A Alex, qui est le coscénariste de cette histoire
Chapitre 1
Mon histoire avec Alex a commencé au début de l’été dernier.
Je n’allais vraiment pas bien, après que Thomas – que je croyais être mon premier "véritable amour" – m’ait larguée. Et pire que tout, il m’avait abandonnée pour Zoé, une de mes meilleures amies. Zoé est bi, comme moi, nous avions fait l’amour toutes les deux quelques fois, et surtout, je lui racontais (presque) tout. Bien sur, je savais qu’elle trouvait Thomas "canon", mais de là à me le piquer… Je me sentais donc doublement trahie, humiliée.
En ce début juillet, je ne me reconnaissais plus.
J’étais déprimée, je n’avais plus confiance en moi, et je n’avais même plus envie de faire la fête, moi qui fréquentais d’habitude presque toutes les soirées étudiantes de l’université.
Avant de rencontrer Thomas, j’étais une fille très… libérée. Pour lui, je m’étais rangée. J’avais reçu de mes parents une éducation sans tabou sur tout ce qui touchait au sexe, et j’ai toujours eu un appétit d’ogresse dans ce domaine. Mais maintenant, j’avais l’impression d’être nulle, moche, et je n’avais plus confiance dans ma capacité à séduire.
Pour tout arranger, le job que j’avais trouvé pour l’été avait été victime des restrictions de budgets, et je restais donc seule chez moi, oisive.
Ma déprime n’avait pas échappé à mes parents, et ils m’ont proposé de me prêter une petite maison de vacances qu’ils possèdent près de Palavas, et dans laquelle ils ne comptaient pas aller cette année. Ils m’ont précisé que je pouvais inviter une copine si je le voulais, mais j’avais plutôt envie d’être seule.
C’est ainsi que j’ai pris la route avec ma petite Twingo, et que je me suis retrouvée au bord de la Méditerranée, sous le soleil, un lundi en début d’après-midi.
J’éprouvais quand même du plaisir, en retrouvant cette maison et cette région, auxquelles étaient attachés tant de bons souvenirs pour moi. Entre autres, la perte de ma virginité, l’année de mes quinze ans…
Après avoir fait quelques provisions, j’ouvrais en grand les fenêtres, pour aérer toutes les pièces. Le jardin, bien que petit, était plutôt intime et agréable, surtout depuis que mon père avait aménagé une terrasse solarium, sur laquelle ma mère et moi entretenions souvent notre bronzage intégral.
D’ailleurs, je n’ai pas résisté bien longtemps à ce plaisir. J’ai sorti un transat, je me suis déshabillée entièrement, et je me suis installée en tenue d’Eve, vêtue seulement de mes lunettes de soleil. Je jouais machinalement avec les pointes de mes seins, qui se mirent à darder, comme par réflexe. Malgré la sensation de bien-être qui m’envahissait peu à peu, pendant que les rayons commençaient à chauffer mon corps et à colorer très lentement ma peau, je ne parvenais pas à retrouver ma joie de vivre, ni à faire de projets pour ces six semaines de vacances qui m’attendaient.
Lorsque le soleil est descendu vers la ligne d’horizon, je suis rentrée et je me suis installée pour dîner. Je n’arrivais pas à m’intéresser aux programmes de la télé, et je me suis couchée tôt, avec un livre.
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J’ai dormi près de dix heures, d’un sommeil sans rêves, et en m’éveillant, je me demande ce que je vais faire de cette première journée de vacances.
C’est alors que me revient à l’esprit ce projet que j’avais eu plusieurs fois, et auquel je n’avais jamais donné suite, trop occupée à sortir et à faire la fête: apprendre la voile. Pourquoi pas profiter de ma solitude et de mon désuvrement pour le réaliser? J’aime le sport, la mer, nager… De toute manière, je ne peux pas rester enfermée ainsi.
Ma décision est prise, même si c’est sans grand enthousiasme.
Il fait déjà chaud, et après une bonne douche, j’enfile un mini short, et un petit débardeur moulant. C’est une de mes tenues favorites, quand je séjourne à Palavas. En dessous, ni slip, ni soutien-gorge. Ma poitrine se tient très bien toute seule, et je déteste les marques de sous-vêtements qui gâchent la silhouette des filles. Mais je me suis habillée ainsi plus par habitude, que par calcul: je ne pense même pas faire une rencontre.
Je marche pendant un quart d’heure, jusqu’à la plage toute proche, et son club de voile.
En arrivant, je vois deux groupes de jeunes, en train de gréer des bateaux. Un groupe de filles et de garçons, encadré par une monitrice qui semble avoir le même âge que moi, mignonne. Et un autre groupe, des ados, qui mettent à l’eau trois catamarans, en suivant les instructions d’un moniteur, un homme en combinaison.
Je me dirige vers le bureau, à l’entrée de la zone de stationnement des petits voiliers, et je pousse la porte.
Derrière une table de travail, un homme est en train de saisir sur un ordinateur les informations notées sur ce qui semble être des fiches d’inscription. Il lève les yeux en m’entendant entrer, et m’adresse un sourire charmeur. Je lui donne trente ans au maximum. Un brun aux cheveux courts, qui doit mesurer près de 1m80, avec des épaules carrées que dessine son débardeur siglé aux couleurs du club de voile.
— Bonjour mademoiselle. Que puis-je pour vous? me demande-t-il d’une voix grave.
Le timbre de sa voix, son physique de sportif solide, son visage halé encadré par une petite barbe… Tout à fait le genre d’homme à qui j’ai du mal à résister. Mais je ne veux plus me faire d’illusion. Je fais quand même un effort pour lui rendre son sourire, un sourire beaucoup plus triste en ce qui me concerne.
— Voilà, dis-je, je séjourne à Palavas, et je voudrais prendre des cours de voile. Mais je suis débutante. C’est possible?
L’accueil du moniteur de voile est d’abord professionnel, même s’il sait y glisser une pointe d’humour.
Il me questionne sur la durée de mon séjour, sur le type de voilier sur lequel je souhaite apprendre. Mais au fil de la discussion, je sens que le regard qu’il pose sur moi évolue, il détaille mon anatomie. Ainsi, j’aurais donc encore un pouvoir de séduction… Ce n’est pas pour me déplaire, surtout que je le trouve plutôt à mon goût! Enfin, il ne faut pas que je m’emballe. "Rappelle toi Thomas", me dis-je intérieurement.
Lorsque je lui confirme que je veux m’inscrire, il me propose de choisir entre des cours collectifs ou particuliers. Je choisis la deuxième solution, sans réfléchir, mais je pense peut-être déjà inconsciemment à me retrouver seule avec lui, sur le bateau.
Je lui demande si je peux commencer ce matin, mais il me répond qu’il faut que les bateaux rentrent, et il m’offre de venir ce soir, pour une première séance d’initiation. Je n’ai aucune raison de refuser… Mon séjour à Palavas commence bien, et je vais peut-être échapper à la solitude, et à cette maudite déprime.
Avant de me faire remplir ma fiche d’inscription, il me fait tout de même remarquer que ma tenue n’est pas adaptée, et il insiste pour que je vienne à 16h, avec un maillot de bain, de la crème solaire, et une serviette. Je lis dans ses yeux, qui s’attardent sur mes nichons pointant sous mon débardeur, quelque chose qui ressemble à du désir.
Je quitte le club de voile, non sans avoir appris le prénom de mon moniteur: Alex… Et je traîne un peu sur la plage, avant de rentrer chez moi.
Il y a déjà des estivants, et j’ai envie de bronzer un peu. Je n’ai ni maillot ni serviette, alors je décide d’enlever mon débardeur et de m’asseoir dessus, pour lézarder seins nus, en short. Je reste à demi allongée ainsi une bonne heure, avant de faire une promenade le long de la grève, topless, tout en fantasmant involontairement sur Alex, sans m’abandonner à un espoir qui serait peut-être encore déçu.
Je n’ai pas pris de crème solaire, et je m’aperçois que je commence à rougir. Je reviens à la réalité, car je n’ai aucune envie de montrer un corps plein de coups de soleil, ni la marque de mon short sur mon bronzage. Retour donc à la maison familiale, où je m’installe sur la terrasse solarium.
Enfin, l’heure de mon premier cours approche. Il me faut choisir, dans ma collection, le maillot que je vais prendre. J’ai envie d’être sexy, pour la première fois depuis ma rupture avec Thomas. Mais ce maillot doit être adapté aux efforts de la voile. Dilemme… J’opte finalement pour un soutien-gorge triangle, aux bonnets assez étroits, et pour un minislip, qui découvre largement mes fesses. Pas de string aujourd’hui…
J’ai tellement hâte de revoir Alex que j’arrive en avance. Il m’accueille avec un grand sourire, charmant, mais le bateau n’est pas encore prêt, et il m’indique un local à côté du bureau pour que je me change.
C’est une pièce qui sert de vestiaire, avec une douche et des toilettes attenantes. Je prends mon temps pour me déshabiller, et j’enfile mon maillot, en espérant qu’Alex ne le trouvera pas trop sexy. Je ne voudrais pas qu’il me prenne pour une allumeuse!
Puis je choisis un gilet de sauvetage à ma taille, et j’en prends un autre pour Alex, comme il me l’a demandé. Taille XL. Beau mec, me dis-je, amusée. Et je vais le rejoindre sur la plage.
Il est en train de finir de gréer le Hobiecat, et je surprends son regard, posé sur ma poitrine que laisse voir le gilet de sauvetage que j’ai laissé ouvert. Ce regard n’a rien de professionnel… De même lorsque, après avoir mis à l’eau le catamaran, je prends appui sur mes bras pour me hisser à bord, la pointe d’un de mes seins s’échappe quelques secondes du bonnet, et cela lui échappe pas non plus.
Alex m’invite malgré tout à boucler mon gilet de sauvetage, et notre voilier s’élance sur l’eau, à une vitesse qui me surprend.
En bon moniteur, il m’explique les différentes pièces du gréement, et la manière de les utiliser. Je passe d’un poste à l’autre: tantôt la grand voile, tantôt le foc, tantôt la barre. A chaque changement, je me déplace à genoux sur le trampoline, et sans y penser, je cambre mes reins, mettant en valeur mes fesses à demi dévoilées par mon minislip…
Alex profite de mes mouvements pour détailler mon anatomie, mais même si je lui souris, je ne me fais aucune illusion. J’ai l’habitude de me faire mater, et je sais que ce n’est pas parce qu’un homme reluque une fille qu’il a de véritables visées sur elle.
Pour me dérider, Alex me propose de "faire un tour de cirque"… Je le regarde en souriant bêtement, sans comprendre. Je me demande s’il y a une allusion sexuelle dans sa question, et je réalise ce dont il s’agit lorsqu’il me fait une démonstration. Il fait accélérer le cata, un flotteur se soulève, et il se suspend par son harnais pour contrôler la gîte au rappel. Spectaculaire, et un peu inquiétant pour moi! Mais malgré moi, j’en profite pour détailler à mon tour son anatomie. Sa posture met en valeur ses muscles, son ventre plat, et… un renflement évocateur de son bermuda… Je ne peux pas m’empêcher de penser à ce qu’il y a à l’intérieur!
Très vite, il me propose de prendre sa place. Me voilà debout, les pieds calés sur le flotteur, le buste renversé vers l’extérieur. C’est grisant. Alex profite de la situation pour me toucher, afin de me mettre en confiance. Il me tient d’abord par la taille puis, lorsque je commence à prendre de l’assurance, ses mains se posent sur mes jambes pour me guider, remontent… Pour que je sois plus stable, il me commande d’écarter mes pieds. J’ouvre donc le compas de mes cuisses.
C’est alors que je réalise que le visage d’Alex se trouve au niveau de mes genoux, et qu’il a en ligne de mire mon minou. Une idée me vient, fugitive… Et si un jour je faisais du cata, nue… Je m’imagine, dans le plus simple appareil, le corps fouetté par le vent et les vagues, sous le regard d’Alex. A cette pensée, je sens ma chatte qui s’humidifie. Pourvu qu’Alex, qui me tient par les cuisses, ne s’aperçoive de rien ! Je le regarde, mais il ne semble pas avoir rien remarqué, et je lui décoche mon plus beau sourire.
Nous naviguons ainsi pendant encore une demi-heure, silencieux. Puis Alex me dit qu’il est l’heure de rentrer. Et je pense "déjà…" Nous filons droit vers la plage, sur laquelle il échoue notre bateau. Il n’y a plus personne à cette heure.
— Ça t’a plu? me demande-t-il, pendant que nous affalons les voiles.
— Oui, beaucoup. C’est très sympa, et c’est un vrai plaisir avec toi.
— Alors, tu reviens demain? continue-t-il, avec un sourire qui me fait fondre.
— Bien sur!
Nous finissons de ranger le matériel, et je me dirige vers le vestiaire, pour me changer, pendant qu’Alex retourne à son bureau.
Arrivée dans le vestiaire, j’enlève mon gilet de sauvetage, et je le range, tout en repensant à ces deux heures passées avec Alex. Je n’arrive pas à deviner si je lui plais vraiment, ou s’il fait juste semblant de s’intéresser à la pauvre fille que je suis, parce que je suis son élève. Et moi? Je n’arrive pas plus à savoir s’il m’attire vraiment, ou si c’est ma solitude qui est à l’origine d’illusions.
Pendant que mon esprit vagabonde, j’enlève mon soutien-gorge, mouillé, et je commence à m’essuyer avec une serviette. Je prendrai une douche chez moi. M’habiller ne me prendra pas trop de temps car, comme ce matin, je n’ai ni slip ni soutien-gorge.
C’est à ce moment que la porte du vestiaire s’ouvre. Je sursaute, et je me retourne. C’est Alex… Je porte encore mon bas de maillot, et je cherche à couvrir mes seins nus avec mes mains. Mais en même temps, je suis presque rassurée que ce soit lui, et non un (ou une) inconnu, et je lui souris.
Il doit interpréter ce sourire comme une invite – mais ne traduit-il pas déjà un désir que je ne me suis pas avoué – car il m’enlace. Ses mains sont sur ma taille, sa bouche cherche mes lèvres. Tout bascule dans ma tête. Oui, j’ai envie de lui. Mes lèvres s’entrouvrent, sa langue se glisse dans ma bouche… C’est bon. Je lui rends son premier baiser, et je sens ses mains quitter mes hanches, pour partir explorer mon corps.
D’un geste décidé, il me fait pivoter sur moi-même, et il se colle contre mon dos. J’ai l’impression d’être son objet, mais j’aime ça, moi qui me revendique féministe. Je sens son sexe gonflé au creux de mes reins, à la naissance de mes fesses. Sans réfléchir un instant, je bouge imperceptiblement mon bassin, pour mieux goûter ce contact à travers le tissu.
Sans dire un mot, il renverse ma tête en arrière. Il m’embrasse dans le cou, et je frissonne en sentant son souffle et ses lèvres effleurer ma peau.
Sa main descend, descend doucement mais inexorablement. C’est presque un soulagement pour moi, quand elle se pose sur mon sein, qui gonfle et durcit sous l’effet de l’excitation. Comme s’il devinait ce que j’attends, il prend mon téton entre ses doigts, il le tourne, il l’étire, il le pince J’adore quand on me fait ça, comment le savait-il ? Ma respiration s’accélère, devient saccadée, et je ferme les yeux.
Et puis sa main descend encore. Je devine son but. Ma chatte attend ses caresses. Mais il prends son temps, pour aiguiser mon désir. Ses doigts se contentent de me caresser à travers mon slip, ils s’insinuent entre mes cuisses, massent mon abricot gorgé de sève.
Il devient plus entreprenant. Tout en malaxant mes petits nichons, il écarte l’élastique de mon slip, et glisse une main à l’intérieur. Ses doigts vont et viennent lentement le long de ma fente, et il ne peut plus ignorer mon état, tant je mouille. Il touche mon clito, enfin, et une décharge électrique remonte de mes fesses, le long de ma colonne vertébrale.
Je ne peux plus retenir mes gémissements, pendant qu’il le titille de la pulpe de son index. La sueur ruisselle sur mon corps. Il baisse d’un seul geste son maillot et son boxer, je sens sa verge dure et dressée contre mon petit cul, son gland qui se frotte au bas de mon dos. Je sais que son mandrin va bientôt me pénétrer, me posséder. J’y pense, j’attends ce moment, et un flot de cyprine coule sur ses doigts.
J’agrippe sa nuque, et sur de sa victoire, il tire sur l’élastique de mon slip, à le faire craquer. J’ai presque envie qu’il me l’arrache, qu’il me prenne brutalement, mais il continue à exacerber mon désir.
Alors, je prends l’initiative, je me retourne, et je plonge mon regard dans le sien. Je sais qu’il peut y lire mon excitation, mais ça n’a plus d’importance maintenant. Mes yeux viennent se poser sur son sexe, sur la longue hampe épaisse, le gland renflé Comme ça va être bon !
Il comprend ce que j’attends. Il empoigne mes fesses, me soulève, et il m’assoit sur une pile de planches de surf. Cette fois, c’est moi qui passe mon bras autour de son cou, et écrase ma bouche contre la sienne, c’est ma main qui empoigne sa queue, et commence à la masser, la branler. Toute mon expérience d’amoureuse du sexe me revient, il me regarde faire, avec mes seins qui bougent en cadence, et c’est à son tour de respirer plus vite.
Il soulève mes jambes, il fait glisser mon maillot, et je me retrouve entièrement nue. Enfin. Je m’allonge sur le dos, et j’écarte les cuisses. Je veux offrir mon intimité à son regard, et, avec deux doigts, j’écarte mes grandes lèvres, pour qu’il puisse admirer mon petit coquillage rose et nacré.
Ses doigts partent à l’assaut de ma chatte, s’enfonçant en elle, allant et venant de plus en plus profondément, dans un grand bruit humide. Je n’en peux plus, je le veux, et pour le lui faire comprendre, j’empoigne son sexe et je le branle.
— Prends moi. Maintenant, lui dis je d’une voix rauque, au creux de l’oreille.
Sans un mot, il soulève et écarte mes cuisses. Je les ouvre encore plus, et je guide son gland vers ma grotte, je le frotte contre mes petites lèvres, qui s’ouvrent.
Il maintient mes fesses avec ses mains, et il pousse de tout le poids de son bassin. Sa verge encore serrée entre mes doigts s’enfonce doucement, loin, loin, jusqu’à ce son pubis vienne buter contre ma motte. Puis, il la ressort doucement, maintenant juste son gland dans mon fourreau.
Pour l’exciter, je contracte spasmodiquement mes muscles autour, et il se déchaîne. Il pilonne mon abricot à grands coups de reins. De ma bouche entrouverte s’échappent des cris, des soupirs. Malgré leur fermeté, mes nichons tressautent et ballottent.
Il me regarde, et il me dit :
— Tu es magnifique.
— Oh, baise moi ! Baise moi encore. Fais moi jouir, lui dis je, toute à mon plaisir.
Je plante mes ongles dans ses fesses, je me contracte autour de son sexe qui coulisse contre mes parois intimes. Je suis au bord de l’orgasme, tétanisée, les yeux révulsés, un filet de salive coule au coin de ma bouche.
Et je jouis. Les vagues de plaisir se succèdent dans tout mon corps, je crie. Ma cyprine gicle de ma fente, au plus fort de l’orgasme.
— Je vais jouir à mon tour, je ne tiens plus, m’avoue-il.
Encore dans mon plaisir, je regarde son corps ruisselant de sueur, qui continue de bouger au rythme de ses coups de reins. Je pousse son ventre, pour qu’il se retire, et je reprends son sexe entre mes doigts, pour le caresser. délicatement Il gémit, en tenant toujours mes cuisses ouvertes :
— C’est bon , continue Ambre, vas-y.
Mais déjà, un long jet de sperme jaillit de son gland, et atterrit sur mon ventre. Je continue de le branler, en le regardant dans les yeux. Sa semence continue de gicler, et je l’étale sur mon ventre et sur mes seins, avec gourmandise.
Nous restons un long moment ainsi, essoufflés, ruisselants de sueur, pendant qu’il contemple mon corps nu, rassasié, puis il m’aide à me relever, et il m’essuie avec un vieux tee-shirt.
Je passe mon bras autour de son cou, et je l’embrasse.
— Tu as aimé ? Me demande-t-il à voix basse.
— J’ai adoré. Tu m’as fait jouir, comme ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Tu voudras encore de moi ?
— Autant de fois que tu voudras. On se revoit demain, pour ton cours ?
— Bien sur. Mais j’ajoute, d’une voix coquine : seulement pour faire de la voile ?
— On verra. Si tu es une bonne élève
Il laisse sa phrase en suspens, et nous rions. Je me rhabille – toujours juste mon minishort et mon débardeur – et il profite de l’absence de soutien-gorge pour caresser une dernière fois mes seins.