La fin daprès midi fut plus calme, Chrystelle ma raccompagnée chez mes parents les bras chargés de paquets. Nous étions vendredi soir et nous sommes convenus de nous retrouver samedi en début daprès midi, pour nous préparer en vues de notre soirée.
Jétais sur un petit nuage de sensualité. Profitant seule de la grande maison familiale je décidais de prendre un bain chaud. Pendant que celui-ci coulait jallais dans ma chambre rangé mes délicieux cadeaux nen croyant pas mes yeux
Très vite dans la salle de bain je me mettais nue face au miroir qui me renvoyait limage sensuelle de la jeune délurée que jétais devenue en quelques jours au contact de mes amis Chrystelle et Xavier.
Mon regard plongeant le long de mon corps pour sattarder sur mon petit abricot lisse, encore orné de la boucle de mon uf que Chrystelle avait souhaité me voir porter bien quayant éteintes les vibrations. Sa seule présence dans mon vagin me rappelait mon état de petite coquine que jétais devenue et que jassumais.
Très délicatement je tirais sur le petit cordon pour extraire le jouet en me mordant les lèvres pour ne pas défaillir de plaisir. Je le déposais à coté du lavabo avant de me glisser dans mon bain chaud comme jaime.
Après un long moment de détente où je profitais de linstant présent mes pensées courraient de nouveau vers nos folies de laprès midi, et mes doigts trouvant ici une indépendance que je leur connaissais bien parcouraient mes seins se faisant se dresser mes pointes avant de glisser sur mon ventre plat et de jouer avec mon piercing au nombril.
Ils sont vraiment coquins dés quils abandonnèrent mon nombril se fut pour se glisser plus bas vers mon pubis lisse quils exploraient comme une nouvelle découverte, terre de tous les plaisirs
Humm cétait si doux si chaud jadore cette nouvelle sensation, ma main glisse à plat sur mon petit abricot mon index à la traine parcours ma fente Déjà mes yeux se ferment les rêves les plus fous me gagnent Soudain le bruit dune moto sur le gravier de notre allée !
Mon frère ainé, grand 1.90 pour 80 kg brun musclé aux yeux bleus de 22 ans, je lavais complètement oublié celui-là, pourtant il est adorable, craquant à souhait et adoré de mes copines en son temps.
Cest vrai que depuis son retour à la maison, après 3 années passées à Montpelier en Fac avec une colocataire-amante, il est de retour dans notre maison quil considère comme un hôtel bon marché.
Mes doigts quittent à regret leur paradis, mais je suis si bien dans ce bain.
Jentends Benji monter dans sa chambre qui se situe face à la mienne.
— Justine tu es là ?
— Oui, sest toi Benji, je suis dans la salle de bain.
— Je peux entrer ? Il frappe.
— Heu oui je me cache sous la mousse.
— Bonjour ma belle
— Bonjour tu rentres à cette heure ? (17H30)
— Non ne tinquiètes pas je ne reste pas juste me changer et je sors ce soir.
— Mais tu ne me déranges pas mon cher frère.
— Humm tu es un amour petite sur. Et il me dépose un baiser sur le front.
— Je vais te laisser la salle de bain, jai fini.
— Oh mais quest ce que sest que cela ? il tient par la boucle mon jouet que javais laissé sur le lavabo
— Heu je je dois surtout rougir comme une gamine prise en faute.
— Cest à toi ma puce ? Waouh tu as bien grandie
— Cest un cadeau Alors quil le présente devant son nez pour le sentir.
— Un cadeau ? Mais qui peut bien toffrir un sexe toys ?
— Cest secret je ten prie repose le.
— Bon bon. et il le redépose à la même place.
Je suis toujours dans mon bain et la mousse commence à se diluer, me dévoilant de plus en plus. Et lui qui reste là devant le miroir, qui quitte sa large chemise de coton blanche exhibant au miroir et à mes yeux dans le reflet son torse musclé où tous les muscles se dessinent sous sa peau délicieusement bronzée.
Jai toujours craqué sur les baroudeurs et les mauvais garçons, mais mon style de jeune bourgeoise me rendait visiblement inaccessible à leurs désirs.
Benji cest un peu tout cela beau, et il le sait. Charmant, et il en abuse. Bien élevé et pourtant si indépendant et bringueur de toutes les nuits voila mon frère.
Le voir là face au miroir juste vêtu de son jeans en toile écru, son torse nu dévoilant au miroir ses muscles, son bronzage et sa barbe de 3 jours, des idées inavouables me viennent.
Je prends le temps de bien le mater, chacun son tour après tout.
Puis alors quil est en train de sa laver les dents, qui sont pourtant déjà bien blanches et parfaitement alignées, je prends linitiative de quitter mon bain, dont la mousse se réduit à peau de chagrin.
Je me lève dans leau, et déjà son regard sallume.
Je lui souris.
— Tu me passe une serviette.
— Avec plaisir Juju
— Oh arrêtes je tai déjà dis mille fois que javais horreur de ce diminutif
— Tu préfères Titine ?
— Oh toi
Je lui arrache la serviette des doigts et commence à me sécher la poitrine, dont les bouts se dressent sous le coton blanc. Je continue de me sécher en prenant soin de ne pas croiser son regard que je devine sur moi.
— Tu es devenue une superbe jeune fille ma chère sur
— Merci venant de toi cela me touche
— Humm ce piercing est superbe (il fixe mon nombril)
— Merci tu aimes ?
— Oui beaucoup, mais moins que cette délicieuse épilation
— Cest très à la mode non ? pour moi cest tout nouveau de cet après midi.
— Et bien il y en a qui ont de la chance
— A bon ?
— Oh oui crois moi cest le fantasme de beaucoup de garçons
— Et cest le tiens aussi ?
— Moi jadore ça à lécher cest tellement doux
— (je dois rougir)
— Ne me dis pas que tu ny as pas pensé en te rasant ?
— Mais je ne me suis pas rasée, jai été le faire faire chez lesthéticienne.
— Humm cela dois être encore plus doux alors.
— (je me sens rougir et surtout mexciter en lécoutant)
— Tu sors ce soir ? Les parents mont dit quils ne rentraient pas avant dimanche après midi.
— Heu non rien de prévu ce soir (en fait javais prévu un ciné avec mon chéri mais je crois quil est préférable de bien récupérer avant la soirée de demain et laprès midi que je viens de passer)
— Bien alors tu peux le remettre (il tient devant moi par la petit boucle le petite uf rose) !
— Mais pour qui me prends-tu ?
— Justine pour me faire plaisir. Cà je ne lai jamais vu. Juste pour moi ce sera notre secret, et puis après ce que tu viens de me montrer
— Oh les mecs mais vous ne pensez quà cela !
— Et vous les filles petites coquines que vous êtes, vous adorez nous allumer.
— De toute façon je nai pas la télécommande qui met en route les vibrations.
— Ah bon et qui est lheureux propriétaire ?
— Cà cest mon secret et me perchant sur la pointe des pieds je lui colle un bisou sur la joue en lui prenant mon jouet.
Je le laisse dans la salle de bain avec des rêves plein la tête, et nouant la serviette sur mes seins me dirige vers ma chambre. Sur le lit trône tous les paquets offerts par Chrystelle. Je ne peux mempêcher de refaire linventaire en sortant chacun des articles.
Face à mon grand miroir je pose sur mes seins les corbeilles des balconnets et des guêpières Je suis si sexy si sensuelle avec ses beaux dessous.
Je range, faisant de la place pour mes nouveaux joyaux. Puis vient le tour des chaussures que je range en bas de mon armoire non sans avoir pris le plaisir de les essayer de nouveau. Ces délicieux talons aiguilles, les escarpins, les mules, les sandales et les cuissardes en vinyle blanches, je les avais presque oubliées. Je ne peux mempêcher de les essayer de nouveau. Elles sont vraiment superbes, elles montent haut sur mes cuisses, une vingtaine de centimètres au-dessus du genou, et les talons sont prodigieux, des aiguilles de métal de 10cm qui me cambrent délicieusement indécente.
Cest dans cette tenue face au grand miroir que mon portable sonne.
Je me saisis de mon portable, et me laisse tomber sur mon lit face au grand miroir, je décroche.
— Allo
— Justine, ma chérie cest Ludo (mon chéri)
— Humm mon amour (il manquait plus que lui, il va falloir que je lui dise pour le ciné ce soir ) tu me manques (mais pourquoi je lui ai dis cela ?)
— Toi aussi ma puce, mais ce soir nous serons tous les deux
— Heu oui enfin non je ne peux pas sortir ce soir
— Justine tu mavais promis
— Oui je sais mais je ne peux pas, pas ce soir.
— Pourquoi ?
— Ecoute tu sais nous les filles nous ne sommes pas toujours dispo
— Oh ma puce ce nest pas grave on peut quand même aller au ciné alors.
— Non je préfère rester seule ce soir.
— Bon et bien dans ce cas je vais sortir avec des potes, tu veux bien. Tu ne men voudras pas après ?
— Non bien sur, amuse toi bien
— Bisous ma belle
— Bisous
Et je raccroche. Les yeux perdus dans le miroir avec mon portable à la main je rêve. Il va sortir sans moi et cela mest complètement indifférent. Pour la première fois depuis bien longtemps, depuis que nous nous aimons, je rêve même dautres bras, dautres mains, dautres lèvres je ferme les yeux, une douce torpeur menvahie, je mendors quasiment nue sur mon lit juste vêtue de mes cuissardes en vinyles blanches.
Combien de temps je nen sais rien mais, comme dans un rêve, une voix familière
— Justine, Justine, réponds moi çà va
— Heu Oui mais
— Tu mas fait une de ces peurs
— Quoi, mais que fais tu dans ma chambre (en ouvrant les yeux, je fixe ceux de Benji, lui sourit mais je suis nue mais que fait-il dans ma chambre ?)
— Oh du calme jai entendu quelque chose tomber puis se briser, cela provenait de ta chambre, jai frappé, appelé, sans réponse je suis rentré jai eu peur quil te soit arrivé quelques choses.
— (je regarde autours de moi, mon portable ma échappé en dormant, et il sest littéralement explosé sur le parquet au pied de mon lit). Et tu en profites pour me mater
— Oh arrêtes tu es sublime, et tu le sais très bien surette. Et cette tenue te vas à ravir, mais dis moi les parents savent que tu as ce style de tenue ?
— Non ils ne savent pas et je compte sur toi pour ne rien leur dire. (Je me relève et assise sur le bord du lit aux cotés de Benji je me colle contre lui) tu es adorable dêtre venu à mon secours.
Au contact de sa peau bronzée mes seins se dardent contre son bras musclé, je le fixe dans les yeux. Je suis sure que les miens brillent déjà de mille éclats. Je pose ma main sur sa cuisse, sur son jeans en toile écru. Mes doigts fins courent sur ses muscles
Humm il faut que je me ressaisisse, oh non je ne peux pas pourtant lenvie irrésistible est là
Pourtant mes doigts sont sur sa cuisse ils courent sur celle-ci dessinant les muscles. Je souris le fixe dans les yeux il est adorable si ce nétait pas mon frère
— Tu as quelque un en ce moment, surette ?
— Heu oui, enfin non Pourquoi me demandes-tu çà ?
— Voila ce soir jai limpression que tu as besoin de te changer les idées, et justement je me dois dêtre accompagné à une soirée entre amis, çà te dis ma puce ?
— Oh Benji toi qui ne ma jamais présentée à tes amis
— Tu verras ils sont sympa et je suis sur que cela va te plaire.
— Et où allons-nous ?
— Chez Sam tu sais mon ami antillais
— Heu oui (il me la présenté il y a 2 ans au moins, un beau métisse très musclé et charmant) le mannequin ?
— Oui lui-même, tu sais celui qui a fait de la télé.
— Humm tu me tentes (effectivement le beau Sam a été lun des tentateurs de lémission « Lile de la tentation »)
— Alors ma belle il ne tient qua toi, tu sais Sam adore les filles dans ton genre.
— Ah oui et cest quoi mon genre ? (en me levant du lit me plantant devant lui)
— Le genre adorable petite peste sexy !
— Ah oui je suis une petite peste sexy, cest un compliment au moins ?
— Ecoutes ma belle, va te changer parce que dans cette tenue je en suis pas sur de me contrôler.
— Humm vraiment, et qui te le demande de te contrôler ?
— Arrêtes Justine je te sors ce soir, il y aura au moins une quinzaine de personne chez Sam, il a une belle maison avec piscine. Fais toi toute belle et toute sexy tu vas adorer la soirée.
— Je prévois un maillot ?
— Comme tu veux mais habituellement on se baigne nus chez Sam.
— Dis-moi mais cest quel type de soirée que vous organisez ?
— Une soirée libertine, cela te va ?
— Comment une soirée libertine mais dis moi tu es en train de minviter à une partouze ?
— Oh tout de suite les grands mots, cest bien les filles çà vous nous allumez, vous jouez les filles libérées et dès que lon vous propose un truc sympa, il-y-a plus personne.
— Détrompes toi mon grand, je vais adorer jen suis sure, mais promis ce sera notre secret ?
— Mais oui ma puce, tu peux compter sur moi je serais là pour te protéger.
— Humm seulement pour me protéger ?
— Pourquoi tu en voudrais plus ?
— Humm ne me tentes pas, toi plus Sam cela pourrait-être très chaud non ? (je dis cela en me trémoussant devant lui, perchée sur mes cuissardes vinyles blanches aux talons aiguilles)
— Mais dis moi petite coquine tu semble avoir bien grandie
— Oh tu en doutes ? (je le fixe dans les yeux en passant ma langue sur mes lèvres, alors que je joue avec mes seins de mes deux mains)
— Jai de moins en moins de doutes pour tout te dire, il te reste à peine une heure pour te faire belle.
— Humm je suis déjà douchée, je vais aller me maquiller, me coiffer, me parfumer et pour le reste je te laisse le soin de me choisir une tenue. (Jouvre les portes de mon dressing pour lui dévoiler mes trésors, et notamment mes derniers achats de lingerie)
— Eh bien dis moi tu as là de quoi rendre nimporte quel homme fou de toi
— Tous les mêmes un zest de dentelle, quelques grammes de nylon, de soie, de satin et ils fondent.
Je massois sur le bord du lit et retire mes cuissardes en prenant soin de bien mexposer. Je les range au pied du dressing et laisse Benji faire son choix, il nen revient pas que sa petite sur ait autant de beaux dessous.
Je me dirige vers la salle de bain où je me maquille un peu plus soutenu quà lhabitude, les lèvres, mes yeux, je me coiffe prenant soin de bien dégager mon cou.
Je madmire une nouvelle fois dans le grand miroir, je me plais, je suis désirable et çà jadore. Cette tête dange et se corps de femme si sensuel, mes seins sont déjà tout excités, ma peau déjà légèrement ambrée par le soleil de ce mois de juin, mon ventre plat et ce petit abricot qui me fascine depuis le début de laprès midi. Il ne faut pas que je passe ma main ou mes doigts dessus sinon je ne vais pas pouvoir résister il va falloir que je me Oh non.
Un dernier regard je suis prête, je quitte la salle de bain et retourne dans ma chambre où le beau Benji a fait son choix