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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 58

Histoires d'un mâle alpha - Chapitre 58



Elle me propose de commander à manger. Je décide de l’inviter à déjeuner. On descend au garage, elle me complimente sur la voiture. Elle me raconte que son père est un grand amateur et rêvait de lui passer le flambeau. Mais elle n’en garde qu’un goût purement esthétique. Elle aime les belles et bonnes choses. Étant un épicurien, j’apprécie. Je lui dis que quand elle devra être mon chauffeur, elle conduira une Audi qui est garée dans le box à côté.

Elle est charmante, éduquée, polie, souriante. Évidemment, elle est un peu tendue, mais ça va. Et je la sens effectivement tout à fait docile entre mes mains. Le déjeuner se passe très bien. Je suis ravi. Je le lui dis. Elle est ravie elle aussi.

On retourne chez moi. En route, je pose la main sur sa cuisse :

Lucie, tu es à mon entière disposition, mais il est hors de question pour moi de te forcer à quoi que ce soit, c’est clair ?

Très clair Isaiah.

Donc ?

Votre main sur ma cuisse est à sa place.

Bien. Tu as la peau très douce.

Merci Isaiah. Ma main aurait-elle sa place sur votre pantalon ?

Non !

Elle baisse les yeux.

Tu es déçue ?

Oui, bien sûr.

Tu comprends que ça se mérite ?

Oui évidemment, Isaiah, pardon.

Ne t’inquiète pas. C’est normal.

Je caresse sa cuisse. Je la sens qui se cambre.

Tu apprécies ?

Beaucoup oui.

Remonte ta robe.

Elle se trémousse un peu sur le siège et remonte la robe. Je la caresse de plus belle et glisse entre ses cuisses qu’elle écarte lentement. Elle sourit, ferme les yeux. Mes doigts pressent son string que je sens humide. Elle se mordille la lèvre. J’arrête. On se gare devant un serrurier. Je l’envoie faire un double des clefs. Elle remonte en voiture. Je roule vers chez moi :

Tu as des tenues de soubrette ?

Oui Isaiah.

Vraiment ?

Figurez-vous que c’est un fantasme plus répandu qu’on ne le pense.

On va s’arrêter chez toi pour en prendre une pour cet après-midi.

Avec plaisir.

Elle va chercher cela chez elle. J’en profite pour écrire à Elodie :

Viens chez moi à 19h, OK ?

OK mon chéri.

Habille-toi en conséquence.

Ne t’inquiète pas pour ça.

On arrive chez moi. Dans l’ascenseur, j’ai ma main sur ses fesses :

Tu as un cul superbe Lucie, bravo.

Merci Isaiah.

Je lui fais faire le tour du propriétaire, elle s’extasie devant l’appartement, me complimente. Sur une des terrasses, je me mets juste derrière elle, tout contre son cul. Je lui dis tout bas :

Tu es une magnifique petite salope Lucie.

Merci. Je suis votre petite salope Isaiah.

Tu en es sûre ?

Oh ouiiiii.

Bien. Tourne-toi.

Elle se tourne et me fait face. Je l’embrasse tendrement. Elle se colle à moi, se cambre, j’ai les mains posées sur ses hanches, je sens qu’elle frissonne, qu’elle a la chair de poule. On se roule de grosses pelles, elle gémit. Puis nos lèvres se séparent.

Mmmmmm, merci Isaiah.

Je lui souris, puis lui met une fessée. On va au salon, je me mets dans un fauteuil.

Va te changer, puis tu me fais un café.

Bien Monsieur.

J’écris à Stéphanie :

Samedi soir, dîner chez moi avec Manon, et Greg… ne lui dis rien, c’est une surprise. Fais-toi juste… très sexy…

J’envoie exactement le même message à sa fille Jessica. Les deux me répondent rapidement. Alors que je lis leur message, je vois que Lucie revient, changée, et avec mon café. Je ne la regarde pas. La réponse de Stéphanie :

Oh génial, avec plaisir mon chéri. Mon mari sera absent !

Et celle de Jessica :

Ah ah, OK bébé. À samedi alors.

Alors que j’allais lui écrire, je reçois un message de Charlotte :

Une envie particulière pour ma tenue de ce soir mon chéri ?

Les grands esprits, j’allais t’écrire : je te fais confiance, mais sois irrésistible. On viendra vers 20h.

Parfait. Bisous mon étalon noir.

Je lève la tête vers Lucie, et prends mon café. J’en bois puis écris à Bertrand :

Alors ma petite lopette, on a aimé voir sa petite femme prendre du plaisir avec moi ?

Oh ouiiiiii, merci Isaiah. Je comprends mieux maintenant.

Tu comprends mieux quoi ?

Claire est amoureuse de vous, et c’est bien normal.

Eh eh. C’est bien mon petit cocu. Et toi tu mouilles aussi pour ma grosse queue ?

Oh non, Isaiah, même si elle est superbe j’avoue.

Ah ah. On verra ça !

Je pose mon tel et bois mon café, je regarde Lucie qui n’a pas bougé. Elle porte une guêpière transparente agrémentée d’un voile en bas en tulle et dentelle. Elle a un porte-jarretelles noir et blanc et des bas noirs, des escarpins noirs à talons aiguilles un micro string noir assorti et un petit serre-tête en dentelle noire et blanche. Elle est à croquer.

Cela vous convient Isaiah ?

C’est parfait oui.

J’en ai pris une deuxième tenue si jamais.

Celle-ci va très bien pour aujourd’hui.

Merci Isaiah. Avez-vous besoin de quoi que ce soit avant que je me mette au ménage ?

Mmmm, non, je te dirai.

Avec plaisir mon Roi.

L’après-midi se passe, j’ai pas mal de choses à faire, Lucie fait le ménage de fond en comble. Je lui mets quelques mains aux fesses en passant. Elle vient me voir quand elle a fini. Je lui explique que j’ai un dîner le soir, je lui dis de me faire couler un bain. Elle le fait et vient me chercher quand le bain est prêt. Elle me suit dans la salle de bain.

Déshabille-moi Lucie.

Elle le fait. Lentement. Elle en profite. Elle se mord la lèvre en découvrant mon torse puissant, puis ne peut retenir un cri quand elle découvre mon sexe. Je suis nu devant elle et je sens qu’elle a du mal à se retenir de me toucher, de me caresser, de m’embrasser. J’entre dans le bain. Je lui dis d’aller choisir ma tenue pour ce soir et de la préparer sur le lit, puis de revenir. Elle revient.

Puis-je vous servir un verre de vin Mon Prince ?

Volontiers.

Elle va dans la cuisine et revient avec un verre. Elle me le donne.

Assieds-toi.

Elle prend place sur un tabouret prêt de la baignoire. On discute un peu, cela nous permet de continuer à faire connaissance. C’est un moment très agréable. Puis je sors du bain, elle m’admire. M’essuie le corps tout entier. Je la suis dans ma chambre. La tenue qu’elle a choisie me convient parfaitement. J’enfile un peignoir en soie et vais au salon. Elle me suit. Je lui explique que l’amie avec laquelle je vais au dîner va passer à la maison avant. Que je vais lui faire l’amour dans le salon et qu’elle, elle devra rester debout à nous regarder, en silence, et ne pas bouger. Ne pas se toucher non plus. Elle acquiesce. On discute encore et Elodie sonne finalement à l’interphone. Je dis à Lucie d’aller ouvrir. Quelques minutes plus tard, elle fait entrer Elodie dans le salon. Elle porte une mini-robe en cuir très courte, très décolletée, des cuissardes à talons aiguilles, des bas et un string.

Superbe. Déshabille-toi, je ne voudrais pas que tu altères ta tenue avant le dîner !

Elle me suce, je la lèche longuement, la fais jouir deux fois avec ma langue et mes doigts. Je porte une attention toute particulière à cela pour susciter un plus grand désir encore chez Lucie, qui est très obéissante je dois dire. Elle reste debout sans rien dire, mais sans manquer une miette de la scène. Puis on baise avec Elodie. C’est toujours aussi bon. Elle jouit encore deux fois et je finis par jouir sur ses seins. Je vais me nettoyer et je dis à Lucie d’aider Elodie à se refaire belle. Elle le fait. Elles reviennent au salon, Elodie est comme quand elle est arrivée. Je la laisse et dis à Lucie de me suivre dans la chambre. Elle m’habille. Quand elle est juste devant moi et boutonne ma chemise, ses doigts frôlant mon torse, j’ai moi aussi du mal à ne pas la prendre là. Sur mon lit. Mais je tiens bon. On part avec Elodie. Lucie est chargée de ranger l’appart, et de me retrouver chez moi le lendemain avant les cours, à 8h.

Dans l’ascenseur puis la voiture, je raconte tout à Elodie sur Charlotte et son mec Sylvain. Je lui dis aussi comment il était à deux doigts de craquer avec Sophie. Et que celle-ci m’a précisé qu’il regardait avec insistance ses chaussures à talons notamment. Elodie est donc parfaitement habilitée à le faire craquer. Surtout dans cette tenue, je dois dire qu’elle est somptueuse, très très bandante.

On arrive chez Charlotte et Sylvain. On sonne. Je roule d’énormes pelles à Elodie quand Sylvain nous ouvre. Il est tout penaud. Je me tourne vers lui.

Salut…

Sylvain…

Ah oui, c’est vrai. J’oublie à chaque fois.

Elodie…

Sylvain.

Ah oui, Elodie Sylvain, Sylvain Elodie.

Je réalise qu’il est penaud devant moi, mais que surtout, il est bouche-bée devant Elodie. Elle lui sourit.

Enchantée Sylvain !

En… enchanté moi aussi Elodie. Mais entrez, je vous en prie.

On entre. J’ai ma main sur le cul d’Elodie, on passe devant Sylvain comme ça. Il nous regarde. Il bave. On arrive au salon, Charlotte est là, sublime elle aussi. Elle porte une minijupe en cuir très courte et moulante, des bas noirs, un body en dentelle et soie et des bottines à talons aiguilles que je reconnais, Louboutin. On se fait la bise, elle se colle à moi, je fais les présentations ; on s’installe, on prend un verre. Elodie prend un malin plaisir à agiter ses cuissardes sous le nez de Sylvain qui a du mal à ne pas regarder, et même fixer les talons aiguilles. Elodie lui prête beaucoup d’attention, parle avec lui, la machine est en route. L’apéro se passe. Alors que Charlotte propose de passer à table, j’interviens :

Avant de passer à table, et je regrette qu’il ne l’ait pas fait de lui-même, mais bon, passons, j’aimerais quand même qu’il me demande pardon pour son attitude de l’autre soir envers Sophie !

Mais il ne l’a pas fait ?

Non !

Je t’avais dit de le faire dès leur arrivée. C’est pas croyable ça, c’est quand même aussi pour ça qu’on a invité Isaiah ce soir !

Mais je…

Il était sans doute trop occupé à baver sur les talons aiguilles d’Elodie !

Oh, je vous trouve dur avec lui.

Elodie prend sa défense, c’est parfait.

Je… je vous demande pardon Isaiah.

Il me vouvoie spontanément. Je vois Charlotte sourire. Elodie en rajoute :

Oh, allez, je suis sûre que ce n’est pas bien grave. Et puis, allez, gardons l’ambiance légère. En plus, vous savez, le fétichisme des pieds et des talons est de plus en plus répandu chez les hommes.

Sylvain semble rassuré et ose même :

Et puis, j’adore aussi les tiens de talons mon amour.

Charlotte le regarde de haut.

OK, on passe à table ?

Je me lève et suis Charlotte, je passe devant Sylvain :

Allez, t’en fais pas, tout va bien mon p’tit fétichiste.

On quitte la pièce, Sylvain va pour nous suivre, mais Elodie le retient et s’assied à ses côtés sur le canapé. Elle pose la main sur son bras :

Sylvain, attends.

Oui ?

Tu sais, il faut pas trop l’écouter Isaiah.

On reste à portée d’ouïe du salon avec Charlotte, je me tiens debout derrière elle, collé contre ses fesses, les bras autour d’elle, je l’embrasse dans le cou, et lui murmure :

Tu vas voir, elle est douée.

Elle tourne la tête et m’embrasse.

Comment ça ?

Et bien, tu sais il parle il parle, mais il fait pas beaucoup ?

Ah bon ? C’est-à-dire ?

Pfff… je devrais pas te le dire, mais… il est précoce !

Mais non ?! Sérieusement ?

Oui. Et puis, elle est pas si grosse qu’il le laisse entendre.

A la piscine l’autre fois, il avait l’air quand même…

Oui, il avait l’air, ce sont les bons mots !

Comment ça ?

Il rembourre ses boxers.

Ah ah ah, mais non ?

Et si !

J’en reviens pas. Ah ah génial. Et moi qui me faisait du souci ah ah ah.

Du souci ?

Vis-à-vis de Charlotte, je sens bien qu’il lui plaît. Mais quand elle va savoir ça !

Oh, il ne faut pas lui dire.

Tu rigoles ? Attends, évidemment que je vais lui dire ! Ah ah génial.

D’accord, mais discrètement OK ?

Oui oui t’inquiète, ah ah ah, j’en reviens pas. Putain, le con… Mais au fait, du coup, qu’est-ce que tu fous avec lui ?

Je lui devais un dîner ! J’ai hésité, mais il m’a dit que c’était chez des amis, j’adore rencontrer des gens, donc j’ai dit oui… Et je dois dire que je ne regrette pas…

Ah bon ?

Oh non, vraiment pas !

En disant cela, elle fait glisser sa main du bras sur la cuisse de Sylvain. Il sursaute un peu et regarde autour de lui, mais ragaillardi par les confessions d’Elodie, il se lance :

Moi aussi je ne regrette pas.

Il lui sourit.

Je peux t’avouer quelque chose Sylvain ?

Oh oui, oui bien sûr.

Comme toutes les petites bites précoces, il lèche plutôt bien. Mais depuis qu’on est arrivés, je me dis que toi, tu dois être très très doué pour ça.

Ah bon ? Qu’est-ce qui te fait penser ça ?

Tu as l’air d’aimer les femmes, de les respecter, et souvent ça fait que les hommes lèchent très très bien et sont de très bons amants.

Ah oui, oui c’est vrai, j’avoue que je me débrouille bien.

Charlotte manque de s’étouffer. Moi j’ai glissé ma main sous sa jupe et je la doigte. Je plaque mon autre main sur sa bouche. Elodie enchaîne :

Et puis tu sais, j’aime les hommes qui assument leurs fantasmes, leurs faiblesses, leurs envies.

Ah oui ?

Oui, Isaiah, c’est que du vent, tu vois… Pfffff, mais désolée Sylvain, je m’épanche, et ça ne t’intéresse sans doute pas.

Elle se lève, il la retient.

Si si, Elodie, je t’en prie, je suis là pour ça.

Oh merci… tu vois lui, il n’assume rien. Tu sais, je suis sûre que lui aussi il meurt d’envie de lécher mes cuissardes, de me dire que je suis belle, qu’il bande pour moi, mais il le fait pas. Il préfère me dire de le sucer et de jouir à peine j’ai posé mes mains sur son sexe. Enfin son sexe… si on peut appeler ça comme ça.

Charlotte se trémousse contre moi, mon doigt en elle. Elle me sourit :

Elle est très très douée.

Je t’avais prévenue.

Et il pourrait me le dire simplement, je sais qu’elles sont superbes et très excitantes mes cuissardes, je ne suis pas naïve. Ce n’est pas compliqué de dire les choses simplement.

Oui tu as raison, mais comme il en a une toute petite, il n’assume rien.

Oui c’est exactement ça. Et c’est tout l’inverse de toi.

Tu crois ?

Je le sens, j’ai un don pour ça.

Oui c’est vrai, j’avoue. J’assume moi, je suis un mec, et j’assume ce que je suis. C’est normal.

Elodie le regarde tendrement, se mordille la lèvre, se cambre sur le canapé. Moi, je doigte Charlotte qui mouille comme une folle.

Tu sais Sylvain… non… pardon…

Vas-y, dis-moi Elodie.

Non je ne peux pas on est chez toi, je suis une invitée, il y a ta femme…

N’aie pas peur Elodie, dis-moi.

Il dit cela en mettant à son tour sa main sur la cuisse d’Elodie.

Je… je me sens… comment dire… très… attirée par toi.

Oui ?

Il lui fait oui de la tête en souriant timidement et en baissant les yeux.

C’est normal, tu sais.

Il veut paraître sûr de lui, mais sa voix est chevrotante.

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