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L'INCONNU DU CINEMA – Chapitre 3

L'INCONNU DU CINEMA - Chapitre 3



Pour moi, ce fut une journée extraordinaire en émotions, malgré mes quarante printemps il était évident que jétais une novice en matière de sexe et cela décuplait le plaisir et les sensations ressenties, telle une jeune fille qui découvre les plaisirs de la chair.

Depuis jobservais les femmes autour de moi, recherchant à deviner leur niveau dexpérience en la matière comme si cela était une évidence, quel marqueur particulier pourrait morienter en ce sens ?

Seules mes sensations personnelles pouvaient pour linstant méclairer, jétais plus joyeuse et désinvolte que dhabitude, je me sentais plus légère, surement plus belle et désirable, il me semblait pouvoir palper le plaisir en moi et autour de moi.

Pourtant je nétais pas amoureuse de cet homme, cétait une certitude, lamour je le ressentais toujours pour mon mari malgré lérosion des années, ce nétait plus cette attirance physique de nos vingt ans mais une solide confiance ceinturé de tendresse et entretenue par des compromis réciproques.

Lui, je le voyais comme une belle rencontre, fruit du hasard ou du destin, à mes yeux il était beau et très séduisant, charmeur, tendre et autoritaire à la fois.

Il avait soudainement bouleversé ma vie de femme, mapportant peut être ce que toute femme est en droit déprouver, car il ny a rien de meilleur que de se laisser allé dans le plaisir en toute confiance.

Javais encore besoin de cette sécurité que mapportait mon époux et jéprouvais une terrible attirance pour laventure que me proposait mon amant.

Il avait éveillé en moi des sensations inouïes, découvrant le plaisir au travers de la honte et la culpabilité, aimer être manipulé parfois sous une certaine contrainte, jouir de la crainte et de la peur en atteignant des niveaux de jouissance jamais ressentis.

Javais palpé linterdit et découvert quil ny a surement rien de meilleur, exacerbé ma curiosité et développé une forme de dépendance au plaisir.

Dés le matin je ne pensais plus qua çà, je choisissais mes vêtements et ma lingerie en conséquence, me rendant toujours plus sexy et désirable.

Je souhaitais le surprendre pour quil me rendre au quintuple ce plaisir tant convoité, me sentir femme fatale aux yeux du monde pour le rendre fier de mavoir apprivoisé.

Le genre de pensées que rejetterait toute femme naturellement constitué, moi-même si on men avait parlé ainsi quelques semaines avant, jaurai crié au scandale, comment une femme peut elle aimer la soumission ?

Éprouver du plaisir dans la contrainte et la honte, ce ne sont pas des sentiments normaux et acceptables pour toute femme qui se respecte.

De toute façon cest contre nature et réprimé par la morale, et oui la revoilà celle fameuse morale, léducation religieuse, le bien et le mal, ce qui faut ou ne pas faire, etc.

Vous ne me croirez peut être pas, mais tout cela avait volé en éclats en à peine deux expériences, si mon corps avait éprouvé autant de plaisir cest que cela ne pouvait être que bon pour lui.

Jétais bien décidé à vivre pleinement toutes les sensations que mon amant voudrait bien me faire découvrir et qui métaient surement encore inconnues, car il me semblait pourvu de bonnes capacités en la matière au regard de tout ce quil ma fait vivre et accepté en si peut de temps.

Le week-end est arrivé, plus difficile pour moi de me libérer, mon homme étant à la maison je me devais aussi de lui consacrer de mon temps, nous devions faire les courses, le ménage, la lessive et le repassage, etc.

Bref, tout ce qui tue lérotisme dans le couple, le seul avantage est que je nai pas vue passer ces deux jours.

Bien sur que nous avons fait lamour, mais vite fait bien fait comme souvent, néprouvant plus, ni moi, ni lui, cette passion qui enflamme les corps et les âmes, il a joui sans feindre et moi jai simulé pour ne pas le vexer.

Ne vous trompez pas, je suis heureuse avec lhomme que jaime, il nest pas avare de tendresse et de douceur, sa présence me rassure, me comble et cest surement avec lui que je finirai mes vieux jours si rien ne vient perturber notre destin.

Mais coté sexe, il nose pas me pervertir, cela ne se fait pas, il aurait trop peur de me choquer moi sa chère et tendre épouse, la mère de nos petits, lépouse se doit de rester pure et sage.

Pourtant je suis sure quil possède lui aussi des capacités insoupçonnés, mais peut être les réserves til pour une autre femme, un peut moins respectable, qui sait ?

Si tel est le cas, il est discret ou bien cest moi qui suis trop naïve car je nai jamais rien imaginé, peut être ne suis-je pas jalouse tout simplement.

Mais naurait il pas peur de me perdre, il est simple de comprendre que le plaisir est une drogue, y gouter cest ouvrir la porte à la dépendance, à la volonté du toujours plus, jusqu’à quel point un homme peut il pervertir sa compagne sans basculer dans la vulgarité ?

Multitude de question auxquelles je ne peu pas encore répondre

Mon amant lui na pas ses contraintes, il ne maime pas damour, il aime abuser de moi sans vergogne et na aucun remord à me pervertir, il nen reste pas moins attentif à mon propre plaisir et tout en douceur il mapprivoise.

Enfin le Mardi, à oui en fait, étant commerçante pour moi le weekend cest du dimanche au lundi, petite précision sans réelle importance juste pour le fun du récit.

Donc ce mardi matin, cest encore plus sexy que jamais que je suis allée à la boutique.

— Emilie encore un rendez vous important ?

Cest avec un sourire et un regard qui en dit long que ma vendeuse ma interpellé.

— Çà suffit, vous êtes trop curieuse il nest pas bon de tout savoir.

Dun clin dil complice elle reprit :

— cest sur, mais là depuis quelques jours vous êtes plus radieuse que jamais et ça ce sont des signes qui ne trompe pas, mais vous avez raison cela ne me regarde pas.

Je me suis dit, si elle à compris mon petit manège, alors mon mari pourrait lui aussi sen être aperçu, cela devenait évident et pourtant je nai pas ressenti de peur à ce moment là, plutôt une certaine et délicieuse excitation.

Maintenant je sais que le risque et la peur peuvent décupler le plaisir, mais à lépoque je ne limaginais pas du tout, certainement comme la plupart des femmes.

Vis-à-vis de ma collègue, javais décidé dassumer sans me dévoiler plus, elle avait plus ou moins deviné mon adultère mais naurait pas plus de détails et cela serait bien comme ça.

Après tout je ne moccupais pas de sa vie privé, avec qui elle vivait ou couchait telle ?

Je la savait célibataire, trentenaire très séduisante, petite brune aux formes parfaites qui déclenchaient beaucoup de ventes auprès de la gente masculine et même de beaucoup de femmes quelle charmait naturellement.

Moi-même, je ne restais pas insensible à son petit charme enjôleur, si javais été un mec elle ne maurait pas échappée tellement elle était belle et attirante, mais jétais bien une femme et jéprouvais parfois une petite pincé de jalousie pour sa jeunesse et sa beauté.

La vie est ainsi faite, parfois cruelle et injuste mais toujours sincère et pleine de vérité.

Mais revenons donc a nos moutons, car cest moi qui ai actuellement le feu au corps, moi qui ne dort plus normalement depuis des jours, moi qui ne pense plus quà mon bel amant tout en mapercevant que je ne savais rien de lui.

Cette dernière question mavait interloqué, effectivement je ne savais vraiment rien de lui, a part son physique et sa voiture il était pour moi, un parfait inconnu.

Le plaisir était il si puissant pour que je mimporte peu de celui qui me le procure ?

Sous ce raisonnement, je pouvais aussi imaginer que peu importe celui qui te le procure, seul compte le plaisir, serait ce aussi simple ?

Soudain mon portable retenti

— Bonjour, comment allez-vous ce matin ?

Cétait lui, ma bulle se refermait sur moi et mes sens étaient tous aux abois.

— Merveilleusement bien, je nattendais que votre appel pour parfaire cette journée.

— Cest trop dhonneur, je ne mérite pas telle impatience, mais puisquil en est ainsi, je vous propose de passer vous libérer de votre quotidien, est ce possible ?

— bien sur que oui,

— Comme dhabitude vers douze heures trente devant la boutique ?

— oui

Jétais soudain redevenue cette jeune fille toute excitée de retrouver son premier amant, laissant le désir sinstaller de nouveau, libérant toutes les hormones qui me mèneront au plaisir.

Devant la glace, jai réajusté mon décolleté dévoilant le plus possible mes seins pour attirer son regard, jai tiré sur ma robe pour quelle suive au mieux mes courbes voluptueuses sur lesquelles il aime poser ses mains et jai même vérifié si mon minuscule string était toujours aussi affriolent depuis ce matin.

Comme prévu, ma vendeuse est partie déjeuner et jai attendu, cinqdix minutes, toujours personne, puis un scooter sest arrêté, posant la béquille le coursier est venu toquer avec une petite boîte a la main.

— Bonjour, madame Emilie ?

— Oui, cest moi

— Tenez signé là, ce paquet est pour vous

Sitôt le coursier parti, jai regardé le paquet, rien dinscrit dessus, il était plutôt léger et son contenu ne faisait pas de bruit malgré mes secousses, je lai donc ouvert avec toute la curiosité requise.

Une enveloppe, un loup noir en dentelle et une petite pilule blanche.

Jai ouvert lenveloppe sur laquelle était noté mon nom et jen ai sortie une lettre manuscrite sur laquelle jai pu lire :

Désolé pour ce retard, mais cela fait partie du jeu, nous savons tous deux que vous aimez jouer, vous trouverez donc dans cette enveloppe :

— un loup qui servira à dissimuler votre beau visage des regards indiscrets

— une pilule que je vous demande davaler rapidement avec un peu deau.

Ne réfléchissez pas cela nous ferait perdre un temps précieux

Pourquoi jai obéi à ces mots ?

Sans même chercher à comprendre, jai avalé la pilule et posé le loup sur mon visage, devant la glace on aurait dit un masque vénitien qui malgré la transparence de la dentelle ne permettait plus que lon me reconnaisse.

Jai trouvé cela amusant et plutôt rassurant, quoi quil eu en tête, il prenait soins de me protéger en quelque sorte.

Jai donc attendue, là debout face à la porte, essayant de trouver une logique à la situation mais déjà mon esprit sembrouillait, mon raisonnement ralentissait et mes pensés se perdaient dans le vide.

Cétait surement cette pilule, que mavait il fait prendre ? Jespérais que ce nétait pas dangereux, je me sentais bien mais lesprit sans volonté, comme dans du coton.

Jai vu la porte souvrir et dans le contre jour une ombre est venue vers moi

— Je vois que vous avez été obéissante, croyiez moi cest pour votre bien.

— Vous êtes très belle et cette petite robe vous va à ravir, mais jai prévu tout autre chose pour vous.

— déshabillez-vous !

Comme un automate jai fait tomber ma robe au sol restant debout et presque nue devant lui

— Malgré cette belle lingerie, aujourdhui je vous préfère complètement nue sous la robe que voici.

Il ma tendu une robe longue magnifique, fendue très haut sur les jambes, un dos nu descendant presque jusquaux fesses et un décolleté plongeant à faire pâlir une star sur la croisette.

Il ma aidé à retirer mon string et mon soutien-gorge pour que je puisse glisser mon corps dans cette robe somptueuse, lajustant parfaitement à mes courbes on aurait cru du sur mesure.

Bien entendu en maidant ses mains ont pleinement profité de mon corps, palpant ça et là mon intimité, caressant la chair nue de mes fesses et le long des cuisses, soupesant délicatement mes seins tout en titillant mes tétons déjà durcis par la monté du plaisir.

La robe était parfaitement ajustée elle laissait entrevoir mes formes les plus intimes, seins généreux et fiers que lon devinait totalement libres sous le mince tissu, des anches voluptueuse sur lesquelles tout homme aurait aimé poser ses mains et des fesses rebondies très appétissantes captant encore tous les regards.

Malgré ma docilité médicamenteuse, je me sentais plus femme que jamais, tels un joli bijou que lon va exposer aux regards pleins de convoitise.

Il me prit la main et me fis tourner sur moi-même, sifflant dadmiration :

— Cest encore plus beau que ce que jespérais, vous êtes magnifique et vraiment bandante.

— Nous sommes près, cest le moment dy aller.

Il maccompagna à la voiture, mais mouvris la porte arrière, malgré ma surprise mon esprit ne pouvais plus réfléchir et sest en minstallant que jai ressentie une autre présence masculine qui dit aussitôt :

— Très, très, belle vous avez raison mon ami elle est magnifique.

Sans cette pilule je suis sure que je me serais révolté, peut être me serais je enfuie, mais là aucune réaction consciente incapable du moindre raisonnement.

La portière, coté conducteur claqua à son tour, il se tourna vers larrière pour dire à son passager :

— Ne vous avais-je point promis une belle prise, monsieur

— Effectivement, cest une délicate attention, je les aime belles et dociles, celle-ci me semble, comment dite vous déjà ? Prometteuse, cest bien le terme, prometteuse.

Tout en me glissant sans vergogne sa main entre les cuisses, il remonta rapidement vers mon sexe et avec deux doigts il écarta mes lèvres intimes pour vérifier la qualité de ma liqueur.

— Elle est vraiment à point, cest son état normal ?

— oui, monsieur, je pense que si nous savons y faire elle ne nous refusera rien.

— Toutes les mêmes ces femmes mariées, trop sérieuses et prudes et pourtant si facile à convaincre, le temps et labstinence travaillent pour nous mon chers marc, difficile à croire que les maris nen ai pas conscience, ils en tireraient bien profits, mais cest mieux ainsi.

— Jespère que vous ne vous lêtes pas enfilé ?

— non, monsieur, jen ai abusé mais elle est encore vierge de toute pénétration sauf celles de son époux, il va de soit.

Jétais là, parfaitement consciente de leur discourt pervers mais toujours incapable de réagir sauf à éprouver ce plaisir malsain de la soumise consentante.

Je sentais ma chatte dégouliner sur les doigts qui me fouillaient, ma mouille gluante facilitait la pénétration jusqu’à la paume de la main.

Il forçait le passage avec un va et vient rapide de lavant bras qui libérait des bruits caractéristiques de clapotis.

— Il me semble quelle aime ça, elle a déjà du être bien ramonée car elle souvre vite et plutôt facilement.

Le salaud savais appuyé là ou sa fait mal, en une phrase il mavait transformé en petite pute soumise, il était bien plus pervers que mon amant et savait y faire.

Il me tapota la fesse pour que javance mon bassin jusquau bord du siège, là il passa une de mes jambes par-dessus la sienne ce qui ouvrit plus que largement mes cuisses et toute mon intimité totalement exhibée aux yeux de marc qui ne perdait aucune miette de la scène.

Malgré mon impossibilité à réagir moralement, mon corps lui était parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos et bouche entre ouverte je respirais de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans mon con gluant, espérant même quil puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.

— Cette salope mexcite vraiment, elle est trop réactive je sens quelle va me bouffer le bras.

Mon bassin suivait le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour quil enfonce un peut plus sa main, ma chatte était en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilitait le passage.

Jamais de ma vie je navais ressentie une telle dilatation, sauf lors des accouchements, mais là il y avait ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et denvie irrésistible, je nétais plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par nimporte quoi et nimporte qui.

— A la pute mon poing est entré, regardez comme elle se trémousse.

Il avait réussi à entrer sa main toute entière en moi, je regardais son poignet planté là dans ma chatte béante, cétait vraiment incroyable tout mon corps tremblait de plaisir.

Avec tout çà, je navais même pas remarqué que la voiture roulait, marc suivait la scène avec délectation dans le rétroviseur intérieur, ce qui décuplait mon plaisir.

Mon amant offrant mon corps à qui le veut, rien que çà maurai déjà fait jouir il y a quelques jours, mais là avec le bras dun parfait inconnu me fouillant la moule je ne vous dis pas, lextase.

— Elle est plus longue à jouir que celle de la semaine passée, vous ne trouvez pas ?

— oui, monsieur, celle là est exceptionnelle vous allez ladopter pour un moment.

Ils parlaient de moi comme dune banale marchandise, cétait humiliant et tellement jouissif.

— Marc, passez moi le gode.

Il sorti le godemiché qui mavait fait si bien jouir lautre jour dans la voiture et le passa vers larrière.

Son ami retira sa main de ma chatte me laissant un énorme vide dans tous les sens du terme, javais soudain comme un manque, une vrai frustration, je voulais quil menfourne encore et encore.

Lhomme me souleva, écarta les pans de ma jolie robe et me posa sur ses cuises déjà nues, jai ressentie immédiatement son sexe durci contre mes reins.

Il mécarta les cuisses de part et dautre de ses jambes dévoilant de nouveau ma chatte encore toute gluante.

Dune main il écarta mes lèvres dégoulinantes et de lautre il me pénétra dun seul coup avec le gode, directement jusqu’à la garde et sans ménagement, dun coup, environ trente centimètres mon pourfendu le ventre, il était gros mais rien à comparer au bras entier que javais avalé sans rechigner juste avant.

Quelques va et vient pour loger confortablement la bête en moi, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouvant la bonne lubrification de laffaire, jétais aux anges les cuisses largement ouvertes tout en me délectant de plaisir.

Ses deux salauds savaient vraiment y faire, en très peut de temps ils mavaient transformé en véritable petite salope, jamais je naurai pu limaginer, ni même dans mes fantasmes les plus fous.

Ensuite il dénoua ma robe autour de ma nuque, libérant immédiatement mes seins aux bouts tendus, de sa main libre il les palpa à tout de rôle, les soupesant et malaxant tel un fruit mur.

— Même ses nichons sont des merveilles, marc vous me gâter vraiment

— Merci, monsieur, cest un honneur pour moi

Le gode toujours planter en moi, il me souleva des deux mains, puis avec ses doigts il étala mon jus le long de ma raie, la quantité était là, ça dégoulinait de partout puis il glissa un doigt sur ma rosette insoumise.

Je devinais quil allait me fouiller le cul et peut être même encore plus, cétait nouveau pour moi jamais je navais accepté cette pénétration, mon mari navait jamais eu cette chance, mais là dépourvue de toute volonté je sentais ma corole sentrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.

Il entra très facilement, appelant les autres doigts qui se présentaient déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec le gode planté dans la chatte, vous auriez vu la scène.

Mais il nallait pas se contenter de me mettre ses doigts, quil retirait déjà après avoir ouvert le passage, présentant son membre dur et abondamment lubrifier de mon jus, il appuyas sur mes épaules pour entrouvrir ma grotte, jai sentie son membre mempaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur il ma enculé jusquaux couilles.

Marquant un temps darrêt pour savourer cette victoire, il ma saisie les seins et dit à loreille :

— taime ça salope taime que je tencule je le sens que taime ça

Ho… que oui, que jaimais ça, jaimais tout ce quil me faisait, jaimais quil mavilisse, quil me salisse le corps et l’âme, j’aimais être sa pute, leur pute à ses deux pervers.

Je couinais comme une catin, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant mon corps au rythme de la saillie et appuyant a chaque fois de tout mon poids pour mieux sentir cette grosse bite me labourer le trou du cul.

Devant tant de plaisir, j’ai saisie à deux mains le good toujours en moi et pendant qu’il m’enculait de plus belle je me suis labouré la chatte comme une damnée.

Malgré son expérience, mon enculeur n’a pu se retenir très longtemps, il a explosé en moi en criant, déversant tout son jus dans mes entrailles, je ressentais chaque saccade et contraction de la bite qui me défonçait, sentant le sperme chaud couler à flots.

Moi même je n’ai pu retenir ma jouissance dévastatrice, l’onde de plaisir ma submergée des pieds à la tête, étourdissant tous mes sens, je suais par tous mes pores et sentais le sexe à plein nez.

Nous sommes restés ainsi planté l’un dans l’autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir, marc me fixait dans le rétro et semblait admiratif de mes exploits.

A quoi sattendait-il ? Il a mis la dose pour me pervertir et là il semblait surpris de la facilité avec laquelle un inconnu pouvait m’enculer.

Le sexe ramolli est sorti doucement de son fourreau et toujours en me palpant les seins il a attiré mon visage vers larrière pour me rouler une pelle magistrale, sa langue humide ma carrément fouillé la bouche me faisant boire sa salive me laissant à peine le temps de respirer.

— Je nen ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu mappartiens.

Et bien oui, j’ai pris mon pied comme jamais, je pense même qu’il n’aurait pas eu besoin de cette pilule de docilité pour le même résultat.

Ils m’on ramené à la boutique où j’ai fait un brun de toilette avant, reprenant doucement mes esprits je les ai vu partir toujours sans s’avoir qui était marc ni même ce nouvel inconnu qui m’avait si bien baisé.

Mais ce n’était que partie remise, ils finiraient bien par se découvrir et m’en dire un peut plus sur eux et leurs intentions à mon égard, dans l’instant présent je savourais le plaisir et pensais déjà a demain.

Je me suis ressassé la scène toute laprès midi ce qui ma maintenue dans un état dexcitation incroyable, plutôt que le quasi viol presque consenti avec ce nouvel inconnu, cest la présence de mon amant qui ma le plus troublée, le fait quil mait offerte comme une vulgaire prostituée tout en observant avec plaisir les moindres détails de laccouplement.

Comment expliquer le plaisir ressenti, vous êtes à ce moment là et plus que jamais le centre dintérêt de vos partenaires, ils vous convoitent et ne pensent qua vous, ils valorisent votre corps plus que vous le faite vous-même et plus rien nexiste autour de vous.

Votre esprit se concentre sur la moindre sensation qui est amplifié puissance dix, une simple caresse devient extraordinaire de volupté, les regards magnétiques vous déshabillent et sondent votre esprit, vous ne pouvez ou navez pas envie de réagir, de stopper les ondes de plaisirs qui submergent progressivement la moindre parcelle de votre chair délicieusement offerte.

Petit à petit vous anticipez les moindres gestes, devinant létape suivante quils vont vous faire subir, mais le pire cest que vous prenez un malsain plaisir à tous les outrages libérant tous vos tabous sexuels, plus rien nest interdit à qui veut lobtenir et cest en toute consciente que vous vous offrez corps et âme.

Tous ces délices métaient faits sans aucune violence, malgré ma soumission et la contrainte consentie, je me sentais en totale sécurité avec le sentiment de pouvoir tout stopper, à tout moment.

Mon amant avait abattu toutes mes défenses, sexuellement il avait obtenu de moi ce que mon mari navait peut être même jamais espéré, en très peu de temps il avait transformé une femme mariée, fidèle et réservé en véritable nymphomane.

Ce soir là, mon mari ma trouvé plutôt fatiguée et pensive, le pauvre sil savait, javais les trous encore dilatés et douloureux.

Mais tout cela mavais trop excitée et javais encore envie de me faire prendre par une bonne bite, justement là jen avais une bonne devant moi.

Cela ma fait bizarre de faire du rentre dedans à mon homme, chaude comme la braise, jai fait tombé ma robe devant lui tout en le dévisageant dun regard gourmand.

— Whaouu tu es nuecomment ça ce fait ?

Avec tout çà, javais complètement oublié que jétais toute nue sous ma robe, jaurais pu remettre mes sous vêtements avant de rentrer mais je ny avais même plus pensé.

— Je vois que cela te fait de leffet

— Jnai pas lhabitude, cest plutôt excitant.

— Je savais que tu ne résisterais pas.

Il sait approché de moi et ma prise dans ses bras, en membrassant goulûment il ma caressé les anches puis les reins pour descendre doucement jusque aux fesses.

Nous étions encore dans lentrée face au grand miroir, il ma retourné dun seul coup me plaçant face à mon reflet, restant collé contre mes fesses il continuait à me caresser les seins et le ventre.

Limage dans le miroir était très sexy, moi nue, jambes écartés, seins dressés et fiers dêtre soupesés par des mains puissantes, avec ce mâle qui membrassait dans le coup et la nuque tout en me mordillant le lobe des oreilles, tout ce qui fallait pour attiser encore plus mon désir.

Quant à lui il se frottait de plus en plus contre mes fesses, je ressentais son membre durcir rapidement, ne pouvant mempêcher de vouloir comparer sa taille à celle de mes amants, jai glissé ma main entre nos corps, ouvert sa braguette et glisser ma main dans le caleçon pour saisir son membre bandé.

Elle était bien dure et chaude et mon état dexcitation ne me permettait pas détablir un score entre les mâles, je navais plus quune envie, quil me baise à son tour.

Tels des voyeurs, nous regardions les détails de la scène dans le miroir.

Il continua ses caresses en descendant jusquà mon sexe, ses doigts ont glissé entre mes lèvres entre-ouvertes, effleurant au passage mon clitoris déjà très réactif.

Poursuivant sa fouille, il a plongé ses doigts dans ma grotte dégoulinante déclenchant les clapotis si excitants.

— Non de dieu, mais tu es toute trempée.

— Hum oui jai très envie.

— çà, ce nest pas que de lenvie tu nas jamais mouillée autant.

Sil savait le pourquoi de mon état, que je suis devenue une vraie petite salope obéissante avec le feu au cul, il ne réagirait surement pas aussi bien.

Jondulais mes anches comme une petite allumeuse, frottant mes fesses contre son membre pour le rendre encore plus dur et encore plus gros.

— Mais quest ce qui tarrive tu nas jamais été dans un tel état, tu as bu ?

— Tu naime pas ?

— Si, bien sur que si, mais cest surprenant, tu na jamais

— Allez vient, regarde dans quel état nous sommes, nous devrions passer aux choses sérieuses, tu ne crois pas ?

Il était comme fou, mon comportement de fille facile portait ses fruits, il membrassait partout et me pelotai sans vergogne, ses doigts me fouillaient de plus belle me portant presque au bord de la jouissance.

Je me suis penché alors vers lavant en écartant encore plus mes jambes, puis prenant appuis sur le miroir jai glissé une main entre mes cuisses pour saisir le membre convoité.

Jai frotté sa bite entre mes muqueuses pour la lubrifier abondement et jai ensuite positionné le gland gorgé de sang juste à lentrée du vagin espérant quil donne enfin le coup de reins libérateur.

Croyiez moi, il ne sait pas fait attendre, il a posé ses mains sur mes anches et tout en tirant mes fesse vers lui il ma violemment défoncé la chatte, me pénétrant très profond.

Jétais enfin remplie et satisfaite, ondulant le cul au rythme des vas et vient de cette bonne queue qui maintenant me pilonnait en cadence.

Cétait mon mari mais cela aurait pu être nimporte qui dautre, à ce moment là seul le plaisir comptait, jétais concentré sur la colonne de chair qui me pénétrait, à chaque coup de reins il butait bien au fond puis il ressortait de nouveau à lair libre pour pouvoir replonger encore plus fort dans mes entrailles.

Tout en me pilonnant il me caressait délicieusement le clitoris pendant que moi je lui soupesais et malaxais les couilles de ma main libre, la tension était au summum, je sentais la jouissance monter en moi alimenté par chaque nouveau coup de queue.

Lui il commençait aussi à craquer car il transpirait comme un buf, redoublant defforts pour me claquer les fesses toujours plus fort et plus vite tout en criant :

— HanHanHan

Soudain, jai lâché ma jouissance trop retenue, contractant mon vagin pour mieux ressentir la bite qui me labourait encore et tremblant de tout mon corps, jai joui.

— Haaaaouiouiouiiiiiii

Jai senti ses bourses durcir sous mes doigts, il sest enfoncé en moi, à bloqué mes anches avec ses puissantes mains, son corps sait raidi, et

— Houuuaaaa.

Des flots de jus bien chaud se sont déversés en moi, par saccades il sest complètement vidé.

Nous étions tout deux anéantis, affaiblis par la jouissance tenant à peine sur nos jambes et recherchant appuis sur les meubles.

Il ma pris contre lui en me serrant tendrement et posa un baisé sur mes lèvres.

— Tu à été merveilleuse, je ne mattendais pas à tel comportement de ta part.

— Quel comportement ?

— Tu sais bien ce que je veux dire, jamais tu nà été aussi comment dire ?

— sexy ?

— non plutôt participative, entreprenante, oui cest ça entreprenante.

— et alors, tu as aimé ?

— aimé, non jai adoré, jen rêvais sans oser te le dire, sans oser te le demander, javais surement trop peur de te choquer ou que tu me prennes pour un pervers.

— Mais là tu ma complètement scotché, je ne my attendais vraiment pas, cela faisait longtemps que nous navions pas fait lamour avec autant de passion.

— cest vrai et je le regrette, la vie est ainsi faite, limportant sait daller de lavant, quant pense tu ?

— Tu as raison mais jaimerai savoir pourquoi ce changement soudain ?

Je te le dirais, mais pas ce soir, là tu vois nous sommes fatigués, avons besoin dune douche et dune bonne nuit de sommeil.

Nous nous sommes embrassés et endormis lun contre lautre.

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