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Vacances en italie – Chapitre 2

Vacances en italie - Chapitre 2



Nous venons d’arriver dans la splendide villa qui sera notre chez nous pendant 10 jours. Lessivé par la route, le premier soir est assez calme et cest sans nous faire prier que nous rejoignons nos chambres respectives de bonne heure.

Je me réveille vers 9h du matin, le soleil est bien haut dans le ciel et il fait déjà chaud, j’enfile juste un short et un t-shirt avant d’aller prendre le petit-déjeuner laissant Sophie dans les bras de Morphée.

Arrivé dans la cuisine, je sens une bonne odeur de café, jy trouve Louise, attablée, sirotant son café. Elle est vêtue d’un petit short en toile blanc et d’un débardeur de la même couleur au travers duquel on distingue le tissu rose de son bikini.

J’ai toujours été un ami fidèle si bien que je l’ai toujours perçue comme étant une personne asexuée. Malgré tout, aujourd’hui, comme le dirait une célèbre publicité : Mais ça, cétait avant !, je ne la voyais plus en tant que telle. Elle était devenue, à mes yeux, la fille sexy qui taillait une pipe à mon pote à l’arrière de ma voiture alors que je conduisais.

Alors quelle navait pas encore remarqué ma présence, je me suis surpris, pour la première fois depuis que je la connais, à la déshabiller du regard en me disant que jaurais aimé être la place de mon ami. Je tentais de chasser cette image de mon esprit et entrait dans la pièce comme si de rien nétait. Après lavoir saluée, je minstallais en face delle et commençais à petit-déjeuner.

Une fois rejoints par les autres, nous décidons d’aller faire quelques courses et de visiter le village, à notre aise, étant toujours légèrement groggy par la route. De plus, nous avions surtout envie de profiter de la piscine. Et c’est ce que nous faisions pendant toute laprès-midi.

On pouvait enfin se sentir en vacances. Pendant que les filles faisaient bronzette sur les transats, Sylvain et moi prenions l’apéro en l’entrecoupant de quelques séances de baignade. Je remarquais que, de temps en temps, mon meilleur ami lorgnait Sophie, du coin de l’il, observant chacune de ses formes dun regard lubrique. Visiblement il était tout aussi chamboulé que moi. De plus je ne pouvais pas lui en vouloir car, depuis ce matin, je faisais de même.

Alors que jétais à l’autre bout de la piscine, Sylvain nagea dans ma direction et, une fois arrivé, me parla suffisamment discrètement pour que les filles ne nous entendent pas.

— Tu as repensé à notre conversation d’hier ? Me demanda-t-il

— Vaguement et toi ? Répondis-je dans un mensonge qui se voulait peu convaincant.

— On va dire que moi aussi jy ai repensé vaguement. Mais plus sérieusement qu’est-ce que tu en penses ?

— Je nen sais trop rien… Jen ai très envie mais jai également très peur de la réaction des filles.

— J’ai un peu retourné la question et je me dis quil ne faut rien leur dire ce qui s’est passé hier. Cela doit rester un secret absolu. J’ai pensé à un scénario qui pourrait être réalisable. Comme je te lai déjà expliqué, depuis que Louise a découvert les joies du sexe (elle était vierge avant de se mettre en couple avec lui), elle en demande toujours plus et apprécie de plus en plus le fait de prendre des risques. En partant de là, il ne lui reste plus qu’un pas à franchir pour l’exhibitionnisme. Je suis certain quelle ne sera pas difficile à convaincre si on lui amène la situation comme une opportunité unique. Par contre pour ta femme cela risque d’être plus compliqué. Même si elle est sans doute la plus ouverte de nous quatre, d’après ce que tu m’as dit et ce qu’elle raconte, ce genre de pratique n’est pas forcément la sienne en tout cas elle n’a pas l’air d’en exprimer le désir.

— À qui tu le dis ! Par contre on essaie de faire quoi exactement ? Il faudrait peut-être se fixer un objectif

— Tu penses à quoi toi ?

— On parle franchement et sans tabou ? On est juste deux potes qui discutent au bord d’une piscine ?

— Ne te tracasse pas c’est comme ça que je le vois, peu importe ce qu’on se dit là et maintenant, cela n’entachera pas notre amitié, je te le promets. Comme tu dis, on est juste deux potes qui discutent comme quand ils étaient deux adolescents puceaux.

— Je t’avoue avoir songé à l’hypothèse d’un plan à 4 mais je pense que ça c’est impossible. Idem pour une partie de jambes en l’air chacun avec son partenaire dans la même pièce. Pour moi, ce qui est réalisable, ce serait de créer une situation où toi et moi nous ferions sucer dans la même pièce. Si on arrive à ça, ce serait déjà un exploit.

— J’avais ce genre d’idées en tête. Sans fermer la porte à l’éventualité de quelque chose de plus chaud. Après je ne sais pas trop quel serait ce plus, je ne sais même pas si on arrivera à lobjectif fixé.

— Et comment ferions-nous pour nous y prendre ? On ne va pas arriver en mode bourrin et regarder les filles en leur disant : Alors les meufs une pipe sur les transats ça vous dit ? Si on fait ça, on va se faire découper en morceaux.

— Je pense qu’on doit y aller crescendo, induire des situations ambiguës, stimuler leur désir tout en les poussant à aller un peu plus loin. Dans un premier temps, on agit séparément, chacun de notre côté pour tenter de se rejoindre à la fin. Comme entrée en matière, je te propose la chose suivante…

Lidée de Sylvain, bien qu’un peu tirée par les cheveux, nétait pas si bête que ça. Nous avions décidé de la mettre en application le soir même.

Le soleil commençait à tomber, nous étions tous les quatre assis en terrasse profitant de cette douce chaleur dété. Nous sirotions quelques cocktails en parlant de tout et de rien. Le repas et la soirée se passèrent assez sympathiquement nous faisant presque oublier ce que nous allions faire ce soir.

Pendant le repas, Sylvain et moi, si nous voulions mener notre mission à bien, devions échauder nos partenaires afin de les amener là où nous le voudrions quelques heures plus tard. Pour se faire, pendant que nous étions autour de la table, à plusieurs reprises, nos mains respectives venaient de frotter à nos moitiés aussi discrètement que possible.

Comme convenu laprès-midi, prétextant laccumulation de la fatigue, je fis croire que jallais me coucher aux alentours des 23h. Avant de disparaître dans notre chambre avec vue sur la piscine, je pris soin de demander discrètement à Sophie de me rejoindre. Une fois à létage, je l’attendais patiemment dans le noir.

Elle ne se fit désirer que pendant 10 minutes environ. Elle vint directement se blottir contre moi, et tendrement je l’embrasse tout en lui caressant la poitrine et les fesses. Alors que la température commençait à monter, je me levais pour aller fermer les tentures. Discrètement je l’appelais à voix basse, l’invitant à venir voir ce qu’il se passait dehors.

Frustrée, elle finit tout de même par venir me rejoindre. Alors quelle devait penser j’allais lui montrer une chouette ou un lézard, elle resta figée à m la fenêtre devant le spectacle qui soffrait à elle. À quelques mètres de nous en contrebas, elle pouvait voir Louise allongée sur un transat avec la tête de Sylvain entre ses jambes. Ce dernier avait respecté sa part du marché. Maintenant, cela allait être à moi de faire autant.

Hypocritement, je lincitais à vouloir retourner au lit pour laisser leur intimité à nos amis en faisant mine de fermer la tenture.

— Attends encore une seconde s’il te plaît, je sais que ce nest pas bien mais après tout ils lont cherché, parce que faire ça sous notre fenêtre excuse-moi, mais bon…

— Quoi ? Ça t’excite de voir tes amis qui s’affichent et de la sorte ? L’interrompis-je.

— C’est pas que ça m’excite mais je n’ai jamais surpris personne dans ce genre de situation. Laisse-moi juste regarder 5 minutes je veux voir sils vont aller jusqu’au bout.

Je dois bien avouer que Sylvain n’était pas con du tout. Son plan semblait marcher à la perfection. Maintenant, c’était à moi de jouer, il avait rempli sa part du marché, je vais m’occuper de la mienne. Je devais initier la chose tout en les regardant pour m’assurer que cela pourrait plaire à Sophie.

Alors qu’elle était complètement obnubilée par ce qu’il se passait dehors, je viens me glisser derrière elle à pas de loup et déposais ma tête dans le creux de son cou tout en lui enlaçant la taille.

Du haut de notre perchoir, nous ne pouvions distinguer que les silhouettes de nos amis, il nous était impossible d’apprécier en détail ce qu’il se passait entre eux. Cela me frustrait un peu car Louise vient d’enlever le haut de son bikini.

Les deux acteurs principaux, de cette pièce faussement imprévue, sont passés à l’acte 2, en inversant les rôles. C’était maintenant à Louise d’accorder toute son attention à l’intimité de Sylvain.

— Maintenant que nous avons vu ce qu’il allait se passer ensuite, ça ne te donne pas envie qu’on aille en faire de même ? Tout en disant cela, ma main gauche migrait vers sa poitrine tandis que la droite partait en sens inverse.

— Encore une seconde… susurra-t-elle

— Sans lui répondre, je prenais possession de sa poitrine, ainsi que de son petit abricot qui pour mon plus grand plaisir était déjà trempé.

— Et bien petite coquine, j’avais raison, chuchotais-je en la masturbant, tu as vu comme tu es excitée ?

— Tu peux parler, gros pervers, tu crois que je ne sens pas que tu bandes ?

Je ne pris pas la peine de répondre et continuais simplement à la caresser, ce qu’elle semblait apprécier fortement. Sa main qui était restée jusqu’ici bien sage, partit dans son dos en direction de mon membre. À son tour, elle me branlait doucement, nous amenant là où je le voulais, elle matait ses amis tout en prenant son pied.

En bas, ils viennent passer au plat de résistance, Sylvain est toujours allongé sur son transat, mais désormais Louise est assise sur lui effet onduler son bassin sans retenue.

— Ils n’ont vraiment honte de rien. Murmura Sophie satisfaite d’assister à la scène quelle devait sans doute attendre depuis le début.

— Et toi alors, petite voyeuse, tu n’as pas honte ?

Tout en disant cela, j’avais cessé mes caresses, libéré ma verge de ses doigts, et délicatement en pressant dune main entre ses omoplates, je l’invitais à se pencher en avant tout en lui écartant les jambes avec les miennes.

Elle se laissa faire sans rechigner et alors que je présentais l’extrémité de mon gland à sa petite chatte ouverte prête à m’accueillir elle écarta un peu plus les jambes pour me faciliter l’accès. Je la pénétrais en une seule traite et sans peine de l’entièreté de ma queue.

Dans une certaine forme de mimétisme, je la baisais au même rythme que mes amis en contrebas. Une main en guise d’appui sur le rebord de la fenêtre et l’autre main posée contre sa bouche afin d’étouffer ses gémissements. Elle observait la scène méticuleusement tout en se laissant prendre.

Le couple avait changé de position et tout comme moi, Sylvain se trouvait derrière sa femme et la prenait en levrette. Après plusieurs minutes de débauche sauvage et passionnée, le rythme s’accélère. Se pourrait-il que Louise et Sylvain arrivent à l’épilogue de leurs parties fines ? Louise s’assied sur le bord du transat et Sylvain se met debout devant elle. Il profite à nouveau de la joie des caresses buccales.

J’accélère la cadence afin de pouvoir jouir au même moment apporter un bouquet final à notre petite expérience. Je parviens à mes fins quelques minutes après lui et Sophie ayant toujours été sensible à la conclusion d’un coït, ne peut s’empêcher de laisser passer un énorme cri rauque.

Les deux compères alertés par le bruit tournent la tête dans notre direction. Sophie et moi, par réflexe, nous cachons derrière les tentures alors que je n’ai pas fini de répandre ma semence qui, de ce fait, vient s’étaler par terre. Nous éclatant de rire chacun dos au mur après un bref nettoyage allons nous mettre au lit.

Des bruits de pas sur le palier nous font comprendre que les amoureux sont montés. Du coup prétexte une envie de fumer et redescends au rez-de-chaussée. Je suis bien vite rejoint par Sylvain qui a sans doute faisant croire qu’il avait oublié quelque chose.

— Ça a marché? Demanda-t-il un sourire aux lèvres

— Ne fais pas l’innocent tu as très bien entendu que oui. Répondis-je avec le même rictus.

— Sinon quelle sera la prochaine étape ? Essai de faire en sorte de vous lever 15 minutes après nous j’ai ma petite idée.

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