La dernière fois je vous ai raconté ma première baise. Aujourd’hui c’est la suite quelques semaines plus tard. Je baisais toujours avec la même blonde. Pourtant ma fidélité n’était pas ma vertu cardinale. Je rencontrais une femme de 25 ans, moi qui avais à peine 17 ans. Une jolie femme, bien fichue, nantie d’un mari qui l’abandonnait presque toute la semaine: il était V.R.P. Donc, mis à part les samedis et dimanches, elle se trouvait seule. Par hasard je la rencontrais un jour. Pour m’amuser, je lui faisais deux doigts de cour. Je devais lui plaire, ou alors c’était ce que je disais, je me retrouvais invité chez elle pour le soir même.
A mon âge j’acceptais bien sur: me payer une femme de son âge, avec tout ce qu’elle devait savoir sur le sexe, ce n’était pas à dédaigner. Me voilà, sonnant à sa porte sur le coup de 21 heures. Elle ouvre. Elle devait m’attendre vêtue comme elle était: une simple serviette autour de ses seins qui ne cachait que sa poitrine et le haut de ses cuisses. Quand elle fermait la porte en se retournant, elle lâchait la serviette: je la regardait les yeux écarquillés: elle était sacrément désirable avec ses seins hauts montés, sa taille fine ses hanches larges et son bas ventre orné d’une magnifique pelouse. J’avais pris des leçons avec ma première, je ne me précipitais pas sur elle comme un mort de faim. Je l’approchais simplement pour l’embrasser. Sa bouche était une véritable fournaise, sa langue était sacrément agile.
Elle me faisait asseoir sur un canapé qui se trouvait juste en face la porte. Elle sortait ma bite, la branlait à peine avant de la prendre dans sa bouche. Elle savait faire les fellations extraordinairement bien. Je n’avais même pas le temps de le lui dire que je jouissais. Elle me gardait en elle jusqu’à ce que j’ai fini de jouir; Elle se relevait en souriant me demandant si j’avais apprécié. Je croyais qu’elle avait eu la réponse dans sa bouche. Je me levais pour me déshabiller. Enfin nous pouvions nous embrasser à nouveau. Je sentais sur sa langue le goût de mon sperme. J’en avais l’habitude. A son tour elle s’asseyait sur le divan. Je me devais de l’honorer en lui passant toute ma langue là où elle voulait. Je ne la connaissais pas assez pour savoir où elle aimerait le mieux. Elle me laissait faire à ma tête. Je commençais par lui mettre le bout de ma langue sur le cul. Elle se laissait toujours faire. J’enfonçais ma langue le plus possible dans son anus. Je la faisais aller et venir, pas profondément à cause de la longueur de ma langue, elle commençait à réagir en poussant de nombreux gémissements. Je levais le yeux: les siens étaient totalement fermés: elle profitait au maximum de se que je lui faisais. Je la sentais jouir. J’enlevais ma langue pour la mettre plus haut directement dans son con. Là encore je faisais des aller et venues. Je la sentais encore jouir. J’allais sur son clitoris. C’était le feu d’artifice pour elle; qui ne voulait plus que je parte de là. Pourtant je bandais à avoir mal à ma bite. Je restais à genoux, relevais mon torse pour être à la hauteur. Je lui mettais ma queue dans sa moule. Elle entourait mes hanches de ses jambes, me tenait par les épaules. Nous ne formions plus qu’un seul corps lié par nos bouches et nos sexes.
Nous jouissions ensemble. Elle ne voulait pas que je sorte d’elle. Je restais donc, ma pine en berne. Elle serrait son con en cadence pour me faire bander encore. Pour ajouter du piment, elle me caressait la raie des fesses. Le but recherché arrivait: je bandais à nouveau. Cette fois l’accouplement était bien plus long. Nous baisions longtemps. C’est elle qui arrêtait: elle se mettait en levrette devant moi: encules moi. A cette demande je ne pouvais que répondre en le faisant. Elle écartait ses fesses, se mouillait lanus, me guidait à peine pour que je la pénètre. Son cul était nettement meilleur que son con. Je la limais longtemps. Je sentais son cul se fermer à chaque jouissance, et pourtant je continuais sans jouir.
A cet instant la porte s’ouvre et entre sans rien demander ma première maîtresse qui vient nous regarder de près, se déshabille pour se mêler à nos jeux.
Je ne m’attendais pas à la voir ici, pourtant je savais qu’elle habitait le même immeuble. De là à la voir nous regarder faire et se mettre nue, en plus, il y avait un pas que je ne franchissais pas.
C’était pourtant simple. Comme le mari était absent et que sa femme avait besoin de jouissances, sa voisine, serviable venait baisait avec elle. Ma présence du coup devenait encore plus utile. Je me devais d’honorer chaque con ou cul. Heureusement que ma jeunesse permettait des exploits dont je reste nostalgique.
Le début pour moi, devenait un simple spectacle: les deux femmes s’embrassaient se pelotaient et surtout se branlaient. Je bandais sans arrêt. Je demandais ma place: elle était réservé dans le cul de celle du dessus pendant un 69. Je crois avoir enculé la femme. Je n’en étais même pas sur.
J’ignorais que cette femme avait des talents de contorsionniste: elle se mettait la tête en bas pour sucer notre amie et les jambes dressées presque à la verticale, écartées ce qu’il fallait pour que je puisse enjamber ses cuisses ouvertes pour y mettre ma pine dans son con. Je me souviens encore de cette position plutôt fatigante et pour elle et pour moi. La sucée, elle fermait les yeux pour mieux jouir.
Cette première nuit à trois me laissait sur les genoux. Les femmes avaient l’air en forme pour se payer un dernier 69, puis un con à con, jambes écartées, clitoris contre clitoris, avec des légers mouvements de vas et viens. Elles savaient se baiser comme des tribades.