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Le jeune et le flic – Chapitre 1

Le jeune et le flic - Chapitre 1



Gilles n’avait jamais été courageux. C’est sur ce constat affligeant que tout commença. Il n’avait jamais rien entrepris d’audacieux, jamais risqué quoi que ce soit, jamais même osé aborder une fille. C’est peut être pour ça qu’au lycée, on le remarquait à peine, qu’il avait l’impression de ne pas exister. C’est ce que Gilles se disait, ce matin où il décida de sécher carrément les cours et de s’offrir ? un peu de bon temps ?. Au moment de démarrer la voiture de sa mère, qui partait toujours au travail en train, il ressentit une sorte de boule à l’estomac. Il faillit renoncer mais, ne voulant pas rogner les ailes qu’il se sentait pousser, il inspira profondément et tourna la clef.

Sa promenade se déroulait exactement comme il l’espérait. En cette belle journée de printemps, nombreux étaient les jeunes ? rebel les ?, les ? populaires ?, les héros des cours de récré, qui préféraient la douceur des pelouses du parc à l’ennui mortel des salles de classe. En passant à la hauteur de chacun de ces petits groupes, il avait ralenti, fait un signe de la main ou bien un hochement de tête. C’est sûr, il avait été remarqué, et demain, on en parlerait, on lui parlerait, enfin. Lui, l’adolescent maigrichon et imberbe, timide et solitaire -pas toujours par choix- il avait osé, bien que trop jeune pour avoir le permis, prendre une bagnole et se payer une virée. Ca oui, on en parlerait.

Maintenant, il était de retour dans son quartier. La dernière difficulté consistait à rentrer la voiture dans le garage sans l’accrocher, mais cela n’inquiétait plus Gilles. A présent, il était lui aussi un ? rebelle ?, pensait-t-il, et ce genre de détails… il sursauta. En un instant, sa belle confiance en lui toute neuve s’envola, et il devînt plus anxieux que jamais. Devant lui, en plein milieu de la route , un agent de police lui faisait signe de s’arrêter.

L’homme s’approcha de la fenêtre. Gilles était maintenant tout à fait terrifié, il transpirait, son coeur battait la chamade, il sentit sa gorge se nouer.

— C’est une bien jolie voiture, mon garçon, dit le flic. Elle est à toi ?

— Non… Non c’est celle de ma mère, monsieur, bredouilla Gilles.

— Ah, et tu as les papiers, bien sûr…

Heureusement, sa mère les laissait toujours dans la boîte à gants. Il les présenta, la main tremblante.

— Bien, et ton permis ?

— Je…

— Quoi ?

— Je n’ai pas de permis, je n’ai qu’une attestation pour la conduite accompagnée, repondit-il au bord des larmes.

— La conduite accompagnée, hein ? Tu ne m’as pas l’air accompagné, mon garçon, c’est dommage pour toi…

Là, Gilles fondit littéralement en larmes et se mit à supplier pathétiquement :

— Non, j’vous en prie monsieur, faut rien dire à ma mère, elle va me tuer, faut rien dire…

Le policier regarda l’adolescent, déconcerté. Il réfléchit un instant, puis finit par dire :

— Allez, mon garçon, faut pas te mettre dans des états pareils. Tu n’as pas l’air d’un voyou, on peut s’arranger. Tu n’es pas fiché chez nous, au moins ? Non ? Tant mieux. Dis-moi, tu ne serais pas un de ces petits enfoirés de dealers, par hasard ? Parce que moi, je peux pas supporter cette engence. Non ? T’en es bien sûr ? J’aimerais en être sûr aussi. Voilà ce qu’on va faire : je te ramener chez toi avec la voiture, je vais jeter un oeil, voir si tu ne planque pas de la came, et s’il n’y en a pas, je fermerai les yeux ta petite balade sans permis. Ca te va ? De toutes façons, c’est ça ou bien ta mère vient te chercher au commissariat.

Gilles accepta d’un hochement de tête, le flic s’installa au volant et démarra. Arrivé à la maison, il gara la voiture dans le garage et dit :

— Bon, maintenant fais-moi voir ta piaule.

Le garçon lui fit signe de le suivre, monta l’escalier et le fit entrer dans la chambre. Ce grand bonhomme enrobé et moustachu, proche de la cinquantaine, l’impressionnait. Il s’apprêtait à lui bredouiller quelque chose, lorsque la main de l’autre s’abattit sur son épaule frêle et la serra, le forçant à s’agenouiller.

— Maintenant tu vas me sucer, et t’as pas intérêt à faire des histoires.

Gilles voulut protester, mais le regard du flic l’en dissuada. Ce dernier déboutonna son pantalon, fit coulisser sa braguette et sortit une énorme verge turgescente et odorante qu’il introduisit sans ménagement dans la bouche de l’adolescent. Paralysé de peur, Gilles resta sans bouger, à genoux, une bite entre les lèvres. Quelque peu frustré, le policier saisit la tête du garçon à deux mains et commença à donner des coups de reins. Sa queue s’enfonça si profondément dans la gorge de Gilles que le gamin faillit vomir. Voyant cela, il fit sortir son pénis de la bouche du môme, qui suffoquait, et lui envoya une grande claque en plein visage.

— Alors tu ne sais rien faire, hein ? Tant pis pour toi ! Deshabille-toi !

Le visage endolori, Gilles s’exécuta. Restant au sol, il ôta son t-shirt, ses chaussettes, son pantalon. Assis par terre, en slip, il se rendit compte que son sexe commençait à se durcir. Alors, sans trop savoir pourquoi, il fit lentement glisser son dernier vêtement le long de ses jambes, puis il se mit à quatre pattes, présentant son cul au grand bonhomme en rut.

L’autre eut un sourire en coin. Il s’agenouilla derrière le garçon, lui écarta les fesse, cracha sur son anus et y introduisit un doigt. Puis il positionna son gland contre l’orifice et, guidant son sexe d’une main et saisissant le gosse de l’autre, il poussa violemment. La douleur fut si intense que Gilles gémit. Il voulut s’allonger sur le ventre, mais l’autre le retenait et continuait à s’enfoncer en force. Une fois qu’il fut parvenu à entrer presque entièrement en lui, ses attaques se firent moins violentes. La douleur s’estompant, Nicolas put s’apercevoir qu’il avait l’érection la plus formidable de tout sa vie. Guidé par une sorte d’insti nct, il poussa comme s’il voulait déféquer, permettant à l’autre de s’enfoncer plus facilement et plus profondément. Cet exercice se poursuivit pendant 5 bonnes minutes. Le garçon ne souffrait plus et, chaque fois que l’énorme pieu touchait le fond de son cul, il ressentait une délicieuse vibration lui parcourir le bas-ventre, si bien que, lorque le gros flic déchargea dans ses entrailles, il jouit lui aussi, répendant sa semence sur la moquette en poussant un long gémissement.

En se retirant, l’autre lui ordonna de venir nettoyer son sexe. Gilles se tourna et vînt lécher la queue du flic, avant de la prendre carrément en bouche pour cette fois la sucer vigoureusement, savourant les effluves de sueur, de sperme et d’excréments qu’elle exhalait.

— Je t’en enverrais bien une deuxième tournée, mais je n’ai pas le temps.

Le flic se leva, reboutonna son pantalon, prit un carnet et un stylo dans sa poche et griffona que lque chose sur une feuille, qu’il arracha et jeta devant le garçon.

— Des salopes comme toi, ça court pas les rues. Si tu veux, appelle ce numéro, je te présenterai à des amis.

Il s’en alla. Nu, toujours allongé sur la moquette, Gilles lécha la semence qu’il restait par terre, puis se masturba et avala tout ce qui sortit de lui. Sa mère n’allait pas tarder à rentrer, il allait faire comme si de rien était. Il alla se doucher puis se rhabilla.

Le lendemain, l’adolescent se réveilla, l’anus endolori. Son aventure ne s’était pas du tout déroulée comme il l’avait prévu, mais il avait compris une chose : l’aventure arrive, elle ne se prévoit pas, il suffit d’oser. Il fouilla dans sa poche à la recherche du papier, puis empoigna le téléphone…

John Playthegame : [email protected]

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