Je suis toujours dans un état dexcitation incroyable, je suis là sur un banc en train déchanger un plaisir charnel avec Pierre, le père de famille, tandis quOlivier mon époux sest endormi comme une masse à côté de nous à cause de lalcool.
Sauf que nous avons été pris en flagrant délit, façon de parler, par deux jeunes hommes. Plutôt que de les faire fuir, Pierre les a invité à nous rejoindre. Ces derniers ne se privent pas de cette offrande. Ils se rapprochent de nous, tournent autour de nous, puis commencent à me toucher timidement.
Dabord, les fesses, puis ils me malaxent maintenant les seins avec vigueur. Je suis complètement folle, presque nymphomane pour le coup, puisquil y a encore un mois, je naurais jamais pensé une seule seconde que je me serais retrouvé dans cette situation, notamment après mon mariage.
Pour le coup, cest une sacrée lune de miel que je suis en train de vivre, puisque je découvre en moi un caractère, mais aussi une façon dêtre. À la base, jétais sérieuse, mais là, à cet instant, enfin depuis que jai eu une aventure extra-conjugale avec Benoit quelque chose sest débloqué en moi.
Comme si je navais plus de limites dans ma débauche. A présent, je suis entouré de trois hommes avides de sexe, Pierre le père de famille, et les deux jeunes fêtards. Les attouchements sont nombreux. Mes fesses sont palpées, malaxées, mes seins savourent les mêmes gestes, puis les deux garçons ont fait tomber leur pantalon.
Jai face à moi deux sexes dune taille normale, je dirais presque petits à côté de celle de Pierre qui est longue et large. Je me mets à genou, et leur offre une fellation. Un coup, lun, un coup, lautre, puis lun des mecs mallonge sur lherbe, à moins de dix mètres de mon époux.
Il écarte mes jambes outrageusement, présente son sexe à lentrée de ma vulve et me pénètre dun coup sec. Je ne peux mempêcher de pousser un petit cri, puis les mouvements saccordent assez rapidement. En missionnaire, il ne se prive pas de lécher mes seins en même temps quil me pénètre.
Il me positionne maintenant en levrette, me claque les fesses avec sa main, puis au bout de dix minutes, il vient en moins. Je reçois les premiers jets de sperme au fond de mon vagin.
Le deuxième jeune homme arrive alors à son tour, me doigte afin de faire sortir le liquide translucide que son compagnon ma injecté, puis il me pénètre à son tour en cuillère cette fois-ci. Après quelques instants de plaisir dans cette position, il sallonge sur le dos, et je mempale sur son membre.
Les gestes sont brutaux, puis tout à coup, je sens des attouchements au niveau de mon anus. Il sagit de Pierre, ce dernier sétait mis un peu de côté, me laissant prendre du plaisir avec les garçons. Il me doigte maintenant avec vigueur. Il présente son sexe immense à lentrée de ma grotte, senfonce petit à petit.
Il sagit de Pierre, ce dernier sétait mis un peu de côté, me laissant prendre du plaisir avec les garçons. Les deux hommes mettent bien cinq minutes pour saccorder dans leurs mouvements, et me voilà prise en sandwich. Les coups de butoir sont puissants, le père de famille à glisser un tissu dans ma bouche afin de diminuer lintensité de mes cris ce qui est plutôt utile afin déviter un attroupement ingérable.
Au bout de quinze minutes, les deux hommes explosent en moi. Jen ai le souffle saccadé, je reprends mes esprits, puis me relève. Le sperme coule le long de mes jambes, les deux garçons me remercient pour ce cadeau, puis filent dans la nuit noire comme si de rien nétait.
Pierre essaye de réveiller mon époux, puis nous propose de dormir un peu dans la jeep familiale avant de repartir. Effectivement, cette initiative est prudente puisque nous avons tous consommés de lalcool. Nous nous retrouvons face à une crique minuscule. Le père de famille couche les sièges du véhicule afin que nous soyons le plus à laise possible.
Olivier se retrouve sur les sièges arrières, tandis que moi, je commence à m’endormir à côté du quinquagénaire. Le sperme continue de couler le long de mes jambes, jessaye de me nettoyer brièvement avec un robinet deau qui est à proximité, puis me couche.
Le père de famille ne peut sempêcher de me toucher une dernière fois avant de dormir. Il membrasse même comme si jétais sa femme, ou sa petite copine puis nous nous endormons.
Il est sept heure du matin, le soleil nous réveille brutalement, nous sommes ici au bord dune crique, en train démerger de la fête de la veille. Olivier me regarde bizarrement, puis nous nous pressons afin de rentrer à la maison. Nous montons dans notre chambre, je me prends une douche, mais mon époux marrête net dans mon élan.
Il me demande ce quil sest passé hier soir, je lui indique quil était ivre et quil sest endormi dans le parc à côté du banc. Mais ce dernier veut me faire dire certaines choses, je reste néanmoins discrète. Il me demande si jai couché avec le père de famille, je lui réponds par la négative.
Olivier minterroge de nouveau puisquil semble avoir entendu de la bouche de Pierre que jétais sa maîtresse. Je lui explique maladroitement, que le quinquagénaire est un farceur, un blagueur et que pour rien au monde, il aurait dit ça sur un ton sérieux.
Mon époux reste perplexe, puisquà présent il entre dans le vif du sujet. En parlant de grognement, de petits cris de plaisir. Je lui dis tout simplement quil sagissait tout simplement dun groupe de filles qui passaient par le parc alors que nous étions toujours présents. Le plus calmement possible, je lui demande, si je peux enfin prendre ma douche.
Ce dernier accepte, sous leau, je pousse un soupir de soulagement. Je me détends comme je le peux, mais cest assez difficile. Je sors en petite serviette, me dirige vers lui en faisant une démarche enjôleuse, puis lembrasse. Olivier ne refuse pas cette première avance, mais ne souhaite pas aller plus loin tant quil ne sera pas convaincu de ma sincérité.
Il est neuf heures du matin, lodeur de café envahi la maison, et comme dhabitude, nous descendons les marches de lescalier qui mènent à la salle de vie. Je salue Monique, la mère de famille, mais cette dernière à la tête des mauvais jours.
Elle se rapproche de moi, renifle mon parfum, puis recule de trois pas et me dit que jai de la chance puisque ce nest pas mon odeur qui apparaît sur les vêtements de Pierre. Elle me demande si hier au cours de la fête, jai vu quelque chose de suspect, ou un acte dinfidélité de la part de son mari.
Bien entendu, je réponds que non. Elle ne semble pas croire mes paroles, alors je lui explique brièvement que nous avons mangé quelques tapas, bus quelques verres, et que nous nous sommes endormis dans la jeep avant de rentrer afin déviter les contrôles de gendarmerie.
Elle réplique alors en me disant que ça na jamais dérangé son mari de conduire avec de lalcool dans le sang, que cest la première fois quil est aussi sérieux. Je réplique aussitôt que cette fois-ci, il avait la responsabilité de deux personnes. Sur ces derniers mots, la mère de famille retourne à ses occupations.
De mon côté, je compte bien profiter de la piscine, je monte donc dans ma chambre, je me prends un livre, me mets un maillot de bain et fais un plouf dans leau. Je nage un peu, ça me détend, puis je me prélasse au soleil. Olivier de son côté, continue de se faire des films concernant ma vie personnelle et surtout sexuelle. Il ne se prive pas une seule seconde de me poser des questions, elles sont dailleurs assez souvent identiques.
Puis tout à coup, les deux frères font leur apparition, ils rentrent dans la maison, prennent probablement une douche, puis reviennent au bout dune demi-heure en caleçon.
Ils plongent à leur tour dans la piscine, Olivier continue davoir un regard très noir. Mais ce dernier part en urgence au petit coin. Jen profite pour discuter avec Benoit, je lui explique brièvement la situation, notamment sur les suspicions de sa mère, mais aussi celle de mon époux, je pense sincèrement que je vais devoir calmer le jeu, sinon je vais avoir des soucis importants. Ce dernier ne peut que confirmer mes propos.
Antonin intervient à son tour, et propose une sortie en discothèque pour tout le monde ce soir afin que lambiance se calme un peu.