Je m’appelle Karine et j’ai dix sept ans depuis mai dernier et j’ai vécue cet été une expérience qui restera gravée dans ma mémoire jusqu’à la fin de mes jours j’en suis certaine.
Si aujourd’hui je me décide à vous la conter, c’est que j’ai trouvé ce moment si excitant que j’ai une envie folle de vous le faire partager.
Cela c’est donc passé durant le mois de juillet dernier alors que mon petit copain, Baptiste, était venu passé l’après midi à la maison.
Comme la plupart de nos amis étaient partis en vacances nous nous trouvâmes à tuer le temps comme on le pouvait. Aussi, avions nous loué un DVD pour passer l’après midi tranquillement chez moi. Ce jour là, mon frère Julien, 15 ans était resté avec nous.
Afin de créer une petite ambiance ciné nous tirâmes les rideaux nous plongeant ainsi dans une douce pénombre et nous prîmes place, baptiste et moi dans le canapé, Julien s’asseyant dans le dans le fauteuil d’à coté.
Le film commença et nous ne tardâmes pas à constater qu’il s’agissait d’un des plus grand navet jamais visionné quand soudain, baptiste se leva et plongea la main dans son sac à dos en nous disant qu’il en avait pris un autre qui serait certainement plus intéressant.
Il inséra le nouveau DVD dans le lecteur ne répondant pas à nos interrogations quand au titre du film qu’il était en train de nous mettre.
Nous fûmes, Julien et moi, rapidement renseigné sur le genre de film qui débuté. En effet, passé quelques minutes d’une incroyable médiocrité, nous nous retrouvâmes face à une scène de cul. Sur le moment je fis les gros yeux à Baptiste, gênée de me retrouvé en compagnie de mon jeune frère à visionner un film pornographique. Puis, voyant que cela ne perturbait pas plus l’un que l’autre et afin de ne pas paraître rabat joie je me mis tout comme eux à regarder l’écran.
De nature plutôt coquine et aimant le sexe je ne tardais pas à apprécier la séance oubliant carrément la présence de mon frère qui semblait lui aussi prendre plaisir à ce visionnage.
Quelques minutes plus tard, alors que mon excitation grandissait, je sentis la main de Baptiste se poser sur ma cuisse et remonter lentement sous ma petite jupe. Cela décupla instantanément mon excitation. J’écartais alors doucement les cuisses permettant aux doigts habiles de Baptiste de gagner le cur de mon intimité. Alors que celui-ci me titillait le clitoris je jetais un regard furtif vers le fauteuil de mon frère vérifiant qu’il n’avait rien vu de ce qu’il se passait à quelques mètres de lui. Je mouillais comme jamais je n’avais mouillé étouffant difficilement les petits gémissement que je ne pouvais retenir. Accaparée à profiter de ce moment de plaisir je ne me rendis même pas compte que Baptiste avait sorti son sexe et se masturbé lentement tout en s’occupant de moi. A la vue de ce membre fièrement dressé je ne pu retenir un petit cri de surprise. Je retournais immédiatement la tête vers Julien et constatais qu’il avait toujours les yeux rivés sur la TV.
C’est alors que je sentis la main de Baptiste se poser sur ma nuque imprimant une légère pression sur celle-ci. Je compris tout de suite le message. Il désirait sans aucun doute possible que le lui prodigue une fellation. Il connaissait mon petit faible pour cet acte et savait également combien j’étais douée pour l’exécuter. J’hésitais entre succomber à la tentation de le prendre en bouche et résister pour ne pas être prise en flagrant délit par mon frère. Finalement et après avoir tourné les yeux une dernière fois vers Julien je me laissais guidé vers cet appétissant pénis. J’enfournais alors dans ma bouche le membre viril de mon copain et commençais à le sucer goulûment.
Je ne peux vous dire pourquoi, mais prodiguer une fellation à un mec ma toujours rendu folle. Peut être est ce parce que ce geste est de par sa nature très ambiguë car on se trouve à la fois dominé et dominant. Dominé car la position le suggère et dominant car on tient le plaisir de l’autre à notre merci. Bref, j’étais tellement excitée que je ne fis même plus attention à Julien jusqu’à ce qu’un mouvement proche, dans mon champs de vision réduit, attira mon attention. Je me relevais soudainement essayant de cacher mon délit, comme un écolier surpris en train de triché, et constatais éberluée la présence de mon frère, debout près de moi, le sexe sorti entre ses mains. Les mots ne purent sortir de ma bouche tant j’étais surprise et choquée à la fois. Mais que faisait il ici en train de me mater sans que Baptiste ne l’ai vu arriver.
Je compris par la suite, grâce aux explications de mon copain que Julien avait rapidement repéré notre petit jeu et qu’il c’était mis à se masturber en nous regardant. Cela avait excité Baptiste qui dans un moment de délire lui avait fait signe de la tête de venir regarder de plus près les prouesses de sa grande soeur.
Enfin, bref, une fois retrouvé la voix je hurlais sur Julien.
Ça va pas, qu’est ce qu’il te prends ?
Il bafouilla quelques mots incompréhensibles en effectuant un geste de recul et en cachant comme il le pouvait son membre en érection.
C’est alors que Baptiste vint à son secours.
Il y est pour rien, Karine, c’est moi qui lui ai dit qu’il pouvait venir nous mater. Cela m’excitait et je pensais que cela te plairait aussi.
Ça va vraiment pas la tête, toi. Enfin, c’est mon frère, merde. Lançais-je
Justement, repris t-il, tu m’avais dis une fois que tu l’avais surpris en train de se masturber et que tu l’avais regardé caché jusqu’à se qu’il jouisse et que ça t’avais émoustillé.
Qu’il lance soudainement ce secret que je lui avais confié me cloua le bec. Ce qui ne fut pas le cas de mon frère qui en profita pour reprendre le dessus.
Alors comme ça, toi, tu as le droit de me regarder et moi j’aurai pas le droit. On est à égalité comme ça.
Baptiste repris alors.
Ouais, vous êtes quitte. Alors vous arrêtez de vous prendre la tête et on profite. Y à pas mort d’homme après tout.
Je ne savais plus quoi dire. J’allais me lever pour partir quand Baptiste continua.
Allé bébé, soit cool. Fais un bisou à ton frangin et laisse le mater STP. C’est fou comme ça m’excite. Allé dis oui mon coeur.
Il avait dit ça avec tellement de gentillesse et d’envie que je ne pu lui refuser.
OK, c’est bien parce que c’est toi qui me le demande. Lui dis je
Je me levais alors et tandis la joue à mon frère qui y apposa un petit bisou.
Baptiste se leva également, la queue toujours aussi raide et se rapprocha de moi. Il menlaça et m’embrasse goulûment. Ce long baiser eu pour effet de me faire oublier la présence de Julien et le membre dur contre mon ventre celui de me replonger dans l’excitation.
Sans un mot et tout en continuant d’embrasser son corps je m’agenouillais. Le gland gonflé de Baptiste n’attendait plus que les caresses avisées de ma langue experte. Tout en le masturbant lentement j’appliquais avec délice de petits coups de langue sur la hampe de son sexe.
Du coin de lil, je pu apercevoir mon frère qui s’était rapproché et qui ne perdait pas une miette du spectacle. C’est à ce moment précis que mon excitation arriva à son paroxysme me faisant vivre un mini orgasme.
Est-ce cette situation incestueuse ou la vue de ces deux sexe dressés, toujours est il que j’eus envie soudainement de prendre mon frère en bouche.
Tout en continuant de masturber Baptiste, ma tête effectua un quart de tour se retrouvant exactement face à la queue de mon frère et à seulement quelques centimètres.
Julien compris tout de suite, dès que j’entrouvris les lèvres, que je lui autorisais l’entrée de ma bouche. D’un léger mouvement du bassin, il approcha sa bite la dirigeant lentement mais sûrement dans mon orifice buccal.
Je me souviendrais à jamais de ce moment. Un pur délice. Une excitation digne du septième ciel. Un moment rare comme je souhaite à toutes et tous de vivre.
Oui, super, suce le bien, me fit Baptiste
Je m’appliquais à prodiguer la plus fabuleuse fellation de ma vie et elle était pour mon petit frère. Je n’en revenais pas. Ma langue experte jouait si bien avec son gland que le coquin ne tarda pas à inondait ma bouche de sa jeune semence. Tout en continuant de le sucer j’avalais avidement ce nectar fraternel dont il me faisait don.
Je me rappel qu’ensuite il c’est dégagé de ma bouche, à serré très fort son sexe dans un mouvement allant de la base vers le gland, faisant perler sur le bout de celui-ci une dernière goutte de semence. De ma langue gourmande je lapais celle-ci en fermant les yeux pour mieux mémoriser cet intense moment.
Baptiste qui avait apprécié grandement ma prestation ne pu retenir une seconde de plus son envie de jouir et m’envoya une giclé de foutre sur la joue avant même que je ne puisse me retourner vers lui