses mains se baladèrent effleurant ma croupe, puis mes cuisses. Il les immisça sous mon corps pour palper les seins.
— C’est dommage que tu ne t’épiles pas les couilles.
— Ben… toi… tu t’épiles pas la raie.
— Non mais moi, c’est la première fois.
— Ben… moi aussi.
— C’est vrai, t’es puceau ?
— Euh… ben oui… j’ai jamais touché une femme… enfin avant maintenant, avant toi là…
— C’est possible ça ? Lui demandai-je alors que dix minutes avant j’étais persuadée qu’il n’avait jamais vu de femme.
— J’osais pas.
— Et tu aimes ? demandai-je le plus vicieusement que je pus.
— Oui… Oh oui… c’est bon.
Je m’appliquai donc à essayer de le sucer de mon mieux pour le faire encore plus haleter et j’empoignai le membre pour le branler tout en pompant.
— Aïe ! Tu me fais mal bourrique !
— Oh, pardon…
— Tire moins fort. Tu vas m’arracher la peau… serre moins fort aussi.
— Comme ça ?
— Oui… lààààà… oui… comme ça… moins fort, moins f… voilà…… hmmmm… oui la langue là… hmmmm… ramène le prépuce et passe ta langue… oui entre les deux… c’est bien. Oh putain quel pied ! Voilà, tu y es… ah la vache… C’est donc ça une pipe… trop coooool.
Je restai ainsi un moment pendant que lui se montrait plus entreprenant. Il mit ses doigts dans ma chatte puis les suça toujours avec les mêmes grognements de plaisir.
Alors je revins vers lui et m’allongeai sur son corps chaud et serein. L’homme était à moi. Je lui roulai une pelle extraordinaire. Sa grande bouche et sa langue se révélèrent d’une redoutable efficacité. Pendant qu’on se galochait, il jouait avec mes fesses tenant chaque globe fermement dans ses grandes mains et écartant la raie ou rapprochant chaque hémisphère. Il passait ses doigts sur mon trou et descendait jusqu’à la vulve, puis remontait.
Je quittai la bouche, descendis, léchai puis mordillai les tétons et revins à la bite que je pompai avec application toujours attentive à ses plaintes et ondulations corporelles.
Puis je m’allongeai sur le dos, à côté de lui, écartai les jambes et lui dis simplement :
— Viens.
Au lieu de rouler sur moi, il s’agenouilla entre mes jambes, se pencha pour me caresser les seins puis les sucer tout en me doigtant profondément en portant régulièrement ses doigts à ses narines ou à sa bouche.
— Quel délice, quel nectar ton jus de chatte !
— Vas-y mon Léon, vas-y, c’est bon… Où as-tu appris à faire ça ?
— Ben… t’as vu ce que je faisais en entrant. Quand Sammy n’est pas là, je me gêne pas pour mater du porno. Alors j’ai fini par comprendre comment faire.
Sammy c’est l’autre coloc.
— Et il en regarde pas Sammy ?
— On n’a jamais parlé de ça… mais on s’en fout là, c’est pas le sujet, dit-il avant de poser ses lèvres sur ma peau pour me couvrir de petits bisous.
Il arriva sur le pubis, le lécha avec force salive et avec voracité. Puis il se redressa et écarta mes grandes lèvres. Il resta un moment ainsi à les contempler.
— C’est beau, c’est tellement beau. J’ai jamais rien vu d’aussi beau…
Il reposa sa bouche sur mon triangle et laissa traîner son visage en sniffant fortement.
— Ça sent bon la chatte, putain…ça sent bon… C’est meilleur que tout…
Puis il se pencha, écarta à nouveau les lèvres et titilla le clito du bout de la langue.
— OOOOO OUIIIIIIIIIIIII, vas-y… bouffe-moi la chatte…
Je pense que je n’oublierai jamais ce premier contact d’un homme entre mes jambes. J’étais folle. Je pris la tête de mon cousin entre mes mains pour le forcer à se coller sur mon sexe. Mais il résista pour faire ce qu’il voulait, comme il l’entendait et, graduellement, ses coups de langue se firent plus profonds, de l’extrémité d’abord jusqu’à ce qu’il mette toute sa langue et enfin jusqu’à ce que sa bouche se pose entièrement sur mon sexe comme une ventouse à aspirer le bonheur. Il me fit jouir. Mon corps fut agité de tremblements ; je mouillai abondamment ; et retombai inerte un bref moment. Désormais ses coups de langue agissaient comme de l’électricité. Le moindre frôlement me chatouillait et je dus lui dire d’arrêter ne pouvant plus résister à cette torture jouissive.
Il obéit en revenant sur moi pour manger mes seins et embrasser mon cou. Son sexe, figé comme le roc, était écrasé contre le mien. Lanimâle était lourd. J’aimais ce poids sur mon corps.
Quand je me fus un peu calmée, je le suppliai.
— Pénètre-moi !
— Tu veux vraiment ?
— Oui… Vas-y, fais-moi femme, pénètre-moi, mets-moi ta queue, défonce-moi… vas-y quoi !
Il ne se fit pas prier davantage, bien décidé à prendre mon pucelage et à perdre le sien, et prit sa verge dans une main, glissa son gland dans mon sexe, entre les lèvres quil chatouilla ainsi en me faisant à nouveau perdre contrôle. C’était encore hyper sensible.
Puis il mit son bout au trou.
Même en y allant doucement, très doucement, il me fit mal. Il dut faire plusieurs va-et-vient juste pour entrer le bout de son nud, le temps que le plaisir m’inonde. Enfin, le gland entra totalement et la verge fila jusqu’au fond en m’arrachant un cri… Je n’étais plus vierge ! Il la retira et la remit tout doucement et recommença l’opération plusieurs fois en me demandant à plusieurs reprises s’il ne me faisait pas trop mal.
J’appréciai sa délicatesse. Il était à l’écoute et cela me surprit. On aurait dit qu’il pensait plus à mon plaisir qu’au sien. J’étais surprise de tant de prévenance pour un garçon qui n’avait jamais fait l’amour et dont j’aurais pensé qu’il aurait pu perdre le contrôle. Mais après tout, j’étais moi aussi à l’écoute de ses impressions car décidée à bien m’imprégner de tout ce que le corps d’un mâle en rut peut donner. Quand, enfin, je refermai mes bras autour de son tronc large et chaud et que je commençai à gémir, il accéléra.
Nos voix se confondaient dans le même émerveillement, dans la même extase, en communion. Nous répétions sans cesse la même chose :
— C’est bon, c’est le pied, super, grandiose… elle est bonne ta queue, elle est bonne ta chatte…
Il se redressa sur ses bras pour me limer à fond. Je l’encourageai.
Il décida cependant de ralentir le rythme et devint presque inerte bougeant légèrement son corps pour que la pine, en moi s’agite légèrement. Il glissa sur mon côté pour dégager un sein qu’il saisit à m’en faire mal.
— Pourquoi tu voulais que je me rase les couilles ? Susurra-t-il tout en continuant à se mouvoir imperceptiblement.
— Pourquoi tu veux que je m’épile la teucha ?
— Non, pas épilée… peut-être un peu moins fournie…
— Moi je trouve que tes poils sur les boules ça m’empêche de bien en profiter. J’en ai plein dans la bouche après. J’suis sûre que si tes roustons étaient plus lisses, on en profiterait mieux tous les deux.
— Tu as peut-être raison… j’y penserai…
— Ça veut dire que tu veux recommencer ?
— Recommencer ? Si seulement ça pouvait durer toute la vie. J’suis bien là. J’ai jamais été aussi bien. Putain que c’est bon. C’est encore mieux que ce que je pensai, 200 000 fois mieux… Ô ma cousine, ma cousine… ton corps, ton corps… tes seins, tes mains, ta bouche, ton cul, tes jambes, ton sexe… hmmm…
Et il se remit à l’ouvrage en se mettant quasi à genoux et en m’attirant à lui en me saisissant par le pli des cuisses. Cela lui permettait, tout en continuant de me piner, de me pétrir les seins.
— Tes seins, tes seins, tes tétons durs… c’est génial…
Puis il s’étendit à nouveau totalement sur moi et reprit son bourrage en règle. Ses chocs se répercutaient dans tout mon être et, à chaque fois que sa queue tapait au fond, je lâchais un cri de bonheur.
Il se retira.
— Mets-toi à quatre pattes !
Je lui obéis sans discuter et il me prit par-derrière.
— Rahhh. C’est bon, c’est super… c’est encore meilleur que ce que je pensais.
— Pareil pour moi. Enfonce, enfonce, vas-y… Plus vite.
J’eus un orgasme… le premier provoqué par un homme en moi. Je ne pus me maintenir sur mes bras. Je m’écroulai mais il me maintint la croupe en l’air en me tenant fermement par les hanches.
Mon orgasme le libéra. Il sortit d’un coup, voulut se rallonger sur moi mais je le lui interdis.
— Non, j’veux voir ce que ça fait quand le sperme sort.
Il était temps. Il se mit au-dessus de ma poitrine et je vis les jets fuser rapidement et je sentis la lourde et chaude averse tomber sur mes seins. Ce fut bref mais ce geyser blanc s’élevant dans les airs pour retomber lourdement me captiva.
La puissance du tri diminua rapidement et les dernières giclées sortirent sans puissance en recouvrant le gland et la main droite qui allait et venait.
Quand tout fut fini, il s’abattit à côté de moi et soufflant comme un buf. Je revins vers lui. Sa verge était dure encore et j’en suçai d’abord l’extrémité pour goûter ce fameux liquide qui me tentait fort et qui sentait fort. La semence expulsée dans les premiers jets se détachait de mes seins et tombait sur son pubis pendant cette fellation. Du premier contact, j’aimais ça. Je sus que je deviendrai une grande bouffeuse de sperme. J’en recueillis sur la langue et vins vers lui. Il se laissa faire et je l’embrassai langoureusement.
— Quand je pense que ma mère m’avait dit de prendre soin de toi et de te surveiller pour que tu ne commettes pas d’imprudence…
— Quand tu penses que mes parents disaient qu’avec toi comme ange-gardien il ne pouvait rein m’arriver… Ils ne se sont pas trompés… tu prends soin de moi.
— Putain ! Quest-ce qu’on a fait !
— Tu regrettes ? Moi pas. Je ne pouvais pas rêver mieux pour perdre ma virginité. Tu es allé au-delà de toutes mes attentes.
— C’est vrai ?
— Oui, et toi ?
— Moi, moi… depuis le temps que je me pignole en attendant ça… je réalise pas… c’est comme dans un rêve…
Je me tournai vers lui, posai ma main droite sur sa poitrine dont la pilosité perlait de sueur et déposai un bisou sur son épaule en disant :
— Tu as été un amant magnifique…
— Et toi la plus fantastique des maîtresses…
Ainsi satisfaits de nous-mêmes, le silence s’installant, tout ayant été dit, nous nous endormîmes l’un à côté de l’autre. Dans la nuit, ses ronflements me réveillèrent et je regagnai mon lit non sans avoir regardé encore une fois ce garçon qui m’avait étonnamment si bien baisée, ce sexe mou mais toujours gros incliné sur la cuisse, cette masse puissante que je trouvais désormais attirante et sans avoir pris le soin de ramener le drap sur ces beautés viriles pour qu’il ne prenne pas froid.
A suivre.