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Tradition familiale (ins-man) – Chapitre 2

Tradition familiale (ins-man) - Chapitre 2



Chapitre 2 : La doyenne

Ma grand-mère est la doyenne des femmes de la famille. Agée de 65 ans, c’est une femme ronde, à forte poitrine. Son charme ne réside pas seulement dans son physique mais elle est connue dans la famille pour être une vraie nymphomane au lit.

La première fois que ma grand-mère et moi avons couché ensemble c’était après un repas de famille. Mamie ivre morte commence à dire des insanités et parle beaucoup de sexe. Pendant tout le repas mes yeux ne cessent de regarder sa poitrine. J’arrive à imaginer ses seins derrière ses vêtements, ils tombent légèrement mais sont surtout très gros. Parfois, elle me lance un regard en me souriant.

Mon grand-père n’était pas venu avec, il était partit durant tout le week-end pécher avec ses amis, anciens militaires comme lui. C’est donc naturellement que je me propose pour raccompagner grand-mère vu qu’elle n’était en état de conduire. Papa nous dit avant de partir :

— Pas de bêtises hein !

— On va essayer. Répond mamie.

Ce jour là, ceux qui faisaient partie du Cercle comprirent vite ce qui allait se passer. Les autres se contentèrent de rire.

En rentrant dans la voiture, je mate une dernière fois ses seins.

— Ils te plaisent les seins de ta mamie, hein.

— Oui dis-je timidement.

— J’ai bien vu comment tu les as regardé pendant tout le repas. Tu veux les voir ?

Sur ces mots je commence à avoir la trique.

— Apparemment, c’est oui. Dit elle en rigolant.

Elle passa sa main sur ma cuisse et me dit d’un ton plus que coquin :

— Ne t’inquiète pas, à la maison je vais te soulager.

Je n’ai jamais été aussi impatient de ma vie ! Sur la route, j’ai brûlé deux feux rouges et grillé une priorité. J’avais tellement envie de me la faire. Arrivés à la maison, je me conduis en gentleman et vais lui ouvrir la porte et la conduit jusqu’à chez elle. On arrive, je dépose ma veste.

— Allez, je sais que t’en a trop envie, vas dans ma chambre, me dit-elle, je passe à la salle de bain et je te rejoins.

Je monte donc jusqu’à son lit, double et plus grand que celui de mes parents. Je me déshabille complètement et me couche sur le lit en l’attendant. Je suis totalement excité qu’on pourrait croire que cela va être ma première fois. Mamie arrive quelques minutes après. Nue elle aussi. Le fait de voir son corps âgé mais toujours aussi bandant renforce mon érection. C’est comme si tout mon sang était concentré uniquement dans mon sexe.

— Je vois que le corps de mamie fait toujours de l’effet. Ca faisait longtemps que je voulais voir comment tu étais membré : je ne suis pas déçue !

Je commençai à me masturber doucement, j’en avais besoin, mon engin réclamait des caresses, mais grand-mère me stoppa :

— Hé là, on arrête. Je vais m’en occuper.

Elle ouvrit le tiroir juste à côté du lit et en sortit une bouteille.

— C’est du lubrifiant, tu vas adorer.

Elle fit couler l’huile sur mon sexe. Elle ne fut pas avare sur la dose, c’était froid au contact mais j’étais tellement chaud que cela ne me fit rien. Puis mamie posa ses mains sur ma bite afin d’étaler l’huile. Aucune zone de mon bassin n’y échappa : mon pubis, mon sexe, mon gland, mes testicules, mon périnée et même mon anus eurent droit à un massage digne d’un salon 5 étoiles. C’était vraiment exquis.

— Je vais déjà jouir… Dis-je –

Oh non, je veux que tu gardes tout pour la fin !

Pourtant je sentais venir le sperme, mais avant que mon muscle du périnée ne se contracte dans le but d’envoyer la sauce, d’un geste du doigt, mamie appuya sur un point précis entre mes testicules et mon anus bloquant ainsi l’arrivée du sperme. Et pourtant, j’étais en train de jouir ! Une chaleur parcourut mon corps entier. Je sentais mon périnée se contracter mais rien : pas de sperme ! C’était génial.

— Oh mamie, c’est trop bon ! Je jouis sans éjaculer !

— Comme ça tu pourras me baiser toute la nuit. Dit-elle avec un sourire aux lèvres.

Elle continua son massage encore quelques temps. Puis cette fois ce fut avec sa bouche qu’elle s’occupa de moi. Et je peux vous dire que mamie n’y allait pas de main morte ! Mon sexe allait jusqu’au fond de sa gorge. Elle retirait parfois mon engin de sa bouche pour me lécher les couilles. Cette sensation d’être dans un endroit chaud puis directement dans l’air ambiant était tout simplement exquise. Puis, elle se coucha sur le lit, la tête dans le vide, elle m’amena devant elle.

— Vas-y mon chéri, enfonce ton pieu dans ma gorge.

Grâce à cette position, je pouvais aller plus encore plus loin. C’était trop bon. Je pouvais même voir que ma queue soulevait sa gorge. J’avais un peu peur de faire mal à mamie, mais elle avait l’air de prendre tellement de plaisir. Elle se touchait à vive allure le clitoris. Je ne pouvais m’empêcher de toucher en même temps ses gros seins. Je sortais parfois de sa gorge, pour aller me loger entre ses deux beaux nibards. Ils étaient tellement gros qu’elle n’avait pas besoin de les serrer avec ses mains, cela se faisait tout naturellement. Mon regard descendait plus bas sur son minou, je voyais que mamie mouillait déjà fort, elle reluisait. Une envie soudaine de la lui bouffer me prit, je m’exécutai.

— Oh oui, vas-y mon chéri, mange ta grand-mère.

Tout en faisant mon cunnilingus, je lui mettais un doigt dans l’anus. Je sentis son clitoris se gonfler sous mes coups de langue. Puis d’un coup, mamie arrêta de me sucer, sa respiration était bruyante. Je sentais son corps tremblait en dessous de moi. J’eus un sourire aux lèvres à l’idée d’avoir fait jouir ma grand-mère. Je m’arrêtai donc un instant, pour la laisser souffler un peu, après tout elle n’a plus 20 ans. A la place de ma langue frénétique, je lui déposai des petits bisous sur son antre.

— Ca va ? Lui demandais-je en rigolant

— Oui, ha ha, la dernière personne qui m’a fait jouir comme ça c’était ton cousin Matteo.

Je m’allongeai près d’elle et d’une main je lui caressai le ventre. je crois qu’elle a lu dans mon regard que j’avais envie d’elle, car elle me dit :

— On passe au plat principal ?

— Avec grand plaisir !

Elle s’allonge, écarte les cuisses et se tient les jambes prête à me recevoir en elle. Cette position me fait bander, et je n’ai toujours pas éjaculé grâce à la technique de mamie. Je viens sur elle, et tout en m’enfonçant en elle, j’embrasse ses gros seins. Ma langue passe sur ses mamelons qui sont tout durs. Chaque centimètre en plus dans le vagin de mamie est un vrai bonheur. Elle mouille beaucoup donc je n’ai aucun mal à la pénétrer. Je sens les parois de son vagin se contracter sur mon sexe, j’adore ça !

— Alors il est comment le minou de mamie ?

— Putain trop bon !

J’accélère vivement les mouvements de mon bassin et j’empoigne d’une main le sein droit de grand-mère. Je joue un peu avec son téton. Je vais bien au plus profond d’elle, tellement que mon gland bute à l’entrée de son utérus. A son contact, j’imagine le sperme que grand-père a dû lâcher pour donner naissance à ma mère. Je me retire sinon je sens que je vais jouir. On en profite pour changer de position : grand-mère me couche sur le dos, et elle vient s’empaler sur mon pénis. Cette fois, c’est elle qui mène la danse : c’est à elle de décider à quelle fréquence elle veut bouger son bassin. En tout cas, et sûrement grâce à un effet d’apesanteur, je m’enfonce encore plus loin en elle. A chaque fois qu’elle descend, j’ai l’impression de me faire engloutir le sexe. Je lui prends les seins avec les mains encore une fois.

— Oh mamie, c’est trop bon !

— Depuis le temps que j’ai envie de la queue de mon petit-fils, je vais pas m’en priver, tu vas voir.

Elle accélère ses mouvements, et je me tords de plaisir. Je me retiens pour éjaculer.

— Ralentit, sinon je vais

Mais c’est trop tard, je lâche tout ce que mes couilles ont retenu pendant cette dernière heure de baise. Toute cette envie qui était ancrée en moi, je la déverse dans ma grand-mère.

— Oh mon dieu, tu me remplis littéralement la chatte !

J’éjacule tellement il faut dire ! J’ai l’impression que ça n’en finit plus. Je sens mon sexe exploser à l’intérieur d’elle. Mon périnée se contracte comme jamais pour envoyer le plus de sauce possible. Et pour ne pas m’aider, mamie continue ses allers-retours sur moi, comme si elle voulait me drainer toute ma semence. Petit à petit, elle ralentit, pour finir par s’arrêter et s’allonge sur moi. Au moment où mon pénis sort de ses entrailles, un flot de sperme coule, j’en ai partout sur moi.

— T’as de la chance que je sois ménopausée sinon j’aurai été enceinte à coup sûr avec ce que tu m’as mis !

Elle descend tout doucement vers mon sexe et commence à lécher et à avaler tout le sperme qu’il y a sur moi. J’aime sentir ses lèvres caresser ma peau, tout en me donnant des bisous.

— Tu reviendras vite voir mamie, pas vrai ?

— Sans aucun doute ! Mais faudra attendre que mes couilles redeviennent pleines, parce que là tu m’as vidé !

Elle eut un sourire et se blottit contre moi. J’aurais aimé lui faire l’amour toute la nuit, la prendre par tous les trous, déverser nos fluides corporels mais cela aurait été égoïste de ma part connaissant l’âge de mamie. De toute façon, je sais qu’on sera amené à se revoir et à baiser comme des bêtes

Décidément, j’adore faire partie de ce Cercle !!!

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