Jour 5
En me réveillant ce matin, les tendres instants vécus avec Meggh me reviennent en mémoire. Ses baisers, sa peau, nos étreintes. D’autant plus que le corps de mes désirs dort à quelques centimètres de moi. Que je suis injuste de résumer Meggh à un corps! Elle est plus que ça. Plus une enfant et pas une femme encore. Une personnalité admirable, douce, intéressante, intelligente comme je les aime. Oui, j’en suis amoureux.
L’envie de lui faire l’amour me reprend. Là, tout de suite. L’envie de lui offrir un réveil tout en plaisir. De l’entraîner une nouvelle fois dans un voluptueux corps à corps. Mon sexe dressé est prêt à passer à l’offensive.
Mais en jetant un coup d’oeil sur ma montre je constate que la matinée est déjà bien avancée et que mes trois passagères vont rater le rendez-vous téléphonique prévu avec leurs mères. En toute hâte, nous nous préparons, puis j’accompagne les filles à un cybercafé, faisant office de taxiphone, que m’ont indiqué d’autres plaisanciers. Pendant que les filles s’acquittent de leurs obligations, je consulte mes mails.
Le reste de la journée est consacré au tourisme. C’est notre première journée sans navigation. Tous les quatre, nous apprécions cette parenthèse. Au fil des jours, notre complicité se renforce. Et grâce à des étapes comme celle-ci, nous rompons l’isolement qui pourrait être source de tensions. Avec Meggh, évidemment un lien nouveau s’est tissé. Mais avec mes filles aussi, je me sent plus proche. Elles me paraissent plus matures, plus responsables, plus… femmes en quelque sorte, depuis notre départ. Certes, elles restent les pitres que j’ai toujours connu, mais je vois bien qu’une partie de leurs personnalités a grandi. Peut être est-ce leur ouverture d’esprit face à ma relation naissante avec leur cousine? Je repense soudain aux derniers mots que Meggh a prononcé hier soir en s’endormant: "Même quand on se caresse, avec les jumelles, on ne jouit pas aussi fort…"
Ces mots m’étaient sortis de l’esprit. Pourtant ils sont si surprenants. La découverte de leurs jeux érotiques me trouble. En père responsable, je devrais être fermement opposé à cela. Et pourtant… Que suis-je en droit de dire, moi qui ai défloré ma propre nièce? Moi qui est si souvent regardé mes trois passagères, avec gourmandise, quand elles se promènent sur le bateau avec leurs maillots de bain minuscules! À vrai dire cette découverte nourrit ma curiosité. Cette envie d’en savoir plus, de partager leurs secrets. J’aimerai savoir jusqu’où vont leurs jeux. Et à ma grande surprise, je me découvre le désir de vivre un de ces moments avec elles. Cette pensée m’aurait heurté il y a peu encore, mais aujourd’hui elle m’excite incroyablement. Être l’étalon de ces trois jeunes beautés… quel plaisir! J’ai l’impression de basculer dans un autre monde, où le désir l’emporte.
Le soir venu, je m’éclipse un moment pour faire une course pendant que les filles préparent le diner. À mon retour, sans qu’elles ne m’aperçoivent, je tombe sur les filles en grande conversation.
"Et tu as eu mal?" demande Julie dont je reconnais la voix.
"Non, pas une seule seconde! Il a été très doux, très attentionné ." lui répond sa cousine. "C’était cent fois mieux que je l’imaginais."
"Mais vous avez fait quoi au juste?" insiste Alix.
"À vrai dire, moi je n’ai pas eu à faire grand chose. Paul à tout pris en main!"
"Tu m’étonnes! Avec la paire de seins que t’as, il a du vraiment en avoir plein les mains!" s’esclaffe Alix.
"Oh arrête tes bêtises Alix, laisse la raconter!"
"Il m’a juste demandé de me laisser aller, et qu’il me guiderait plus tard."
"Et ensuite?"
"Bah on l’a fait…"
"Oui mais quoi exactement? Comment il s’y est pris?" relance une Julie, bien plus curieuse que je ne la connais habituellement.
"Oh quand ma Juju est aussi insistante c’est qu’elle est grave excitée." la taquine sa jumelle.
"Bah ouai ça m’excite de savoir ce que Meggh et Papa ont fait. Et te connaissant, je suis sûre que toi aussi, alors arrête un peu."
"Pour commencer, il m’a embrassé en descendant sur mes seins, il les a sucé. Ensuite, il m’a caressé."
"Tu mouillais?"
"Oh oui! Et comme jamais j’ai mouillé de ma vie je crois."
Les questions fusent, Meggh explique tout avec force détails. Je suis surpris d’entendre les filles se parler aussi crûment de sexe. Étonné devant la curiosité de mes filles. Excité d’éveiller leur désir. Flatté d’entendre Meggh évoquer notre plaisir partagé de manière si flatteuse…
Toutefois un éclair de morale, émergeant de je ne sais où, me frappe. Je fais quelques pas en arrière, et décide de manifester mon arrivée à bord en étant un peu plus bruyant.
Lorsque je rejoins les filles, leur conversation est arrêtée. Cependant, l’air de rien, je les observe du coin de l’oeil. Meggh a les joues rouges. Alix, fidèle à elle même, semble retenir un fou-rire. Quant à Julie, elle s’est retournée à mon entrée et je ne peux donc pas voir sa réaction.
"Qu’y a t-il? Pourquoi ce silence quand j’arrive? Vous vous racontiez des choses que je ne dois pas connaître? Dois je craindre une mutinerie?"
"Au contraire! Il n’y avait rien que tu ne saches déjà mon petit Papa…" me rétorque Alix.
"Ah, et bien vous allez pouvoir reprendre votre conversation en ma présence! Puisque je n’ignore rien…"
"Oh des bouteilles de Champagne!" intervient Julie, découvrant ce que je tiens dans les mains et trouvant là un prétexte pour couper court à la conversation. "Tu as quelque chose à fêter?"
"À moins que ce soit Meggh qui est envie de fêter son dép…"
Julie plaque sa main sur la bouche de sa soeur pour l’empêcher de poursuivre.
D’abord très mal à l’aise, Meggh se détend lorsque je me met à rire des propos de ma fille.
"Non non, le Champagne est pour un évènement qui me concerne moi seul. Pendant que vous appeliez vos mères, j’ai consulté mes mails, et j’ai appris que les droits de mon dernier livre avaient été achetés pour une série documentaire. Une coproduction européenne, et en plus d’un gros chèque, j’en serai le conseiller technique et historique."
Les filles exultent, et m’embrassent chaleureusement.
"On est vraiment fières de toi."
Sur ces mots je débouche la première bouteille de Champagne.
Le repas se déroule dans la joie. Et les filles, grisées par l’alcool, deviennent plus volubiles. Je décide d’en profiter.
"Bon, et si vous repreniez votre petite conversation de tout à l’heure!"
"Euh laquelle?"
"Celle que mon arrivée a interrompu."
Les filles éclatent de rire. L’alcool a fait son effet plus que je ne le pensais.
"Allez je vous dis tous mes chéries. Je vous ai entendu. Je sais que vous parliez de notre nuit avec Meggh."
"Oh Papa, tu nous en veux pas, hein?" supplie Julie, mi-sincère, mi-joueuse.
"Non bien sur Juju. Mais pourquoi vouliez vous tant savoir?"
"Bah parce que c’est génial. Meggh en rêvait depuis si longtemps."
"Peut être, mais de là à lui demander de raconter tous les détails…"
Julie avale une nouvelle gorgée de Champagne puis se lance:
"En fait moi je voulais savoir comment tu t’y prenais. D’abord parce que je l’ai fait une fois et c’était pas super super. Et puis je dois dire que ça me fais des choses de t’imaginer en train de… Enfin tu vois quoi!"
Oui, effectivement je vois. Mais découvrir que ma Julie n’est plus vierge me donne un choc. C’est un moment étrange pour un père.
"Tu as couché avec un garçon?!"
"Euh… Oui. Mais une seule fois. Et ça n’a pas duré longtemps."
"Et toi Alix?"
"Ah non pas moi, je suis toujours vierge. Et même que l’autre jour, quand je suis entrée dans votre cabine et que Meggh était sur toi, c’était la première fois que je voyais le truc d’un homme en vrai."
"Hum, et pourquoi voulais tu avoir des détails sur ce qui s’est passé hier entre ta cousine et moi?"
"Parce qu’on aurait bien aimé être à sa place, avec toi."
"Mais Alix, vous êtes mes filles!"
J’ai beau joué le père choqué, j’ai l’impression que mes paroles sonnent faux. Je n’entend pas la réponse d’Alix. À la vitesse de l’éclair, je commence à m’imaginer en train de faire l’amour avec mes filles. Mon sexe enfle. Mon sang et mon esprit s’échauffent. Je revis la soirée d’hier, mais le visage de Julie ou d’Alix se substitue à celui de Meggh…
"Papa? Ça ne va pas?"
"Si… Si si ça va. Désolé mais ce genre de chose, ça surprend quand même."
Julie m’adresse un sourire plein de compassion. Tandis que sa soeur m’explique:
"Nous, ça nous plairait vraiment beaucoup. Tu es l’homme parfait. Alors c’est normal qu’on ait envie. Et oui tu es notre père, et pour nous, ça ne fait qu’augmenter notre désir."
"Tu sais que ça n’est pas moral et que cela est condamnable?"
"On s’en fout des autres, et nous on en meurt d’envie. Et pour moi, c’est en permanence dans ma tête. Et encore plus depuis que je vous ai surpris avec Meggh. En plus j’ai pas envie de rester la seule pucelle du bateau!"
"Je… je ne sais pas quoi répondre à ça!"
"Franchement, admet qu’il y a une partie de toi qui en a envie!"
"Oui… C’est vrai." dis-je, peu dépité d’avoir à me dévoiler.
"Alors où est le problème si nous sommes tous d’accord?" déclare Julie.
"Parce que tous les fantasmes ne sont pas fait pour être vécus. Certains doivent rester des rêves. .. Ce n’est pas une décision à prendre à la légère, et surement pas après avoir bu."
"De toute façon, Julie n’étant pas en état, tu as le temps de réfléchir à ça. Pour elle, comme pour moi, c’est une vraie envie, pas un simple fantasme pour pimenter notre désir." précise Alix.
"On verra… Mais vous avez l’air de partager beaucoup de secrets intimes toutes les trois. Cela se limite aux mots, ou bien cela se transforme-t-il parfois en actions plus concrètes?"
Je profite de la conversation pour éclaircir la situation sur leur relation et sur la phrase que Meggh a laissé échapper. La question surprend mes trois jeunes passagères. Elles se regardent les unes les autres, cherchant laquelle prendrait la parole. Même Alix, toujours prompte à prendre la parole avec franchise, semble hésiter. Et à ma grande surprise, Meggh, jusque là silencieuse, se décide.
"Ils nous arrivent parfois de faire plus que discuter de sexe entre nous."
"J’ai le droit de savoir ce que vous faites? J’avoue que je suis très curieux de connaître toute cette histoire. Et ne craignez rien, c’est juste pour mon plaisir que je veux savoir, et non pour une leçon de moral."
Meggh et Julie se tournent toutes les deux vers Alix. Instantanément, je me demande si c’est pour son éloquence ou si c’est en raison d’un rôle d’instigatrice.
Celle ci hausse les épaules puis me demande:
"Tu veux que je t’explique tout depuis le commencement?"
"Si tu le veux bien, et si cela ne dérange pas ta soeur et ta cousine."
Après un accord de la tête de leur part, Alix cherche un instant ses mots puis se lance.
"À vrai dire, tout a commencé entre Juju et moi. Tu es bien placé pour savoir que nous avons une relation extrêmement fusionnelle toute les deux. Comme beaucoup de jumelles. Même en grandissant nous n’avons jamais réussi à faire chambre à part, malgré vos efforts à maman et à toi. Nous avons toujours été habitué à la nudité de l’autre. Nos corps se sont toujours ressemblés. Quand nous avons commencé à prendre des formes, nous examinions les changements. Aussi bien sur notre propre corps que sur celui de l’autre. Avec le temps nous avons compris que nous regarder provoquait souvent un drôle d’effet. Et plus nous prenions conscience de cela, plus l’effet était fort.
Un jour que l’on se regardait sur le lit, les jambes écartées, j’ai eu envie de toucher le sexe de Juju. Enfin pas le toucher, plutôt le caresser. Je voyais bien qu’elle mouillait tout comme moi. Sans se le dire, nous avions commencé à jouer, chacune dans notre coin, avec notre clitoris. Jamais nous n’avions osé partager ce genre de moment. Mais ce jour là, mon envie a été plus forte que tout. J’ai donc passé mes doigts sur les lèvres intimes de Juju. Elle m’a laissé faire. Je suis remontée vers son clitoris, sans qu’elle ne me retienne. Au contraire, elle a commencé à tripoter ses seins dont les bouts étaient durs. Je passais d’abord le bout d’un doigt sur cet endroit, qui sur me moi faisait tellement d’effet. Puis j’ai osé le caresser plus intensément. Comme j’avais appris à me le faire toute seule. C’était super excitant de lui donner du plaisir. Quand Julie a jouis, elle a voulu me le faire à son tour. Certes, nous étions un peu hésitante mais c’était tellement bon, tellement différent que lorsque nous nous doigtions toutes seules. À partir de ce jour, nous nous sommes faites jouir presque tous les jours où cela était possible. Dans les premiers temps, nous nous limitions à jouer avec nos doigts sur nos clitoris. Puis nous avons glissé nos doigts dans nos chattes.
Il nous arrivait de chercher des vidéos de filles entre elles sur internet, pour voir ce qu’elles se faisaient. Nous, on n’osait pas aller jusque là. Et puis un soir où nous étions couchées Julie a posé sa main sur mes seins. Je l’ai attiré vers moi, et on s’est embrassée. Ce n’était pas la première fois que nous nous embrassions puisque c’est entre nous qu’on avait appris "à rouler des pelles". Mais c’était toujours un jeu ou un exercice. Ce soir là, ce fut beaucoup plus intense.
Nues, l’une contre l’autre on s’embrassait avec une intensité différente. En même temps nos jambes s’entrelaçaient, nos mains allaient partout où c’était possible d’aller, nos seins frottaient entre eux. Quand nous avons cessé de nous embrasser, Julie est venue m’embrasser les seins, le ventre, et logiquement elle est arrivée sur ma chatte. C’était une sensation si différente. Si douce et agréable. Pourtant ses gestes étaient tatonnants mais j’étais si excitée que j’ai eu un orgasme simplement après quelques coups de langue. Bien sur je lui ai fait la même chose. J’ai immédiatement adoré ça. Avoir ses bouts de seins entre mes lèvres, ou bien lui caresser le clitoris avec ma langue, la sentir gémir, onduler, mouiller grâce à ma bouche… C’est tellement génial. C’était, et c’est, toujours un plaisir très intense. Cette nuit là, je peux dire que c’est la première où nous avons fait l’amour. Entre soeurs."
Alix stoppe un instant son récit pour regarder sa jumelle. Mes deux filles échangent un sourire plein de tendresse, et, à cet instant je n’en doute pas, d’amour sincère. J’éprouve une certaine honte d’être en érection, tant j’ai l’impression que ce réflexe quasi animal est déplacé. Puis Alix reprend.
"Depuis cette nuit là, nous n’avons guère cessé de faire l’amour. Plusieurs fois par jour parfois. Bien sur, nous ne sommes plus hésitantes, nous avons appris à nous donner tout le plaisir possible. Nous avons appris quel geste, quelle caresse faisait le plus d’effet à l’autre. Si tu veux vraiment tout savoir, ce que nous aimons le plus, c’est de nous mettre en 69, et de tenter de nous faire jouir en même temps. Ce n’est pas évident d’y parvenir, mais c’est fantastique quand ça arrive. Voilà pour notre relation entre Julie et moi. J’espère que nous restons toujours tes filles chérie."
"Évidemment que vous le restez."
"Et tu en penses quoi maintenant?"
"Et bien puisque tu as été honnête, je vais l’être aussi: la manière dont tu m’as expliqué votre histoire est très belle et très excitante. Et même si je ne devrais pas, je ne peux que vous encourager à continuer… Par contre, je ne sais pas où viens se placer Meggh dans votre relation?"
Alix réfléchit un instant avant de me dire en souriant:
"Hum je te raconte la suite à une condition: J’aimerai revoir ton sexe!" m’annonce-t-elle avec une franchise désarmante.
"Oula! Carrément… Je t’ai dit que ce n’était pas une décision à prendre en ayant bu ma chérie."
"Oui j’ai bien compris. Mais je veux juste la voir. Et je suis certaine que Juju le veut aussi. Meggh pourra en profiter autant que possible dans votre cabine, alors que nous… Allez s’il le plait Papa chéri."
Tour à tour, je regarde Julie, dont le visage c’est empourpré, puis Alix qui me donne son autorisation d’un hochement de tête. Après un instant de réflexion, je décide d’accepter. Toutefois, la situation m’excite tant, que j’ai peur d’envie perdre le contrôle.
"Bon d’accord, mais pas question d’aller plus loin que de toucher des yeux!"
Les filles rayonnent de satisfaction. Je me lève, et, un peu intimidé tout de même, je fais descendre pantalon et boxer. Mon sexe gonflé se révèle à ses spectatrices. Dressé, il danse légèrement au rythme de la pression sanguine. Pour la première fois de ma vie, je m’exhibe, bandant, devant trois jeunes femmes à la fois. Et qu’elles soient mes filles et ma nièce, renforce l’excitation.
"Bon, et maintenant quand est ce que Meggh apparaît dans votre relation?"
Sans quitter ma queue du regard, Alix reprend son explication.
"Eh bien, comme Meggh vient dormir régulièrement à la maison, et que nous avons l’habitude de partager quelques secrets, nous lui avons confié jusqu’où notre complicité de jumelles allait. Elle a fini par nous avouer qu’elle aussi aimait se faire des choses, et qu’une personne de la famille l’inspirait beaucoup dans ces moments là. Tu te doutes bien que cette personne c’était toi. On a adoré cette idée. D’autant plus que Meggh semblait être sincèrement et passionnément folle de toi. Enfin passons. Quand nous lui racontions ce que nous faisions entre nous, nos jeux sexuels, Meggh nous racontait ses envies, ses fantasmes, ses masturbations où tu avais toujours une place importante, même lorsqu’elle avait un copain. Cela nous excitait de plus en plus. Un jour que nous discutions, nous avons décidé de nous soulager de ce désir qui nous faisait tant d’effet. Les premières fois, nous nous doigtions nous même, de peur de choquer Meggh. Ensuite, c’est elle qui a voulu voir comment nous nous y prenions, Juju et moi pour nous faire jouir mutuellement. Sa curiosité satisfaite, nous l’avons entraîné entre nous et nous lui avons fait partager certaines de nos caresses. Et plus le temps passait, plus tu étais présent sans le savoir. Pour Meggh, il était presque suffisant de prononcer ton prénom, quand on la masturbait, pour la faire jouir. Pour nous, l’idée de faire l’amour avec toi devint évidente. Même quand Meggh n’était pas avec nous. Par la suite, cette idée a toujours été là. Grandissant chaque jour. À présent Meggh y est parvenue, et nous on espère avoir notre chance, si toutefois elle veut bien nous prêter notre Papa."
Sans me demander mon avis, ma nièce et amante donne son accord. Il me faut une volonté de faire pour ne pas craquer et accepter de leur offrir ce qu’elles désirent tant, dès à présent. Je me ressaisis et tout en remontant mon pantalon, j’annonce qu’il est tard et qu’il est l’heure de dormir.
Mes filles regardent mon sexe disparaître de leur champ de vision avec une moue de déception. Leurs yeux brillent. Je ne cherche pas à savoir si c’est en raison d’une consommation excessive de Champagne ou bien si c’est d’envies plus charnelles. Meggh, pour sa part file directement vers notre cabine, après avoir déposé un baiser sur la joue de ses cousines.
Julie et Alix m’embrassent chacune leur tour, en me serrant dans leurs bras. Sans qu’elles ne se soient concertées, toutes les deux plaquent leur bassin contre le mien. Nul doute qu’ainsi elles sentent ma queue tendue à l’extrême. Elles partent se coucher en se parlant à voix basses.
Je reste seul un instant. Durant quelques minutes, je monte sur le pont pour prendre l’air et faire baisser la fièvre qui a pris possession de mon corps. Je ne peux m’empêcher de penser à ces trois jeunes filles qui ne demandent qu’à s’offrir à moi. Je suis certain qu’à cet instant même, leurs pensées et leurs désirs me sont consacrés.
Ma décision est prise.
Je serai leur homme.
A suivre…
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