Jeanne avait invité sa sur, Claire, et son fils, Max, à venir boire un verre chez elle. Claire lui avait raconté les problèmes quils avaient en ce moment : ils semblaient de moins en moins se comprendre et se disputaient de plus en plus :
« – On était encore très proche, il y a encore quelques années, expliqua Claire. Je ne sais pas doù ça vient tout dun coup.
— Je sais exactement ce quil vous faut, dit Jeanne. »
Jeanne, cétait un peu loiseau libre et sauvage de la famille. Ayant grandie dans les années 60, cétait maintenant la quarantenaire hippie typique, qui croyait au chakra et à lénergie vitale, adepte du New Age, de spiritualités et autres mysticismes venus dOrient. Elle avait le visage calme, toujours souriant, assez anguleux il faut dire quelle était plutôt fine.
« – Je vous propose une petite expérience, commença-t-elle. Cest un petit exercice très populaire dans certaines tribus dAsie et très efficace ! Ça permet de relâcher la pression, de se détendre complètement et donc de mieux communiquer avec lautre, de mieux exprimer ce quon ressent au fond de nous-mêmes. Jai déjà utilisé cette technique avec Bruno, auparavant. »
Savoir que cela avait marché pour sa sur et son propre fils avait emballé Claire. Max, lui, haussait les épaules : cest toujours mieux que daller voir un psy, se dit-il et il accepta.
« – Venez, fit la tante, on va faire ça à lintérieur, il faut un peu trop chaud ici. »
Ils se retrouvèrent tous les trois dans une salle zen aux couleurs à la fois reposantes et chaudes. Des poufs étaient installés un peu partout, de lencens brûlait dans un coin et un grand lit à ras du sol était au centre de la pièce. Sur le côté, il y avait trois grandes baies vitrées entrouvertes, une persienne était descendue de moitié pour abriter la pièce de ce dur soleil du mois de juillet, tout en permettant tout de même une circulation de lair.
Jeanne prit alors une fiole sur larmoire, elle leur dit den boire une cuillère chacun, que cela libérerait leurs sens. Son goût était sucré, trop sucré et assez fort en bouche. En attendant que cela fasse effet, la tante leur avait fait enlever leurs chaussures et les avait fait sasseoir sur le lit. Elle était en face deux, assise sur un des poufs, en position du lotus. Elle leur faisait bouger le cou doucement, puis les épaules, les bras, les mains. Pendant quils faisaient ces petits gestes dassouplissements et de relaxation, une vague de chaleur et de bien-être parcourut leurs corps. Leurs curs se mirent à battre plus vite : Claire ressentit comme une envie, comme un appétit, un désir jusque dans ses reins. Quant à Max, ses joues rougissaient et il affichait, malgré lui, au travers de son short, une puissante et incontrôlable érection. Tous leurs sens sétaient comme décuplés. Malgré cette nouvelle vigueur de leurs esprits, ils étaient plutôt calmes. Jeanne leur avait fait fermer les yeux et dune voix qui rassure et qui guide, elle leur dit :
« – Petit à petit, je veux que vous calmiez les voix dans vos têtes. Ne les écoutez plus, suivez seulement le son de ma voix. Respirez profondément, faites le vide dans vos esprits. À partir de ce moment et jusquà la fin de la séance, vous ne direz plus un mot. Les mots polluent la pensée, emprisonnent. Vous ne vous exprimerez quà travers votre corps, car il ne ment jamais. Vos gestes et leurs effets seront votre parole. »
Après quelques autres exercices de respiration, Jeanne reprit, toujours aussi calmement :
« – Bien. Maintenant, pour quil ny ait plus aucune barrière daucune sorte entre vous deux, je veux que vous vous mettiez lun en face de lautre. Et que vous vous déshabilliez. »
Claire et Max avaient tous les deux étés surpris dentendre ça. La mère tourna légèrement la tête vers sa sur, qui reprit :
« – Sortez de vos têtes, vous devriez pouvoir vous montrer tel que vous êtes, librement. Cest très important. »
Peut-être était-ce la voix presque hypnotisante de Jeanne, peut-être était-ce cette potion bizarre quelle leur avait fait boire et qui agissait sur leurs corps bouillonnants, mais la maman et son fils retirèrent chacun leurs vêtements, non sans timidité. Une fois entièrement nus lun devant lautre, nayant plus rien derrière quoi se cacher, ils nosaient se regarder dans les yeux. Mais le regard de chacun se posait par moment, pendant quelques secondes, sur le corps de lautre. Les tétons de Claire sétaient durcis. Max bandait devant sa mère. Était-ce bien décent pour une maman et son fiston de se retrouver dans cet état ?
« – Malgré cette tension quil y a entre vous récemment, vous vous aimez tous les deux, cest évident. Mais il est parfois difficile de le dire avec des mots, ils sont trompeurs, insuffisants. »
Elle sapprocha deux et prit les deux mains de Max. Elle y versa un peu de cette même potion quelle leur avait fait boire plus tôt. Lorsquelle en versa dans les mains de Claire, la tante continua :
« – Ne dites plus rien, montrez. Massez le corps de lautre et montrez-lui toute votre tendresse… Allez-y. »
Mais aucun de Claire ou de Max nosait bouger. Il leur fallut un petit coup de main de Jeanne pour se lancer :
« – Vous vous bloquez tous seuls, vous réfléchissez trop… Lancez-vous ! »
Ils posèrent alors leurs mains sur les épaules de lautre et ils commencèrent, timidement, leur massage. Ils badigeonnaient leurs corps avec cette huile étrange qui leur procurait un bien-être total. Les mains douces de lautre faisaient tellement de bien. Claire avait fermé les yeux pour en profiter pleinement. Petit à petit, ils arrêtèrent de penser et laissèrent leur désir guider leurs mains. Max voulait descendre sa main plus bas, mais il ne losait pas, Jeanne lavait bien remarqué :
« – Le corps est un tout, ne loubliez pas. Il ny a pas de parties à éviter plus que dautres. Brisez les barrières ! »
Et sur ces mots, alors quils se regardaient droit dans les yeux, Max descendit sa main sur le sein de sa mère et le pressa légèrement. Claire sentit comme une décharge le long de sa colonne vertébrale ; elle pouvait sentir les poils de sa peau se redresser au contact de son fils. Son cur se mit à battre plus rapidement et dans un gémissement caché dans une profonde respiration, elle laissa glisser ses mains le long du corps de Max, jusquà atteindre ses cuisses quelle griffa doucement. Le sexe du garçon se dressa encore plus.
« – Cest très bien, encouragea Jeanne, vous commencez à vous libérer ! »
Sans même sen rendre compte, les deux sétaient rapprochés de très près. Leurs sexes se touchaient pratiquement. Puis, prétextant vouloir masser le dos de son fils, Claire sapprocha encore plus. Elle dut se retenir de gémir lorsque le gland gonflé de Max vint frotter contre son clitoris.
« – Aucune partie du corps nest à éviter, rappela Jeanne. »
Et comme si elle avait maintenant une excuse, Claire se mit à masser le sexe de son fils de ses douces mains huilées. Il ne restait chez elle aussi quune seule partie de son corps qui navait pas reçu de caresses. Max hésita une seconde puis il relâcha les seins de sa mère et laissa glisser ses mains sur son ventre. La peau de sa mère était tellement douce grâce à cette huile. Il passa au travers de sa toison brune pour arriver devant sa fente. La maman et son fils avaient tous les deux les mains posées sur le sexe de lautre et leurs corps étaient maintenant entièrement badigeonnés de la potion de Jeanne. Ils étaient très proches lun de lautre et comme dans un état second, Claire branlait son fils de long en large et sattardait parfois sur son gland, ce qui commençait à le faire gémir bruyamment. Max, lui, passait son pouce sur le clitoris de sa mère. Son excitation redoubla quand il comprit les effets quil pouvait avoir sur elle à entendre le plaisir quelle prenait lorsque celui-ci entrait les doigts doucement en elle, le tout en passant son autre main sur sa jambe. Ils en auraient presque oublié Jeanne si celle-ci ne les avait pas interrompus dans leurs délicieux jeux de mains :
« – Bien. Normalement, à ce stade-ci, il faudrait ravaler une cuillère, mais à la place, je vous propose de la prendre depuis le corps de votre partenaire ! En goûtant »
Elle ne put même pas finir sa phrase que Max sétait jeté sur sa mère et avait commencé à lui embrasser le cou. Claire le serra un peu plus contre elle, même si la prise était glissante à cause de lhuile. Ses seins étaient maintenant pressés contre son torse. Elle déposa, elle aussi, quelques baisers sur lépaule de son fils, goûtant en passage le nectar fruité de la potion quils avaient partout sur le corps.
Le fils poussa délicatement sa mère pour quelle sallonge dans le lit. Il était maintenant entre ses cuisses, le sexe toujours aussi bandé, luisant dhuile et qui entrait parfois en contact avec le con de sa mère. Il se mit à lui embrasser le cou et à descendre de plus en plus, léchant ses seins quil avait pris entre ses deux mains, il y déposait des bisous partout, suçait les tétons de Claire et les léchait du bout de la langue. Il continua sa descente vers lextase en parsemant plein de baisers sur le ventre de sa maman. Elle en avait la chair de poule, elle sentait son désir jusque dans ses reins et espérait quil descende encore plus bas et quil ne sarrête pas.
Max aurait voulu lui demander si elle voulait quil la goûte, entendre sa mère lui dire oui laurait particulièrement excité, mais il sétait souvenu de la règle de ne pas parler à temps. Il navait dailleurs pas envie de gâcher ce moment où ils pouvaient laisser libre cours à leur désir profond. Cétait un moment magique qui aurait souffert du poids des mots, ils ne voulaient en aucun cas réfléchir à ce qui se passait dans cette pièce.
Max était arrivé devant le sexe de sa mère. Elle ne disait rien, mais avait entrouvert ses jambes, signe quelle le voulait autant que lui. Et lorsquil fut sur le point de goûter à son tendre abricot, Claire se mordit les lèvres, espérant contenir son gémissement. Mais quand la langue de son fils entra en contact avec son clitoris et quelle put sentir son souffle chaud sur elle, elle ne put se retenir et lâcha un long et bruyant gémissement. Elle tenait la tête de son fils pendant que celui-ci la mangeait, la léchait, toujours sous prétexte de goûter à la potion de Jeanne. Claire sétait un peu relevée pour mieux le regarder. Et lorsque celui-ci releva la tête et que leurs regards se croisèrent, ils avancèrent leurs visages en même temps, non sans hésitation. Ils se regardèrent dans les yeux et comprirent quils avaient tous les deux encore envie de sembrasser. Et nécoutant que leur pulsion, le cur battant, ils se prirent à pleine bouche, comme deux amants. Quelle agréable sensation cétait que de sentir les lèvres de lautre, leurs langues jouaient entre elles. Leurs baisers étaient parfois courts, secs, leurs lèvres faisaient un bruit de succion et, parfois, ils étaient longs et profonds et Jeanne avait alors tout le loisir de voir au travers de leurs joues leurs langues tournoyer de plus belle.
Claire voulait maintenant rendre la pareille à son fils. À son tour, elle voulait goûter à sa peau. Elle sest alors rallongée dans le lit, et elle le tira vers elle. Il se mit de part et dautre delle, presque assis sur ses seins. Sa mère a commencé à lui lécher son membre dur, récoltant au passage lhuile spéciale de Jeanne sur sa langue. Elle monta ainsi jusquà son gland quelle prit en bouche. Max lâchait des grognements, particulièrement lorsque sa maman se mettait à lui lécher les bourses. Claire était trempée, cela lexcitait terriblement de savoir que cétait les couilles de son garçon quelle avait en bouche et que celui-ci gémissait sous ses coups de langue. Langue qui passait dans les tous les coins et recoins de ses parties intimes. Max bandait comme jamais et devait se retenir, non sans mal, déjaculer. Son corps avait pris les commandes et, sans réfléchir, il se mit à frotter ses grosses roubignoles sur la bouche de sa mère qui laccueillait en faisant dépasser sa langue chaude et humide. Elle continua à le sucer de cette manière jusquà ce quil nen puisse plus, jusquà ce que son désir atteigne son paroxysme et quil nait plus quune idée en tête : celle de baiser sa mère.
Il redescendit alors dans le plus merveilleux endroit du monde – entre les cuisses dune femme -, caressant au passage sa poitrine et son ventre. Elle aussi avait très envie de lui en elle. Il prit son sexe et, du bout de son gland, samusa à frotter contre le sexe de Claire qui mouillait déjà beaucoup. Il sintroduit ensuite doucement en elle, centimètre par centimètre et, une fois quil était au plus profond delle, à moitié couché sur elle, les deux poussèrent un profond râle de plaisir. Ils sembrassèrent encore une fois et Max commença ses va-et-vient dans sa tendre maman.
Ses mamelons venaient caresser le torse de son fils et elle le pressa encore plus contre elle, en lentourant de ses bras. Leurs visages nétaient quà quelques centimètres lun de lautre. Jeanne nen ratait pas une miette, pendant que Claire regardait son fils amoureusement. Elle épongea son front trempé de sueur et lui sourit, ravie du plaisir que pouvait prendre son fils avec elle. Elle entoura ensuite ses jambes autour des fesses de son garçon, comme pour lui dire quil ne devait aller nulle part, quelle était bien là où il était et que, pour ce court moment tout du moins, il nétait rien quà elle. En effet, les tensions entre Claire et Max avaient commencé une année plus tôt lorsque celui-ci atteignit lâge de se trouver une compagne et de quitter le nid familial. Veuve, la pensée que son fils la quitterait un jour avait été très dure pour elle. Mais maintenant, ils étaient réunis et navaient plus lintention de se quitter.
Max avait lair un peu fatigué de se tenir sur ses bras dans cette position, sa maman le comprit rapidement et le repoussa gentiment, cela lui permit de faire une courte pause. Elle sest alors mise à quatre pattes et sest retournée, présentant ainsi son postérieur à son fils qui remit aussitôt son sexe en elle. Claire a étalé ses bras sur le lit, se laissant être subjuguée par le pied quelle prenait. Il faut dire que la levrette était sa position préférée. Son fils avait une vue parfaite sur son cul et il nhésita pas à lui agripper les fesses, tout en continuant ses va-et-vient en elle. Le con serré de sa mère qui entourait son sexe le rendait fou. Il se mit à la tenir par les cheveux et à la ramener contre lui. Elle avait alors le torse de son fils contre son dos et les coups de reins puissants de Max faisaient claquer ses fesses. Elle eut un orgasme foudroyant lorsque celui-ci, en plus de lui tirer gentiment les cheveux, lui pressa le sein de sa main ferme. Elle jouissait alors sur sa queue, bougeant machinalement les hanches pour en avoir plus, toujours plus. Ses gémissements étaient tels que Jeanne elle-même pensait que les voisins auraient pu les entendre et, comme pour atténuer le bruit, Max en profita pour lembrasser à pleine bouche et Claire continua sa jouissance directement dans la bouche de son fils.
Épuisée, Claire saffala sur le lit tout trempé. Max crut quil lui fallait une pause, mais il se trompait, puisquà peine il eut le temps de souffler que son insatiable maman, toujours haletante, sécartait déjà les fesses pour un nouvel assaut. Sauf que cette fois, elle le voulait dans son cul. Elle exposait son autre trou serré avec indécence à son fils.
« – Quelle maman gourmande ! sexclama Jeanne. »
La tante se sentait particulièrement excitée par le spectacle quelle avait devant les yeux. Elle croisa discrètement les jambes et vint enfouir sa main entre elles. Elle mouillait, elle aussi.
Le jeune homme neut, bien sûr, pas à se faire prier, et entra tout de suite, mais en douceur toutefois, dans le cul que sa mère lui offrait. À chaque coup de queue que son fils lui portait, Claire lâchait un râle quelle essayait détouffer dans un des oreillers.
Max hallucinait sur la sensation que lui procurer ce merveilleux trou. Il se mit dailleurs sur ses pieds pour pouvoir encore mieux lui faire lamour. Ses coups de reins étaient rapides, profonds et ses mains se baladaient sur le corps de sa mère. Mais après quelques minutes de ce délicieux rapport anal, il sentait quil allait jouir et quil nallait plus pouvoir se retenir cette fois, cétait bien trop bon pour lui. Il sortit dun coup du derrière maternel, espérant calmer ainsi ses ardeurs, mais cétait sans compter sur sa coquine maman qui sest alors retournée et sest mise à le sucer goulûment, goûtant au passage à son propre cul, et à lui masser les couilles. Les cheveux un peu ébouriffés, les joues rouges, Claire, qui était comme possédée, lançait un regard enflammé à son fils, elle voulait le faire jouir entre ses lèvres, elle voulait lui faire autant de bien quil lui en avait fait. Le garçon bascula alors sa tête en arrière et il put sentir son sexe et ses bourses se contracter pour envoyer tout ce quil avait et relâcher de la même manière tout le désir quil avait accumulé pour sa maman.
Un premier jet de sperme vint surprendre Claire et sétaler sur son visage. Elle entreprit ensuite de mettre le sexe de son fils dans sa bouche, pendant quil continuait à se déverser. La succion de ses lèvres sur le bord du gland de Max le rendait fou et il avait limpression de ne plus pouvoir sarrêter de jouir. Sa mère ne sarrêtait plus, elle voulait lavaler jusquà la dernière goutte et cest son fils, devenu trop sensible, qui dut la stopper.
Nus, en sueur et collant par lhuile qui avait fini par sécher, les deux amants sétaient étendus sur le lit, se câlinant lun et lautre pendant quils reprenaient leur souffle. Ils ne se disaient rien, par peur de tout gâcher avec des mots.
« – Eh bien, dis donc ! dit alors Jeanne. Vous en aviez grand besoin ! Mais je crois que ça vous a aidé à voir les choses différemment. Maintenant, ne bougez pas, laissez profiter vos corps des orgasmes quils ont pu goûter. Faites une sieste si le cur vous en dit, vous avez lair den avoir besoin après tant defforts, rit-elle. Moi, je serai dans lautre pièce. Profitez de ce moment seul à seul et sans barrière pour vous parler aussi. »
Jeanne se leva, ouvrit un peu plus les persiennes pour faire passer lair et sortit de la chambre. Elle ferma la porte en jetant un dernier coup dil sur nos tourtereaux qui se câlinaient encore et se regardaient amoureusement.
Après une douche bien méritée qu’ils prirent à deux, Claire et Max rejoignirent Jeanne dans le salon, il était temps pour eux de partir. Ils la remercièrent chaleureusement de cette nouvelle expérience quelle leur avait fait découvrir. Ils navaient plus quà ramener chez eux cette nouvelle connaissance quils avaient deux-mêmes. Avant de sen aller, Claire demanda à sa sur si elle navait pas en trop quelques bouteilles de cette incroyable substance qui les avaient emmenés dans un autre monde. Jeanne ouvrit un de ses tiroirs et elle prit deux bouteilles parmi une dizaine dautres. Elle en avait fait un stock depuis quelle lavait essayé elle-même. Le liquide navait évidemment rien de magique, il nouvrait aucun « chakra » ni aucune autre voie spirituelle. Il sagissait simplement dun aphrodisiaque extrêmement puissant quelle avait acheté lors dun de ses voyages en Inde.
La maman et son fils sen allèrent, ils semblaient beaucoup plus heureux que lorsquils étaient arrivés. Tout cela avait donné des envies à Jeanne qui décida de passer un coup de fil à son fils.
FIN