Une belle noce,
J’ai toujours habité dans un petit village à proximité de Béziers. L’école élémentaire, le collège, le lycée puis la fac m’ont fait rencontrer des tas de garçons et de filles. Mais de toutes ses amitiés qui se sont faites et défaites parfois, la seule qui m’ait vraiment marqué c’est avec Sophie.
Sophie est ma voisine depuis toujours, nos parents sont amis et nous avons grandit ensembles, fréquentés les mêmes écoles jusqu’à la fac.
Sophie est un an plus jeune que moi, à l’adolescence nous avons eu une petite aventure, quelques baisers, la découverte de nos corps en plein changement. C’était durant les vacances d’été, elle était venue passer quinze jours avec nous en camping à Argeles. J’avais 17 ans, elle 16, nos regards l’un avec l’autre ont changés lorsqu’elle est apparue en maillot pour aller à la plage. Son corps était beaucoup plus femme, ses hanches s’étaient dessinées, ses seins avaient pris du volume. Nos jeux innocents se sont vite traduit par des rapprochements physiques. Un soir en rentrant de la plage nous sommes allés prendre la douche en même temps et sous prétexte de chahuter avec elle je suis entré avec elle dans la même cabine. Nos regards ne faisaient aucun doute sur notre désir commun d’aller plus loin. Nous nous sommes retrouvés dans les bras l’un de l’autre et nous nous sommes longuement embrassés sur la bouche. Je me suis décollé de son corps car une érection déformait mon maillot de bain. Nous avions tous les deux les joues rouges et de son côté je pouvais voir ses seins qui pointaient à travers le haut de son maillot. J’étais là sans bouger, l’air bête. Je brisais ce silence pesant en me retournant pour quitter la douche et en lui disant comme si rien ne s’était passé :
à toute à l’heure.
Stéphane attend ! Me dit-elle en chuchotant
S’il te plait tu peux me montrer…
J’avais très bien compris ce qu’elle voulait voir, mais j’étais trop timide.
Quoi ?
Ben… j’aimerais voir ta queue… Elle était rouge de honte, mais elle avait osé.
Je me retournais face a elle.
Ok, je veux bien, mais a une condition : toi aussi tu me montre..
D’accord
Je baissais mon boxer et d’un coup ma queue raide jaillit à sa vue. Mon sexe est de belle taille, environ 20 cm et ses yeux étaient fixés dessus. Elle défie alors le haut de sont maillot et l’enleva, me laissant voir ses seins bien ronds, fermes avec des tétons qui pointaient dans ma direction. Ne me laissant pas le temps de profiter pleinement de cette vue elle baissa le bas de son maillot à mi-cuisse. Elle le remonta au bout de quelques secondes mais j’avais pu voir sa fente sous une courte toison châtain foncé. Elle se retourna et fit couler sa douche me laissant le sexe à l’air, l’air idiot. Elle avais mis fin à notre petit jeu et j’étais frustré. J’aurais eu l’assurance que j’ai aujourd’hui je me serais jeté sur elle, mais j’étais encore ce jeune homme plein de timidité.
Je remontais donc mon boxer et quittait sa douche qu’elle verrouilla derrière moi. Je ne vous cache pas que je me suis de suite masturbé en passant a ce corps que j’avais découvert au moins des yeux.
Il restait seulement 2 jours au camping et nous en profitions dès que nous étions seul pour nous embrasser. Elle refusait que je la touche et je finis les vacances totalement frustré.
Lorsque nous sommes retournés chez nous ce fût encore pire, elle m’ignora totalement. Elle passait son temps avec ses copines et je nexistait plus pour elle.
Nous avons toujours gardé de bonnes relations mais j’aurais aimé plus. Je l’ai vu devenir femme, son corps était de plus en plus désirable. Nous avions des amis communs et lorsque je la voyais fleurter avec un autre garçon cela me faisait mal. J’étais jaloux.
Le temps a passé, elle a rencontré Marc à la fac de Montpellier. Grand, brun, bronzé et musclé il était le gendre parfait, il semblait attentionné et ils filaient le parfait amour. Du fait qu’elle vivait chez ses parents, je l’ai rencontré plusieurs fois et le courant est bien passé entre nous. Je suis sorti en discothèque plusieurs fois avec eux et d’autres amis.
Un jour, alors qu’elle était en dernière année de fac, Sophie vint me trouver. Son ordinateur portable avait un problème. Ayant de bonne connaissance en informatique je lui dis de me le donner et que j’essaierais de le réparer.
J’arrivais trouvais la panne facilement en réinstallant quelques logiciels. Pris d’une curiosité malsaine, jexaminais les données de son disque dur avec un logiciel qui récupère les fichiers même effacés. Ce fût assez long de fouiller mais ma patience a été récompensé. J’ai découvert un répertoire nommé « Nous2privé » et je sus que j’avais tapé dans le mille ! 219 photos de Marc et Sophie, d’abord assez sage, en balade à la plage. Puis de plus en plus osées, Sophie seins nus, écartant son maillot pour laisser voir son sexe entièrement épilé ou s’exhibant nue sous sa jupe lors de promenade. Puis dans sa chambre et celle de ses parents, tous les deux nus se prenant tour à tour en photo. Et enfin, eux deux en train de faire l’amour dans de multiples positions. C’était tellement chaud de les voir… mais surtout elle, son corps offert, sa chatte ouverte par la queue de Marc. Je ne pus m’empêcher de me branler devant une des photos où Sophie se faisait prendre en levrette. Une partie de mon sperme gicla sur l’ordinateur et je fût obligé de le nettoyer. Tout à mon excitation, j’avais faillis manquer le clou du spectacle, un sous répertoire nommé « vacances à la Guadeloupe ». Seulement une dizaine de photo, mais que du très très chaud ! Dans une chambre d’hôtel, Sophie suçait et baisait avec un black ! Je n’en croyais pas mes yeux ! Les photos avaient été prise par Marc que l’on voyait sur l’une d’elle en train de se faire sucer pendant que le Black la prenait en missionnaire. Je fis une copie des photos sur mon ordinateur pensant que je pourrais les revoir et me branler quand je voudrais.
De mon côté j’ai multiplié les conquêtes sans lendemain. Une première fois loin d’être mémorable avec une fille quelconque et alcoolisée. Puis aventure après aventure j’ai pris de l’assurance, j’aime le sexe et la plaisir qu’il procure. Je me suis découvert dominateur et j’ai bien compris que c’est ce que les femmes adorent. Elles aiment être prises, dominées par le mâle.
Depuis quelques mois je voyais fréquemment Coralie. Une bonne petite chienne qui adorait le sexe comme moi. Mais notre relation n’était basée que la dessus.
Le 25 mars 2012 restera a jamais gravé dans ma mémoire. C’était un samedi après midi et je regardais un match de rugby à la télé avec mon père quand on sonna à la porte. C’était les parents de Sophie qui venaient nous annoncer, le sourire sur le visage, le mariage prochain de leur fille. Mes parents les félicitèrent pendant que de mon côté j’encaissais le choc. Cette annonce m’avait abattu, je pense qu’intérieurement elle était à moi et qu’un jour ou l’autre elle me reviendrait.
Le soir avant de m’endormir je pensais à cette nouvelle quand je me souvins des photos que j’avais subtilisées. J’allumais mon ordinateur et me masturbais une fois de plus, comme par vengeance devant les photos de Marc et Sophie en train de baiser. Je me couchais enfin apaisé et avant de m’endormir une pensée sadique me vint à l’esprit, pourquoi ne pas profiter de ses photos….
Le jour du mariage arriva. Mes parents et moi étions naturellement invités. J’avais pris Coralie avec moi, je pense, pour paraitre moins seul.
L’église, la mairie, des familles heureuses ne me donner qu’une envie c’était de fuir. Je ne pouvais quitter la mariée du regard. Sa robe blanche faisait ressortir ses hanches et pigeonner sa poitrine. Le seul défaut était la marque de bronzage du haut de maillot qui faisaient de traces plus claires sur sa peau dorée. Son bronzage faisait ressortir le blond de ses cheveux qu ’elle colorait depuis quelques mois. Ses yeux bleus pétillaient de bonheur.
J’avais pris mon appareil photo numérique et pour m’occuper je mitraillais la cérémonie, l’apéritif et le repas qui ont suivis. Repas interminable, entrecoupé de sketchs familiaux et de chants plus ou moins grivois. L’apéritif et le repas bien arrosé avait donné de l’entrain à tous le monde et Coralie un peu pompette narrêtait pas de se coller tendrement à moi me proposant de nous isoler un peu pour « me pomper le dard » comme elle dit. Je repoussais gentiment ses avances lui disant que la soirée était encore longue.
A côté de moi, Quentin, mon meilleur ami depuis l’école élémentaire et qui a été en fac avec Sophie a bien vu le manège de Coralie et ayant lui aussi bu un peu plus que d’habitude, me glisse à l’oreille :
Elle est chaude comme la braise Coralie ce soir.
Ouais, elle a trop picolé, mais laisse tomber j’ai mieux a te proposer.
Quoi ?
Tu verras, garde ton portable, je te dirais au moment.
Enfin le repas se termine et après la traditionnelle pièce montée les gens envahissent la piste. Le DJ passe de la bonne musique, très année 80 et je danse un peu en compagnie de Coralie. Puis prétextant l’envie d’uriner je m’échappe.
J’avais vu que Sophie était seule pendant que Marc faisait le tour des tables de sa famille. Je m’assoie à côté d’elle, ayant préalablement pris mon appareil photo avec moi.
Félicitations Sophie, très beau mariage pour une ravissante mariée !
Merci Steph. C’est une excellente journée, je suis ravie !
Justement j’ai pris quelques photos, tu veux les regarder.
Oui avec plaisir.
J’allume mon appareil en mode lecture et lui fais visionner les photos que j’ai pris durant la journée.
Elle commente les photos, puis me demande de les lui copier sur un CD.
Je te ferais ça avec plaisir, mais il y en a que tu as déjà.
Comment ça ? Elle me regarde interrogative.
Je change la carte mémoire et place celle contenant les photos que j’ai volées sur son ordi. Je met en mode lecture et la photo d’elle suçant le black apparait. Son sourire disparait et elle devient livide. Je fais défiler les photos.
Comment… Comment as tu eu ça ?
T’occupes, la seule question que tu dois te poser c’est comment faire pour qu’elles ne soient pas diffusé à toutes tes connaissances. Je suis sûr que ça intéresserait beaucoup de monde !
Noon, tu peux pas faire ça !!..
Rejoins moi dans 20 minutes dans les vestiaires des hommes.
Sur ces derniers mots je l’abandonne à ses pensées la laissant assaillie de questions.
Je vais directement voir Quentin qui sirote un verre de Get27 ne quittant pas Coralie qui se trémousse sur la piste. Elle se déhanche tellement que sa jupe remonte et qu’on peut apercevoir sa culotte. Deux gars dansent à côté d’elle, l’un d’eux est l’oncle de Sophie. Elles est en train de les allumés, quelle salope ! Je massois à côté de Quentin et me sert un verre. Je lui fait un petit briefing, ses yeux s’éclairent au fur et à mesure que je parle. La seule chose qui arrive à dire c’est « Non, c’est pas possible ! »
Fais juste ce que je t’ai dit. A tout de suite.
Je le quitte et vais dans les vestiaires. Le repas est dans la salle des fêtes du village qui sert aussi de salle de sport. Les vestiaires sont inoccupés et on ne sera pas dérangés…
Sophie arrive après quelques minutes, la mine grave et le regard sévère.
Donne moi de suite ces photos ! Qui te les a donnés !
Calme toi ! Je suis le seul a en connaitre l’existence… pour le moment. Alors sois gentille et personne n’en sera rien.
Mais enfin Steph, qu’est ce que tu veux ! Je te comprends pas !
Tu te rappelles il y a quelques années en vacances, dans une douche du camping d’Argeles ?
Euhh oui et alors ?
Ben voilà je veux juste ce que tu ne m’as pas donné à ce moment là.
Mais… on était des ados, je voulais juste…
T’inquiètes moi aussi je veux juste…
Quoi ?
Je veux que tu me suce, ce que tu aurais du faire il y a 10 ans. En plus depuis tu t’es bien entrainée vu les photos !
Tu es qu’un salaud ! Jamais je ne ferais ça !
Penses aux photos… E plus me traiter de salaud toi, qui suce et baise avec un inconnu en vacances…
On avait bu… c’était un accident..
Ça suffit, si tu veux pas ,j’envoie les photos à toutes tes connaissances a commencer par tes parents !
L’argument porte et elle baisse la tête résignée. J’en profite pour dégrafer mon pantalon et sortir ma queue.
Allez, juste une petite pipe ! Dé pêche toi les gens vont s’apercevoir de ton absence !
Elle s’agenouille devant moi et prends ma bite dans sa main, la branle un peu. La douceur de sa peau me fait durcir instantanément. Je lui appuis sur l’arrière de la tête lui indiquant ce que je voulais. Elle s’approche et engloutit ma queue. Le pied total, mon fantasme devenu réalité me faire pomper par Sophie !
Je garde néanmoins les idées claires et prend mon portable, je compose un SMS, simplement « Ok » que j’envoie à Quentin.
Quelques secondes plus tard il rentre discrètement dans le vestiaire mon appareil photo à la main. Avant qu’elle n’ait pu réagir Quentin nous prend, ma bite profondément enfouie dans la bouche de Sophie. Elle essaye de se dégager mais d’une main sur la tête je l’empêche de reculer.
Tais-toi et continue sinon il y aura cette photo en plus à envoyer. Et celle là, je suis sur que Marc appréciera : toi en robe de mariée en train de pomper une queue qui n’est pas la sienne.
Salaud ! Ma queue l’a empêché darticuler mais j’ai bien compris ce qu’elle me disait…
Tais toi et suce, grosse pute !
Résignée elle se remet à me pomper le dard comme dirait Coralie. Elle sait y faire et s’applique bien. Sa langue tourne autour de mon gland et je suis prêt a exploser. Quentin continue de faire des photos tout en se touchant le sexe à travers son pantalon. Je lui fais signe de sassoir sur le banc à côté de nous.
Je retire à regrets ma verge de la bouche chaude de Sophie et la regardant droit dans les yeux.
Tu vas aussi pomper Quentin, lui aussi a envie de ça depuis longtemps !
Non… s’il vous plait !..
Je la fais pivoter et elle se retrouve nez à nez avec la queue de Quentin. Il prend sa tête entre ses deux mains et la guide jusqu’à sa bouche. Elle ouvre sa bouche et suce sa deuxième bite de la soirée.
Je récupère l’appareil photo et fais quelques clichés, c’est superbe, elle qui résistait pompe la bite de Quentin goulument, léchant le gland puis engloutissant profondément sa tige au fond de sa gorge.
Je me place derrière Sophie et remonte sa robe blanche. Je lui pose le tas de voilages sur son dos, mais ils ne tiennent pas, j’appuie sur son dos et elle se cambre plus tout en essayant de parler.
Mmmm..
Je comprends qu’elle désapprouve mais au point ou on en est !
Le spectacle est sublime ! Bas blanc, porte jarretelle blanc et string assorti. Je prends une photo. La corole de sa robe avec au centre ses fesses bien tendues séparées par le string, et les porte jarretelle passant sur chacun de ses globes charnus ! Ma verge est tendue au maximum ! Cette vision est plus qu’excitante ! Le seul bémol est encore la marque de bronzage de son slip de bain, elle aurait pu bronzer en string !
J’approche ma main et baisse son string. Son anus et sa fente parfaitement épilés apparaissent devant mes yeux. Je suis aux anges le plus beau cul que j’ai jamais vu !
Elle se débat et roule des hanches comme pour m’en empêcher.
Noon, s’il te plaît pas ça, pas aujourd’hui !
T’inquiètes, je respecte le mariage, je vais pas te baiser, sois gentille et laisse toi faire !
Je commence à toucher sa fente et je trouve son bouton que je fais rouler entre mon pouce et mon index, elle gémit et je continue d’agacer son clitoris. Elle halète carrément et est au bord de la jouissance. Sa mouille dégouline sur mes doigts.
Je remonte mon majeur le long de sa fente et le place sur sa rondelle, elle se tortille pour se dégager mais j’appuie un peu et rentre la première phalange.
Elle s’arrête de pomper pour me dire d’un voix teintée de crainte :
Non, s’il te plait pas ça.
Quentin ne voyant pas ce qu’il se passe m’interroge.
Qu’est ce que tu lui fais ?
Je viens de lui mettre un doigt dans le cul et je la prépare pour l’enculer !
Quentin me regarde d’un air surpris, c’est vrai que je lui avais dit qu’on se ferait pomper mais pas que j’allais la sodomiser.
Noon, s’il te plait, pas par là, je l’ai jamais fait, par le vagin si tu veux !
Je t’ai dit que je respectais le mariage, ta chatte c’est pour ton mari tout à l’heure. Mais comme j’ai trop envie de te prendre, je vois que ton petit trou.
Noon, s’il te plait, tu me baiseras un autre….
Quentin ne lui laisse pas finir sa phrase et lui fais avaler sa queue au plus profond de sa gorge manquant l’étouffer.
J’en profite pour récolter de la cyprine qui coule de sa fente pour lui en badigeonner son petit trou. Je glisse un deuxième doigt à lintérieur et les fais tourner pour élargir son orifice. Elle gémit mais arrête de se tortiller me laissant travailler à ma guise.
Lorsque je sens que ses muscles sont bien détendus, j’enduis ma queue de salive. Je présente mon gland devant son anus. Je pousse mais j’ai du mal a m’introduire, elle est tendue comme un arc.
Détend toi,ça va aller tout seul…
Je la prend par les hanches et pousse lentement, mon gland franchit le barrage inviolé et pénètre son conduit anal.
Elle pousse un cri étouffé par la bite de Quentin qui a compris ce qui venait de se passer.
Je continu a pénétrer son cul millimètre par millimètre jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses. Je commence a me retirer tout aussi lentement, je sens son conduit s’ouvrir de plus en plus et desserrer l’étreinte autour de ma bite.
Tu ne mentais pas, tu étais vraiment vierge du cul ! Tu es bien étroite, le passage sera fait pour Marc comme ça !
Ma remarque n’a pas l’air de lui faire plaisir.
Je continue mes pénétrations lentes, de toutes la longueur de mon sexe au paroxysme de l’érection. Je me retiens plusieurs fois d’éjaculer dans son cul.
Son orifice enfin bien élargi j’amplifie mes mouvements, je pénètre plus loin, plus fort faisant cogner mes couilles sur sa fente.
Elle gémit, se cambre mais cette fois cela ne semble pas être de douleur. La salope commence a aimer ça ! Je n’en crois pas mes yeux !
Au bout de deux à trois minutes de défonce annale, je la sent tressaillir, vibrer. Elle vient d’avoir un orgasme. J’entends le petit râle de Quentin en train d’éjaculer dans la bouche de Sophie. Je continue mes mouvements quelques secondes, puis, sentant la jouissance arriver je sors ma queue et la présente devant la bouche de Sophie. Elle a une faible hésitation mais devant ma détermination ouvre ses lèvres et l’engloutit. Instantanément je décharge mon foutre au fond de sa gorge. Elle a du mal a tout avaler mais je retiens sa tête jusqu’à ce qu’elle ai bu la dernière goutte. Je massois sur le banc a côté de Quentin, complètement vidé par cette jouissance.
Sophie se relève, remonte son string passe sa main dans ses cheveux pour se recoiffer puis me regarde dans les yeux.
C’est bon tu as eu ce que tu voulais ! Maintenant promets moi de détruire les photos.
Oui, merci j’ai bien aimé te sodomiser et tu as eu l’air dapprécier aussi ! Pour les photos je te promets de ne pas les diffuser à qui que ce soit. Tu devrais te dépêcher de rejoindre ton mari il va s’inquiéter !
Tournant les talons elle se dirige vers la porte puis se retourne.
J’y vais mais pas un mot de ce qui s’est passé, ok ?
Pas de souci, par contre, dès que je le voudrais tu viendras te faire baiser par moi et par Quentin, compris.
Ok, puis avec un moment d’hésitation, avec plaisir.
Elle quitte la pièce avec le sourire. Je regarde Quentin d’un air complice et entendu. Il me dit :
Putain quelle salope !
Tu sais je pense que tout les femmes sont comme elle, une fois les principes et la morale dépassés elles se livrent comme de vrais femelles.
Sur cette théorie toute personnelle, nous nous levons pour regagner la salle du mariage.
Nous regagnons notre place à la table et nous nous servons un Get27. Je trinque avec Quentin en regardant Sophie danser un slow langoureux avec Marc. S’il savait qu’il y a dix minutes j’enculais sa femme pendant qu’elle suçait Quentin ! J’ai un sentiment de culpabilité vis à vis de lui. Sentiment qui dure à peu près trois secondes…
Quentin me sort de mes pensées.
Et Coralie elle est passée où ?
C’est vrai que je ne la vois pas ni sur la piste ni dans la salle.
Je vais voir, elle doit être aux toilettes.
Je me rends aux toilettes des femmes. Une charmante jeune fille en sort, Virginie, la sur de Marc. Elle semble un peu alcoolisée et me fait un sourire charmeur.
Tu n’aurais pas vu mon amie Coralie ?
Non, mais si tu ne la retrouves pas je suis là.
Je la regarde dans ses yeux troubles.
Ok, j’y penserais !
Encore une que l’alcool rend chaude comme la braise. Il est vrai que baiser la toute nouvelle femme et la petite sur de Marc le jour de son mariage… n’y pensons plus…
Je continue mes recherches autour de la salle, prendre l’air me fait le plus grand bien.
Derrière la salle sont garés quelques voitures et la camionnette du traiteur. J’entends des voix sourdes et m’approche de là dont provienne les sons.
Quelques mètres plus loin entre deux voitures je vois deux hommes et une femme. Les deux hommes sont debout et la femme entre eux est penchée. M’approchant un peu plus je vois que la femme a la jupe relevée sur ses hanches et que le gars derrière lui est en train de la baiser pendant qu’elle suce celui qui est devant lui. Celui qui la baise a des mots très crus
Tiens prends ça grosse salope, tu aimes te faire défoncer la chatte !
Me rapprochant encore, je distingue que le baiseur n’est autre que l’oncle de Sophie. Dans le même temps je reconnait les fringues et la chevelure noire et frisée de Coralie. La salope, elle gémit sous les coups de boutoir de cette homme qui a au moins quinze ans de plus qu’elle. Je ne reconnais pas le deuxième gars, plus jeune, qui se contente d’appuyer sur la tête de ma copine pour bien se faire pomper. Je connais sa technique, c’est une bonne suceuse et le gars en profite bien. Je suis à quelques centimètres derrière l’oncle qui s’active toujours tenant Coralie par les hanches et la ramonant bien profond. Il se rend tout à coup compte de ma présence et arrête soudainement ses mouvements surpris et inquiet.
Je lui pose la main sur l’épaule et lui dis à l’oreille :
Vas y défonce la bien elle adore ça.
Il reprend ses mouvement de plus belle. A chaque coup de boutoir Coralie est projetée en avant et engouffre la queue qu’elle suce au plus profond de sa gorge. Elle gémit, râle. Celui qui se fait sucer se tend et je comprends qu’il est en train de se vider les couilles au fond la gorge de ma copine. Suivi de peu de l’oncle de Sophie qui éjacule dans sa chatte. Je constate rassuré, lorsqu’il retire sa verge du vagin trempé de Coralie qu’il a mis une capote. Je vois la chatte trempée de Coralie totalement ouverte, sa cyprine dégouline le long de ses cuisses.
Maintenant qu’ils ont fini de baiser les deux hommes sont quelques peu embarrassés. L’oncle rompt le silence en bégayant quelque peu :
Je… on…
Je le coupe net pour le rassurer.
C’est bon, il n’y a pas de problème ne vous inquiétez pas. Je comprends totalement, elle avait envie, vous aussi, y a pas de souci.
Entendant ma voix Coralie sursaute, elle se retourne vers moi. Elle essuie sa bouche d’un revers de main pour enlever les dernières gouttes de sperme qui se trouve aux bords de ses lèvres.
Je la sens elle aussi anxieuse quand a ma réaction.
Ça va ma chérie (je n’emploie jamais ce terme mais vu les circonstances), tu t’es bien fait baiser par ses messieurs ?
Euhh, oui
Tu ne les remercie pas ? On dirait une collégienne prise en faute.
Euhh, oui merci.
Elle s’essuie l’intérieur des cuisses avec un mouchoir en papier et je la prend par la main pour la reconduire dans la salle. Sur le trajet nous faisons plus ample connaissance avec Philippe, l’oncle de Sophie et David, un cousin de Marc.
Coralie s’assoie avec Quentin et moi, il me demande à l’oreille.
Elle était où ?
Elle se faisait tringler par deux mecs sur le parking…
Il me regarde médusé, j’avais dit ça sur un ton normal comme si j’avais dit qu’elle était aux toilettes.
Ça te dérange pas ?
Pas vraiment, elle est libre de faire ce qu’elle veut et moi aussi. De plus comme elle va quand même culpabiliser je pourrais lui demander plus…
Je me lève et vais inviter la sur de Marc a danser. C’est encore les slows et je veux un peu en profiter.
Je l’entraine sur la piste et me colle contre son corps. Elle a dix neuf ans, soit six de moins que moi mais son corps est pulpeux comme je les aime. Je plaque mon torse contre elle pour bien sentir la rondeur de ses seins. Elle semble un peu saoule mais sourit au contact de mes mains sur le creux de ses reins.
Nous discutons de tout et de rien, de son frère qui a trouvé une femme parfaite (effectivement j’en suis témoin). Puis le slow arrivant à la fin, je lui glisse à l’oreille :
Avec ma copine on va finir la soirée chez mon copain, ça te dit de venir ?
Elle cherche mon regard interrogative pour en savoir plus.
Juste boire un verre pour terminer la soirée.
Ok, je préviens mes parents que je pars et je vous rejoins sur le parking.
Je regagne ma place entre Quentin et Coralie et explique a ce dernier l’invitation que j’ai lancé. Ses yeux s’éclairent et comprends mes intentions, il ne demandait que ça.
Son appartement dans un petit immeuble du village sera parfait pour pouvoir baiser toute la nuit.
Nous prenons congé des mariés, lorsque je croise le regard de Sophie j’image de sa bouche en train de me sucer me passe devant les yeux. Je vois qu’elle aussi a les mêmes pensées. Je lui fait la bise et lui souhaites encore une fois tout mes vux de bonheur.
Je prends ma voiture avec Coralie et Quentin celle de Virginie qui ne semble pas en état de conduire.Pendant les quelques kilomètres qui nous séparent de l’appart de Quentin, Coralie essaie de se justifier sur sa conduite de tout à l’heure.
Je lui dit de ne pas s’inquiéter, que ça m’avait bien excité de la voir se faire baiser par deux mecs. Elle est rassurée et j’en profites pour lui dire que j’avais bien l’intention de baiser avec Virginie si cela ne la dérangeait pas. Elle ne ppeux faire autrement que de dire oui vu les circonstances.
Arrivé à l’appart, Quentin met de la musique d’ambiance, un éclairage feutré et nous nous installons sur le canapé. Je suis placé entre Coralie et Virginie. Quentin après nous avoir servi un verre de Get à chacun s’installe dans le fauteuil en face de nous. Nous discutons mariage, fringues des invités…
Les deux filles sont en robe et l’alcool et l’ambiance les ayant aider a se décontracter elles sont a demi allongées sur les accoudoirs du canapé, sirotant leur GET. Je vois les regards de Quentin qui va des cuisses de Coralie à celle de Virginie. Effectivement, les filles sont bien à l’aise et leurs jambes légèrement écartées doivent laisser deviner leurs dessous. De ma position j’ai même une vue sur le décolleté de Virginie et je devine le galbe de sa poitrine. Sa robe est un peu remontée et je me dis que Quentin doit se régaler. J’interrompt la conversation.
Quentin, Coralie peut utiliser sa douche elle se sent un peu sale.
Coralie qui n’a rien demandé est un peu surprise mais elle se sait souillée par d’autres hommes aussi elle se lève et suit quentin qui lui indique ou se trouve la salle de bain.
Lorsque Quentin revient je lui fait le récit de ce que j’ai vu sur le parking avec force détail, comme si Virginie n’était pas là. La prenant quelques fois à témoin.
Je les ai surpris entre deux voitures. Deux gars qui la baisait. Tu te rends compte Virginie ?
Euh.. oui. Virginie est visiblement gênée par mon récit.
Elle suçait une queue pendant que le mec la prenait en levrette. A grands coups de reins. Il la traitait de salope et elle aimait ça ! Quand le gars qui lui défonçait la chatte m’a vu il était gêné. C’est la moindre des choses hein Virginie ?
Oui. Elle répond parce qu’elle est obligée mais le récit que je fais commence à l’émoustiller. Elle frotte ses jambes l’une contre l’autre et ses mains nerveusement sur ses cuisses. Sa respiration est plus saccadée et elle attend la suite de l’histoire.
Celui qu’elle pompait lui a carrément éjaculé dans la bouche ! L’autre a jouit dans sa chatte, heureusement qu’il avait un préservatif. C’est important de se protéger hein Virginie ?
Oui, c’est sûr. Ma dernière phrase a fait monter son excitation encore d’un cran, a un moment elle a même soupiré en fermant les yeux. Même Quentin semble excité.
C’est a ce moment que Coralie revient de la douche. Elle a remis sa robe mais je vois que ses seins sont libres et pointent sous le fin tissus noir.
Viens tassoir, je racontais tes aventures sur le parking.
Coralie reprend sa place a côté de moi.
Raconte à Quentin ce que vous avez fait.
Elle est gênée, apparemment la douche l’a fait complètement désaouler.
En fait,… j’avais un peu bu et ces deux gars me collaient un peu. J’avais chaud et ils m’ont proposé d’aller prendre l’air…
Vas y continue.
Ben là, ils ont commencés à me peloter, un derrière moi l’autre devant. Puis ils m’ont dit qu’il valait mieux se mettre un peu à l’écart parce qu’on risquait de nous surprendre, voilà…
Allez continue, la suite…
L’ambiance dans la pièce a viré du chaud au torride. Venant de la bouche de Coralie, le récit excite tout le monde. Même elle, la première gêne passée semble prendre plaisir a raconter ses exploits.
Quentin n’en peu plus d’attendre.
Allez quoi vas y continue.
On s’est un peu éloignés dans un coin plus sombre. Entre deux voitures, ils se sont remis a me peloter, celui qui était derrière moi me caressait les seins et celui de devant a remonter ma robe sur mes hanches.
A ce moment je place ma main droite entre les cuisses de Coralie la forçant a les écarter. Cela fait remonter sa robe et je constate qu’elle n’a plus de culotte non plus. Quentin a les yeux écarquillés. De sa place il doit voir la fente de ma copine et il apprécie la spectacle. Coralie se laisse admirer. Je sais qu’elle aime s’exhiber et pour le coup la situation lui convient.
Celui qui était derrière moi a sorti mes seins et titiller les pointes, l’autre a glissé une main dans string et ma mis un doigt dans la chatte.
En disant cela, Coralie avance ses fesses jusqu’au bord du canapé écartant encore un peu plus ses cuisses. Même moi qui suis a côté d’elle je peux voir ses lèvres intimes. Je me tourne vers Virginie qui le souffle court regarde elle aussi en direction de la chatte de Coralie. Lorsqu’elle s’aperçoit que je la regarde elle détourne le regard.
Tu peux regarder Virginie, y a pas de mal. Coralie est très excitée par ce qu’elle nous raconte comme nous tous je penses, c’est naturel.
Oui, c’est vrai que c’est chaud, je sais pas si j’aurais osé faire ça !
Enfin elle se lâche, elle vient d’avouer son excitation.
Désolé de t’avoir coupé, continue ton histoire.
Ensuite on a baissé mon string et les quatre mains allaient de mes seins à mes fesses, mon sexe, je ne savais plus qui faisait quoi. J’avais deux doigts dans ma chatte et je mouillais beaucoup.
Comme en ce moment ?
Oui, comme en ce moment.
J’en profite pour introduire un doigt dans la chatte de Coralie que je ressort trempé, elle ferme les yeux quelques secondes et soupire. Quentin et Virginie ne manquent pas une miette du spectacle.
Celui qui était devant moi a pris ma main et la posé sur sa braguette. Je l’ai descendu et j’ai pris son sexe dans ma main et je l’ai masturbé.
Quentin vient tassoir avec nous, on va te faire de la place.
Nous nous serrons un peu et Quentin s’installe au bout du canapé a coté de Coralie. Pour lui laisser de la place elle doit refermer ses cuisses.
Tu en étais où ?
Je masturbais l’homme en face de moi…
Tu veux pas nous montrer comment tu faisais, ce sera plus compréhensible pour tout le monde.
Euh… Elle n’ose pas se lancer.
Vas y… avec Quentin, moi je vous ai vu, il comprendra mieux…
Elle me regarde puis sa main droite part vers la braguette de mon ami. Elle la lui descend, pour l’aider il baisse son pantalon sur ces cuisses. Elle plonge sa main dans le boxer et saisit sa queue déjà raide et commence à la branler de haut en bas régulièrement. Virginie s’est penché pour voir, elle passe sa langue sur ses lèvres. Tout en regardant moi aussi, je saisit la main de Virginie et la pose sur ma braguette lui faisant sentir mon sexe bandé. Je la lâche et elle laisse sa main sur ma braguette et commence a malaxer ma bite a travers le pantalon.
L’air de rien regardant en face d’elle Coralie continue son récit.
Ensuite celui qui était derrière moi m’a fait pencher en avant. Celui de devant a mis sa queue sur mes lèvres et je l’ai sucer. Pendant ce temps l’autre s’est agenouillé et ma lécher la chatte. Il m’a dit que j’étais trempée et que j’étais une vraie chienne.
Je saisit le genoux gauche de Coralie et lui pose la jambe sur mes genoux ouvrant ainsi ses cuisses. Quentin glisse sa main entre les cuisses offertes de ma copine qui pose sa jambe droite sur les genoux de Quentin. Elle est entièrement offerte. Sa chatte ruissèle de mouille. Et tandis qu’elle continue à la branler Quentin remonte sa main jusque sur la chatte de Coralie qui pousse un long soupir. Virginie se penche un peu plus pour pouvoir regarder ce que font les doigt de Quentin sur la fente imberbe de Coralie. Se faisant elle écarte les jambes et j’en profite pour placer ma main et remonter jusqu’à son string que je trouve trempé. Elle frémit et écarte un peu plus les jambes me donnant ainsi accès à sa fente. Je passe un doigt sous l’élastique et l’introduit entre ses lèvres intimes. Elle se mord les lèvres et tremble, elle vient de jouir. De mon autre main je descend ma braguette et comprenant ce qu’elle doit faire Virginie sort ma queue dressée et la caresse lentement.
Je sucais toujours la queue du mec devant moi, l’autre s’est relevé et j’ai senti son gland appuyer sur ma fente, je lui ai demandé si il avait mis une capote il m’a dit que oui. Il m’a pénétrée d’un coup me tenant fortement par les hanches. Il m’a baisé pendant de longue minutes et j’ai jouis deux fois. Celui qui était devant a éjaculé dans ma bouche et j’ai du avaler son sperme. Puis l’autre a éjaculer dans mon ventre… voilà après j’ai vu Stéphane qui nous regardais…
L’excitation est au maximum les filles sont trempées et nos queue bien bandées. Le silence est un peu pesant et je glisse à l’oreille de Coralie mais de façon a ce que tout le monde entende « suce le ». Obéissante elle se penche et engloutit la verge de Quentin dans sa bouche. Il pousse un soupir de plaisir. Pour se faire Coralie s’est mise à genoux son cul tourné vers Virginie et moi. J’introduis un doigt dans sa chatte puis lui écarte ses lèvres avec deux doigt. Virginie me regarde faire avec attention. Je saisis alors la main qui me branle et la dirige vers la chatte de ma copine. Elle résiste un peu puis devant mon insistance sa main viens au contact de la chatte trempée. Son doigt parcours la fente puis elle l’introduit doucement dans le vagin de Coralie qui soupire. Je regarde Virginie, me glisse sous son bras et m’agenouille entre ses cuisses. Je lui ôte son string trempé et découvre sa chatte couverte de poils ras et bien taillés. Je plonge ma tête entre ses cuisses colle mes lèvres a sa fente et de ma langue je récolte sa mouille. J’adore le gout de sa chatte, légèrement sucré. Je remonte une main jusqu’à sa poitrine, tire un peu sur la robe, fais glisser la bretelle de son soutif et fait jaillir son seins droit. Je fais rouler sont tétons dressé entre mon pouce et mon index, elle gémit de plus belle. Je remonte ma bouche sur le haut de sa fente et titille son clito du bout de la langue. En levant les yeux je vois son visage crispé de plaisir et deux de ses doigt qui vont et viennent dans le con de Coralie. Elle tressaute et jouit une nouvelle fois, inondant mon visage de cyprine. Je la prends par la main, la fait se lever et je la couche sur la table basse les genoux au sol en levrette. Je place mon gland à l’entrée de sa chatte et m’introduis en elle d’un coup. Elle gémit et commence a pousser de petits cris. Je fais des va et vient dans sa chatte serrée.
hmmmm oui, c’est bon…. continue…
Je jette un regard vers Quentin et Coralie. Elles est toujours assise les fesses au bord du canapé. Elle tient ses jambes sous les genoux dans une posture des plus impudique. Quentin a genoux, est en train de la baiser, de la défoncer à grands coups de reins. Elle aussi pousse de petits cris et encourage son baiseur à la défoncer plus fort.
Je me reconcentre sur le petit cul de Virginie. Je la tiens par les fesses. Je les lui écarte des deux mains. Je vois ma bite rentrer et sortir de sa chatte. Elle est tout luisante de sa mouille. Je vois aussi son petit trou étiré par mes deux mains. Elle se met a trembler une troisième fois en râlant de bonheur. Cela m’excite au plus au point. J’ai bien envie de l’enculer…
Quentin tu as du lubrifiant.
Oui j’en ai, tu peux pas attendre un peu ?
Non, s’il te plait…
Quentin s’interrompt le temps d’aller chercher le tube de lubrifiant qu’il me tend avant de replonger sa queue dans la chatte de ma copine.
Je continue a baiser Virginie. Je prends le tube et verse du produit entre les fesses de la jeune fille, elle semble un peu surprise par le froid du liquide.
hmmm… qu’est ce que tu fais ?
Laisse toi faire, ça va aller….
J’étale le lubrifiant dans sa raie avec mon index m’attardant sur son anus. Puis doucement je pousse un peu et commence a introduire mon doigt dans son cul.
Elle se tourne vers moi avec de la crainte dans le regard.
Je.. je l’ai jamais fait…
Fait quoi ?
Par là…
Laisse moi faire tu vas aimer, tu as l’air bien douée pour le sexe et ça ça en fait parti…
Doucement alors…
Sur ce consentement, j’introduis un deuxième doigt en forçant un peu. Puis quand son anus c’est un peu dilaté je les fais tourner lentement élargissant son orifice. Elle se laisse faire attentive a ce que je fais. Son petit trou semble très accueillant et s’élargit facilement, elle a du potentiel cette petite salope.
Je prends une noisette de gel et la met sur mon gland, je l’étale avec mes doigt puis passe le tube à Quentin qui semble suivre mon exemple.
Pour Coralie pas besoin de préparation tu peux l’enculer direct, elle a l’habitude et elle aime ça !
Quentin enduit également sa verge et la présente devant l’anus de Coralie. Je fais de même avec Virginie. Elle est tournée vers eux et vois la queue de Quentin s’introduire lentement dans le cul de Coralie. J’attends qu’il soit complètement dans le cul de ma copine et pousse mon gland contre lillet de Virginie. Elle est tendue mais la préparation plus ses prédisposition naturelle font que mon gland passe le bourrelet anal sans trop forcer. Elle pousse un soupir que je traduis comme du soulagement. Je m’enfonce lentement dans ses entrailles. Son cul serre bien ma queue et je dois me retenir pour ne pas exploser.
De son côté Quentin donne de grands coups de boutoir pendant que Coralie au comble de la jouissance crie des mots vulgaires.
Oui vas-y défonce moi le cul… encule moi bien profond… plus fort… c’est ça…éclate moi le cul…
Avec Virginie je prends un peu plus mon temps laissant son conduit s’élargir et épouser la forme de ma bite.
Au bout de quelques va et viens elle tourne son visage vers moi et avec un large sourire me lance :
Vas y défonce moi, encule moi fort…
Joignant le geste à la parole elle écarte ses fesses de ses deux mains ouvrant encore plus son cul.
Je n’y crois pas, ses mots sortant de la bouche d’une jeune fille à l’air si sage. Comme quoi on est toujours surpris par la nature humaine.
Je saisis les hanches de Virginie et m’enfonce d’un coup au plus profond de son cul. Elle pousse un long cri.
Ahhhhhh… oui comme ça vas y….
Je me retire lentement et m’enfonce de nouveau d’un coup sec lui tirant un nouveau cri de douleur et de plaisir mêlés.
Puis n’y tenant plus je donne de grands coups de reins faisant claquer mes couilles sur sa fente. Je la défonce pendant quelques secondes et m’écroule sur elle, mon sexe crachant de long jets de semence au plus profond de ses entrailles. Son corps est parcouru de tremblement preuve d’une nouvelle jouissance. Elle garde les yeux fermés et le sourire sur son visage reflète le bien-être qu’elle éprouve à ce moment.
Il nous faut quelques minutes pour sortir de notre torpeur. Je constate que Coralie et Quentin nous observent assis sagement sur le canapé et discutant de la performance de Virginie.
Nous nous asseyons tous les quatre serrés les uns contre les autres nus et physiquement satisfaits. Nous restons quelques minutes comme ça puis Quentin propose de dormir là, nous nous regardons tous les quatre dans l’attente d’une décision. Je me décide à rompre le silence :
On va vous laisser la chambre, Virginie et moi on va dormir sur le canapé…
Ok, réponds Quentin en prenant Coralie par la main qui me sourit en franchissant la porte du salon.
Nous nous endormons en quelques minutes serrés l’un contre l’autre en chien de fusil, ma queue contre les fesses de Virginie. Jeus une dernière pensée pour Marc et Sophie qui je l’espère ont passé une aussi bonne soirée que nous.
Ce fût vraiment de belles noces….
Par "Récits d’Yves" – Vos commentaires sont les bienvenus
