Le cours de physique touche à sa fin, dans le bâtiment décrépi de l’école, les élèves impatients de retrouver la liberté du préau, rangent soigneusement leurs livres et cahiers, l’interrogation sur la chute des corps s’est bien passée. Bertrand demande à son voisin :
Tu m’excuseras vers le prof de gym, tu lui diras que père est venu me chercher, j’en ai marre qu’il me tripote toujours les fesses pour améliorer mon maintien.
J’espère qu’il ne reportera pas sur moi son amour des fesses.
Arrivant à la maison, Bertrand perçoit les bruits d’une dispute entre son père et sa mère.
Justin, j’en ai marre de jouer au couple sans amour, tu es toujours fourré chez le curé, je sais que je devais te remercier de m’avoir épousée alors que j’avais justement fauté avec Lui. Mais ce n’est pas une raison pour éviter tout contact avec moi. Je ne suis pas une sainte.
Tu sais très bien que je ne le désire pas, je ne sais pourquoi, mais j’ai horreur du contact avec une femme. Avec Lui, cela ne me pose pas de problème.
Tu ne
Oui, je, comme toi. L’attrait de la chaire consacrée.
Cela en est un peu trop pour Bertrand, qui repart en arrière et fait suffisamment de bruit pour arrêter ce genre de discussion.
Tu rentres bien tôt aujourd’hui, lui dit sa mère en essuyant les larmes qui coulent sur son visage.
Qu’est-ce qu’il y a mère, je vois que tu pleures.
Oui, je me suis tapée en nettoyant.
Comment était l’école aujourd’hui ?
Bien, on a eu une interrogation en physique, je crois que j’ai bien réussi. Je monte dans ma chambre faire mes autres devoirs.
Peu de jours après avoir surpris cette conversation, sa mère est accidentée et sa sur vient lui porter secours le temps pour elle de sortir de cet état d’infirmité passagère, vu que son mari était incapable de lui porter les soins nécessaires. Comprenant cet état de fait, elle en discute avec sa sur et apprend que jamais elle n’a couché avec son mari et que le mariage était pour couvrir une grossesse honteuse.
Je m’en doutais un peu qu’il était attiré plutôt par les hommes en soumis. Tu veux que j’essaye de le ramener sur le droit chemin ?
Oui, mais j’en doute un peu.
J’ai déjà eu un cas comme cela au club, j’ai réussi de le faire changer de camp et d’habitudes, mais j’ai du en faire mon esclave.
Rentrant le soir du lycée à l’école, Bertrand voit sa tante menant sa mère dans une chaise roulante, il est très content qu’elle soit disponible comme garde malade.
Bonjour tante, je suis content que tu sois là.
Oui Bertrand, j’aimerais avoir une conversation avec toi ce soir.
Tout de suite si tu veux.
Voilà le problème, ton père n’est en fait pas ton père et il a sauvé l’honneur de ta mère en l’épousant, est-ce que tu le savais ?
Non, mais qu’est-ce que cela change ? Père m’aime beaucoup. Nous sommes une famille unie et la seule ombre au tableau, c’est que je n’ai ni frère et sur.
Nous y voila. Ton père est homosexuel et s’il a sauvé l’honneur de ta mère à la demande de celui qui l’a engrossée et qui ne pouvait l’épouser, il n’a pas l’attitude normale d’un mari et tu comprends pourquoi tu n’as ni frère et sur. L’amour d’un vrai mari manque à ta mère.
Je veux bien, mais qu’est-ce que j’ai à faire là-dedans.
J’ai proposé à ta mère de changer l’orientation sexuelle de ton père et cela peut entraîner parfois des scènes choquantes, je voulais t’avertir.
Tu peux être plus précise.
Je vais le transformer en esclave sexuel dans un premier temps. Ce qui veut dire que je dois briser son attirance vers les hommes.
C’est ainsi que la nuit venue, j’ai entendu plusieurs fois des gémissements et finalement, n’y tenant plus, je suis allé regarder la séance de « dressage ». C’était tout un spectacle, mon père, attaché sur le dos dans son lit, son sexe encagé dans un drôle d’accessoire et ma tante, à cheval sur sa poitrine, cul nu, lui mettait sa chatte en face de sa figure.
Il faut Justin que tu t’habitues à la bonne odeur de la chatte des femmes. Si tu veux respirer, tu n’auras d’autre choix que de me respirer et ça, c’est la première étape.
Je veux bien, mais enlève-moi cette cage.
OK, c’était juste pour que tu saches ce qui t’attend demain quand tu iras chez le curé, sans parler que ton cul sera bouché pour la sodomisation.
Qu’est-ce qu’il va dire ?
Tu peux toujours lui rappeler son vu de chasteté, alors, tu commences à apprécier mon odeur ?
Pas vraiment.
Alors, on va aller plus profondément, lèche-moi la chatte, je l’ai rasée fraîche ce matin pour que les poils ne te fassent pas des problèmes dentaires.
Non, c’est dégouttant.
Tu seras bien obligé de respirer, alors je vais te boucher le nez et le libérerai que quand tu m’auras bien léché mon minou pour me faire jouir. En même temps, je vais te secouer ton petit spaghetti, tu verras c’est pas mauvais. Si tu es bien sage, tu auras même droit à un bisou sur le bout.
Vaincu, mon père commence à lui lécher consciencieusement la chatte et ma tante semble bien apprécier le traitement.
Alors mon biquet, c’est comment ? Tu commences à apprécier ?
Oui, finalement c’est pas si dégouttant que cela.
Alors je vais te faire un petit plaisir, on va se mettre en 69 et je vais te sucer ta bite en même temps. Mais elle n’est pas trop excitée, Lèche-moi le cul, peut-être que cela va t’exciter.
Désormais tu ne m’appelleras que maîtresse, car c’est moi qui te commanderais quand on baisera.
Mais c’est encore plus sale que devant !
Une gifle lui répond en ajoutant
Qui ?
Maîtresse.
Ce faisant, elle lui plante ses fesses au droit de sa bouche en les écartant le plus possible de manière que son oignon soit juste sur les lèvres de mon père.
Lèche cochon ! Si tu veux respirer.
À nouveau vaincu, mon père ne peut que se résigner à sortir sa langue et à lui lécher le trou du cul. Finalement, ceci ou sa condition de soumis commence à l’exciter et son sexe commence à de déplier.
Sans attendre Tantine se penche à l’avant et l’engloutit en entier, ce qui n’est pas trop difficile, vu la taille réduite de son sexe. Elle le pompe tant et bien que finalement elle réussit à lui extirper son miel.
C’est à ce moment-là que Tantine me voit, dissimulé à l’entrée de la chambre.
Alors le spectacle t’a plu ?
Non pas lui, hurle mon père du fond de la honte qui le ravage, le visage encore barbouillé des déjections de ma tante.
À nouveau il se prend un pain sur le museau.
Non pas lui Qui ? Fait ma tante pour dédramatiser mon apparition.