Histoires de baise Histoires de sexe voisins

Infirmière à domicile (One Shot) – Chapitre 1

Infirmière à domicile (One Shot) - Chapitre 1



Nous avons réservé une petite chambre d’hôtel pour la nuit. Je t’ai demandé de te déshabiller et de te mettre rapidement au lit car j’ai une petite surprise pour toi. De mon côté, je suis dans la salle de bain, et après avoir pris une douche j’ai enfilé un petit cosplay d’infirmière acheté récemment  ; sans sous-vêtements, c’est évident. Ce cosplay comporte la petite robe bien moulante avec une fermeture Éclair sur le devant, la petite coiffe, et le faux stéthoscope. Je me prépare le mieux et le plus rapidement possible, vérifie mon décolleté afin de bien mettre mes seins en valeur. Ça y est, je suis prête ; allons faire mes soins.

Je frappe doucement à la porte ; tu m’invites gentiment à entrer, ce que je fais aussitôt, et te vois sous la couverture, bouche bée et les yeux pétillants lorsque j’apparais devant toi dans mon costume. Avec un petit sourire, je m’approche de toi et me penche légèrement en avant afin de t’offrir une jolie vue sur ma poitrine.

Bonsoir, Monsieur. J’ai appris que vous avez des problèmes; de quoi souffrez-vous ? Je vous en prie, parlez sans crainte, je suis une professionnelle : tout ce que vous direz ne sortira jamais de cette pièce.

Tu m’expliques en bafouillant que parfois tu as comme des bouffées de chaleur. Tu as souvent des palpitations, surtout lorsque tu vois une très jolie femme comme c’est le cas maintenant, et tu sens que ton cur bat la chamade. Je rabats un peu la couverture afin de t’ausculter avec mon faux stéthoscope que je passe sur ta poitrine ; en effet, je crois constater une accélération de tes battements de cur.

Je pense avoir déjà une toute petite idée du mal dont tu souffres, et je te demande sil y a autre chose que je devrais savoir. Après tout, plus j’en saurai, plus mon traitement se montrera efficace. Tu m’expliques que, comme pour accompagner ces symptômes, ton sexe devient rapidement dur et dressé. Ah oui, en effet, je crois qu’avec toutes ces précisions et si j’en juge à la bosse au niveau de ton entrejambe qui déforme la couverture je pense être en mesure de savoir ce que tu as… Seulement, y a-t-il autre chose ? Non ? C’est déjà pas mal.

Je vais devoir palper tout ça afin vérifier que rien ne cloche. Je rabats la couverture et découvre un superbe sexe en érection qui me met l’eau à la bouche. Je le palpe un petit instant et commence à faire quelques lents va-et-vient. Lorsque je vois ton visage qui se déforme sous le plaisir, tout est clair : je sais dès à présent de quoi tu souffres. Je te l’explique, te rassure en te disant que ce n’est pas grave, mais que je vais devoir te faire subir un traitement qui n’en n’est encore qu’au stade expérimental. Si tu éprouves la moindre gêne ou douleur, il faudra m’en avertir immédiatement. Tu me donnes ton accord.

Je jette mon stéthoscope sur le lit, prends doucement ton membre viril, chaud et palpitant en main, et je te caresse quelques instants avant de me pencher en avant pour débuter une très douce fellation. Une de tes mains se pose sur ma nuque pendant que ton sexe est léché, caressé, aimé. Je le sens vibrer lorsqu’il entre dans ma bouche. Quel goût merveilleux ! J’ai commencé à te sucer avec la plus grande délicatesse lorsque je sens ma petite chatte rasée devenir tout humide.

Ton autre main libre caresse doucement mes fesses et l’interieur de mes cuisses. Oh non ! Je crois avoir sous-estimé ce mal, et il est contagieux, qui plus est. Bon, la dernière des choses à faire est de céder à la panique. Je stoppe immédiatement ma petite caresse afin de t’expliquer que j’ai peut-être été contaminée par le mal dont tu souffres actuellement, et la seule façon de nous en guérir est de pratiquer un 69. Tu acceptes ? Merci beaucoup pour ta confiance ; c’est très agréable, et je saurai me montrer à la hauteur.

Je me place à califourchon sur toi, et je suis à peine installée que ta bouche affamée se précipite sur ma vulve trempée. Ouuuuuh, dis donc, mais quel appétit ! Est-ce mon début de traitement qui t’a fait cet effet, ou est-ce ta maladie qui te rend aussi… ? Oh, à vrai dire, peu importe ; si je ne fais rien, ton mal peut s’aggraver, alors je me dois d’agir en vraie professionnelle de la médecine.Nous nous dégustons longuement. Ta bouche me dévore, me suce, me boit ; la mienne n’est pas en reste, car en plus de t’aspirer, ma langue lèche ton prépuce humide d’où perle ton fluide délicieusement âcre.

Ta langue humide et chaude se débrouille tellement bien que je n’arrive plus à me concentrer sur mes caresses : je suis obligée de m’arrêter, c’est beaucoup trop fort pour moi, je sens que je vais pas tarder à jouir. Une petite claque sur les fesses me rappelle à l’ordre et me redonne le courage de continuer à prodiguer mes soins intensifs. Je ne tiens plus très longtemps sous ton expertise, et un puissant orgasme me terrasse, suivi rapidement d’un second.

J’ai tellement envie de t’embrasser, de sentir ton corps contre le mien… Je me relève du lit, et d’un seul, rapide et unique "zip", j’ouvre complètement ma petite robe sans l’enlever : je sais que tu trouves qu’une femme est plus sexy lorsqu’elle n’est pas complètement nue. Je remonte sur le lit sans perdre une seconde, place ta queue chaude, palpitante, bandée à tel point que tu dois en souffrir, et m’empale très lentement dessus en roulant des yeux, la sentant se frayer un chemin en moi.

Oh oui, tu me remplis complètement ; quel bonheur ! Je place mes mains sur ton torse et entame de lascifs va-et-vient. Entre deux baisers intenses, tes mains caressent mes seins avec beaucoup de douceur. Tes doigts les effleurent, jouent avec mes tétons ; tu les fais pointer, tu les tortures avec une sensualité divine entre ton index et ton majeur… Tu te redresses. J’attire ton visage pour m’embrasser, lécher mes seins, les sucer pendant que tu masses mon petit oeillet sans le forcer.

C’en est trop, je n’en peux plus ! Je jouis encore, mais cette fois avec ta queue. Je la sens trembler en moi ; c’est fantastique, lorsque tu me serres fort dans tes bras, signe annonciateur que le bonheur suprême est sur le point de t’emporter toi aussi. À la manière d’une magnifique fontaine, je sens en moi jaillir la source qui est toute la richesse de ton amour. Tu me remplis tellement, mon chéri, que j’ai l’impression que ça ne s’arrête plus. En sueur, le souffle court, nous restons dans cette position un long moment à nous embrasser longuement.

On dirait que tu te sens mieux ; la jolie petite infirmière a rempli sa mission : guérir son patient coûte que coûte. Ton sexe se ramollit ; il finit par me quitter, mais nous nous embrassons encore en nous caressant toujours avec tellement d’amour que je sens que tu ne vas pas tarder à être à nouveau en forme. Je finis par te quitter. Je retire mon cosplay et me lève en direction de la salle de bain pour une petite douche bien méritée. Mais ce qui devait arriver arrive : nos baisers t’ont redonné de la vigueur, et violemment tu me plaques contre le mur pour me prendre aussi sauvagement que je l’aime pour me remercier de t’avoir si bien soigné.

Je ne sais pas combien de fois nous avons fait l’amour grâce à ce cosplay cette nuit-là, mais nous nous sommes endormis très tard, et le lendemain nous avons libéré une chambre en pagaille, à l’image de nos violents ébats. Encore une fois, la médecine douce a fait des merveilles ! Pourtant, si un simple cosplay d’infirmière a suffi pour te mettre dans cet état, je n’ose pas imaginer ce que ça pourrait être si je décidais de tenter celui de la servante un peu gauche mais pleine de bonne volonté et prête à tout pour conserver son emploi, de la secrétaire sexy, experte en langues, ou de la prof sévère qu’on a envie de corriger sévèrement en lui donnant la fessée qu’elle mérite…

FIN

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire