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Anissa, ma tendre voisine. – Chapitre 1

Anissa, ma tendre voisine. - Chapitre 1



Anissa, ma tendre voisine.

Histoire vraie

C’était en août. Je suis un jeune homme de vingt et un ans de Sidi-Bel-Abbès, j’ai arrêté mes études et je fais du bricolage d’un peu de tout pour gagner mon pain.

Un après-midi, ma voisine Annissa, m’avait prié de passer chez-elle pour lui installer des étagères qu’elle avait acheté pour sa cuisine, son mari étant absent. Il faut dire qu’Annissa est une très belle femme de 37 ans, une amie de longue date de la famille, on se connaissait depuis mon tout jeune âge.

À mon arrivée chez elle, elle m’offrit une citronnade. Comme elle n’avait pas l’air d’avoir le moral, je lui demandai ce qui n’allait pas. Elle me répondit avec une grande franchise que son mari n’était plus l’amant qu’il avait été, en plus son travail l’oblige à s’absenter très souvent et pour de longues durées, la laissant seule… Elle l’aimait toujours, mais son manque de désir et ses longues absences la rongeaient beaucoup. Je n’y comprenais rien! Depuis de mon adolescence, je fantasmais sur cette belle femme, en secret bien sûr! Anissa est sportive, elle s’entraîne toutes les semaines en salle. Elle a des seins généreux et une croupe à faire baver. Ses lèvres rosées, légèrement pulpeuse, m’ont toujours fascinées. De plus, elle a parfois une façon bien elle de vous regarder à travers ses grands yeux bleus, qui vous empêche de lui refuser quoi que ce soit.

Sur ce, elle se leva, me rassurant en disant que c’était normal, qu’elle irait beaucoup mieux après une bonne douche. Je commençai donc à installer les étagères, quand je soudain son téléphone portable sonna, elle l’avait oublié sur la table… J’entrepris donc d’aller le lui porter. Après avoir tapé plusieurs fois à la porte de la douche et ne recevant aucune réponses de sa part, je pris donc la liberté d’entrer, me disant que je pourrais simplement glisser le portable entre les battants de la porte et qu’elle viendrait le prendre car il sonnait toujours mais en entrouvrant la porte, une vision de rêve m’a frappé. Sous la douche, dans les vapeurs chaudes qui enrobaient son corps, Ma voisine nue se caressait… À voir ses yeux, elle adorait ça. Ses cheveux blonds descendaient en cascade sur ses seins ronds et fermes. Elle taquinait doucement son clito et sa chatte en se lamentant de plaisir. J’étais hypnotisé! Tant de chair, tant de douceur mon sexe me faisait mal tant il était dur dans mes jeans. Elle m’aperçut et arrêta tout de suite, s’excusant, visiblement morte de honte. Tout de suite je la rassurais. Je la complimentais sur son corps de rêve, la comparant même à Brigitte Bardot, quand elle était jeune. Elle se mit à rire en me disant qu’avec toutes les filles que j’avais eues, je disais ça uniquement pour lui faire plaisir. Du tac au tac, je lui répondis que ce que j’allais lui faire maintenant, ça c’était pour lui faire plaisir. J’enlevais alors ma chemise, dévoilant mes épaules musclées (moi aussi je m’entraîne!) et bronzées. Puis mon pantalon et mon boxer.

Comme la douche coulait toujours, il faisait extrêmement chaud et mon corps ruisselait d’une fine couche de sueur. Visiblement troublée par un corps encore jeune et fringuant, Anissa m’implorait d’arrêter, qu’elle est mariée et qu’elle ne peut pas faire ça, Je posai délicatement un doigt sur ses lèvres et lui dit de se laisser aller. J’entrai alors avec elle sous la douche. Je pris ses deux seins dans mes mains et me mis à les lécher sensuellement. Elle gémissait de plaisir et dès lors me supplia de ne pas m’arrêter. Elle caressait mon torse nu, un courant électrique passa entre nous. Mon pénis bien dur était collé à son ventre. Je montai alors l’embrasser dans le cou. Lui mordillant le lobe de l’oreille. Elle me murmura, alors, à l’oreille me disant « personne ne m’a jamais léché la chatte ». Tout de suite j’ai compris, je me suis accroupi devant-elle, j’ai entrepris d’écarter délicatement les lèvres de son vagin, qu’elle avait très lisse, l’intérieur est tout rose e humide, je passais ma langue entre les lèvres, je commençais à lécher cette belle chatte de bas en haut, sans oublier de passer ma langue sur sa rondelle plissée, ce qui fait gémir Anissa car pour elle c’est une nouveauté, je suçais son clitoris et le taquinais de la pointe ma langue. J’embrassais sa chatte au complet, buvant son jus salé au gout de crevettes.

Elle gémissait de plus en plus fort, quand elle fut sur le point de jouir, j’arrêtai. Je la fis se pencher pour la prendre par derrière. Sa croupe et sa chute de reins sont des plus magnifiques, son vagin était le plus tendre et le plus moelleux qu’il me fut donné de prendre. Je lui enfonçais ma queue et elle cria de surprise qui a, aussitôt, laissé place à l’extase, je commençais, alors un long va et vient rythmé, j’y allais doucement, pour mieux savourer la douceur et la chaleur de ce merveilleux vagin, en la tenant bien de mes deux mains par les hanches, au niveau des reins pour la tirer vers mon bassin au moment où je m’enfonçais en elle ; Anissa n’arrêtait pas de gémir et de miauler comme une chatte en chaleur. A un moment donné, je commençais à sentir ma jouissance venir, alors je donnais des coups de reins plus rapides pour finir de jouir mais Anissa sentant que j’allais jouir, me dit d’arrêter. Elle voulait me faire jouir entre ses seins.

Elle se mit à genou, puis engloutit mon sexe dans sa bouche. Elle me regardait parfois avec ses grands yeux suppliant. J’enfonçais mes doigts dans sa chevelure mouillée, Je baisais littéralement sa bouche et elle gémissait. Elle se mit à me lécher les couilles en me demandant si je voulais jouir maintenant. Sans même attendre ma réponse, elle lubrifia ma queue puis se mit à me la pomper entre ses seins de plus en plus vite. Elle tenait ses seins entre ses mains pour les comprimer encore plus sur mon sexe, elle m’ordonna de jouir. Sur le coup, je lui déversai mon sperme sur sa poitrine, son cou et sur son visage, elle enfourna, aussitôt, ma queue dans sa bouche et but tout ce qui en restait en l’aspirant…

Après une douche, et après avoir fini de placer les étagères, je suis sorti de chez-elle, en lui promettant de revenir, aussi souvent, qu’elle aura besoin de mes services

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