Je prends le temps de bien regarder ces deux gros glands luisant et appétissant. Quelle chanceuse je suis ! Mes lèvres les embrassent tendrement, l’un après l’autre. Mais c’est celui de P. que je vais dévorer le premier. Il le mérite tant, après m’avoir fait mouiller maintes et maintes fois ! Et ce cuni délicieux ! Oh oui, je lui dois bien une grosse, une très grosse récompense ! Après avoir laissé ma langue parcourir son chibre plusieurs fois, je dépose ma bave sur le bout de son gland pour humidifier ensuite toute la longueur de sa queue. P. m’a expliqué un jour que les gorges profondes faisaient partie de ses fantasmes. Vous commencez à me connaître ; j’ai forcement relevé le défi ! Nous allons voir le résultat maintenant
Je glisse légèrement sur la table afin de laisser tomber ma tête dans le vide. P. comprend tout de suite où je veux en venir. Il se place derrière moi, pose sa main derrière ma tête, et commence à enfoncer son joli bijou dans ma bouche grande ouverte. Ma main droite n’a pas lâché le sexe ultra bandé de mon invité surprise. Je continue de le branler en maintenant une pression constante avec mes doigts. Je sens la queue de P. frotter sur mon palais, il va de plus en plus loin. Tout doucement, je l’avale en prenant soin d’agiter ma langue sur son long bâton délicieux. Je le laisse prendre possession de ma bouche, le laissant aller et venir, toujours plus profondément. Il manque quelques centimètres des 21 qu’il est prêt à m’offrir. J’appuie encore plus avec ma tête, je sens qu’il tape sur ma glotte, j’ouvre au maximum, je vais et je viens quand tout à coup, ça y est !! Je sens les poils de son pubis sur ma lèvre supérieure. P., en me tirant sur les mamelons, hurle sa joie et son plaisir :
— Ma douce et perverse petite chienne !! Tu me l’as gobé en entier ! Que tu me fais plaisir !!! Tiens, prends encore, régale toi ! Mmmmmh !
En me tenant la nuque, il appuie avec son bassin pour pousser son sexe encore plus loin dans ma gorge. Je n’en peux plus, l’air ne passe plus, j’ai la tête qui tourne, mais je ne peux plus bouger. Je l’entends dire de sa voix la plus vicieuse :
— Mais regardez moi cette souilllonne !! Elle coule en cascade ! Ah ça te fait de l’effet de te faire étouffer par mon gros dard ! Allez, encore un peu. Ouvre je te dis ! Et toi, vas y, touche lui bien les seins, vas-y, baffe lui ses tétons tout durcis ! Oh oui, tu me réjouis chérie ! Du premier coup en plus ! Tu es la reine des chienne, c’est officiel !
Ses paroles m’excitent encore plus et me font oublier que je suis entrain d’étouffer. Je lève mon bassin pour appeler leurs caresses.
— P., puis je répondre à cette petite chienne ? Regardez comme elle se tord de désir ! Elle veut qu’on s ’occupe de son petit minou mouillé. Je ne peux pas la laisser comme cela !
Le coquin ! Le voilà qui prend des initiatives !
— D’accord. Tu as du remarquer qu’elle adore qu’on la lèche et qu’on la doigte bien, en profondeur ? Alors c’est ce que tu vas faire : tu vas nous la préparer. Tu vas faire en sorte de lui ouvrir autant son petit trou que sa chatte déjà rendue béante. Montre moi comment tu t’y prends.Moi, je vais continuer à me faire pomper comme un roi !
Sans me prévenir, P. m’attrape et me retourne sur le ventre. Sentant la présence du bel inconnu derrière moi, je relève mon petit cul pour lui offrir une belle vue sur les orifices dont il doit désormais s’occuper.
– C’est merveilleux ! Tu comprends tout sans que l’on t’explique ! Maintenant appuie toi sur tes coudes, le cul bien en l’air, comme ça… De cette façon je vais pouvoir continuer à me branler dans ta grande bouche. MMMhhhh, comme cela, je sens tes lèvres pulpeuses le long de ma bite, mmmh…continue !! Regarde la, cette petite chienne, entrain de me lécher les couilles ! Oh oui, presse le gland pendant que tu lapes, tu as raison !
J’ai oublié de vous dire que sucer et lécher sont deux de mes verbes d’action préférés. Je tiens des heures, à laisser ma langue parcourir les corps de mes partenaires. J’apprécie particulièrement de voir ces derniers se lâcher complètement , s’oublier sous les voyages de mes lèvres et de ma langue. Voir une femme se crisper alors que je lui dévore son joli minou, sentir une queue durcir au maximum sous mes coups de langue, bien gonfler dans ma bouche…quoi de plus délicieux ?
Je sens un souffle parcourir mon entrejambes. De bas en haut, mon jeune invité excite mes sens, en maintenant mes jambes bien écartées. Il souffle , hypnotisé par ma chatte qui se contracte et se relâche au rythme de mes glissades buccales sur la bite de P.. Soudainement, une main se referme sous moi :
— La pince de crabe, tu connais ? C’est une de mes spécialités. Oh mais oui tu as l’air d’aimer cela ! Ton petit trou est déjà tout humide. Ça glisse bien ! Regarde, mon pouce est dans ta chatte, et , oh, déjà, mon index et mon majeur perforent ton petit anus. Tu apprécies ?
— Oh oui ! Que c’est bon ! Continue !
— Suce ma petite, suce, ne t’arrête pas de sucer!m’ordonne P.
Il m’attrape par les cheveux et me remet son gros chibre dans la bouche.
— Tu la sens bien au fond de ta gorge?C’est un prémisse à ce qui va se passer dans ton petit cul rond comme un ballon. Je vais enfoncer mon gros dard au plus profond de toi, là où personne n’est jamais allé ! Tu vas jouir comme tu n’as jamais jouis par le cul ma cochonne !
Alors que je me fais littéralement baiser la bouche, je sens les doigts du plus jeune de mes partenaires s’agiter sur ma chatte, glisser jusqu’à mon petit orifice, le pénétrer doucement, remonter pour pincer mon clitoris, s’enfoncer brusquement dans mon puits d’amour détrempée. Sa langue n’est pas en reste et lèche avec volupté l’intégralité de mon entre-jambes. Je me délecte, je suce de plus belle la queue de P. qui se dresse superbement ! Soudainement, il se retire de ma bouche.
— Allez chacun son tour ! Dis nous, quelle main tu préfères ? La mienne… ou la sienne ?…la mienne ? …ou la sienne ? Qu’est ce qu’ on est bien, un vrai gant de velours ton minou !
Il se relaie pour me doigter. Sitôt que le premier ressort ses doigts, le deuxième y fait pénétrer les siens, et ainsi de suite.Je geins plus fort, je m’offre totalement à ces deux hommes dont les bouches se tordent sous l’effort!Je ruisselle encore et encore sous leurs doigts experts, je me perds dans l’extase du moment…
— C’est l’heure ! Tu es à point !Pendant que je te fourre, tu vas lui faire une petite pipe. Sa belle queue de jeune premier va adorer ta belle bouche !
P. me tire vers lui et me prend dans ses bras. Nous sortons de la pièce et prenons un long corridor. Après quelques pas, il me pose par terre et m’ordonne de les prendre tous les deux par la queue pour les emmener au bout du couloir. La porte est ouverte. Un grand lit meuble la pièce, que deux gigantesques miroirs entourent. Je me retourne sans lâcher les deux vîts que je tiens fermement, puis je lève mon regard sur les deux paires d’yeux qui me scrutent, longuement… En quelques mouvements de bassin, je me retrouve à genoux, prête à dévorer les gros bâtons de ces messieurs. Je m’applique, sensuellement, à branler l’un pendant que je titille du bout de la langue l’ intégralité du second. Je lèche tout ce qui se présente à mes lèvres, de plus en plus goulûment, pour les prendre ensuite dans ma bouche, et les sucer délicatement….l’un, puis l’autre… Ils émettent de longs râles , puis j’entends le souffle de P. s’accélérer :
— Tu vas me faire jouir dans ta bouche.Est-ce c’est ce que tu cherches ?
Je ne sais pas, je ne sais plus, j’ai perdu toute notion d’espace, de temps. J’ai tout à coup un flash : P. m’a envoyé de nombreuses vidéos sur lesquelles j’ai pu apprécier ses longs jets de foutre. J’ai envie de les voir en vrai, maintenant.
— Non P., pas dans ma bouche, pas tout de suite. Je veux que tu jouisses sur moi, sur mes seins, sur mon ventre ; je ne veux pas en perdre une goutte !
Il n’en faut pas plus pour l’exciter comme un fou. P. apprécie, je le sais depuis un moment, qu’on chante les louanges de sa grosse bite et qu’on s’ébahisse devant la quantité de foutre qu’il peut produire en une seule éjaculation. J’aime flatter son gros ego, cela lui fait gonfler la queue !
Toujours à genoux, je recule un petit peu pour ne rien manquer du spectacle.
— Regarde bien Chéri, tu vas être impressionné ! » Dis-je au jeune homme en continuant de l’astiquer.
Dans un long râle, les yeux fermés, mon bellâtre projette une première giclée, suivie par une seconde encore plus abondante qui dessine une grande ligne sur mon ventre. Et encore, une, deux, trois ! Mon ventre et mes seins sont parsemés de son nectar ! Mon second partenaire vient s’agenouiller derrière moi et commence à masser ma poitrine. Ses mains glissent sur le sperme, essayent de le récupérer pour ensuite le porter à ma bouche. Il me fait lécher tous ses doigts, les uns après les autre, pour finir par m’offrir ses deux paumes que je termine de nettoyer.
Je fais cela en toute conscience, de la façon la plus cochonne qui soit. C’est que j’ai une idée derrière la tête… Je sais que P. peut rebander tout de suite après avoir jouit si on l’excite bien.
Nous n’en étions qu’aux amuses-gueules… il est grand temps de passer à table !