Notre premier jour de ? vacances ? à Marseille, marqua un nouveau tournant dans notre vie sexuelle de couple complice.
Laurence, je le savais, était en recherche permanente de ? la chose sexuelle ?, pour elle soit, mais j?en été persuadé pour moi, pour mon plaisir et par Amour.
Aussi je vivais cette sexualité avec gourmandise.
Ma cérébralité était grandissante. J?étais de plus en plus cocu en quantité et aussi en qualité.
Nous nous sommes, enfin, réveillés. Vers 16 heures. Je commandais un ? petit déjeuner ? copieux.
Je regardais Laurence, nue sur les draps. Je l?aimais, et j?étais fou- amoureux, de son corps parfait.
Elle était allongée sur le ventre et j?admirais ses fesses épanouies. Ni larges, ni grosses, ni trop bombées. Parfaites, la féminité vue du coté fesses. Sa peau blanche d?une douceur extrême. Je caressais ce cul magnifique un moment en imaginant toutes les bites qui l?avaient possédé.
Elle se tourna et m?offrit la vue de face, qui valait bien le coté pile. Ses seins gros et lourds, ronds s?étalaient sur sa poitrine. J?en pris un dans ma main, puis l?autre. Mais ma main ne suffisait pas à les prendre en entier. Fermes sans être trop durs, ils étaient le rêve des hommes qui les voyaient, nus ou habillés, ou qui les avaient touchés.
Son ventre était plat, sans vergeture aucune. Ses poils pubiens blonds comme ses cheveux.
La beauté à l?état pur. J?étais fier de ma femme. Fier d?être son mari.
Et là encore, je pensais à tous les hommes auxquels elle avait appartenu, auxquels elle avait offert son corps magnifique. A tous ces homme qui, le prenant m?avaient cocufié.
Elle ouvrit les yeux, ses yeux ? bleu-vert ? et me sourit. J?embrassais tendrement ses lèvres pulpeuses et je pensais, encore, aux hommes qui l?avait embrassée et qu?elle avait sucé.
Je bandais comme un taureau. Elle s?en aperçu et me dit :
? Mon Chéri, c?est quoi ça ? ?
? La réaction naturelle de mon Amour pour toi et de ma passion pour ton corps ?
? Merci mon Amour, je suis flattée ?
? Je t?aime ?
? Moi aussi, je t?aime Daniel, mais es-tu heureux que je sois aussi salope ? ?
? Tu me combles sur tous les plans, ma chérie ?
? J?en suis heureuse ?
? Moi aussi ?
? Mais es-tu aussi heureux sexuellement ? ?
? Ho oui, le bonheur parfait. Tu me connais bien et tu sais que plus tu es salope, plus je t?aime ?
? Alors tu dois m?aimer beaucoup … ?
Rires …
Nous avons pris notre petit déjeuner, puis un bain. Enfin nous nous sommes préparés …
A 19 heures précise, Romain appela de la réception. Nous descendîmes dans le hall de l?hôtel.
Nous nous installâmes au salon.
? Alors, prêts, dit Romain ? ?
? Je suis prête répondit, Laurence ?
A pieds nous sommes allés sur le vieux port. Laurence qui, comme à son habitude était en mini jupe, nous tenait tous les deux par le bras, au milieu de nous deux.
Romain fit remarqué que ses seins paraissaient encore plus gros sous son T-shirt moulant et que l?absence de soutien gorges la rendait bandante.
? Et … je suis aussi toujours sans culotte ?
? J?en était persuadé ?
Nous dînâmes dans un restaurant sur les quais, d?un immense plateau de coquillage arrosé d?un vin blanc succulent.
Vers 22 heures Romain nous entraîna sur la Canebière et nous fit entrer dans le cinéma porno qui se trouve juste en face de l?hôtel de Noailles.
Sans surprise, nous nous laissions guider.
Mais au lieu de payer les places, il contourna la caisse et prit un couloir. Il toqua à une porte qui s?ouvrit.
? Par ici, nous entrons directement dans les salles privées du sexshop attenant ?
Nous ne disions mot.
Une petite pièce en demi cercle aux murs blancs. Romain nous pria de nous installer. Une multitude de coussins étaient à même la moquette. Un grand matelas se trouver contre le seul mur droit.
? Déshabille toi, Laurence, je vais chercher tes partenaires ?
Un bon quart d?heure plus tard, il revint avec 3 colosses noirs et …. Le cameraman.
Le film commença.
Les 3 noirs, prirent possession de Laurence.
Le Cameraman officiait.
Laurence fut prise et pénétrée de toutes part. Les noirs étaient infatigables et leurs bites étaient bien grosses. Plusieurs fois elle fut baisée et enculées. Plusieurs fois elle les suça et reçu leur sperme dans sa bouche.
Elle jouissait. Plusieurs aussi.
Ils la prirent séparément et ensemble, à deux et à trois.
Laurence coulait le sperme de toute part.
Bien 3 heures plus tard, ( entrecoupés de pauses ) les noirs capitulèrent. Laurence était anéantie, fourbue.
Elle gisait nue et blanche au milieu des 3 noirs. Une main sur la queue d?un.
C?est ainsi que la dernière prise de vue acheva le film.
? Ce film sera un chef d?oeuvre du genre, dit Romain. Ta femme est une vraie de vraie ?
Nous rentrâmes à l?hôtel vers 4 heures du matin.
Laurence s?écroula et s?endormie, sans se laver, pleine de foutre des noirs.
Le soir à la même heure que la veille, Romain vint à l?hôtel.
? J?ai visionné le film, il est sublime. Après montage il sera le must ?
Il se leva et nous pria de le suivre. Nous partîmes dans sa voiture. Nous roulâmes bien 30 mn.
Nous arrivâmes dans une cité des quartiers nord. Mal famés.
Il gara sa voiture et nous guida vers un immeuble salle. La cage d?escaliers était aussi sale.
Nous pénétrâmes dans un appartement tout aussi crade.
Le Cameraman était déjà là, caméra au point et filma Laurence. 2 arabes, la quarantaine, dirent à Laurence de se ? foutre à poils ? et de s?asseoir dans un canapé, en me désignant un autre, en face.
Laurence était donc nue, seule sur le grand canapé.
Les 2 arabes se mirent nus. Le premier vint se faire sucer la bite et déchargea dans la bouche de Laurence qui avala son sperme.
Le 2ème en fit autant.
L?un d?entre eux dit à Laurence d?aller dans la chambre, en lui désignant une porte.
Elle marcha et le cameraman la suivit en filmant ses fesses.
Je restais à ma place.
Un petit moment après, la porte s?ouvrit et 5 arabes nus entrèrent dans l?appartement.
Je fus étonné de leur tenue, mais je me dis que tout avait été préparé.
Ils allèrent directement dans la chambre.
Je les y suivi
Durant plus d?une heure, Laurence fut leur vide couilles.
Ils partirent et aussitôt 5 autres arrivèrent.
Laurence fut encore un vide couilles.
Une pause fut accordée à Laurence. Mais un quart d?heure plus tard, la porte s?ouvrit à nouveau et 10 autres arabes, plus vieux que les premiers entrèrent dans la chambre.
Ce fut une orgie colossale.
Laurence était crevée, elle ne réagissait plus. Après avoir jouit maintes fois, elle se laissait faire par les arabes là où ils la voulaient.
Enfin ce fut fini.
Encore une fois, Laurence avait été prise et baisée, enculée des dizaines de fois.
Elle avait bu des quantités de sperme.
Cette fois, elle prit le temps d?une bonne douche et Romain nous déposa à l?hôtel.
Laurence, comme la veille, s?endormie immédiatement.
Nous nous levâmes, ce fut un jour de repos pour Laurence. Nous l?appréciâmes et nous furent très heureux.
Le lendemain soir, Romain vint à nouveau nous chercher à l?hôtel à 19 heures.
Il tendit un paquet à Laurence.
? Il faut que tu mettes ces vêtements ?
Elle monta dans la suite et lorsqu?elle revint, j?en fus troublée.
Elle portait une mini jupe style ? lambada ? et un T-shirt transparent qui laissait voir ses seins.
Des talons aiguilles la grandissaient encore.
? Allons, dit Romain, ne restons pas ici dans cette tenue ?
Nous le suivîmes, traversâmes la Canebière et nous arrivâmes rue Tubaneau. La rue des prostituées à Marseille.
Nous entrâmes dans un bar.
La encore, nous retrouvâmes notre cameraman.
? Voilà dit Romain, c?est ici que Laurence va se prostituer. Elle va faire le trottoir devant le bar et fera ? monter ? les clients par cette porte, mais en entrant dans le bar, j?informerai le client du marché. Il baisera gratuitement, s?il accepte d?être filmé ?
Laurence qui avait vite compris, prit sa place sur le trottoir et fit quelques pas de long en large. Pas 5 mn que déjà un premier client se présenta. Elle le fit entrer dans le bar et Romain lui dit le marché. Il regarda Laurence et accepta.
Laurence disparue et je restait avec Romain.
Laurence réapparue quelques 20 mn plus tard. Elle sortit directement dans la rue.
Le cameraman, en professionnel, était bien dissimulé, mais ne perdait pas une miette de la prostitution de Laurence.
Ainsi, 12 clients montèrent avec elle.
Vers 3 heures du matin. Romain lui dit d?arrêter et lui demanda ce qu?elle avait fait et Laurence dit que 3 seulement l?avaient enculée et deux avaient joui dans sa bouche.
Les autres dans sa chatte.
C?est à cet instant qu?un ex-client entra dans le bar et demanda à parler à Romain.
Ils discutèrent un moment à l?écart, puis Romain revint vers nous et nous expliqua la demande du type :
? Il m?a laissé ses coordonnées, au cas où nous serions intéressés par un séjour à Alger, avec Laurence … j?ai pris sa carte, mais … ?
Nous somme rentrés à l?hôtel.
Encore un e journée de repos.
Vendredi, Romain est venu à 11 heures. Nous sommes partis vers Gardanne, un petit village proche de Marseille.
Nous sommes presque arrivés, a dit Romain.
Nous empruntons un chemin de terre qui nous mène à un ? mas ?.
Une grande bâtisse aux murs blancs. Des chevaux sont dans un enclos, l?endroit est merveilleux.
Romain stoppe la voiture et nous descendons. Un chien berger allemand nous accueille gentiment et le propriétaire sort de la grange.
Un grand bonhomme robuste, environ la cinquantaine.
Romain le salue et fait les présentations. Il s?appelle Martin.
Il nous prie d?entrer dans son ? mas ?.
L?intérieur est provençal, évidemment, mais meublé vraiment à l?ancienne avec un mobilier vieux et rustique.
Nous prenons l?apéritif, agrémenté de quelques charcuteries.
L?homme est fort sympathique et souriant. Avenant même. Il nous parle comme à des amis de longue date.
Nous en oublions ce pourquoi nous sommes là.
Pourtant un moment plus tard, Romain nous le rappelle.
? Bien, il faut nous mettre au travail, si nous voulons en terminer, c?est le dernier film. Martin ! Tout est prêt ? ?
? Absolument, Romain, comme d?habitude …. ?
Nous nous dirigeons vers une écurie. Nous entrons … Le cameraman est … déjà là. Il film un box dans lequel se trouve un cheval marron.
Nous avançons et je découvre tout un attirail … Le cheval est solidement attaché par ses flans. Les pattes aussi sont entravées.
Sous le cheval, une ou deux balles de pailles sont recouvertes d?une couverture. Les balles sont elles aussi maintenues par des liens.
Je ne comprends pas … mais je redoute quelque chose.
Je regarde Laurence qui fixe cet attirail, les yeux grands ouverts.
Visiblement elle à peur.
Mais Romain attire l?attire vers le box à coté et entre avec elle.
? Déshabille toi … pour ce dernier film, je veux que tu me fasses totalement confiance. Que tu te laisses aller et que tu oublies tes craintes. Tu n?es pas la première, à venir ici, tout c?est toujours bien passé. Ok ? ?
? D?accord, mais que comptez vous faire, je veux savoir ? ?
? Bien, ce film sera essentiellement zoophile. Premièrement, tu vas te faire prendre par notre hôte, il va te préparer. Ensuite, son Berger Allemand te prendra aussi et pour finir, le cheval ?
? QUOI !!!! LE CHEVAL … s?exclama fortement, Laurence. Mais ce n?est pas possible, c?est impossible ?
? Calme toi, Laurence, comme je te l?ai dis et comme tu peux le voir, nous sommes habitués et plusieurs femmes sont passées, ici, avant toi. ?
? Oui … mais je ne vois pas comment … comment, enfin comment ça peut se faire ?
? Fait moi confiance, fait confiance à Martin, c?est lui le maître de cérémonie ?
? Si je dis stop, vous stoppez, compris ? ?
? Sans problème, confiance … Tu es prête ? ?
? Je suis prête ?
Alors, Romain, appela Martin qui entra dans le box où se trouvait Laurence.
Je suivi le caméraman qui commença à filmer.
Martin se mit nu lui aussi. Il demanda à Laurence de le sucer, un peu.
Son sexe était imposant …. Pas très long, mais bien large et gros.
Il saisi la chatte de Laurence et lui introduisit ses doigts, pour la masturber.
Il l?embrassait goulûment. Caressait ses seins et ses fesses. Lorsqu?il l?estima prête, il la fit mettre en levrette, à même la paille sur le sol, et la pénétra sans ménagement. Il la baisa plusieurs minutes, le temps de la faire jouir, puis l?encula plus doucement. Il éjacula dans son cul.
Il se retira, et tout nu devant nous siffla … Son chien vint en courant. Il pointa le doigt vers le box et le chien s?y engouffra … ( Il devait savoir et avoir l?habitude )
Laurence qui n?avait pas bougée, sursauta lorsque le chien vint lécher son entre jambe, son cul et sa chatte. La langue s?activait.
Je savais Laurence prête à le recevoir.
Mais le chien fit le tour de Laurence, mit ses pattes sur ses épaules et fit les mouvements sur sa tête. Son sexe cognait la joue de Laurence. Elle compris, alors ce que le chien voulait, tourna son visage et ouvrit la bouche. Le sexe du chien y pénétra et baisa Laurence en bouche.
Laurence prise au jeu, lui caressa les couilles.
Martin siffla, à nouveau et le chien fit rapidement, à nouveau, le tour de Laurence.
Il mit ses pattes sur son dos et s?avança.
Son bassin cognait, maintenant les fesses de ma femme.
Laurence poussa un cri. Signe que la queue du chien avait trouvé son chemin et avait pénétré sa chatte.
Le chien baisa alors Laurence durant une bonne quinzaine de minutes. Laurence avait joui 2 fois quand le chien se mit à glapir et à décharger son sperme en elle.
Il resta accroché à Laurence quelques instant et disparu.
Bien sûr le caméraman avait filmé dans tous les sens.
Martin qui s?était habillé, entre temps, aida Laurence à se relever.
Et la conduisit dans le box du cheval.
? Il ne faut pas attendre car tu es prête pour … la chose, tu comprends ?
Laurence ne répondit pas mais se laissa guider.
? Bon maintenant, tu vas faire exactement ce que je vais te dire et quand il le faudra j?interviendrais. Tu vas commencer par t?allonger à l?envers, sur le dos, la tête vers le sexe du cheval. Tu vas le caresser sur le sexe et lorsqu?il sortira, tu le prendras en mains et tu le branleras à deux mains. Lorsqu?il sera bien long tu le lécheras avec ta langue, car tu ne pourras pas le sucer. Après je te dirais … tu as bien compris ? ?
Laurence fit oui de la tête.
Elle procéda comme Martin l?avait indiqué. Sa tête était à moins de 30 cm de sous le cheval.
Le sexe du cheval sorti d?au moins 60 cm de long. Laurence le masturbait. Puis elle lécha le sexe du cheval sur le bout, puis sur la longueur.
Le cheval bougeait, mais ne pouvait pas trop.
Cela dura longtemps …
Enfin, Martin, dit à Laurence de se tournait la tête de l?autre coté tout en restant sur le dos.
Il s?approcha, calcula la hauteur et dit que c?était parfait.
Il écarta les jambes de Laurence, puis lui écarta la vulve, trempée du sperme du chien.
Alors il saisi la queue de l?animal et la dirigea vers la chatte de Laurence.
Je regardais comme je pouvais …
Il maintenait le sexe du cheval pour éviter qu?il entre d?un coup et ne blesse Laurence.
Lentement l?énorme bite de cheval pénétra le vagin de Laurence qui ne respirait même plus.
Elle hoquetait.
Centimètre par centimètre la queue s?enfonça.
Martin dit :
? Maintenant recule toi un peu … là parfait. Il ne pourra pas aller plus loin. J?ai fait rentrer environ 30 cm. Ta chatte est distendue, tu tiens le coup ? ?
? ooooooouuuuuuuiiiiiii ?
Alors, Martin lâcha le cheval.
Celui-ci libéré baisa Laurence autant qu?il le pouvait.
Laurence prenait la grosseur et les 30 cm de la bite du cheval. Elle hochait la tête de droite à gauche, ses mains se crispaient sur la couverture.
Je ne pu résister et je m?aventurais dans le box. Il fallait que je vois.
Et je vis. Je vis le sexe brun monstrueux logé dans le ventre de ma femme.
Je ne pu me retenir, tant c?était délirant. J?ôtais pantalon et slip et me masturbais comme un fou.
Mais cela ne dura pas longtemps, tout juste 3 mn.
Le cheval bougeait ses sabots.
Laurence se mit à gindre :
? Je jouis, c?est formidable … c?est énorme … il entre dans mon utérus …. il me gicle son sperme, je le sens fuser dans ma matrice … c?est chaud … c?est, c?est …. Oooooohhhhh, je meurs, je meurs …. Aaaaaahhhhhh, encore, encore, encooooooorrrrrrreeeee ?
Martin intervint et sortit la queue du cheval, du sexe de Laurence.
Un reste de sperme fusa sur son ventre, alors que le trop plein dégorgeait de sa chatte et coulait à flot sur la couverture.
C?est à ce moment là que je jouis et mon sperme gicla aussi sur elle.
J?aidais ma femme à se dégager et à se lever. Je la fis sortir du box et s?asseoir sur un morceau de bois.
Romain s?avança :
? Continuons … ?
Laurence leva la tête …
? Quoi encore ? ?
? Viens tu dois aller jusqu?au bout … tu m?a dis me faire confiance, alors, confiance ?
Ils se dirigèrent 3 boxe plus loin. Martin ouvrit la porte.
Le même attirail, pareil, exactement, mais la balle de paille était plus basse, et avec un autre cheval.
? Encore, dit Laurence ?
? Oui, tu fais pareil qu?au début … mais après, ce sera dans ton cul ?
? Non, non, je ne peux pas ?
? Ne crains rien, Martin va bien te graisser le trou, viens ?
En effet, Martin prit une bouteille et après avoir placée Laurence dans sa position initiale lui dit de commencer à caresser et à sucer le cheval.
Pendant qu?elle s?affairait … Martin enfonça le goulot de la bouteille qui contenait un lubrifiant, dans le cul de ma femme. Il l?enfonça pour dilater l?anus.
? Maintenant, positionne toi à quatre pattes et attend, ne bouge plus ?
Ce que Laurence fit.
Avec la même précision et avec les mêmes précautions, Martin dirigea la bite du cheval vers le cul de Laurence. Il du s?y prendre à plusieurs reprise … Le cheval s?impatientait et s?énervait.
Enfin le cul de Laurence absorba quelques centimètres. Elle cria : ? Aiiieeee ?
Puis le cheval entra encore et encore.
? Ne bouge pas, je le maintiens, il ne faut pas que tu bouges, laisse le t?enculer. ?
Le cheval essayait de ruer dans sa … jument, mais ses liens et Martin l?empêcher de la transpercer.
La croupe du cheval s?activait comme ferait un homme. Le sexe entrait et sortait du cul de Laurence et à chaque fois s?enfonçait de bien, 20 cm.
Cette fois, cela dura bien 5 mn.
Mais Laurence ne jouit pas. Le cul ouvert, elle appréhendait.
Enfin le cheval lui éjacula dans le cul.
? Oh lala, oh lala, il décharge, je le sens, c?est un torrent, une parée, il inonde mes entrailles ?
Martin retira le cheval.
Laurence se leva péniblement et vint vers nous.
? Fini cette fois hein, fini … ?
? Pas tout à fait, lui répondit, Romain ?
? J?ai dit fini … dit-elle fermement ?
? Après ce que tu viens de faire, le reste te sera facile ?
? C?est quoi ? ?
? Rien, juste faire éjaculer un autre cheval pour qu?il jouisse sur toi, c?est tout ?
? Ah … alors ça va ?
Martin fit sortir un autre cheval de son box et l?amena au centre de l?écurie.
Mets toi à genoux, juste sous lui, tu ne risques rien, il est très docile.
Avec hésitation, elle s?exécuta … sans doute pour en finir.
? Masturbe le à deux mains et suce son bout en même temps. ?
Laurence s?activa, vivement, pendant quelques minutes.
Le cheval leva la tête mais ne rua pas.
D?un coup, son sperme gicla.
Laurence reçu la première giclée dans la bouche et sur le visage. Puis tout le reste coula sur son corps.
Elle en était couverte.
Elle se releva … et bizarrement me regarda droit dans les yeux.
Elle m?attira brutalement dans un box ouvert et ferma la porte du bas.
Elle enleva ma chemise ( je n?avais pas remis mon pantalon, ni mon slip )
Laurence se colla à moi et m?embrassa à pleine bouche.
Je senti un goût bizarre dans sa bouche et son corps gluant de sperme chevalin.
? Partage avec moi, mon Chéri …. Baise moi et encule moi, maintenant ?
Elle se courba et me présenta ses fesses.
Je m?enfonçais en elle, dans sa chatte comme si j?entrais dans un trou béant. Mon sexe glissait comme dans du beurre fondu. Puis je l?enculais et je fus surpris de rentrer, la aussi, facilement.
Mon excitation était si grande que je jouis presque immédiatement dans le cul de Laurence.
? Voilà mon chéri, tu as partagé avec moi, le sperme des chevaux et tu as constaté que tu es le pire des cocu.
Plus tard après que Laurence fut lavée et tous habillés, dans le salon de martin, nous commentions librement les exploits de Laurence.
Romain dit que ce film ferait un grand succès.
Il nous promis de nous prévenir quand les films seraient diffusés, au fur et à mesure et nous ferait parvenir une copie des 5 films.
Nous avons pris congé de Martin et sommes partis.
Puis nous avons repris la route pour Paris.