Chapitre 7 : Chacun son tour, il y en aura pour tout le monde !
« Non ! Ce n’est pas la règle ! »
C’est Laure qui s’est exprimée, déboussolée, presque effrayée. C’est son ton, plus que c’est mots, qui me font revenir à la raison. Je me ravise, et après avoir déposé un léger baiser à Kévin, je lui murmure :
« Merci »
J’ai failli perdre le contrôle, cet orgasme était si intense. Je me ressaisis, reprenant de la contenance, et me lève face à mes convives. Je jette un petit regard en coin à Mika, qui me sourit avec un regard d’encouragement.
« Merci à tous pour ce moment. Je crois qu’il est temps que nous passions aux choses sérieuses. Mais avant ça, je voudrai moi aussi vous rendre la pareille. Mesdames, j’ai besoin que vos hommes soient en pleine forme pour ce qui suit, je vous demanderai donc de les préparer pour moi.
-Mais Ina, non, ce n’est pas possible. »
C’est Laure qui m’a dit ça, me lançant un regard apeuré. Bien sûr, son frère
« Oui, excusez-moi, j’oubliai un détail. Vous ne vous occuperez pas de votre partenaire, mais de celui d’une autre, et je désignerai les couples. »
Toutes les trois acceptent, non sans soulagement pour Laure, et une pointe qui ressemble fort à quoi, du regret ?
« Bien, Claudine, vous vous occuperez d’Éric. Pour toi Laure, je te laisse Jean-Marie, je crois qu’il aime beaucoup les filles de notre âge. Enfin Erika, tu veux bien prendre soin de Kévin ? J’aimerai bien savoir si l’élève a dépassé la maitresse. Allez, hop, je les veux nus et bien tendus. »
Elle me sourit, et son clin d’il m’indique que nous nous sommes comprises. Je m’assois à côté de Mika qui me posse une main sur la cuisse tandis que les filles s’échangent les placent pour être à côté de leurs nouveaux partenaires. Je sens Mika se pencher vers moi pour me chuchoter.
« Eh bien, c’était à deux doigts, littéralement. En tout cas tu m’as donné très envie de venir moi aussi te gouter. Très bonne idée d’ailleurs de les impliquer, maintenant tu es toute à moi, profite du spectacle. »
Du spectacle, ça oui il y en avait. Les trois femmes sont plus ou moins déshabillées. Claudine se contente de branler Éric, d’une main dont l’expérience la rend experte. Laure, quant à elle, s’est fait presque arracher tous ses vêtements par Jean-Marie, ne lui laissant que son soutien-gorge. Elle est positionnée au-dessus de lui et le branle en frottant sa chatte par des ondulations du bassin. Enfin, Erika est à quatre pattes devant Kévin et lui procure une fellation qui à mon grand regret me cache son sexe que je devine tout de même long étant donné l’ampleur de ses mouvement de tête.
La main de Mika me caresse la cuisse, se rapprochant chaque fois un peu plus de ma chatte. Elle reprend ses chuchotements.
« Tu apprécies la vue ? (sa main se pose sur mon clitoris)
-Hum, oui.
-Tu es prête à les recevoir comme il se doit ? Je sens que tu mouille ma chérie.
-Oui Mika. Je veux qu’ils me baisent tous.
— Alors rejoins-les. »
Elles mes ses doigts dans sa bouche, et me fait un signe de tête pour m’intimer de me lever.
« Hum, hum. Mesdames, merci de votre aide, mais j’aurais encore besoin de vous avant que nous ne nous dirigions vers le lit. Je voudrais tout d’abord chevaucher chacun de vos hommes. Messieurs, veuillez mettre vos protections pendant que mesdames décident de l’ordre dans lequel je vous rejoindrai.
-Ina, je crois que nous avons toutes envie de continuer ainsi. Choisissez donc, nous reprendrons le flambeau plus tard. »
C’est Claudine qui a parlé, et dis les mots que j’espérai entendre. Mon choix et déjà fait, et je les rejoins, elle et Éric. Ce dernier a déjà mis sa capote, et je me place ainsi au-dessus de lui, Claudine prenant sa verge vers l’entrée de ma chatte. Excitée comme jamais, je m’empale d’un seul sur sa bite. L’attente fut longue, et je ressens immédiatement un léger orgasme, celui me faisant lâcher un bruyant gémissement. Je le chevauche, sentant à chaque passage les cheveux de Claudine contre mon cul tandis que celle-ci lèche les couilles d’Éric. Je m’empale, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
« Putain Ina, je vais jouir ! »
Je m’arrête immédiatement. Il n’est pas encore temps. Je me relève, très vite remplacée par Claudine qui prend la tête d’Éric et la plonge sur ses seins qu’elle a dénudés pendant notre étreinte.
C’est vers Jean-Marie que je me dirige maintenant. Sans dire un mot, je me place derrière Laure et lui retire ce qui lui cache la poitrine, puis lui prend la main et l’allonge sur le canapé, sur le dos, les jambes ouvertes.
« Ina, qu’est-ce que tu fais.
-Pour une fois Laure, ferme la, et profite. »
Ses seins sont plus gros que le miens, mais de peu. Mes mains se mettent à les caresser, pinçant les tétons au passage. Enfin, je me mets à quatre pattes sur le canapé, et plonge ma tête entre ses cuisses. Derrière-moi, je sens Jean-Marie m’attraper par les hanches et d’un coup sec me pénétrer de toute la longueur de sa bite. Il me dilate littéralement la chatte, presque douloureusement, ses coups de butoir de plus en plus violent rendus agréables par mon niveau d’excitation montant en flèche. Mes gémissements se sont transformés en cris, Laure ne pouvant plus distinguer mes coups de langues volontaires de ceux résultants des cavalcades de mon vieil amant. L’orgasme vient, terrible, enivrant, et j’hurle cette fois, tandis que Laure se raidit elle aussi. Au bord de la jouissance, Jean-Marie de retire et vient m’embrasser à pleine bouche.
« Tu es vraiment une sacré salope toi, va donc t’occuper du petit, j’aurai encore quelques coups en réserve pour toi ».
Il m’a dit ça en me levant la tête par le menton, soumise. Laure quant à elle est allongée, les yeux fermés, et n’hésites pas à ouvrir sa bouche alors qu’Éric pose son gland contre ses lèvres.
Il en reste encore un, mon chouchou. Je m’approche alors qu’Erika, toujours de dos à moi, lui prodigue caresse avec ses seins, me cachant toujours ce sexe que je veux dans mon ventre.
« Hum, hum, Érika, tu me le laisses ?
-Il est tout à toi ma chérie, prend en soin. »
Et alors qu’elle se lève, j’ai enfin face à moi ce que je désire. Elle est grande, (au moins 23cm), belle majestueuse. Je n’aurai jamais parié que Kévin puisse cacher quelque chose de pareil. Sans hésiter, je me mets à genoux devant lui, et le prend entre mes mains, de suite rejointes par ma langue qui le parcoure de haut en bas, m’attardant régulièrement sur son frein qui semble être particulièrement sensible. Enfin, mes lèvres enserrent son gland, seule partie de ce sexe que je suis capable de prendre dans ma bouche, me contentant donc de faire tourner ma langue autour. Mais j’en veux plus, et, lui prenant la main, je le fait se lever pour se diriger vers l’immense lit. Je ne remarque que d’un il que mes invités sont beaucoup trop occupés pour faire attention à nous, Laure se faisant baiser par Éric tout en suçant Jean-Marie, Erika et Claudine profitant l’une de l’autre dans un sensuel 69. Arrivée au bord du lit, je m’allonge, jambe légèrement écartées. Je me sens comme une jeune pucelle.
« Kévin, viens, fait moi l’amour ».
Comme dans un rêve, ce dernier me rejoint sur le lit, se collant à moi en missionnaire. Il m’embrasse, avec une fougue enivrante, alors que je saisis son sexe et l’approche du mien.
« Vas-y doucement Kévin, je n’ai jamais connu de bite aussi grosse.
-Oui, d’accord Ina. »
Et c’est avec une douceur extrême qu’il me pénètre, et je sens, sans le dire, que c’est sa première fois, qu’il devient instantanément un homme, et qu’il m’aime. Il n’y a plus rien autour que nous deux. Je vois bien que Mika a sorti un gode avec lequel elle joue en solitaire, tandis qu’Éric et Jean-Marie baisent à tour de rôle chacune des femmes. Je ne vois que Kévin, amoureux, de moi ou de celle qu’il voit en moi, peu importe. Et c’est sur ses pensées que je lui murmure :
« Vas-y Kévin, fait moi l’amour, jouit en moi ».
Ces mots semblent l’exciter au plus haut point, ses mouvement sont de plus en plus rapides, saccadés, sans pour autant perdre de sa douceur. C’est sa première fois, et rapidement, je le sens approcher de l’orgasme. Et c’est ainsi que je le rejoins, jouissant ensembles, non pas de manière intense, mais douce, presque amoureuse. Alors qu’il est sur le point de s’écrouler sur moi, je lui dis, doucement :
« Merci Kévin, tu rends cette soirée parfaite ».
Mais la soirée n’est pas terminée, et c’est tout un groupe qui nous rejoint sur le lit. La tension est à son sommet, et j’entends Laure parler :
« Les filles, regardez mon pauvre Kévin, il est tout ramolli, occupez-vous en ».
Et c’est surpris que ce dernier voit Claudine et Erika s’approcher de lui pour s’occuper de redonner vie à son sexe.
« Alors comme ça tu donnes beaucoup d’ordre petite, viens donc sucer la bite de mon collègue »
C’est Jean-Marie qui a parlé. Il n’y a plus vraiment de règle, et je veux me prendre au jeu.
« Et moi Jean-Marie, que veux-tu que je fasse pour toi ?
-Toi, va sucer le petit avec les autres, je veux vous baiser l’une après l’autre. »
Et je m’exécute, comme les autres. Les ordres s’enchainent, sans distinctions de qui les donne, ni qui les reçoit. Seule Mika ne participe pas à cette orgie, tous comme seuls Kévin et Laure ne se touchent pas. J’enchaine ainsi les bites, les chattes et les positions, au rythme des :
« Suce-le »
« Baise-la »
« Prend bien au fond »
« Lèche-lui les couilles »
Je suis épuisée, ma chatte est en feu, je n’ai plus aucune force, tout comme mes partenaires. Mila, restée calme, prend enfin la parole.
« Eh bien, messieurs dames, voilà une soirée dont ces lieux se souviendrons. Je crois qu’il est temps pour vous
-Mika, attends. J’ai envie d’une dernière chose. Jean-Marie, Éric, Kévin, s’il vous plait, jouissez une dernières fois pour moi. »
Mes trois amants, pourtant à bout, accèdent à ma dernière requête. Sans hésiter, Kévin reviens vers moi, enfile une capote sur son sexe encore bandé, et me pénètre doucement. Mes deux autres amants quant à se placent de chaque côté de mon visage, leurs bites à demi-moles prêtes à recevoir leur dernière gâterie de la soirée. Et c’est avec Kévin en moi que j’alterne de l’une à l’autre, offrant à chacun les dernières forces qu’il me reste, une bite dans chaque main, une autre au fond de ma chatte. Enfin, je les sens commencer à se raidir, presque simultanément, quand deux jets de spermes viennent s’écraser sur mon visage, et que Kévin, ne tenant plus, se sort de moi et retire sa capote pour venir gratifier mon ventre des quelques dernières gouttes de spermes qu’il lui reste.
« Voilà une façon de terminer en beauté Ina. Messieurs dames, des douches vous attendent. Ce fut un plaisir de vous recevoir ce soir. N’hésitez pas à revenir, la porte vous sera toujours ouverte. »
Chacun se lève, et viens m’embrasser une dernière fois, certains me gratifiant d’une dernière caresse, Érika quant à elle me laissant son numéro et son adresse au cas où je souhaiterai partager une nuit avec eux à nouveau.
Je me retrouve maintenant seule avec Mika, qui après m’avoir accompagnée sous la douche, m’a offert une dernière coupe de champagne.
« Alors Ina, dis-moi, comment s’est passée la soirée pour toi, tu as eu l’air d’apprécier. (Je note le tutoiement, alors que tous les autres sont maintenant partis).
-La soirée était, comment dire, incroyable. Je n’avais jamais connu autant de luxure, ni une baise aussi animale.
-Combien de fois as-tu jouis ?
-Je ne saurai compter, une dizaine de fois au moins. Mais ce n’est pas le plus important.
-Je vois, en tout cas, pour la première fois depuis que je tiens ce club, j’ai failli craquer et vous rejoindre. Tu étais magnifique Ina.
-Mika, j’ai une chose à te demander.
-Dis-moi.
-Je sais que ça va à l’encontre de tes règles, mais je sais qu’en rentrant, une personne attendra que je lui parle de cette soirée, que je lui donne des détails. Mais je ne m’en sens pas la force, encore moins si je suis seule.
-Je vois. Si je t’invite à prendre une chambre d’hôtel avec moi pour la nuit, accepterais-tu ? ».
Sans dire un mot, je la prends dans mes bras, et colle ma tête contre sa poitrine.
Nous nous rhabillons rapidement, puis le temps de fermer le club, et nous sortons pour rejoindre mon chauffeur qui nous ouvre la porte dès notre sortie.
« Où souhaitez-vous aller mesdames ?
-A l’hôtel quatre étoiles le plus proche. Monsieur Clément s’occupera de la facture ».
Sur le chemin, alors que nous sommes enlacées avec Mika sous le regard envieux du chauffeur, mon esprit s’égare vers ma sur, avec qui j’ai l’habitude de prendre le petit déjeuner le dimanche matin quand nos parents ne sont pas là. Elle me demandera certainement ce que j’ai fait de ma soirée, et le fait devoir lui mentir me noud le ventre par avance. Ma promesse me revient maintenant, effacée pour un moment par ma soirée, et c’est avec soulagement que j’y pense. Elle comprendra.