Le soir en rentrant, je suis un peu énervé.
— Alors comme ça, tu as invité Paul samedi ? Sans m’en parler ?
— Oui, on a discuté un peu il a l’air sympa et puis c’est ton collègue, pour une fois que j’en rencontre un ! Si ça te dérange tu peux toujours lui dire qu’on est pris ailleurs !
— Non non mais…
— Mais ?
— C’est un chaud lapin, il ne peut pas s’empêcher de draguer tout ce qui bouge, alors…
— Alors quoi tu as peur qu’il me drague ? Tu sais que ça ne sera pas le premier à me sortir le grand jeu !
— Tu as raison je m’inquiète pour rien.
Le reste de la soirée je me demande ce qui va se passer ce week-end, je ne peux pas arrêter de penser à ce que Paul m’a dit : « Je vais la baiser devant toi… »
Véronique quant à elle continue de vaquer à ses occupations, elle déambule dans l’appartement légèrement vêtue. Ses formes m’excitent, je comprends que Paul veuille la sauter, je me demande seulement comment il va faire !
Le samedi soir arrive vite, toute la semaine Paul m’a rappelé qu’on avait rendez-vous et qu’il allait s’occuper de ma petite brune aux gros seins. En attendant il m’a coincé dans les toilettes de l’entreprise. Après m’avoir fait asseoir sur les toilettes, il a déboutonné son pantalon :
— Allez ma petite pute, suce-moi bien avant que je m’occupe de ta femme, je veux voir si elle suce mieux que toi !
Au fur et à mesure que le pompe je m’aperçois que j’y prends de plus en plus de plaisir, quest-ce qui m’arrive ?
Véronique ce soir a mis sa petite robe noire moulante et préparé un repas tout à fait honorable, un peu trop d’ailleurs à mon goût ! Tout est prêt quand la sonnette retentit.
— Je vais ouvrir, me dit-elle s’en allant vers la porte
Paul est là, il se tient devant elle, un bouquet de fleurs dans une main et une bouteille de vin dans l’autre.
— Vous êtes encore plus jolie dans cette tenue que lors de notre première rencontre, lance-t-il.
Ça commence bien !
— Merci, mais il ne fallait apporter tout ça ! Lui répond Véro
— Mais si, j’ai l’intention de passer une bonne soirée en votre compagnie !
Après un bonjour rapide je l’invite à passer au salon pour l’apéritif. Nous nous asseyons et ma femme commence à nous servir, ce faisant elle se penche vers Paul qui plonge son regard dans le décolleté avantageux de Véronique. Puis elle repart rapidement à la cuisine, vérifier si le repas ne brûle pas.
— Dis donc, j’ai raison elle est chaude et en plus pas de soutif !
— Quoi ?
— Tu n’as même pas remarqué, tu es vraiment un gland ! Tu vas mériter ce qui va t’arriver !
Quand elle revient vers nous tout sourire, mon regard se porte sur sa poitrine immédiatement, effectivement elle n’a pas de soutien-gorge. Qu’est-ce qu’il lui arrive, qu’est-ce qu’elle veut me prouver ? Que je n’ai rien à craindre ou…
— Ben alors mon chéri, tu ne bois rien ? Me fait-elle
— Heu oui tu as raison je vais reprendre un verre
— Oui moi aussi si tu veux bien, la soirée s’annonce bien ! Lance mon collègue
Et la soirée continue, on enchaîne les verres parlant de tout et de rien, enfin c’est surtout Paul et Véronique qui parle, moi je me contente de voir ce qui va passer. J’ai comme l’impression d’être transparent !
Nous nous rendons à table, il en profite pour passer la main sur le cul de Véro qui semble ne pas le remarquer, pourtant la main ne fait pas que l’effleurer !
A table la conversation reprend, le vin coule déliant les langues, ma femme ne buvant quasiment jamais et plus guillerette que jamais, plaisantant avec le dragueur qui en rajoute de plus en plus.
— Denis a raison, vous êtes vraiment un dragueur !
— Dragueur oui et pas que, hein Denis.
— Heu oui c’est vrai il tire sur tout ce qui bouge, dis-je ne sachant pas vraiment quoi répondre, je ne vais quand même pas dire à ma femme que je le suce et que je prends goût au sexe de ce beauf !
— Holà, tout ce qui bouge ? Rigole Véro, les hommes aussi ? Fait-elle en pouffant de rire.
— Même les hommes ! Pas vrai Denis ?
— Heuu…
— Ben quoi Denis ? Réponds à ta femme !
— Oui mon chéri tu as l’air gêné, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Me demande-t-elle en arrêtant de rire, quest-ce qui se passe ?
— Rien, rien oui les hommes aussi !
— Et personne ne me résiste bien longtemps, pas vrai collègue ?
Ma femme me regarde dans les yeux, en un instant j’ai l’impression qu’elle a compris ou du moins qu’elle sent que quelque chose se passe.
— Allons, allons, lance Paul, parlons d’autre chose, si on passait à la suite ?
— Oui vous avez raison je vais chercher le dessert, dit Véro
— Je croyais que c’était vous le dessert ? Rigole Paul en se levant pour aider ma femme à débarrasser la table.
Elle ne répond pas à Paul mais le regard noir qu’elle me lance avant de se diriger dans la cuisine en dit long. Elle sait qu’avant de la rencontrer, je… cherchais mon orientation sexuelle.
La cuisine de l’appartement est séparée de la salle par un petit couloir, ils disparaissent, Paul toujours enjoué (je le comprends), et ma femme en colère se déhanchant devant lui. Au bout de quelques minutes ne le voyant pas revenir je me décide à aller voir ce qu’il se dise avant de ramener le dessert.
Quand j’arrive dans la cuisine je vois ma Véronique, les deux mains plaquées sur la table de cuisine se laissant caresser le cul à travers la petite robe noire pendant que Paul lui dit :
— J’avais raison de dire à Denis que tu étais une chaudasse pendant qu’il me suçait ! Tu aimes ça hein ma belle ?
— Il vous… suce ? Et vous lui avez dit…
— Oui il me pompe tous les jours et je lui ai dit que j’allais te sauter, dit-il en levant la robe laissant apparaître les fesses de ma femme séparées d’un string de couleur assorti.
— Et qu’est-ce qu’il a dit ?
— Il a dit que je pouvais toujours essayer ! C’est ce que je fais !
De sa main libre, Paul sort son sexe de son pantalon, il est déjà bien raide, de quelques allers-retours il lui fait prendre sa taille optimale et commence à le frotter sur le cul blanc de ma femme.
Il écarte le string et se frotte entre les deux hémisphères.
— Je vois ça, dit Véro en se penchant sur la table, cambrant son derrière. Le salaud ! Il suce bien ? Je parie qu’il aime ça en plus !
— Il pompe comme une vraie salope et il avale en plus ! Réponds mon porc de collègue plaçant son dard à l’entrée de la chatte de mon épouse.
— Tu vas voir ça va te changer de sa petite bite de lopette ! Dit-il tout en enfonçant sa queue en elle.
— Ah mais c’est trop gros !
— Attends que tout soit rentré avant de gueuler, fait Paul, je vais te montrer ce que c’est un mec bien monté !
Je suis à l’entrée de la cuisine, mon collègue haletant s’agite dans la chatte de mon épouse, Véronique agrippée à la table pousse des petits cris étouffés.
— Tiens, ton mari est arrivé ! S’exclame Paul en continuant de la baiser.
— Continuez, allez ! Réponds Véro sans me regarder.
— Ça t’excite ? Dit-il en s’adressant à moi. Bien branle-toi maintenant allez, je t’avais dit qu’elle était chaude, je suis sûr qu’elle veut te voir te branler devant elle !
Je baisse mon pantalon et commence à me caresser, ma bite semble ridicule face au mandrin de ce porc de Paul. Il a eu ce qu’il voulait, baiser ma femme et m’humilier ! Il se retire du vagin dégoulinant de Véro qui se retourne et me regarde la queue en l’air.
— C’est vrai qu’elle fait pas grande à côté de la vôtre ! Dit-elle
— A genoux Denis, elle va voir comment tu suces maintenant avant que je la reprenne !
Pendant un court moment j’hésite, puis en voyant ma femme faire glisser sa robe le long de son corps je me mets à genoux devant un Paul hilare.
— Voilà c’est bien, montre-nous ce que tu sais faire, dit-il en approchant sa queue de mon visage.
Docilement j’ouvre la bouche, le sexe gonflé de mon collègue recouvert de la cyprine de ma femme entre, me déformant les joues.
Pendant que je suce cette grosse queue excitée, Paul caresse les nichons de Véronique qui me regarde. Je sens aux palpitations de sa bite qu’il va bientôt éjaculer.
— Stop ma petite suceuse ! Éructe mon beauf de collègue, je vais m’occuper de ta cochonne maintenant, allez toi sur la table !
Véro s’allonge sur table les cuisses écartées, Paul prend place entre les cuisses écartées. Il s’enfonce en elle sans ménagement lui arrachant un râle de plaisir.
— Tu n’as pas l’habitude d’en prendre une comme ça, hein ?
— Non vas-y, baise-moi ! Fait Véro
— Tu me vouvoies, salope, un peu de respect pour celui qui t’apporte du plaisir !
— Oui, oui baisez-moi…
— C’est mieux, répond-il haletant. Approche-toi, la lope et regarde de plus près ce qui fait jouir ta femme. Viens me lécher les couilles pendant que je la fourre !
Je m’approche de la queue qui s’agite dans le vagin de mon épouse, je lèche les boules et le sexe de Paul. Véronique jouit sous les coups puissants, Paul se retire et balance son foutre sur le ventre et le sexe de ma femme. Je continue de lécher tour à tour la queue et la chatte de mon épouse.
En s’essuyant sur la nappe Paul lance : je sens qu’on va bien s’amuser tous les trois !
Véronique me tenant par les cheveux me fait avaler le foutre coulant sur son ventre en répondant :
— Vous avez raison on va bien rigoler !
