Notre histoire commença, il y a deux ans, je m?appelle Paul et je travaille dans une grande société d?assurance ou je partage depuis prés de dix ans mon bureau avec Odile. Nous sommes les meilleurs amis du monde mais cela s?arrêtait là, mais un jour, je la vis arriver le matin avec le visage de quelqu?un qui avait pleuré toute la nuit, je lui demandé ce qui n?allait pas, et elle m?annonça que son mari voulait la quitter.
– Tu te rends compte, il m?annonce ça trois mois après le mariage de notre fils, en croyant bon d?ajouter que s?il avait attendu si longtemps, c?était justement à cause de Nicolas.
Je fit mon possible pour la réconforter, jouant ainsi mon rôle de meilleur ami, mais devenant ainsi par la même occasion encore beaucoup plus proche qu?avant. Ma femme m?ayant quitté depuis déjà trois ans, nous nous sentions unis par la même galère. Et c?est ainsi que nous prîmes l?habitude de nous voir de plus en plus, restaurant, cinéma, ballade, et c?est naturellement qu?un soir nous fîmes l?amour, oh rien de bien passionnel, juste deux corps en mal d?amour qui se rencontrent. Odile du haut de ses 46 ans avait un corps superbe, oh bien sur pas celui d?une playmate de magazine, des seins lourds aux auréoles marquées, un ventre doux et chaud, une vraie paire de fesses bien larges et enfin des jambes magnifiques. Après cette nuit d?amour tendresse, et dans le cadre des grandes discussions que l?on a parfois après ces moments là, elle me dit
- ?a faisait presque cinq ans que je n?avais pas fait l?amour et je pensais même que cela ne m?attirait plus, qu?est ce que j?ai pu être idiote, faut rattraper le temps perdu, et je te propose quelque chose, si tu es d?accord bien sur !
J?attendais son annonce :
– Tu vois, je crois que les couples se séparent parce qu?ils ne savent pas assumer ensemble leurs envies intimes, leurs fantasmes, qui sont forcément différent chez chacun, aussi je te propose un pacte, chaque mois et chacun son tour, on devra assumer le fantasme de l?autre. Tu es d?accord ?
J?acceptais mais sans vraiment imaginer jusqu?ou cela allait nous mener.
Je fut le premier à choisir, et je lui demanda de s?habiller le week-end de telle façon que les autres la regarde, pensant ainsi lui laisser la liberté de fixer les limites de notre jeu. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir arriver avec une micro jupe, un chemisier en satin ou ses seins flottaient en liberté, et une paire de cuissardes qui mettait ses longues jambes en valeur. J?étais comme le loup de Tex Avery, la bouche ouverte et la langue par terre.
– On dirait que je te plais habillée comme ça mon cochon, on peut sortir maintenant !
J??étais carrément soufflé, sa tenue comme ses propos me laissaient sans voix et je l?emmenais ainsi au restaurant avec à la fois un mélange de fierté et d?appréhension de sortir ainsi avec Odile. Ah pour être regardé, elle le fut, ce soir là il dû même y avoir un certain nombre de scène de ménage chez les épouses dont les maris la dévoraient carrément du regard, et je n?avais qu?une hâte c?était de rentrer pour lui faire l?amour. Ca n?eut rien de tendre comme la fois précédente, j?étais ivre de désir comme cela ne m?était encore jamais arrivé et c?est debout à même le mur que je la pris, comme si une rage intérieure nous possédait, nous n?étions plus que deux corps qui ne recherchaient rien d?autre que du plaisir et il fût à la hauteur. C?était la première fois de ma vie que je faisais l?amour cinq fois de suite le même soir et les réactions quasi hystériques d?Odile ne laissait aucun équivoque sur le plaisir qu?elle ressentait, je me sentais capable de tout, et après presque deux heures de ce combat amoureux, on s?écroula tous les deux trempé de sueur et abruti de fatigue. On est resté ainsi sans un mot pendant près d?une heure, comme si les tensions relâchées avaient provoqué un court circuit dans nos corps et dans nos têtes et c?est seulement après que nous pûmes enfin parler en nous caressant doucement.
Nous nous sommes ainsi avoués mutuellement, n?avoir jamais connu respectivement de tels orgasmes, comme deux gamins qui venaient de découvrir le sexe. Cette expérience, ne fit que confirmer ce qu?Odile pensait sur les couples, et l?obligation pour nous de poursuivre notre pacte.
Le mois prochain ce sera à moi de choisir, ne l?oublie pas ?
Mais après cette nuit j?étais prêt à tout accepter. Ce fût pour moi, le plus long mois de juin que j?ai connu et c?est seulement le vendredi soir après le boulot qu?elle m?annonça :
– Ce week-end tu pourras me faire l?amour, mais seulement dans les lieux que je choisirais !
Elle arriva chez moi vers quatorze heures, alors que je ne l?attendais plutôt qu?en fin de soirée en me disant
– Dépêche toi on va à la plage !
Elle portait une jolie robe à fleur qu?elle fit malicieusement remonter pour me prouver que c?était bien le seul vêtement qu?elle s?était autorisée. Elle m?emmena ainsi à une plage naturiste dont je n?imaginais même pas l?existence si prés de chez moi, et sans la moindre pudeur, elle jeta sa robe sur le siège arrière de la voiture et sorti ainsi sur le parking, me demandant de l?imiter, mais je dû lui faire comprendre que l?érection qu?elle me suscitait m?empêchait de sortir ainsi.
– Oh je vois, attend, je vais soigner ça !
Elle remonta en voiture, me pris le sexe dans sa bouche et me suça goulûment, je voyais les gens qui passaient prés de la voiture faisant mine de ne rien voir mais jetant des regards furtifs vers nous, mais cela ne dura que quelques minutes car je ne pu retenir bien longtemps le plaisir qui montait et inondait la bouche d?Odile. Du sperme lui coulait encore au bord des lèvres, elle passa alors lentement sa langue dessus en me susurrant à l?oreille
– C?est la première que j?avale et c?est à toi que je fais cet honneur !
Je pus donc descendre de voiture, et nous avons passé ainsi le restant de l?après midi à nous faire bronzer comme tous les autres naturistes sur la plage et au milieu d?un certain nombre de voyeurs venu juste ici pour se rincer l?oeil. ?
– La prochaine fois que nous viendrons ici, je m?épilerais complètement ! M?ajouta-t-elle avant de partir. Ils en auront pour leur argent !
Nous partîmes donc dîner, comme deux amoureux, et après ce repas, nous rejoignîmes un petit parc à deux pas du restaurant et c?est là qu?Odile avait choisi que je lui ferai l?amour, elle ôtât sa robe et se positionnât le dos contre un arbre en me disant
– A toi de jouer maintenant !
Je me contentai juste d?ouvrir mon pantalon, et la plaquant contre l?arbre je la pénétrai ainsi debout, l?embrassant autant que je pouvais, caressant ses seins, prenant ses fesses à pleine main, et c?est au moment ou un autre couple passait prés de nous que j?explosais en elle. Ils nous regardèrent un peu surpris, puis poursuivirent leur chemin nous gratifiant d?un simple sourire en guise d?au revoir. On est reparti ainsi, nous arrêtant seulement sur le parking d?un supermarché pour faire une dernière fois l?amour comme deux adolescents, ce n?était je reconnais pas très confortable, mais conforme à la volonté d?Odile de ne pas faire ça dans un lit, de plus nous croyant à l?abri des regards quelle ne fût pas notre surprise de voir un visage au carreau pendant notre étreinte. Au lieu de refroidir les ardeurs de ma reine, elle alluma le plafonnier et me demanda de l?enculer, mon dieu à 45 ans je n?avais encore jamais fait cela à une femme et je le lui dis
– Eh bien faut un début à tout !
Et je glissais mon sexe encore tout humide de ses secrétions dans le trou de ses fesses, il y rentra avec quelques difficultés et je sentis pour la première mon sexe coulisser dans le cul de ma bien aimée. Quelques va et viens suffirent à me faire éjaculer, et notre spectateur en fit de même sur les vitres de la voiture avant de disparaître dans la nuit. C?est ainsi que se termina notre soirée, dans les bras l?un de l?autre, au fond d?un lit douillet.
Si notre histoire vous a plu, je vous raconterais la suite.
Paul et Odile