L’entretien avec le grand patron.
Je travaille pour une grosse compagnie d’assurances à plus de soixante kilomètres de la maison. La société va ouvrir un cabinet dans la ville à 5 kilomètres de chez nous et, pour cela, on recherche son futur directeur. Un Vendredi, avant que je quitte mon travail, mon directeur me dit que la semaine prochaine le grand patron vient de Paris pour rencontrer les personnes susceptibles de prendre la direction de la future agence.
Mardi en fin de matinée, je suis appelé dans le bureau de mon directeur, où m’attend le grand patron :
Bonjour, Messieurs.
Bonjour, monsieur X.
Voilà : pour le poste de directeur, vous êtes deux à égalité de points ; mais vous avez un léger avantage du côté personnel. Pour en parler, serait-il possible que votre épouse nous rejoigne entre 16h et 17h pour qu’on en parle ?
Oui ; je vais l’appeler et lui demander de venir ici pour 16h.
Très bien ; à tout à l’heure.
La journée se passe, et à 16h ma femme arrive. Nous nous rendons en salle de réunion qui est équipée d’un grand écran pour les réunions avec visioconférence. Quelques instants plus tard, Monsieur Six, le grand patron âgé de 58 ans et Monsieur Bart, âgé de 50 ans, directeur de l’agence dans laquelle je travaille, entrent dans la salle. Après les formules de politesse, M. Six prend la parole :
Pour ce poste de directeur, votre salaire variera entre 2 800 et 5 600 , et même un peu plus, suivant vos primes. Vous aurez aussi un budget pour votre voiture de fonction et vos déplacements ; il n’est pas compris dans votre salaire. Vous pourrez aussi embaucher une secrétaire. Sur le plan professionnel, vous êtes deux avec le même nombre de points, mais comme je vous l’ai dit tout à l’heure : vous avez un léger avantage côté personnel, et c’est pour cela que je voulais que votre épouse soit présente pour vous montrer ceci.
Le grand écran s’allume ; on voit un couple dont la femme est allongée sur le ventre, les fesses bien relevées. Un homme est sur elle ; on distingue nettement quil la pénètre. Puis ils se mettent en position de missionnaire. Une autre scène commence ; elle est filmée de beaucoup plus près que la précédente. Une voiture est arrêtée par un policier ; nous n’entendons pas les dialogues. Au bout d’un moment, la femme est contrainte par l’agent de sortir de la voiture. Le policier l’oblige à venir devant celle-ci ; elle n’a qu’un chemisier fermé par un unique bouton au niveau des seins. Elle se met à genoux devant le policier et le suce, puis se redresse et pose ses mains sur le capot ; le flic la baise. À la fin du film, je regarde mon épouse qui était rouge, tellement elle était gênée. Je demande comment et qui a eu ce film, ce à quoi M. Six répond :
Vous venez de voir un extrait de ce DVD, que je vous offre ; il a été réalisé lors de votre séjour dans le Sud : il y avait des caméras dans toutes les pièces de la villa que vous avez louée, sauf dans les toilettes et la salle de bain. Cette maison m’appartient. Pour cette période de location, il n’y avait que vous ; même chose pour votre collègue. Les lettres et les textos pour vous obliger à faire ce dont j’avais envie, c’est moi qui vous les ai envoyés. Votre collègue n’a pas voulu de la semaine gratuite. Pour moi, ce fut un vrai régal de vous voir baiser près de la rivière, et avec le policier qui est un ami ; il a suivi mes instructions. Maintenant, je voudrais savoir si vous êtes prêt à continuer ce petit jeu : j’attends votre réponse pour demain.
Sur ces mots, les deux hommes quittent la salle de réunion. Je prends ma femme dans mes bras et lui dis qu’il ne vaut mieux pas s’aventurer là-dedans. Elle me répond qu’elle a envie de se faire baiser, et que si mes deux patrons lui avaient sauté dessus, elle se serait laissé faire. Et, pour être certain que j’aie le poste, qu’elle veut bien continuer ce jeu et que je peux tout de suite donner la réponse au directeur. Nous allons donc frapper à la porte du bureau de M. Bart où les deux directeurs se sont rendus en quittant la salle de réunion. Une fois dans le bureau, je prends la parole :
Voilà : nous sommes d’accord surtout ma femme pour être certain que j’aurai le poste. D’ailleurs, elle voudrait vous dire quelque chose.
(Ma femme, Sylvie) : Je voulais vous dire que je suis toute disposée si vous voulez me baiser tous les deux.
(M. Six) : Désolé, mais on ne baise qu’avec nos femmes. Donc, à partir de maintenant, vous ferez tous ce que l’on vous demandera, que se soit moi ou M. Bart ; tout refus ou même toute hésitation vous vaudra une punition.
Nous avons bien compris.
M. le directeur, je prends le temps de ranger un peu mes affaires avant de rentrer chez nous.
Alors que nous nous apprêtons à quitter les locaux, M. Bart nous interpelle :
Vous allez vous rendre tous les deux chez votre esthéticienne ; elle vous attend, et sait ce qu’elle doit vous faire. À demain.
Nous arrivons au salon de beauté, chez Coralie. Ma femme, qui y vient régulièrement, embrasse Coralie qui est une ancienne copine d’école ; de ce fait, elle m’embrasse aussi. Elle ferme son salon et nous demande de passer dans la cabine pour nous faire nos soins. Elle nous dit qu’elle va commencer par mon épouse et lui demande de se déshabiller ; Sylvie garde son soutien-gorge et sa culotte.
(Coralie) : Retire ton soutien-gorge aussi ; c’est mieux pour te faire les aisselles.
Sylvie retire donc son soutien-gorge, et Coralie lui épile le dessous des bras et les jambes. Une fois les jambes finies, Coralie tente de lui enlever sa culotte. Sylvie lui demande :
Mais qu’est-ce que tu fais ?
On m’a demandé de t’épiler tout le corps, y compris le sexe.
Mais d’habitude, je ne le fais pas.
Oui, je le sais ; mais là, le patron de ton mari a été clair : épilation intégrale, et d’après ce qu’il m’a dit, tu t’es engagée à faire tout ce qu’il veut.
Ma femme se retrouve complément nue et Coralie se remet au travail. Une fois qu’elle a fini, Sylvie n’a plus de poil sur elle : je dois avouer que ça me fais bander Je me vois déjà la pénétrant, mais Coralie me sort de ma rêverie en s’adressant à moi :
Gaëtan, à ton tour !
Mais un homme ne s’épile pas
Beaucoup le font : certainement plus que tu ne le penses ; et ton patron a été ferme : je dois vous épiler intégralement tous les deux.
Je suis donc bien obligé de me mettre nu moi aussi. Coralie se met à épiler mon torse, puis mes jambes, mes fesses ; elle termine avec mon sexe. Quand elle a fini, elle ne peut s’empêcher de me caresser. Leffet est immédiat : mon sexe durcit, et comme je suis bien membré, Coralie se tourne vers ma femme et lui demande :
Est-ce que je peux le prendre en bouche ?
Ou. Si elle te fait envie, vas-y !
Alors que Coralie me suce, ma femme se caresse puis s’approche de nous, me suce aussi, puis se relève et déshabille Coralie. Après lui avoir écarté les jambes, elle met sa tête entre ses cuisses et lèche son sexe. C’est la première fois que je vois ma femme lécher une autre femme ; cela m’excite beaucoup, et je n’ai même pas le temps de prévenir Coralie que je jouis. Cette dernière avale tout sans en perdre une goutte ; comme je ne débande pas, elle continue même à me sucer. Ma femme dit alors à Coralie :
Vas-y ; monte sur lui, et mets sa bite dans ta chatte.
Mais enfin, c’est avec ton mari que tu me dis de baiser
Oui, je sais ; mais sur la route de retour de nos vacances, c’est moi qui me suis fait sauter par un autre homme, et j’ai eu du plaisir. Alors, empale-toi dessus.
Coralie ne résiste pas à l’envie : après sêtre s’empalée sur mon sexe, il lui suffit de quelques allers et retours pour jouir en criant tellement fort quon pourrait lentendre depuis lextérieur de son salon. Lorsqu’elle reprend ses esprits, je lui demande :
Coralie, descends, et penchez-vous sur la table : je vais vous prendre en levrette toutes les deux.
Non ! Ne baise que Coralie : elle n’a pas souvent la chance d’en avoir une aussi grosse.
Si, je tiens à partager avec toi !
Ne vous inquiétez pas : je vais réussir à vous faire jouir toutes les deux. Tiens ! Prends ça, ma salope ! Ça te plaît de te faire baiser devant elle ?
Oh oui Vas-y, baise-moi fort !
Maintenant, un petit coup pour Coralie ; qu’est-ce qu’elle est bonne
Je ma partage à maintes reprises entre les deux femmes pour les faire jouir, puis je leur demande de s’allonger sur la table, l’une au-dessus de l’autre, et d’écarter au maximum leurs cuisses. Je les rebaise : un coup pour l’une, un coup pour l’autre. Je les oblige à s’embrasser et je les fais jouir une nouvelle fois. Étant sur le point de jouir moi aussi, je les fais mettre à genoux pour jouir sur leurs frimousses. Elles terminent en se léchant mutuellement le visage.
Après avoir repris nos esprits, nous nous rhabillons et quittons le salon en promettant à Coralie de l’inviter à d’autres parties de sexe.