Voilà bien dix bonnes minutes que je suçais la queue de ce gars quand je sentis des frémissements annonciateurs. Il avait déjà lâché sur ma langue de grosses gouttes bien épaisses de liquide préséminal, que j’avais avalé goulûment. Lui qui s’était montré si silencieux depuis le début de cette pipe, le voilà qui commençait à grogner.
Ouah ! Continue ma salope, je vais venir ! m’ordonna-t-il en chuchotant.
J’adorais cet instant troublant. En effet, nous étions enfermés dans les chiottes d’une boîte de nuit, il devait être autour de 4h du matin, et on entendait des discussions à seulement quelques mètres sur fond de musique. Je le sentais gêné, mais incapable de se contrôler. Moi, je m’amusais à augmenter les bruits de succion. Ça ne me dérangeait pas qu’on nous entende : j’aimais sucer, je ne vois pas quel mal il pouvait y avoir ! D’autant qu’on n’était pas les seuls, j’en entendais d’autres dans l’une des cabines d’à côté qui s’amusaient au moins autant.
Le mec resserra l’emprise de sa main sur ma tête et m’imposa son rythme.
Oui petite pute ! Je viens !
Il se contracta et enfonça sa bite jusqu’au fond de ma gorge. Je retins mon souffle, faisant jouer ma langue autant que possible pour accélérer l’éjaculation. Ce ne fut pas long : je sentis vite les jets de sperme chaud sur ma glotte. Il expira profondément, relâchant son emprise. Je repris une inspiration et me remis en position pour lui nettoyer la bite et déposer sur ma langue cette semence, qui venait s’ajouter à toutes celles que j’avais déjà goûtées avant.
Je lui montrai ensuite fièrement ma bouche remplie de son sperme chaud.
Ouah ! dit-il, t’es vraiment une sacrée cochonne, toi ! Tu devrais faire du porno !
Je hochai négativement la tête tandis que j’avalai.
Ils me payeraient pas assez chers ! dis-je en rigolant.
Au fait, c’est quoi ton petit nom ?
Laura.
Moi c’est Dylan. Dis-moi Laura, ça te dirait qu’on se revoit ?
Là encore, je hochais la tête, tout en me redressant.
Navrée, mais je ne cherche pas de plan régulier.
Tant pis pour toi, dit-il.
Il venait de remettre son chibre dans son pantalon et ouvrit la porte. Il quitta les lieux sans un baiser ni un merci. Non pas que j’eus le sentiment de ne pas avoir été récompensée, mais un petit regard chaleureux n’aurait pas été de trop.
Je me rapprochai du miroir des w.c. et me regardai dans la glace : une mignonne femme de 27 ans aux longs cheveux bruns, avec une taille fine et petite paire de seins bien fermes (85C). Je ne me considérais pas comme un canon, mais je ne me plaignais pas. Après tout, depuis que j’avais une vie sexuelle, je n’avais jamais éprouvé de difficultés à trouver de la compagnie.
Perchée sur mes escarpins de 10 centimètres, je remis ma robe blanche et rose en place. Elle me tombait à mi-cuisses et révélait des jambes fines et musclées : ma petite fierté. Je savais que je pouvais toujours compter sur elles pour attirer à moi tout un tas de phallus prêts à être vidés !
Mon maquillage avait coulé de mes yeux, me donnant un air de clown triste. Qu’à cela ne tienne, j’avais l’habitude, je sortis de mon sac à main de quoi me retoucher. Après tout, ce nétait pas moins que le troisième gars que je suçais dans la soirée.
Dans l’une des cabines derrière moi, des cris de jouissance commençaient à poindre. C’était le couple que j’avais déjà repéré quelque temps plus tôt pendant que je suçais le fameux Dylan. Il ne fallut que quelques minutes pour les entendre finir leurs petites affaires. Le mec sortit le premier, l’air un peu perdu, et fonça vers la porte. La fille vint ensuite, beaucoup plus sûre d’elle.
C’était une belle brune avec quelques mèches blondes, campée sur des talons aiguille plus hauts que les miens, avec une robe légère et plissée toute noire, offrant un joli décolleté en V. Elle m’adressa un petit sourire par le miroir, tandis que je la reluquais. Avait-elle cru qu’elle me plaisait ?
Pour couper court tout de suite à toute interprétation erronée, je ne suis ni lesbienne ni bi. J’ai toujours aimé les bites, rien que les bites, toujours les bites. Et le sperme. Tant de chose que seuls les mecs peuvent offrir.
Tu t’amuses bien ? me demanda la fille.
Pas mal, et toi ?
Ça va.
Elle ne traîna pas. Elle se remit juste un coup rapide de rouge à lèvres et fila. La suivant du regard, j’aperçus un mince filet de mélange sperme et mouille qui filait entre ses cuisses. J’hésitai à la prévenir et me dis qu’elle était sans doute déjà au courant.
Quelques minutes, je rejoignis mes deux copines, Lisa et Amélie. Elles étaient mes amies les plus proches et les seules de mes connaissances à être au courant pour mes penchants. Elles m’accompagnaient une fois par mois en moyenne pour aller en boîte de nuit. Lisa était une fille mignonne, déjà casée, qui adorait aller danser. Amélie avait quelques rondeurs et plus de difficultés à trouver l’âme sur. Elles ne partageaient pas mon attrait pour le sperme, mais savaient me comprendre et m’accompagner pour que ça se passe au mieux.
Comme la soirée touchait à sa fin dans la boîte de nuit, nous nous séparâmes finalement assez vite et je choisis de regagner ma voiture avant la fermeture. Comme nous étions arrivées tard, elle était au fond d’un grand parking à ciel ouvert, quasiment désert.
En marchant, je songeais à ma soirée. La pêche n’avait pas été mauvaise : trois bites dans la soirée. J’avais fait bien plus, clairement, et je n’aurais pas dit non à une quatrième, mais je savais que je devais m’en contenter.
Mes pulsions pour le sperme me venaient assez régulièrement et ces soirées entre copines m’aidaient à les canaliser. A la ville, j’étais une fille bien sous tous rapports, un peu BCBG, commerciale dans une grosse société de services, et je ne pouvais me permettre que des gens dans mon entourage connaissent mes penchants. C’était mon côté sombre, ma face cachée, mon "dark passenger", j’étais la suceuse des boîtes de nuit pendant une soirée et, une fois cette soif étanchée, je repartais pour un moment. Je n’aurais pas su dire ce qui motivait ces envies un jour et pas l’autre, mais à l’occasion je vous raconterai comment j’en suis arrivée là.
Alors que je m’approchais de mon véhicule, je fus surprise d’entendre des râles masculins, sons bien familiers. Je m’approchai discrètement et passai la tête de l’autre côté de mon véhicule. Là, trois mecs me tournaient le dos. Une fille à genoux face à eux semblait s’amuser à leur sucer la bite. Après quelques secondes d’hésitation, je reconnus finalement la robe : la fille des w.c..
Impossible de regagner ma voiture : l’un des mecs était appuyé sur la portière passager. Si je m’approchais d’une quelconque façon, j’étais repérée. La fille BCBG en moi aurait voulu les déranger dans leur plan à 4 pour rentrer chez elle, mais cette fille-là dormait encore. C’était la salope qui était là, tétanisée à l’idée que la fille des w.c. se fasse trois bites en même temps quand il m’avait fallu la soirée pour en avoir autant.
Je restai en retrait, incapable de me décider sur la marche à suivre, observant ce spectacle surprenant. Je fus sortie de cet état quand la fille m’aperçut entre deux queues.
Eh ! Tu veux pas venir m’aider ?
L’invitation était trop belle. Lorsque les trois mecs, surpris, se retournèrent vers moi, je vis leurs trois chibres de profil et je fus bien incapable d’empêcher la salope en moi de se mettre à genoux.
Ouah ! Trop bien ! gémit l’un des gars. Une deuxième salope pour nous !
Il s’avança vers moi, bite à l’air, posa la main sur ma tête et l’orienta vers son membre dressé et humide. Je me mis à le sucer avec plus d’ardeur que ce qu’avaient pu connaître Dylan et les autres avant lui dans la soirée.
La fille des w.c. n’avait plus que deux mecs. L’un d’eux s’était présenté derrière elle, avait dressé ses hanches et soulevé sa jupe.
Bonnasse, t’as même pas de…
Il s’interrompit.
Oh putain, elle a déjà du sperme plein la chatte !
Ça va t’empêcher de me baiser ? demanda-t-elle, sans se démonter.
Bah c’est dégueulasse…
Et tu comptais faire comment avec tes potes ?
Le mec resta con quelques secondes puis la pénétra, et commence ses va-et-vient. Le deuxième avec elle la délaissa et vint vers moi.
Tu veux que je te baise toi aussi, petite salope ?
J’eus un frisson. C’était très rare pour moi de me faire baiser pendant mes nuits de suceuse, justement parce que je suçais. J’arrivais souvent à me limiter à la fellation parce que c’était la façon la plus rapide et efficace de combler mes attentes. Mais là, en pleine nuit, sur ce parking, avec cette fille qui couinait comme une chienne et ces deux bites dressées face à moi, je ne sus résister.
Je hochais la tête sans recracher la bite dans ma bouche.
Je me redressai, offrant mes hanches. Le mec releva ma jupe, tira mon string sur le côté. Je devais être déjà pas mal humide parce qu’il n’eut pas de difficulté à me pénétrer. Son sexe large m’écarta et je levai les yeux au ciel tellement c’était bon. Il commença des coups de boutoirs secs et violents, ce qui m’empêcha de continuer la pipe dans de bonnes conditions. Le mec dans ma bouche s’énerva. Il m’attrapa par les cheveux et colla mon nez à son pubis. Ce traitement dura plusieurs secondes et fut répété plusieurs fois. Je suffoquai, je chouinais, je haletais et Dieu ! Que j’aimais ça !
Le mec dans ma bouche se retira tout d’un coup. Continuant de me tenir par les cheveux, il plaça mon visage juste en face de sa queue et de sa main libre, se branla nerveusement. Il lâcha sur mon front et sur mes joues des flots gluants de sperme chaud. Le gars dans ma chatte grommela à son tour. Sa bite vint cogner plusieurs fois au fond de mon vagin avant que lui aussi ne se décharge. L’un après l’autre, les mecs me lâchèrent. Je vacillai et tombai, m’adossant à ma voiture. La fille à côté venait de terminer avec le sien. Le mec était déjà en train de la remercier avec des grognements de jouissance et des insultes assorties. Dès qu’il eut fini, il lâcha son emprise sur elle et elle vint s’asseoir à côté de moi.
Merci les putes, à bientôt ! dirent les mecs avant de disparaître dans la nuit.
Si la fille n’avait été là, j’aurais presque cru à un beau rêve.
Contrairement à moi, elle semblait encore pleine de vitalité.
Tu te sens bien ? me demanda-t-elle. Et tandis qu’elle me parlait, elle passait son doigt sur mon visage pour ramasser les gouttes de sperme et les mettre dans sa bouche.
Oui merci. C’était cool, répondis-je. Des amis à toi ?
Non. J’ai pas d’amis mecs. Trop de complications. Je m’appelle Sarah. Et toi ?
Laura.
Tu as l’air de savoir te débrouiller avec les gars, Laura. Faudrait qu’on se fasse des soirées toutes les deux.
En temps normal, j’aurais répondu non, mais la situation semblait si surnaturelle que ma volonté vacilla. Je lui donnai mon numéro de portable en lui promettant qu’on se reverrait.
Lorsqu’elle l’eut (et qu’elle eut avalé tout le sperme qui dégoulinait de mon front à mon cou), elle se redressa en me saluant amicalement et disparut à son tour. Pour ma part, il me fallut encore quelques minutes pour reprendre mes esprits, grimper dans ma voiture et rentrer chez moi.
Je sentais le sperme à plein nez, ça dégoulinait d’entre mes cuisses. A mesure que je roulais, la fille BCBG en moi reprenait le dessus. Je ne me sentais plus salope : je me sentais sale. J’avais besoin d’une douche. Je rejoignis mon appartement et filai vers la salle de bain en passant par la chambre. Je restai la plus discrète possible et progressai dans le noir ; mais, passant devant le lit, j’entendis les draps bouger.
Ma chérie, c’est toi ?
C’était mon copain, Jérémy.
Quoi, je ne vous avais pas dit que j’avais un copain ?