Bonjour
Ceci est une histoire vrai, rien n’est romancé ou inventé.
Je suis un homme de 35 ans, assez moyen physiquement, pas très grand et un peu d’embonpoint. Je suis hétéro mais avec une particularité: J’aime les sexes d’hommes et j’aime sucer.
Pour assouvir ce fantasme je me rends de temps en temps dans un cinéma X de Pigalle. La bas l’ambiance peut paraître un peu glauque mais je dois avouer que cela me plaît assez. Les mains se baladent, les corps se touchent à la moindre occasion mais sans violence aucune.
Il y a parfois des travestis qui "travaillent" dans le cinéma mais dans la plupart des cas ce sont des hommes assez grand, qui parlent un peu forts ou qui sont un peu dédaigneux. Ce n’est vraiment pas ma tasse de thé mais chacun ses goûts.
Un jours que je me promenais dans les allées d’une des deux salles du cinéma j’aperçois une merveille. Une transsexuelle (c’est extrêmement rare qu’une femme seule vienne dans le cinéma). Elle a un haut échancrée sur une poitrine qui a l’air magnifique, elle est mince, des cheveux bouclées et elle se promène également suivi par de nombreux hommes.
Je fais mon possible pour la croiser. quand j’arrive à sa hauteur j’essaye d’engager la conversation.
— Bonjour, ça va ? (pas très original mais bon ..)
— Oui mais je n’aime que les noirs! me répond elle.
Bon ben voila! moi qui avait le fol espoir de passer un peu de temps avec elle me voila rembarré (oui parce je suis blanc donc pas vraiment dans ses goûts).
Assez déçu je passe mon chemin et continue à vaquer à mes occupations.
Je reviens quelques semaines plus tard dans ce même cinéma. Toujours quelques effleurements, quelques sexes touchés et branlés, quelques mains qui me caressent les fesses ou me branlent mon sexe.
Soudain dans la salle je vois cette transsexuelle qui revient. Elle se positionne debout dans un coin de la salle, seule.
Je tente à nouveau une approche (des fois que ses préférences ait changées)
— Bonjour, ça va?
— Oui mais mais j’ai envie de me faire sucer! répond elle cette fois ci.
— Je peux te sucer si tu veux.
— C’est vrai?
— Bien sur.
— ok, me dit elle. et elle commence à déboutonner son jean.
Je suis très excité à l’idée de prendre en bouche son sexe. Mon Dieu, son sexe est gros et bien dur.
Je m’agenouille, je le contemple, je le prend déjà en main. Il est beau et elle est très belle.
Je commence doucement à lécher le gland puis je fais tourner ma langue sur ce sexe qui me tente envie. Je la suce bien, j’aime ça.
Un attroupement se fait autour de nous attiré par le spectacle de ce corps parfait en train de prendre du plaisir. Je balade mes mains sur son ventre sur ses seins. Elle est debout devant moi, Elle me regarde fixement, elle a l’air d’apprécier. Moi aussi.
Parfois tandis que je la caresse je rencontre d’autres mains qui la caressent également. Elle les écarte gentiment mais fermement.
L’atmosphère devient irrespirable. Il fait très chaud. Elle me relève et me dit:
— Viens, il y a trop de monde ici, on va dans un coin tranquille.
Je la suis bien évidemment car j’ai bien envie d’avoir sa giclée de foutre chaud au fond de ma gorge.
Elle m’emmène dans la salle du bas ou il y a, dans un recoin, une petite pièce d’un mètre sur un mètre.
Il y a beaucoup de monde devant qui attendent de voir qui va rentrer dedans et qui espère être invité aux ébats.
Nous nous enfermons. Elle se déshabille. Elle a un corps magnifique. Un corps mince et ferme, des seins (faux évidemment mais superbes) et un sexe magnifique).
Je me remets à genou, je la repompe doucement puis plus énergiquement, jouant avec la langue. Elle gémit, elle aime ça. Je prend mon temps et mon pied.
Des gens essaient d’ouvrir la porte pour regarder mais nous sommes bien tranquilles.
Je la suce pendant trente minutes.
— Je veux ton cul, me dit elle:
— Je n’ai jamais fait ça, tu es trop gros, ça pourra jamais rentrer.
C’est vrai que je n’avais jamais fait ça. C’est un fantasme d’essayer une fois mais j’ai vraiment peur qu’elle me déchire.
— Tu veux bien que j’essaye.
— D’accord mais doucement.
Je me relève j’enlève mon jean. Elle se plaque dans mon dos et essaye de rentrer son sexe bien dure dans mon petit trou.
Ca me fait horriblement mal et je prend peur.
— Stop! Stop! Ca me fait vraiment trop mal! lui dis je:
— Ok c’est pas grave.
On se caresse encore un peu et on décide de se rhabiller et de sortir.
Nous allons nous asseoir ensemble sur les fauteuils de la salle pour discuter un peu.
— je m’appelle Carolina, me dit elle. Elle est d’Amérique du sud comme beaucoup de transsexuelle.
— Et moi Patrick.
— Tu suce bien.
— Merci. J’adore ton sexe et ton corps
— Tu n’as jamais couché avec un homme
— Non, j’aimerais bien essayer avec toi mais ça fait vraiment mal
— On peut faire ça chez moi si tu veux, j’ai du gel et ça passera beaucoup mieux.
— Pourquoi pas, ça m’excite vraiment d’essayer.
— J’habite dans l’ouest de Paris.
— Moi aussi, on est voisin.
— On y va maintenant?
— demain si ça te dérange pas
On s’échange nos numéros de téléphone et on prend rendez vous le lendemain chez elle.
Arrive le dimanche. J’ai vraiment hâte d’avoir cette nouvelle expérience.
J’arrive chez elle. Elle vient me chercher à la station de métro. On va chez elle silencieusement.
Elle vit dans un immeuble cossu mais dans les caves de l’immeuble. Les caves sont emménagés en de minuscules appartements.
On rentre dans son appartement. On se jette l’un sur l’autre, on s’embrasse, on se caresse. Elle s’assied dans un fauteuil, nue, le sexe déjà au garde à vous.
Je m’agenouille et recommence le travail commencé la veille.
Son sexe est toujours aussi dure, aussi bon, je me régale.
Après 10 minutes elle se lève. Me demande de me mettre à 4 pattes.
C’est le moment.
— Fait doucement, lui dis je. Met du gel
— Ne t’en fait pas. Ca va bien se passer.
Elle met du gel et commence à rentrer.
— Ca fait mal!
Elle remet du gel et rentre doucement
Au fur à mesure tout rentre et elle commence à faire des va et vient. Je ressens un peu de douleurs mais très supportable.
Elle commence à me pilonner
— Ha oui vas y! défonce moi
Elle y met du cur. Elle met tout son poids sur moi, Ses seins contre mon dos. La sensation est exquise. J’aime vraiment ça.
Elle me retourne. Met mes jambes sur ses épaules et elle me défonce.
J’aime voir son visage pendant qu’elle me pilonne, voir ses seins, la toucher.
— Je veux ton foutre sur mon visage, luis dis je.
Pendant trente minutes elle me défonce bien.
Elle se retire de mon cul et se lève.
Je me met à genou prêt à recevoir son offrande. Elle décharge son foutre bien chaud sur mon visage. C’est si bon. je la reprend en bouche. elle est encore dure.
C’est une première fois bien réussie et agréable.
Carolina est une femme superbe et très gentille.
On se quitte en se disant qu’on veut se revoir
Malheureusement, j’ai perdu mon téléphone et tout les numéros que j’avais dessus. Je ne peux plus l’appeler
Je ne sais plus son adresse exacte.
J’ai bien essayé de la retrouver au cinéma ou dans son quartier mais impossible de la retrouver.
belle histoire qui pourrait être la mienne. Tu as eu bien de la chance de rencontrer sans avoir à utiliser des vénales. Qui sait un jour la roue tournera t’elle pour moi car j’adore les transsexuelles et me plait d’être avec elles