Il est dix-neuf heures quand Julia sonne à ma porte, une petite valise à la main. Je l’emmène directement dans ma chambre pour une étreinte rapide où je la prends, sans la déshabiller, en levrette. J’écarte juste la ficelle de son string et je la fais jouir en quelques minutes. Je lui donne ma bite à lécher. Je lui demande d’aller prendre une douche et d’en profiter pour se faire un lavement. Elle trouvera le nécessaire dans la salle de bains. Elle ne pose pas de question. Elle obéit. La séance en forêt lui a servi de leçon. Elle se doute qu’elle va perdre sa virginité anale.
Pendant qu’elle se prépare je mets en place le buffet qui va nous permettre de nous restaurer toute la nuit. J’ai à peine terminé qu’elle apparaît dans toute sa splendeur, très féminine, à peine maquillée dans une robe blanche qui lui va à ravir. Un profond décolleté dévoile à moitié sa poitrine, qui manifestement n’a pas besoin de soutien-gorge, et laisse, selon ses mouvements, apparaître l’un ou l’autre de ses tétons. La robe est très courte, ras la moule. Je soupçonne, sous réserve de vérification, qu’elle ne porte pas de culotte. Je lui baise les lèvres. Elle ferme les yeux. Elle découvre alors l’étalage de nourritures et de boissons
— Tu as préparé un buffet ? Je croyais qu’on serait seuls tous les deux.
— Je voulais te présenter à deux de mes meilleurs amis. Je leur ai parlé de toi, ils voulaient faire ta connaissance. Ça te dérange ?
— Un peu mais je suis touchée que tu veuilles officialiser notre relation.
— Avec eux uniquement.
On sonne à la porte. C’est Julien et Marc qui sont à l’heure. Je leur présente Julia. Leurs yeux s’écarquillent tellement ils la trouvent belle.
— Hervé a beaucoup de chance de vous avoir dit Julien
— Vous êtes de toute beauté, renchérit Marc. On se tutoie ?
— Vous allez me faire rougir si vous continuez dans les superlatifs. Vous pouvez me tutoyer sans problème.
Je les dirige tous vers le buffet et sert le Champagne afin que nous puissions trinquer. Marc et Julien connaissent très bien le scénario que nous avons mis souvent en scène avec nos conquêtes respectives : boire pour faire monter la pression et tous nous désinhiber.
Julia en est à sa troisième coupe et devient un peu pompette. Elle va s’assoir dans le canapé. Julien et Marc l’entoure. Je leur fais un clin d’il. Je m’approche d’elle, sa tête est à hauteur de mon sexe
— Mes amis aimeraient voir comment tu fais une fellation. Montre-leur !
— Mais tu es fou, je ne peux pas faire ça.
— Mais si bien sûr tu peux le faire. N’oublie pas notre dernière conversation. Si tu ne veux pas tu seras punie
Elle me regarde d’un air étrange et s’exécute. Elle me débraguette, baisse mon pantalon, mon caleçon et me prends en bouche. Elle me pompe le nud en avalant de plus en plus loin, jusqu’à atteindre avec ses lèvres mon pubis.
C’est le signal de départ d’une nuit de débauche. Julien et Marc la dépoitraillent et lui pelotent les seins. Ils lui sucent les tétons qu’ils font durcir. On se déshabille tous sans cesser de nous occuper de Julia. Elle est embrassée à pleine bouche par Julien qui lui fait faire connaissance avec sa matraque en lui mettant sa petite menotte dessus. Elle a l’air étonnée de sa grosseur. Je mets l’un de ses tétons en bouche et je le mâchouille. Marc remonte sa robe sur le haut des cuisses et fait glisser son string jusqu’à ses pieds. Il lui lèche la moule avec passion et nous livre ses commentaires :
— Hum, elle est délicieuse. Elle en veut la petite cochonne, regardez comment elle mouille. Je fais pénétrer deux de mes doigts et ça rentre tout seul. Elle est toute chaude. J’en peux plus, il faut que je la baise. Je peux Hervé ?
— Oui bien sûr elle n’attend que ça. Tu es d’accord ma chérie pour faire plaisir à mes deux copains ?
Elle se dégage de la bouche de Julien.
— Oh oui vous me faites du bien. Je veux goûter à vos belles queues mais j’ai peur de celle de Julien, elle est grosse et ma chatte est toute petite.
— Ne t’inquiète pas ma belle, mes amis ne sont pas des soudards. Ta moule et ton petit trou se seront adaptés à nos sexes d’ici la fin de la nuit.
— Vous voulez me sodomiser mais je ne l’ai jamais été.
— Il faut un commencement à tout, d’ici demain tu ne seras plus vierge du cul. C’est une certitude. Il y a du lubrifiant pour ça. Allez, viens ! Mets-toi à quatre pattes sur le canapé. Marc voudrait tester ta chatounette.
On achève de la déshabiller et on l’installe sur le sofa. Marc se met derrière, ajuste son vit et s’enfonce d’une seule poussée dans le vagin accueillant de Julia. Face à son assaut, celle-ci pousse un cri, vite remplacé par des soupirs de contentement. Julien, debout, lui tourne la tête pour lui faire goûter sa matraque. Elle suçote le gland, comme pour apprécier sa grosseur et tente de le prendre en bouche. Ses lèvres sont écartelées mais elle y arrive. Dans cette position, ses roberts, bien fermes, laissent voir leurs tétons bien tendus qui pointent vers le bas. Ça me donne une idée.
Pendant que mes acolytes la besognent à qui mieux mieux, je vais chercher mon sac à malice. J’en extrais deux magnifiques « nipple clamps » que je viens poser délicatement sur chacune de ses tétines. A chaque mise en place elle pousse un cri. Je prends deux poids que j’accroche à chacune des pinces. Elle a du mal à supporter. Les larmes lui viennent aux yeux
— Ça fait mal ce que tu me fais. Enlève-les !
— Non c’est ta soirée d’initiation. Il faut que tu souffres pour me montrer que tu m’aimes vraiment. Alors on continue ou on arrête ?
— On continue. Je t’aime Hervé.
— Voilà qui est mieux.
Je fais un clin d’il à mes deux amis pour qu’ils la bourrent un peu plus. Ils sont tellement excités par le corps de cette gamine à leur merci, dont les seins sont martyrisés, mais qui jouit sous leur assaut, qu’ils éjaculent dans sa bouche et dans son con, comme des gamins boutonneux à l’éjaculation précoce. Il faut dire, pour leur gouverne, que je les ai tellement échauffés les jours précédents en leur vantant les qualités sexuelles de Julia, qu’ils n’ont pas pu résister. C’est d’ailleurs mieux comme ça. Pour la suite ils seront plus endurants. Et je tiens à ce que Julia soit, à la fin de la nuit, épuisée par nos assauts multiples.
C’est Marc qui parle le premier :
— Le moins qu’on puisse dire c’est que c’est un sacré coup ta Julia. Elle a la foufoune accueillante. Je n’ai vraiment pas pu me retenir. Elle était chaude comme la braise. Ça coulissait tout seul. J’ai senti ses muscles internes me pomper le zob et ça m’a achevé.
Julien reprend :
— Tu me donnes envie de la prendre. Si je comprends bien je n’aurai pas de mal à la baiser avec mon gros nud ?
— Non tu vas voir comme elle est bonne et je suis sûr qu’elle va aimer ça. Elle va grimper au rideau.
Je surenchéris :
— Vous ne croyez pas qu’il est temps de la préparer à une bonne sodomie ? Je rêve de son cul depuis le début. On fait comme d’habitude avec les vierges du troufignon ? Pendant ce temps-là on pourra se reposer et remettre ça.
Mes amis trouvent que c’est une bonne idée. Je retire les pinces des seins de Julia. Elle soupire du soulagement procuré. Je la fais lever. Elle est là nue devant moi, abandonnée. Je la prends dans mes bras et je lui murmure :
— Alors ma chérie, tu as apprécié ce qu’on vient de te faire ?
— Oui mais c’était dur, surtout ce qu’on subit mes tétons. Je l’ai fait pour toi car je t’aime, dit-elle les larmes aux yeux.
— Tu sais que ce n’est pas fini ?
— Oui j’ai entendu que tu voulais prendre ma virginité anale. Tes amis vont suivre et je suis effrayée par la taille du sexe de Julien. Il est trop gros.
— On va te préparer à ça. Mais ce ne sera pas le plus dur. On va te fouetter, te fesser. Tu seras prise en sandwich.
— En sandwich ?
— Oui tu auras une bite dans le cul et une bite dans le con.
— C’est possible ?
— Oui et tu verras tu vas aimer tant c’est sublime.
— Je ne veux pas être fouettée !
— Je crois que tu n’as pas le choix ma chérie. Tu acceptes ou tu t’en vas.
Elle lève les yeux et me regarde tendrement :
— J’ai peur de souffrir mais je vais le faire, pour toi. Je ne veux pas te quitter.
Je la mène vers l’îlot central de la cuisine où nous avons déjà eu des ébats. Je la couche sur le dos, jambes écartées. Je fouille dans mon « sac à malices » et en sort un godemichet de forte taille et un rosebud. J’écarte sa minette avec mes doigts ; elle est un peu sèche. J’enduis l’olisbos de lubrifiant et le fait pénétrer dans son vagin. Ça va mieux, il glisse en elle. Je mets en route le vibrateur en vitesse lente. Même opération dans son cul mais avec le butt plug numéro un ; sa mère d’emblée a pris le numéro trois… Julia est très étroite et se contracte. Finalement en insistant bien, j’arrive à le faire entrer. J’appuie sur la télécommande et le dildo passe en grande vitesse. Je vois le corps de ma douce commencer à frémir, son jus de femme suinte le long de l’engin. Elle pousse un premier cri, se raidit, c’est son premier orgasme.
Je la fais tourner sur le plan de travail pour amener sa tête au bord, bien en arrière. Dans cette position, sa bouche et son larynx sont dans le même prolongement. Je fais signe à mes amis, qui ont repris de la vigueur, et nous la coïtons à tour de rôle jusqu’au fond de la gorge. C’est évidemment Julien qui a le plus de mal mais, il y arrive enfin après que Julia ait failli s’étrangler à plusieurs reprises.
Pendant ce temps-là, le vibromasseur fait son office. Julia n’arrête pas de jouir. Dès qu’elle peut parler s’est pour nous demander d’arrêter l’engin.
Au bout d’un moment, c’est Julien qui se manifeste :
— Bon ce n’est pas tout mais j’ai vraiment envie de me la faire. Si on allait dans ta chambre pour être plus à l’aise ?
— Tes désirs sont des ordres… Allons-y !
Nous entraînons Julia avec nous. Je lui enlève le godemichet mais je laisse en place le rosebud. Couchée sur le lit, Julien s’allonge à côté d’elle et entame les préliminaires. Il l’embrasse sur la bouche, elle répond à son baiser. Il fait courir sa langue tout le long de son corps, de la tête aux pieds. Elle frémit. Il aborde plus franchement les zones érogènes en tétant alternativement ses seins. Elle gémit. Il se dirige vers son antre secrète, lui écarte les jambes et lape le jus qui s’écoule déjà tellement elle aime ce qu’il lui fait.
Il se met alors sur elle, prend en main son vit qu’il dirige entre les lèvres de son sexe. Il fait tournoyer son gland qu’il fait pénétrer lentement pour l’habituer à la grosseur de sa matraque. Il s’excite avec des paroles et elle lui répond dans un dialogue très érotique :
— Oh ma puce, tu es bien trempée. Tu aimes ça le sexe ? Hervé t’a bien initié. Tu vas connaître d’autres sensations. Tu sens comme ma bite est grosse ?
— Oui c’est bon mais vas doucement j’ai peur que tu me déchires.
— Ne t’inquiète pas mon nud est déjà entré. Tu es tellement chaude et mouillée que je vais pouvoir t’investir complètement. Tu vas voir comme tu vas aimer.
— Oh oui continue, prends-moi ! C’est bon…
En se soulevant, Julien nous montre qu’il est au fond d’elle. Il a fait entrer l’entièreté de sa verge dans le vagin de Julia, justifiant le fait que cet organe féminin peut s’adapter à toutes les dimensions d’organe de la procréation.
— Ah les gars, je peux dire que je prends mon pied. Elle me fait comme à toi Marc, elle me tête la bite rien qu’avec ses muscles vaginaux. En plus je sens le rosebud dans son cul qui me travaille. Il faut que je la défonce avant qu’elle ait raison de moi. Venez lui bouffer les seins pour la faire jouir encore plus. Elle le mérite vraiment. Tu as vraiment dégotté le gros lot avec elle, Hervé.
Commence alors un délire de plaisirs pour Julia. Julien, par ses allers-et-retours de plus en plus rapides, la mène à l’assouvissement de nombreuses fois. Ses jouissances sont accrues par le fait que nous lui suçons ses tétons dont je sais par expérience, qu’ils sont très sensibles.
Julien, je le connais, est endurant mais pas égoïste. Il n’a pas envie de finir tout de suite. D’autant qu’il s’est épanché déjà dans sa bouche. Il nous laisse la place et nous la baisons, sans relâche, pendant plus d’une heure. Elle crie, elle hurle son bonheur sans arrêt. Son corps est secoué par ses orgasmes multiples jusqu’au moment où son corps ne réagit plus tellement elle est crevée. Nous n’avons pas éjaculé pour pouvoir mieux la reprendre plus tard.
C’est le moment du repos et nous nous restaurons au buffet. Julia mange avec appétit et semble reprendre vite des forces. Notre ballet autour de la table est d’un érotisme flagrant. Nous maintenons nos excitations respectives au maximum. C’est à qui mettra un doigt dans la chatte de Julia, un autre qui lui retirera le rosebud pour en mettre un plus gros, un autre qui l’embrassera sur la bouche. Elle-même n’est pas en reste en caressant nos sexes à demi bandés.
La pause est terminée. Je prends Julia par la main et je l’agenouille sur un pouf. Je lui fais mettre la tête en bas, les bras par terre pour qu’elle puisse soulever son corps. Dans cette position son cul est bien haut. J’enlève le butt plug, attrape une bombe de lubrifiant pour lui oindre l’anus. Un doigt, deux doigts franchissent ses sphincters. Ça ne semble pas lui faire mal. Je les fais tourner pour agrandir le conduit tout en lui claquant les fesses pour la décontracter. Un coup de bombe sur ma queue bien raide et je remplace mes doigts par mon vit. Je lui donne des indications pour que la tâche soit facilitée.
— Ecarte bien tes fesses. Décontracte-toi ça va aller. Tu sens mon gland qui commence à entrer ?
— Oui tu peux continuer, ça va… Aie ça me brûle !
— Ne t’inquiète pas je vais doucement. Avec le lubrifiant ça devrait aller, j’en remets. Ça y est mon nud a franchi ta porte secrète. Tu as mal ?
— Non, vas-y !
— Masturbe-toi pendant que ma tige te pénètre à fond. Quand tu sentiras mes couilles sur tes fesses c’est que je serai aux maximum de mes possibilités. Je commencerai alors vraiment à te sodomiser et tu pourras dire que tu n’es plus vierge du cul.
Je commence alors ma défonce systématique de son fion. Elle crie dans un premier temps que je lui fais mal, puis se calme au fur et à mesure de mes pénétrations. Je me cramponne à ses seins en les utilisant comme des poignées pour aller de plus en plus loin au fond de son croupion. C’est alors que son souffle s’accélère et que dans un cri, elle jouit au moment même où j’éjacule dans son fondement.
Julien et Marc applaudissent notre performance en commentant avec ces simples mots : « On ne peut pas dire qu’elle soit coincée du cul ! » Ils rient de leur bon mot…
Ils veulent bien entendu tester eux aussi l’élasticité de son trou de balle et avant qu’il se referme, ils l’enculent l’un après l’autre sans ménagement. Avec Marc ça passe tout seul et elle jouit encore une fois au moment où il se répand dans ses entrailles. Mais avec Julien c’est tout autre chose. Julia hurle de douleur au passage du gland et n’arrête pas de gémir sans prendre son pied. Julien finit tout seul et elle est soulagée que ça se termine.
Une fois fini la séance de sodomie, je demande qu’elle nous nettoie en nous prenant en bouche. Elle refuse de le faire en prétextant que c’est sale. Je lui dis que si elle ne le fait pas, elle sera punie.
— Ça m’est égal je ne veux pas le faire, dit-elle avec un air de défi.
— Tu vas donc être châtiée sur le champ. Une première fois parce que tu refuses ce que je t’ai demandé de faire. Une deuxième fois parce que tu nous défis tous. Tu mérites pour cette première fois dix coups de fouets sur tes seins et sur ton sexe.
— Non je ne veux pas être fouettée. Je ferai tout ce que vous voudrez. Je m’excuse.
— Trop tard ma chérie. Il fallait y penser avant. Ce sera une bonne leçon pour toi. Tu es une gamine, tu seras punie comme une gamine. La prochaine fois tu réfléchiras.
A ses mots nous l’empoignons et la ligotons sur une table basse. Elle est sur le dos, bras et jambes écartées. Nous lui posons un bâillon. Je prends alors un fouet dans « la boîte à malices » et j’ajuste bien mes coups.
Les deux premiers sur chacun de ses seins, deux viennent ensuite lui lacérer sa chatte. Son visage devient rouge, ses cris sont étouffés. Elle pleure à chaudes larmes. Mais je reste inflexible. Je partage alors les six coups restant en alternant entre ses mamelles et sa moule.
Nous la détachons et après lui avoir enlevé le bâillon, je la prends tendrement dans mes bras et j’embrasse ses lèvres. Elle répond passionnément à mon baiser et, en signe de soumission, se baisse pour nettoyer mon sexe avant de passer à ceux de Marc et Julien.
Son attitude me fait bander à nouveau. Je lui fais alors l’amour doucement, sans violence. Elle n’arrête pas de me dire « Je t’aime », « Je m’excuse de ma désobéissance » et cela jusqu’au, moment où nous jouissons ensemble au même moment, en pleine harmonie sexuelle.
Je regarde Julien ; il se masturbe en nous regardant. Son pieu est énorme. Il s’allonge par terre et demande à Julia de venir s’empaler sur lui. Elle le fait avec beaucoup de difficulté. Sa petite chatte a du mal à s’habituer au calibre. Elle se désaccouple, prend la bombe de lubrifiant et se colle une bonne dose à l’intérieur. Elle s’emmanche à nouveau. Elle arrive à prendre les trois quarts. Julien n’est pas satisfait. Il la fait monter et descendre sur son manche, de plus en plus vite. Julia crie de bonheur. C’est incroyable comme elle se remet vite de tout ce que nous lui avons fait subir depuis des heures déjà. Sa moule doit pourtant être endolorie, mais non elle continue à jouir. Une vraie nymphomane. Je l’ai rendue accroc au sexe. Elle le manifeste :
— Oh oui tu es gros. Vas-y défonce moi, va bien au fond. C’est bon.
Ses seins ballottent en tous sens sous le nez de Julien qui les mord. Elle hurle encore. Cette fois l’objectif est atteint, le mandrin a disparu entièrement dans le vagin de Julia. Ils s’embrassent à bouche que veux-tu.
Marc veut sa part. Deux options se présentent : sa bouche ou son cul ? Il choisit la voie la plus étroite. C’est le moment de vérité. Son corps, si jeune, va-t-il accepter l’intromission simultanée de ces deux sexes en elle ?
Un coup de lubrifiant sur l’anus de Julia et hop ça y est, le dard de Marc s’engage dans l’étroit conduit, lentement. Elle respire un grand coup. Depuis sa défloration anale elle a appris comment faire pour éviter d’avoir mal. Il y est, tout au fond, et elle n’a pas crié. Les deux compères ont l’habitude. Dès qu’ils se sentent en contact, au travers de la fine membrane qui les sépare, ils accentuent leur pénétration et accélèrent leurs mouvements. Tantôt ensemble dans chacun des conduits, tantôt alternativement, Julia est secouée dans tous les sens du terme. Elle jouit plusieurs fois et en redemande encore et encore. Elle adore manifestement être doublement pénétrée.
Je présente mon sexe devant sa bouche, elle l’avale et me pompe énergiquement.
Nous décidons de changer de position. Marc s’allonge par terre, Julia positionne sa chatte sur son vit et s’enconne jusqu’aux couilles, dos à lui. Je me place devant elle et tente une double intromission vaginale. Malgré la dureté de ma queue, je glisse. J’écarte sa chatte avec mes doigts et je glisse mon gland dans l’espace libéré. Je force. Elle gueule disant que c’est insupportable. Je la bâillonne en forçant sa bouche avec ma langue. Elle répond vigoureusement à mon baiser. Ça la calme. Son vagin étroit de jeune fille est distendu par la pénétration monstrueuse que nous lui imposons. Marc ne peut pas bouger. J’impose le rythme. Je libère la bouche de Julia. Elle ne crie plus mais feule comme un animal. Elle articule quelques paroles, entrecoupées de soupir de contentement :
— Bande de salauds… hum, hum… vous me faites jouir encore… hum, hum… Ma petite chatte en prend plein… hum, hum… C’est trop bon…
De concert avec Julia, nous prenons notre pied au même moment en jutant dans sa foufoune.
Je regarde la pendule de la cuisine. Il est trois heures du matin. Plus de six heures, hormis la pause, que nous tringlons Julia sans arrêt. La fatigue se fait sentir. Marc et Julien s’allongent sur les deux canapés pour prendre du repos. J’entraîne Julia vers ma chambre. Nous nous couchons nus, sur le côté, nos corps imbriqués l’un dans l’autre, en cuillère. Mon vit, amolli, se place naturellement dans la raie de ses fesses. Je nous couvre avec la couette.
— Bonne nuit mon amour, lui dis-je en l’embrassant dans le cou.
Elle ronronne et me réponds :
— Tu sais Hervé tu m’as fait passer avec tes amis des moments inoubliables. J’ai souffert, parfois au-delà du supportable, mais j’ai aimé. Vous m’avez fait devenir une « femme désirable » au-delà de toute limite, de tout tabou. Je ne regrette pas de t’avoir provoqué lors de la réception chez mes parents. Tu es un amant et un initiateur merveilleux. Tes amis sont des baiseurs de première et on sent que vous êtes complices depuis longtemps, mais c’est vraiment toi que j’aime. Malgré ce que j’ai subi j’ai encore envie de toi. Prends-moi doucement, s’il te plaît.
Ses paroles apaisantes ont eu un effet aphrodisiaque. Ma verge se dresse à nouveau entre ses fesses. Je lui écarte les cuisses et je la fais glisser entre ses nymphes. Elle est trempée, elle ruisselle même. Mon gland se présente à l’entrée de son vagin et entre tout seul, lentement sans à-coups. Je me retrouve abouté au col de son utérus. Immobile, je fais palpiter ma queue. Elle me répond en contractant ses muscles internes. C’est fantastique. Je passe une main sous son corps et j’empaume ses seins que je caresse avec douceur. Et c’est ainsi que, quasiment sans bouger, nous jouissons l’un et l’autre, l’un dans l’autre. Nous nous endormons ainsi, amoureusement enlacés, jusqu’au petit matin.