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Le cours de fitness – Chapitre 1

Le cours de fitness - Chapitre 1



Je m’appelle Alexandra, 25 ans. Je suis coach sportif, donc je fais très attention à mon corps dont je suis très fière. Vu les regards des hommes sur moi, je suppose qu’ils apprécient beaucoup. J’ai une poitrine très généreuse, un ventre plat, des fesses bien galbées (grâce au squat), un corps très ferme.

Cependant, malgré mes atouts physiques ça fait presque huit mois que je n’avais rien fait. Au début c’était très difficile, mais après j’ai su faire abstraction de ce manque.

Jusqu’au jour où je devais coacher un client chez lui. Daniel.

Il avait entendu parler de moi par le bouche-à-oreille. C’était un homme haut bien bâti, noir, avec de légères fossettes quand il souriait, avec des locks mi longues. Il était tout à fait mon type d’homme. Il devait avoir entre 30 et 35 ans.

Il m’a donc demandé un rendez-vous.

Le premier rendez-vous est un entretien pour savoir les attentes du client, définir les objectifs, voir combien de séances seraient prévues, et bien sûr discuter du prix. Il m’a aussi demandé "est-ce qu’il serait possible de faire un coaching en groupe ?"

— Bien sûr. Ce serait pour combien de personnes environ ?

— Hummm, je ne sais pas trop peut-être trois en me comptant.

— Si vous êtes tous motivés pourquoi pas.

J’espère que ses amis sont aussi canon que lui. Je me suis presque sentie mouillée. Il faut que je reste professionnelle.

Nous avons donc convenu d’un autre rendez-vous, pour commencer notre première séance, chez lui.

Ma tenue est bien sûr moulante. Un leggings bleu, avec un petit haut noir, avec des baskets. J’avais emmené tous mon matériel (tapis, poids de différents kilo,…). Chez lui il y avait un grand jardin, très bien entretenu, la maison allait très avec son jardin. Une grande maison que l’on voit en général dans les magazines. Je sonnais. J’attendis un moment. La porte s’ouvrit et je le voyais torse nu avec un short large noir et ses baskets. Il veut que je m’évanouisse. J’ai réussi à sortir un petit "Salut".

— Bonjour, allez-y, entrez. Vous n’avez pas eu trop de mal à trouver ?

— Non ça allait. Vous m’aviez bien expliqué. Elle est magnifique votre maison.

C’est vrai, elle était magnifique, ce n’était pas du tout de la simple politesse. L’intérieur était très épuré, avec beaucoup d’espace. Les meubles ont été choisis avec goûts. Je le suivais dans une grande salle de sport très bien aménagée.

Il était seul. Il m’expliqua que ses amis sont intéressés, mais qu’ils attendent son avis sur ce premier cours, avant de s’y mettre.

Pas de soucis pour moi.

Je commençais par lui expliquer comment allait se passer ce cours (étirements, exercices,…). Quand je parlais, au lieu de le regarder dans les yeux, mon regard se promenait un peu partout sur son corps. Je pense qu’il l’a dû l’observer. Je ne suis pas du genre très discrète de ce côté-là.

Je m’installais en face de lui avec mon tapis rouge, et comme prévu on commença par des étirements. Je lui montrai les mouvements, qu’il devait reproduire. Je sentais son regard s’attarder sur certaines parties de mon corps. Mon haut est loin d’être des plus professionnels. Il avait un décolleté, qui ne pouvait qu’attirer l’il. Je faisais comme si je n’avais rien vu et je continuais ma séance. Il me suivait sans problème. Je me dirigeais vers lui pour corriger ses postures, pour que les exercices soient le plus efficaces possible. Je l’entendis gémir de douleur.

— Allez, allez, si vous sentez que ça tire, c’est que c’est bien fait. Si vous voulez des résultats, il faut oublier la douleur.

Je sais que des fois les gens exagèrent sur leur douleur, en pensant me rendre plus cool sur les exercices.

Ca faisait bientôt 10 min, qu’on faisait des étirements là on passait aux exercices. Ca se sentait qu’il faisait du sport, il était très efficace.

— 3,2,1. Allez on reprend, encore une série de 15.

— Plus bas. Encore.

— On fait une pause. C’est bien.

On travaillait en tout depuis une demi-heure. Il transpirait et moi je mouillais.

— Alors la séance pas trop dure ?

— Ca peut aller. Vous êtes méchante quand même.

— Pourquoi méchante ?

— Plus je crie, plus vous forcez sur les exercices.

— N’importe quoi, dis-je en riant.

— Par contre, j’avoue que je ne pouvais pas avoir plus jolie coach.

Je me mis à rougir.

— Merci.

Il enleva son short, qui laissa apparaître un boxer noir. Mais ce qu’il y avait à l’intérieur prouvait que j’avais raison, il me mâtait et pas qu’un peu.

Je ne savais pas où le regarder. La seule chose que j’ai pu lui dire.

— Nous n’avons pas encore fini.

— Je sais. On peut faire une pause.

Je me sentais de plus en plus mal à l’aise.

Il marchait comme ci de rien nétait et moi je me forçais de ne pas trop le regarder.

— Je te sens pas très bien.

— Non, non ça va.

— Tu peux enlever ton bas si tu veux aussi. Me dit-il avec un léger sourire en coin.

— Pourquoi j’enlèverais mon bas ?

— Pourquoi pas ? Si j’ai envie que tu l’enlèves.

Je me mis à rougir encore plus.

Qu’est-ce que je fais ? Je suis de plus en plus excitée. Et pour ne pas du tout m’aider, je le vois enlever son boxer. Là je n’avais aucun doute de ce qui se cachait. Elle était énorme. Je n’avais qu’une envie, la goûter.

Voyant mon hésitation, il s’avança vers moi et m’embrassa. Il prit ma main droite et la posa sur son sexe.

— Je sais que t’en as envie.

Oui, oui, j’en ai très envie. J’ai envie qu’il me prenne là maintenant, qu’il me malmène comme jamais. Mais je suis crispée. Pourquoi ?

Je me mis à le branler. Je sentis ses mains se mettre sous mon haut et ma brassière pour les enlever. Il lécha ma poitrine. Je commençais à gémir doucement. Ses mains descendirent sur mes fesses. Il fit descendre mon bas, assez pour les tripoter, et je sentis ses mains sur ma peau. Il les plaça devant, pour s’occuper de ma chatte. Elle n’était pas très bien rasée. Je pense qu’il a dû être surpris. Mais cela ne l’arrêta pas et commença à enfouir un doigt, puis deux à l’intérieur. Je gémissais de plus en plus.

— Tu mouilles depuis un moment. Me chuchota-t-il. Suce-moi.

Je m’agenouillais, pris son sexe entre mes mains et me mis à le sucer. Son sexe était énorme et bien dur. Je le sentis l’enfouir le plus profond que possible dans ma bouche.

— Ah oui, je savais que t’avais une belle bouche de suceuse.

Là ce n’était plus une simple fellation, il baisait carrément ma bouche. Il prit bien ma tête entre ses mains.

Il retira son sexe de ma bouche, me dirigea vers son canapé, m’allongea dessus de façon à avoir une vue d’ensemble sur mes fesses. Il s’allongea sur moi. Je n’ai même pas vu à quel moment il avait pris un préservatif. Après l’avoir mis il me pénétra. Son sexe s’enfonça dans ma chatte. On se mit à gémir tous deux. Je me mis surtout à crier, mais de plaisir.

Enfin une queue.

Il ne jouait pas du tout avec moi. Ses coups se faisaient de plus en plus fort. Il me retourna, je me retrouvais donc fasse à lui. Il m’écarta bien les jambes et reprit ses va-et-vient. Il continua ainsi pendant un bon moment.

— Je vais jouir. En disant cela il se retira direct en moi, et plaça son sexe dans ma bouche et se déchargea. Son liquide était chaud.

Après tout ça il s’affala sur son canapé et me dit : "je te remercie pour cette séance. Mes potes vont beaucoup t’apprécier, je pense."

Quoi. Il veut que ses potes me baisent aussi.

Je sortis de chez lui. Je rangeais toutes mes affaires dans ma voiture, avant de m’y installer. Je n’arrivais pas à croire ce qui s’est passé.

Je me souviens de sa dernière phrase : "la prochaine mets une tenue beaucoup plus sexy, je veux que mes amis bandent rien qu’en te voyant".

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