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Amour secret – Chapitre 1

Amour secret - Chapitre 1



Chapitre 1 : Le vice caché d’Anna.

  Je suis en sous-vêtements ; un soutien-gorge et un slip en dentelle noirs. Le slip coince entre mes fesses, mais je m’en fous car je suis seule derrière le comptoir de la cuisine en train de chercher cette putain de boîte de céréales, quand j’entends soudain mon père bailler derrière moi.

Bonjour Anna, me dit-il.

    En m’appuyant sur le lavabo et en gardant un air calme je me retourne et scrute mon père de la tête aux pieds, et je remarque que lui aussi n’est muni que d’un boxer noir.

Bonjour papa, répondis-je en mettant ma main dans mes cheveux.

Cette vilaine habitude de se balader en sous-vêtements est héréditaire on dirait, dit-il en esquissant un petit sourire et en se servant un café. Tu cherchais quelque chose avant que je n’arrive non ?

Je cherchais les céréales.

    Il marche jusqu’au bout du comptoir et, sur la pointe des pieds, ouvre le haut du buffet et y prend la boite de céréales que je cherchais.

Tiens, dit-il en venant vers moi et en me tendant la boite.

Merci.

    Je prends la boite et verse les céréales dans mon bol. Compte tenu de l’étroitesse de la cuisine, je sens mon père passer derrière moi, effleurant mon dos de son torse et mes fesses de son boxer.

    Arrivé derrière le comptoir il se retourne et me dit :

Je n’ai pas de problèmes avec ça mais fais en sorte que ta mère te trouve habillée convenablement, tu la connais.

    Jacquiesce de la tête et lui envoie un joli sourire qu’il me rend aussitôt.

  Après avoir pris mon petit déjeuner je monte dans ma chambre et me dirige en face de mon armoire. Je mets une chemise rouge légère en oubliant de lier quelques boutons et une mini jupe noire mi-cuisses. J’accompagne le tout d’une paire de sandales à talon. J’entre dans la salle de bain et en ressors quelques minutes plus tard soigneusement maquillée. En me regardant en face de la glace, je me trouve sexy, et j’aime ça, j’aime faire tourner la tête des hommes quand je marche dans la rue. Quelle femme digne de ce nom n’aime pas se trouver attirante et faire don de ses charmes ? Certainement aucune.

    Sortant de la maison, je vois mon père sortir du garage dans sa Range Rover.

Toujours bien habillée Anna, lança ma mère qui se tenait au seuil de la porte.

Bonjour maman, dis-je en me retournant. Bien dormi ?

    Elle passe son regard sur moi, comme dégoûtée.

Mouais, répondit-elle avant de fermer la porte.

    Au revoir maman…, dis-je d’une voix inaudible en baissant les yeux. J’entends soudain klaxonner.

Viens Anna ! fit mon père en s’arrêtant devant moi. Je te prends !

    Je monte dans la Range Rover et le sourire regagne mon visage. Dès que je m’assois, ma jupe remonte et dévoile la quasi-totalité de mes longues jambes. Mon père l’a remarqué, et pour ne pas lui manquer de respect, je fais vite de l’arranger.

Elle t’a encore lancé une de ses remarques ? me demanda-t-il une fois entrés dans l’autoroute.

Je la déteste, répondis-je en détachant mes yeux de l’horizon.

Il ne faut pas Anna, ça reste ta mère.

Après tant d’années, tu continues de la défendre ? Après tout ce qu’elle nous a fait !

Il faut savoir pardonner. Essaye un jour, et tu verras le bien que ça fait.

Je ne suis pas d’accord avec toi papa, je trouve que tu es trop bon, et quand…

Et quand on est trop bons on est trop cons, je sais je sais… mais qu’est-ce que j’y peux ? Je l’aime Anna, je l’ai épousée.

    Tu mérites tellement mieux, me dis-je.

Tu as une réunion importante aujourd’hui non ? demandai-je intéressée.

Oui… mais comment le sais-tu ?

Je t’ai entendu le dire hier à maman, en plus tu t’es fait super beau !

Ah… je n’ai plus mes vingt ans tu sais…

Je t’en donnerai bien vingt-huit ou trente. Tu as gardé un corps d’athlète.

Je n’ai pas abandonné le sport. J’en fais moins certes, mais je vais toujours à la salle…

Je pourrais venir la prochaine fois avec toi ?

    On arrive en face de mon lycée et mon père se gare.

Comment veux-tu que je refuse quand tu me fais ces yeux ? répondit-il en souriant. Allez va, avant que tes copines ne remarquent que ton vieux père t’a accompagnée.

Je t’adore, dis-je en l’enlaçant brièvement. Ne dis pas ça. Qu’elles me voient accompagnée de mon vieux père comme tu dis ! En plus, elles pourraient te prendre pour mon copain.

N’exagérons rien.

    Je sors de la voiture et attends que mon père parte pour entrer dans mon lycée. Dès que jentre, je ne peux mempêcher de remarquer le regard des garçons, que ce soit sur mes longues jambes bronzées ou bien sur mon généreux décolleté. Le sourire au coin des lèvres je mincruste au milieu dun groupe de garçons qui discutent autour dun banc, et sur celui-ci est assis un gars vêtu dun simple débardeur blanc, dévoilant ainsi sa belle musculature et sa force. Ce gars est loin dêtre une brute ; cest Mike. Dès quil me voit, il lance un regard au mec assis à côté de lui, et ce dernier se lève aussitôt pour me laisser sa place.

Bonjour Mike, dis-je en masseyant.

  Il met sa main derrière ma tête et membrasse fougueusement. Sa langue harcèle la mienne dans un duel baveux et son autre main vient se poser sur lune de mes cuisses.

Ce weekend-end ma semblé interminable Anna, me dit-il en détachant ses lèvres des miennes.

Je le sais, répondis-je en passant ma main sur son jean. Je le sens. On va baiser ?

  Certains garçons présents autour de nous étaient ahuris par ma proposition digne dune catin de bordels, mais quelques autres nétaient pas étonnés pour autant ; ils en avaient lhabitude après chaque weekend-end.

    On se lève Mike et moi et on va de ce pas aux vestiaires, en face du stade de football. Dès quon entre dans les vestiaires, Mike ferme la porte et vient vers moi dun pas vif. Il sempare de mes lèvres et fourre sa langue entre elles. Dès quil plaque ses mains sur mes fesses, je mets les miennes autour de son cou et saute pour accrocher mes jambes autour de son bassin et les croiser derrière son dos. La jupe remontée jusquà la taille, je sens ma culotte enterrée entre mes fesses. Mike me plaque contre le mur et continue de membrasser en descendant sur mon cou et entre mes seins à moitié cachés par mon soutif. Le weekend-end passé sans lui était un cauchemar, jai une folle envie de sexe et de sauter les préliminaire. Je baisse mes jambes lune après lautre et tire Mike pour le plaquer à son tour contre le mur.

Putain que jai envie de baiser Mike, dis-je dune voix tremblante en baissant ma culotte que je jette je ne sais où.

  Je donne un baiser à Mike et descends le long de son corps pour arriver en face de sa ceinture que je défais. Je déboutonne son jean et le fais descendre jusquà ses genoux, et son boxer ne tarde pas à le suivre. Oh que ce sexe ma manqué, ce morceau de chair veiné et dressé tel un soldat. Sur son bout perle un nectar exquis. Je passe ma langue sur mes lèvres et empoigne ce beau pénis en érection.

Oh Anna tu mas manqué, gémit-il sous mes caresses.

    Ma main enchaîne les va-et-vient et mes yeux ne quittent pas ce sexe qui sallonge infiniment sous mes doigts. Rien quà cette sensation je mouille et mets ma main libre entre mes lèvres pour branler mon bouton damour.

Oh Mike je veux que tu mettes ça dans ma bouche, lui dis-je dune voix sensuelle et en faisant mes yeux de gamine prête à tout pour avoir ce quelle veut.

  Et sans attendre de réponse de sa part, jembrasse son gland puis enfonce la moitié de sa bite dans ma bouche. Jentends Mike gémir sous les coups de ma langue gourmande.

Mhmm putain cest énorme ! fis-je en sortant la moitié de sa bite qui avait suffi à remplir toute ma bouche.

  Mais jen voulais plus. Il est arrivé dans le passé que je prenne ce pénis entier dans ma bouche, je peux donc le refaire. Je reprends sa bite en bouche et me lenfonce de plus en plus loin dans ma gorge.

Oh Anna ! Ohh ! grogna Mike en plaçant ses mains sur ma tête.

  Je continue denfoncer cette colonne de chair dans ma bouche jusquà sentir mon nez cogner contre son pubis. Jai réussi à gober la totalité de cette bite ; en manquant certes de métouffer. Je bats des cils pendant quelques secondes puis me retire, créant ainsi un filet abondant de salive entre mes lèvres et le sexe de Mike. Je reprends difficilement ma respiration et nattends pas longtemps pour reprendre mes gorges profondes.

Ohhh salope ! gémit Mike en prenant ma tête entre ses mains et en commençant à balancer son bassin. Ohhh ! Quelle salope !

    Je narrête pas de sucer cette bite mouillée par ma salive et qui brille sous le néant des vestiaires. En ce moment, je ne suis quune salope avide de ce sexe juteux et qui manque de jouir en harcelant son clitoris. Le sol est enduit de ma salive et de ma mouille, et je continue denfoncer cette bite jusquà la sentir cogner au plus profond de ma gorge. Mike savance et me pousse vers le mur, je tombe sur mes fesses nues et jai les jambes écartées, oh si mon père me voyait maintenant me dis-je, mais je me sens plus excitée que honteuse à cette idée. Mike se place en face de moi et serre ma tête entre ses mains en la maintenant immobile. A peine ai-je ouvert la bouche quil enfonce dune traite sa bite dans ma gorge. Il reprend ses va-et-vient, sauf que là il ne sempêche pas de donner tout ce quil a et de se montrer brutal. Il viole ma bouche et je suis obligée de maccrocher à ses fesses pour éviter de cogner larrière de ma tête contre le mur. Il fait quelques pauses pour arranger mes cheveux qui le gênaient puis reprenait sa besogne.

Putain !!! Ohh que cest bon ! Quelle salope tu fais Anna !!! Ahhhhh !

    Oh que jaime quand il me traite de salope. Plus il le fait et plus je me sens excitée et je deviens sa chienne soumise. Mes gémissements sont étouffés par sa bite et sortent en forme de couinements de détresse. Je commence à lui faire des signes pour quil sarrête car je sens quil arrive, mais ce dernier est déjà au septième ciel et ne mécoute ni ne me voit même plus. Il empale une dernière fois ma tête sur sa bite et éjacule une quantité infinie de sperme dans ma bouche. Manquant de métouffer, javale le maximum, comme une chienne, et le reste tombe sur mon menton, mon cou, puis entre mes seins et sur ma petite chemise.

Putain mais tes con ! mécriai-je en me levant et en prenant dans mes doigts le sperme qui coulait entre mes seins et le long de mon cou.

Pourquoi ? demanda Mike en relevant son boxer et son jean.

Javais voulu que tu me sautes ! Voilà pourquoi ! répondis-je en suçant mes doigts et en fronçant des sourcils, fortement contrariée.

Excuse-moi bébé je ne pouvais plus tenir, dit-il en savançant vers moi.

Cest bon laisse tomber !

    Après avoir arrangé ma jupe, je ressors des vestiaires moralement et sexuellement frustrée.

    Je vais dans le compartiment des S et me rue dans le couloir jusquà ma classe, et dès que jouvre la porte je trouve en face de moi le prof de physique en train de donner son cours.

Vous êtes bien en retard Anna, me lança-t-il en me dévisageant. Rejoignez votre place et essuyez votre menton.

    Je mets aussitôt mes doigts sur mon menton et sens une liqueur familière. Le prof de physique est assez proche pour voir ce que cest, mais pas mes camarades. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête, mais je récolte aussitôt ces quelques gouttes sur mes doigts et les prends à ma bouche.

Jai mangé une tarte, dis-je en souriant gaminement.

    Mais lui ne sourit pas, il écarquille les yeux et reste bouche bée, comme sil avait compris de quoi il sagissait. Je rejoins ma place habituelle, cest-à-dire deuxième table du côté de la fenêtre, et jessaye de suivre le cours quavait commencé le prof à présenter. Après quelques minutes, je mets ma main autour de ma gorge. Argh !cette sensationme dis-je en la frottant. Ça faisait un bail que je navais pas fait de fellation comme celle de ce matin, javoue avoir quelque peu forcé, et voilà que je récolte les fruits de ma précipitation, vaine qui plus est !

Êtes-vous présente mademoiselle Anna ? demanda soudain le prof. Car jai limpression que votre esprit est ailleurs.

    Oh sil savait Sil savait quil y avait un volcan sous ma jupe à cet instant !

  Je viens de me rendre compte que jai oublié ma culotte dans les vestiaires, et merde ! Je mets mes coudes sur la table et regarde le prof droit dans les yeux, mais lui ne me regarde pas, son regard est attiré par ma table, ou bien par ce qui se trouve en dessous. Pour son bref plaisir, jécarte un peu les jambes, mais sans trop en faire pour que mes camarades ne se doutent de rien.

Je suis bien là monsieur, répondis-je dune voix si douce quil faillit rougir.

    Il change rapidement de sujet et reprend son cours. En regardant par la fenêtre jai une vue panoramique sur toute la cour, je remarque Mike et sa bande d’amis qui se regroupent un instant pour ensuite se disperser dans la rue. Une bagarre va sûrement éclater là dehors…. Mike est, comme dirait-on, un badboy, c’est ce qui m’a plu chez-lui quand je l’ai aperçu pour la première fois, le fait de regarder tout le monde de haut comme si c’étaient des sous-merdes comparés à lui, et surtout, le fait d’être la copine du boss du lycée, cette sensation d’être à côté de quelqu’un qui a le pouvoir m’excite. En plus d’avoir une totale protection de sa part, j’ai droit à une bonne baise brutale, des fois même deux, par jour, ce qui suffit à apaiser ma libido enragée.

  Dès que je détache mes yeux de la fenêtre je retrouve le regard noyé du prof de physique entre mes jambes légèrement écartées. Ma chatte béante doit s’offrir à ses yeux de vieux pervers, mais au lieu que ça me dérange, je sens mes genoux s’éloigner l’un de l’autre, comme un automatisme. Merde je suis une vraie salope !

    La cloche sonne. Tout le monde sort de la classe, y compris moi, en ignorant le regard du prof sur mon cul.

  La prof de maths s’étant absentée, nous n’avons qu’à rentrer chez-nous. Mon père n’étant pas informé de l’absentéisme de la prof ne pouvait donc pas se trouver garé en face du lycée à m’attendre, mais à mon grand étonnement, il était là. Il avait une main sur le volant et l’autre dans ses beaux cheveux noirs. Il semblait préoccupé car il harcelait sa montre et n’arrêtait pas de se frotter la tête. Il était de profil, je ne pouvais donc pas voir son visage, jusqu’à ce qu’il se retourne…

Je ne l’avais jamais vu ainsi depuis… depuis qu’il avait su que ma mère l’avait trompé. Je me précipite vers la voiture et m’installe à ses côtés avant de l’étrangler entre mes bras.

Papa ! Qu’y a-t-il ?!

Rien ma chérie, répondit-il en gardant un ton calme, ce qui me fit le plus peur c’est qu’il essayait de sourire mais en vain. Rien, je suis juste venu te prendre.

Ne dis pas de conneries papa ! Dis-moi ce qui se passe ! Papa !!

Tais-toi ! cria-t-il soudain en frappant le volant d’un coup de poing et en me faisant sursauter. Il ne s’est rien passé ! Elle a juste recommencé c’est tout ! Rien de nouveau !

    Il prit sa tête entre ses mains puis posa son front sur le volant.

J’ai tout fait pour elle, poursuivit-il d’une voix enrouée par l’émotion. Je l’ai aimée, même après ce qu’elle a fait, parce que je me suis dit qu’elle avait commis une erreur, un faux pas, que ce n’était pas grave, qu’elle ferait de son mieux pour changer, pour arrêter de boire aussi, elle l’avait promis…

Papa…, dis-je en caressant son dos. Tu ne peux pas continuer de vivre comme ça, on ne peut pas.

    Il releva sa tête et là, en le regardant, j’avais compris… il l’aimait vraiment. Je ne sais pas si c’était lui qui s’était penché ou si c’était moi qui le tirais vers moi mais sa tête atterrit instinctivement sur mes genoux. Je ne pus m’empêcher de plonger mes doigts dans ses cheveux et de le réconforter. Je n’avais jamais vu mon père dans cet état, et j’avoue que ça me fait de la peine, il ne le méritait pas. Soudain, il bouge sa tête et ma jupe, déjà assez courte, remonte légèrement. Mon cur s’emballe et ma respiration s’accélère quand je me rappelle que je n’ai plus de culotte. Je suis figée sur place, je prie pour qu’il n’ait rien remarqué. Si je ne fais rien, il risque de bouger encore une fois sa tête et faire remonter ma jupe… la catastrophe ! Je mets alors ma main sous son menton et relève sa tête. Dès qu’il effleure ma poitrine je sens mes tétons tressaillir et commencer à durcir. Son visage maintenant est à hauteur du mien. Putain mais qu’est-ce qui m’a pris ? Qu’est-ce que je fais maintenant ?! Et puis, pourquoi mon corps se met à réagir ainsi ? C’est mon père bon sang ! Est-ce normal que je le trouve aussi beau et attirant ? Je suis folle… Complètement cinglée ! Je vois sa mâchoire se resserrer et sa pomme d’Adam vibrer. Ses yeux mi-clos arborent son dégoût de la vie ; il est perdu, désorienté dans un monde qu’il croyait connaître, avec une femme qu’il croyait aimer et chérir, et qu’il croyait être suffisant. Sa main retombe accidentellement sur ma cuisse, et je ne pus m’empêcher d’écarter mes jambes suite à un automatisme involontaire, ce qui fit remonter encore ma jupe et afficher ainsi à mes yeux mon intimité. Mon père, voyant l’insistance de mon regard baissé, voulut baisser la tête pour voir ce qui se passait, mais je le retins en plaçant ma main sur sa joue et en maintenant son visage proche du mien. Il me regarde quelque instant, et sans même comprendre ce qui m’arrivait, je sentis ses lèvres se coller aux miennes et sa main glisser entre mes cuisses…

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