Chapitre 14 : Une longue nuit (suite)
Les jambes de Morgane étaient trempées de mouille. Son vagin déversait des litres et des litres de cyprine qui venaient imbibées la moquette du salon.
-Il faut que je boive ! Disait la jeune femme. Baise-moi mon Simon ! Je veux ta queue en moi, maintenant ! S’il te plait, je ne peux plus attendre ! Donne-moi ton sperme !
La jeune femme n’avait pas imaginé que les effets du médicament seraient si extrêmes. Elle avait été prise de violentes envies de sexe totalement incontrôlable. Alors qu’elle était encore un peu consciente, elle était partie en courant dans son garage et en était revenue avec un cadenas à vélo. Elle avait alors attaché ses mains à la table du salon et avait jeté la clef un peu plus loin.
Et maintenant, elle était là, à genoux, les mains liés par un cadenas, folle de désir, devant un Simon tout aussi excité. Il observait ses jambes ruisselantes de mouilles et n’avait qu’une envie : s’en délecter. Il ne savait pas combien de temps il pourrait encore tenir ainsi.
Sa verge était sortie depuis longtemps mais il refusait pour l’instant de se branler. Il savait que s’il commençait, il aurait beaucoup plus de mal à résister à la jeune femme. Malheureusement, les effluves vaginales de Morgane emplissaient de plus en plus la pièce et il était devenu très compliqué de se retenir de se masturber.
Simon, au comble de son envie dévorante, se déshabilla. Il ignorait si c’était une bonne idée mais l’état dans lequel il se trouvait l’empêchait de réfléchir normalement. Toujours assis sur le canapé, le regard du jeune chercheur était braqué sur les nombreuses gouttes de cyprine qui ruisselaient sur les jambes de la jeune femme. Elles avaient l’air succulentes. Morgane faisait de grands mouvements de bassin pour trouver une surface sur laquelle elle pourrait frotter son sexe luisant et affamé. Ce faisant, sa queue se balançait dans tous les sens.
Morgane avait les yeux révulsés. Elle faisait peur à voir. Simon fut pris d’une subite inquiétude. Et si elle mourrait de soif ? Son corps était tout de même littéralement en train de se vider.
Ce n’est pas normale, se dit-il. La pilule qu’elle a prise est peut-être dangereuse pour elle
Réagissant sur une pulsion, il courut dans la cuisine.
-Non, Simon, je t’en prie ! Prends-moi, c’est tout ce que je demande. Ne pars pas ! Viens me niquer !
Il revint peu après avec une bouteille d’eau. Il s’approcha d’elle comme s’il s’agissait d’un lion prêt à lui sauter dessus ce qui, en fin de compte, n’était pas si loin de la réalité que ça Il ouvrit la bouteille et donna à boire à la jeune femme en restant le plus éloigné possible. Morgane s’empressa d’étancher sa soif. Elle vida la quasi-totalité de la bouteille.
Une fois qu’elle eut fini, elle lança un regard de gratitude au jeune homme et, contre toute attente, cracha sur lui. Enfin, plutôt sur son sexe dressé.
Simon fut totalement surpris par le geste et il ne réussit pas à contenir la soudaine et totalement inattendue vague de désir qui monta en lui. En une fraction de seconde, il lâcha la bouteille, s’empara de la tête de Morgane et enfonça son sexe dans la bouche de la jeune femme.
Il avait perdu.
Morgane lui fit une gorge profonde comme jamais elle n’en avait fait. Elle était tellement avide de sexe qu’elle n’était pas encore consciente qu’elle avait gagné. La queue du jeune homme touchait sa glotte et elle jubilait.
Simon s’extirpa difficilement de la chaude cavité et se coucha sur le dos, juste entre les jambes de Morgane. Il colla sa bouche contre cette fontaine de cyprine dont il rêvait depuis tant de temps de s’abreuver et aspira avidement. Morgane jouit presque instantanément tellement le désir était important. Elle déversa encore plus de cyprine dans la bouche du jeune homme et éjacula. Elle parvint, à sa plus grande surprise, à enfourner sa propre queue dans sa bouche. Les jets de spermes vinrent immédiatement buter contre sa gorge et elle avala toute sa semence goulûment.
On voyait la glotte de Simon descendre et monté à un rythme effréné tandis qu’il lapait le jus de la jeune femme.
-Ouiii ! Oui, mon Simon. Bois-moi ! Étanche ta soif ! Détache-moi pour que je puisse à mon tour te pomper ! J’ai encore envie de sperme. J’ai besoin de ton sperme !
Simon tâtonna distraitement là où il avait vu la clef et réussit à s’en emparer. Morgane toujours assise sur son visage, le jeune homme ouvrit le cadenas qui la retenait. Une fois libre, elle se jeta sur la verge du jeune homme et, comme un peu plus tôt, cala le sexe directement dans le fond de sa gorge.
Morgane était toujours pourvue d’une formidable érection et sa queue était étendue le long du ventre du jeune chercheur. Ce contacte lui était étrange, surtout que Morgane n’arrêtait pas de se frotter à lui Finalement, il se dit qu’il était simplement heureux d’avoir le gosier plein de la cyprine de Morgane et qu’il pouvait subir n’importe quoi ne fût-ce que pour voir une seule gorgée de ce divin nectar.
Sa langue fouillait tous les recoins de la délicieuse vulve de Morgane. À l’aide de deux doigts, il écartait les tendres et juteuses lèvres vaginales afin de permettre à sa langue d’aller le plus loin possible. La jeune femme gémissait intensément sous cette sublime incursion et frottait d’avantage son abricot contre la bouche assoiffée du chercheur.
Au bout d’un moment, alors que l’estomac de Simon était plein à craqué, il se dit qu’il devait essayer d’arrêter de boire sinon la dépendance à la cyprine risquait d’être encore plus forte par la suite. Il fit appel à toute sa volonté et, malgré le fait qu’elle était assise sur son visage, il parvint à s’éloigner de l’inépuisable puit de la jeune femme. Il vit la petite rondelle du superbe cul de Morgane et la tentation de s’y engouffrer fut tout à coup irrésistible.
De toute façon, se dit-il, j’ai perdu. Autant en profiter
Malgré le plaisir qu’il ressentait de l’incroyable pipe que lui taillait Morgane, il réussit à s’extirper de sa bouche.
-Non ! Attends, j’en ai encore besoin ! Je n’ai pas fini rends-la moi !
Sans prendre garde aux suppliques que lui lançait Morgane, Simon se positionna derrière le cul de la jeune femme et perfora violemment son anus, s’y enfonçant jusqu’à la garde.
-Oooh ! Ouiiii !
Morgane se coucha au sol et se laissa faire. Simon l’enculait profondément et la jeune femme gémissait en continu. Sa bite était coincée entre le sol et son ventre et chaque fois que le jeune homme faisait aller sa queue dans son cul, l’élan qu’il lui transmettait branlait inconsciemment son énorme queue.
-Oh ! J’en peux plus, gémit-elle. Mon cul, putain ! C’est trop bon !
Simon la sodomisa durant une pleine minute jusqu’à ce qu’il sente la sève monter. Il était tellement excité qu’il ne tenta même pas de résister et se laissa emporter par le plaisir.
-Simon, plus fort ! Je vais jouir ! Oui ! Ouiiiii !
Un dernier coup de boutoir et elle s’écroulait en hurlant de bonheur. Des giclées de foutre aspergeaient l’intérieur de son anus qui se contractait sous les vagues de jouissances. Pour la troisième fois de la soirée, sa queue éjacula, elle aussi, et le sperme inonda littéralement la jeune femme. Sa bite déversait sa semence gluante sous elle, la noyant dans une mare blanchâtre. Ses seins baignaient presque entièrement dans cette flaque et c’est avec délice qu’elle se mit à aspirer son propre jus de queue.
Simon se retira des tréfonds de la jeune femme. Cette dernière geignit entre deux goulées. Le jeune homme l’observa lécher le sol. Une fois qu’elle se fut désaltérée, Morgane se retourna. Simon eut la surprise de voir que le sexe de Morgane était toujours en pleine érection. Elle essuya le sperme qui coulait le long de son menton d’un revers de la main et lança au jeune chercheur un regard lubrique.
-J’ai gagné, fit-elle en se levant. Mais la nuit est encore loin d’être fini
Simon fit un pas en arrière et son regard tomba sur son propre sexe. Lui aussi était tout raide.
-Mais combien de comprimé as-tu mis dans les pâtes ? Demanda-t-il, ébahi.
Morgane eut un rire gourmand.
-Je ne sais plus, dit-elle avec lenteur. J’avais très envie de gagner, tu comprends.
Elle continua d’avancer. Un premier pas, puis un second. Au troisième, elle se sentit chavirer. Au quatrième, Simon devint flou.
-Morgane ? Est-ce que ça va, lui demanda le jeune homme.
Mais il paraissait si loin Si loin
Morgane s’effondra avant d’avoir pu faire son cinquième pas
