Note de l’auteur : avant toute chose, je tiens à remercier les lecteurs pour leurs retours, je ne pensais pas que l’histoire vous plairait autant, surtout qu’il n’y a pas de sexe dans le premier épisode. Quelqu’un m’a demandé s’il se passerait quelque chose entre Tom et Marie. Après réflexion, je ne pense pas. Bonne lecture à tous et j’espère que vous aimerez ce chapitre tout autant, voire plus, que le premier.
PS : désolé pour le temps entre les chapitres, c’est difficile de trouver un bon scénario.
Cela fait maintenant une semaine que je suis rentré en France. Je commence tout doucement à me réhabituer à la vie à la française, les Américains étant toujours pressés, même en vacances.
Je suis dans ma chambre quand mon téléphone vibre. Un message d’Henry qui me dit que dans trois jours, c’est les 18 ans de sa sur Charlotte, et que celle-ci m’invite pour me revoir, comme elle n’était pas là quand je suis passé la dernière fois.
Je lui réponds que ce sera avec plaisir et que je suis impatient de revoir la « petite Chacha » comme on l’appelait avec Henry. Il me dit qu’elle avait bien grandi quand même et que je serais sûrement surpris.
Je relève les yeux de mon téléphone et regarde à travers la fenêtre. Mes yeux se perdent dans le ciel pendant que je repense à Charlotte. La dernière fois que je l’ai vu, il y a un an, elle faisait encore gamine malgré ses 17 ans approchants, avec ses 1m55 et ses 45 kilos, elle fait figure de poids plume fasse à moi et mon mètre 80 et mes 70 kilos. Mais si Henry dit qu’elle a bien grandi, ça me donne encore plus envie de la voir.
Je descends de mon lit et sors de ma chambre pour aller lui acheter un cadeau. Je vais dans le garage et sors ma moto que mes parents mont offerte pour l’obtention de mon bac et de mon permis dans la même semaine que mon anniversaire. Je l’enfourche et me voilà sur la route direction la grande ville d’à côté.
Après m’être garé, me voilà arrivé dans un magasin de bijoux assez connu, et je fais le tour de la boutique pour voir quoi acheter. Je m’arrête devant un bracelet en argent. Il est assez fin et représente une aile. Je pense que Charlotte en sera ravie et je décide donc de le prendre.
De retour à la maison, je monte dans ma chambre et commence les inscriptions pour la première année de master math.
Viens ensuite le jour de lanniversaire. Je me prépare pour y aller quand je reçois un message de Tom :
— Finalement ma copine a pu venir à l’anniversaire, du coup je te la présenterai aussi, ça sera l’occasion.
— Ah super, j’ai hâte de la rencontrer cette fameuse Asma, lui répondis-je
Me voilà fin prêt et je me mets donc en route pour la maison d’Henry.
J’arrive devant la maison et sonne. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre sur Charlotte. Son frère n’a pas menti, elle a bien grandi, mais pas en taille. Je ne suis pas devant la gamine que j’ai quittée il y a un an, mais devant une jeune femme magnifique, blonde aux yeux verts, dans une robe longue noire et ouverte sur le côté de la jambe, jusqu’à mi-cuisse. Ses seins, emprisonnés dans le bustier de la robe, ne sont pas très gros, 85B je dirais, mais sont mis en valeur par un décolleté sage mais très sexy.
Sans que je ne m’y attende, Charlotte me saute dans les bras pour un énorme câlin en s’écriant :
— Tom ! Ça fait plaisir de te voir !
Je ne sus que répondre, j’avais ses seins qui sécrasaient contre ma poitrine. En le réalisant, je commençais à virer au rouge, ce que remarque Marie, qui se trouvait derrière sa fille. En revanche, elle ne put voir que je commençais à bander pour sa fille.
— Charlotte, ma chérie, je crois que tu fais de l’effet à Tom, dit celle-ci en rigolant.
En comprenant la situation, Charlotte rougit, elle aussi.
— En tout cas, ça me fait plaisir de te revoir, Tom, me dit-elle.
— Moi aussi, tu es magnifique.
Puis je lui donnai la boîte où se trouvait le bracelet. Elle me remercia et me fit entrer. Je fis la bise à Marie et serrai la main d’Henry qui venait de descendre l’escalier.
— Alors comme ça, ma sur te fait craquer ? me demanda celui-ci.
— Oh ça va, Henry, arrête de faire le grand frère rabat-joie, s’exclama l’intéressée.
— Je ne m’attendais pas à ce que tu changes autant en un an, dis-je à Charlotte, il va falloir que je m’habitue à te voir en tant que femme et plus comme une gamine, Chacha.
— Tu sais que j’ai toujours détesté ce surnom, me répondit-elle en faisant la moue.
On s’est tous mis à avoir un fou rire quand elle dit ça. Et c’est dans cette bonne humeur qu’on attendit les autres invités. Quand Asma arriva, je n’en crus pas mes yeux. C’était une belle Arabe, les cheveux noirs et attachés en queue-de-cheval, ses yeux étaient marron avec des reflets miel. Elle était habillée avec un débardeur noir et une veste en cuir, et en bas c’était un slim noir avec des bottes en cuir noir. Ses gros seins étaient voyants avec la veste ouverte.
— Tom, je te présente Asma, me dit Henry.
En se faisant la bise, ses seins me frôlèrent le torse, ce qui me fit durcir totalement.
Puis les autres invités arrivèrent un à un. On passa l’après-midi à parler, jouer et danser, et vint ensuite le moment de l’ouverture des cadeaux.
Elle ouvrit quelques cadeaux avant de prendre le mien en mains.
— J’espère qu’il te plaira, lui dis-je.
Quand elle vit le bracelet, elle me regarda avec un grand sourire et vient me faire un deuxième câlin, cette fois-ci avec un bisou sur la joue sur le bord des lèvres.
Intrigué par son comportement, je la regardai dans les yeux et pour seule réponse, elle me sourit et me demanda de l’aider à mettre le bracelet, ce que je fis, toujours avec ma queue gonflée à bloc. En effet, le bracelet lui allait très bien, et Charlotte en était ravie, semble-t-il.
Et la soirée s’enchaîna. A un moment, je suis allé aux toilettes, et sur le chemin du retour, j’entendis du bruit dans la chambre d’Henry. En m’approchant, je vis que la porte était entrouverte. En regardant, je vis Asma, allongée nue sur le lit d’Henry, les jambes écartées. Je vis qu’elle se masturbait frénétiquement en couinant de temps en temps. Ses gros seins étaient fermes et bougeaient au rythme de sa masturbation, et sa chatte aux lèvres brunes et gonflées était bien ouverte. Elle était surmontée d’une petite touffe de poils noirs coupés ras, qui formait un papillon aux ailes déployées aux dessus du clitoris, qui lui aussi, était gonflé.
Ma queue, qui avait ramolli depuis le câlin de Charlotte, était de nouveau au garde à vous. Je l’ai sorti pour me masturber moi aussi. La voir nue en train de se faire du bien m’excitait comme un dingue, j’eus juste le temps de sortir un mouchoir pour éjaculer dedans sans faire de bruit pendant qu’elle aussi jouissait, mais pas du tout silencieusement.
Toujours sans faire de bruit, je suis redescendu avec les autres invités. En entrant dans le salon, Henry me demanda si j’avais vu Asma. En bafouillant, je lui dis que non. Il m’expliqua qu’elle était montée chercher un truc dans sa chambre et qu’elle n’était pas encore revenue, alors que c’était il y a 20 minutes. A ce moment-là, on entendit des pas dans l’escalier et je vis Asma, habillée cette fois-ci, qui revenait, comme si de rien nétait, parmi nous.
La soirée reprit jusqu’à 2h du matin, Marie étant partie se coucher depuis minuit. Au moment de partir, Charlotte me prit à part.
— J’espère que tu t’es bien amusé ? me demanda-t-elle.
— Oui, beaucoup, lui répondis-je.
— Ça me fait plaisir, me dit-elle en me refaisant le même bisou que tout à l’heure.
Je rougis mais ne dis rien. Je dis au revoir à Asma et Henry, puis je suis reparti chez mes parents. Arriver dans ma chambre, je me mis au lit, puis me masturbai de nouveau, pensant aux gros seins d’Asma et à sa chatte grande ouverte. Je jouis en un rien de temps, puis m’endormis comme une masse.
Dans le prochain chapitre, Tom est invité par Henry à aller à la piscine avec Charlotte et Asma. La vue de Charlotte en maillot de bain vaudra-t-elle le détour ? Asma s’est-elle rendu compte que Tom l’a espionné alors qu’elle se donnait du plaisir ? Vous le saurez en lisant le prochain chapitre de Charlotte, la sur de mon meilleur ami.