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Mes premiers pas de DJ – Chapitre 3

Mes premiers pas de DJ - Chapitre 3



Sarah finit par réagir en premier et quelle réaction ! Elle me met une grande claque en me traitant d’inconscient. Effectivement, je me dis que ce n’est pas très intelligent davoir joui en Marie. Et si Sarah savait qu’en plus je me suis aussi vidé dans la chatte d’Assia. Ce serait une catastrophe. Il n’y avait aucun moyen de réparer ça. Elles étaient copines et tout finirait par se savoir.

Sarah partit probablement rejoindre sa sur vu la direction qu’elle prit. Je suis alors sorti de mes pensées et me suis aperçu que j’avais toujours mon pantalon et boxer sur les chevilles. J’ai alors erré sur parking, réfléchissant à ce que je devais faire. Mais je ne trouvais aucune solution.

J’avais adoré les instants passés avec Assia, mais ceux avec Marie étaient également incroyables. Et puis elles sont toutes les deux jolies, intelligentes. Elles ont chacune des qualités indéniables. Voilà que d’un coup je m’aperçois que je fais mentalement une liste comme faire un classement pour savoir laquelle des deux choisir. Mais quand elles sauront toutes les deux que je me suis vidé en elles avec à peine une heure de délai, elles m’en voudront à mort !

Le froid me sortit de mes réflexions et je suis retourné à l’intérieur de la boîte. Quand je suis arrivé à proximité de la table qui nous était réservée, je me suis arrêté net. Je n’avais pas vu mais Marie et Sarah étaient revenues pendant mes divagations sur le parking. Le pire c’est que Assia était là aussi, à côté de Sarah. On aurait dit qu’elles avaient une discussion des plus sérieuses. Je me suis dépêché de m’éclipser avant que les trois demoiselles ne me voient.

En reculant j’ai heurté Elisabeth qui arrivait dans mon dos. Contrairement à son habitude, elle était totalement sobre. Elle me vit un peu paniqué et en jetant un il vers notre table, elle comprit que quelque chose n’allait pas. Elle m’attrapa par le poignet et me guida dans un couloir moins bruyant qui permettait de rejoindre une autre salle.

Elle me demanda une explication. Après avoir hésité, je me suis dit que de toute façon elle finirait par tout savoir et qu’elle m’aiderait peut-être à trouver une solution. Alors je pris mon courage à deux mains pour une fois et je lui ai tout expliqué. Je pouvais noter sa surprise lorsque je lui ai expliqué le passage avec Assia, et encore plus pour celui avec Marie…

Elle finit par me dire :

« Et tu t’étonnes que Sarah te foutes une claque ?

— Je comprends, elle a vu que j’ai joui dans sa sur, et quand elle saura pour Assia…

— Je te parle pas de ça crétin, et c’est sûr qu’elle sera encore plus furieuse suite à ton coup avec Assia !

— Que veux-tu dire ? Je ne te comprends pas… »

Et c’est à cet instant que j’appris quelque chose que je ne soupçonnais pas et que je n’aurais probablement jamais deviné sans ce qui s’était passé. Elisabeth me dit alors que Sarah s’intéressait énormément à moi et qu’elle avait un petit faible, enfin plutôt un gros faible et depuis plusieurs années. Et de savoir que sa sur lui avait soufflé sa « cible ».

« Alors quel conseil me donnerais-tu ?

— Une petite idée. Elisabeth sembla réfléchir puis, avec un sourire elle enchaîna : débaise Marie, et Assia au passage. »

Elle éclata de rire en voyant mon visage se décomposer, moi qui croyais tenir une piste pour désamorcer la situation.

« Et pourquoi pas te baiser et après Sarah pour remettre les compteurs à zéro, moi j’ai besoin d’une véritable idée… »

Alors que pour moi, ce que je venais de dire était pour moi une blague répondant à l’idée débile d’Elisabeth, je fus surpris quand elle me répondit qu’elle n’était pas contre. Elle plongea son regard dans le mien et elle avait un de ces sourires. A faire fondre un igloo sur la banquise. Ce n’est pas pour rien si on la surnommait « réchauffement climatique ». A sa façon d’être sexy et son charme, elle réchaufferait l’entrejambe de n’importe quel homme hétéro…

Devant mon manque de réaction, moi qui étais pétrifié, elle me prit par surprise en me déposant un simple baiser pour voir ma réaction, un baiser qu’un prince ferait à sa princesse dans un conte. Mais là c’était la vraie vie. Vu que je ne l’avais pas repoussé, elle recommença, encore et encore. Elle m’attrapa par la main et me tira à travers la boîte pour m’emmener jusqu’aux toilettes.

J’étais comme hypnotisé, par sa beauté, son audace et aussi terriblement excité. Elle me poussa dans les premières toilettes de libre. J’ai basculé sur le siège qui miraculeusement avait la lunette fermée. Elle referma tellement rapidement la porte que je ne compris même pas comment elle avait fait. Elle s’assit à califourchon sur moi et m’embrassa directement mais à pleine bouche cette fois, nos langues se mêlant. A cet instant plus rien ne comptait et tous mes soucis s’envolèrent.

Je lui laissais prendre le contrôle. Rapidement elle m’enleva le haut et se recolla aussitôt à ma bouche. C’était très intense. Elle se leva et dans un mouvement sexy elle glissa ses mains sous sa robe, enleva son string et me le lança. Ensuite elle baissa les bretelles de sa robe moulante ce qui dévoila sa superbe poitrine.

Elle se pencha entre mes cuisses et je sentis ma ceinture se desserrer. Rapidement, elle extirpa mon sexe et après quelques petits coups de langue bien placés, elle commença à me sucer. Elle alternait parfaitement les coups de langue, les aspirations. C’était tout simplement divin. Un instant, je pensais que c’était vraiment la meilleure pipe de ma soirée…

Je lui ordonnai alors, malgré tout mon plaisir d’arrêter immédiatement. J’avais vraiment l’impression de faire n’importe quoi. Elle me regarda surprise et se releva. Elle mit ses jambes de chaque côté de mes hanches et se pencha vers moi en me disant que je pouvais refuser si je voulais. Et puis elle s’assit sur mes cuisses, enfin c’est ce que j’ai cru.

Mon sexe était tellement dressé du fait de l’excitation qu’elle s’empala volontairement dessus. Elle lâcha un petit « oops » avant de me demander si je voulais qu’elle se relève. Elle commença à retirer mon sexe du sien lentement. Alors qu’il ne restait plus que mon gland en elle, j’ai enfin réagi. Je l’ai attrapé par les hanches pour la faire redescendre sur ma bite. Je ne pouvais pas résister. Elle commença à me chevaucher comme un étalon pendant plusieurs minutes.

Elle se releva et se rassit sur ma queue mais dos à moi cette fois-ci. Elle prit mes mains pour me les poser sur ses seins en me disant que j’avais le droit de la toucher. Alors j’ai commencé à caresser ses seins et à pincer légèrement ses tétons qui étaient durcis par l’excitation.

Je finis par me dire que je devais aussi m’imposer dans cette relation charnelle alors je me suis levé ce qui surprit Elisabeth. Elle posa ses mains sur la porte pour éviter de tomber en avant. Je continuais alors à la limer.

Accidentellement j’ai retiré mon sexe du sien. C’est alors que je me suis dit que je tenterais bien l’anal et que je verrai bien sa réaction. Elle fut plus que satisfaisante. Lubrifié par sa mouille, j’ai commencé à introduire mon gland dans son petit trou qui visiblement avait déjà été visité. Elle ne protesta pas et fit même un mouvement des fesses pour m’encourager. Je l’ai alors sodomisé, enfonçant mon sexe progressivement jusqu’à la garde. J’ai alors commencé à la pilonner de plus en plus violemment. Elle se mordait la lèvre pour éviter de faire trop de bruit même si les basses couvraient le son de nos ébats.

Elle sortit mon sexe de son anus, me repoussa sur le siège des toilettes puis elle reprit sa place initiale, à califourchon sur moi, s’empalant sur moi une nouvelle fois. Je sentis mon sperme monter dans ma colonne de chair. Je lui demandais alors de se relever.

« Tu crois quoi ? me répondit-elle. Tu t’es vidé en Assia et en Marie et moi je ne recevrai rien ? »

Elle se serra contre moi, arrêtant les va-et-vient, ma bite au plus profond de sa chatte. Je n’ai même pas tenté de la repousser. Ça aurait été inutile, elle était tellement collée à moi. Mon sexe palpita, envoyant trois bons jets de sperme au fond de son intimité.

« Voilà, dit-elle fièrement en se relevant. Je me suis tapé tous les mecs de la bande mais tu as eu l’exclusivité pour te vider en moi. D’habitude c’est capote, mais là, tu m’avais tellement donné envie avec tes histoires… »

Je la regardais stupéfait alors qu’elle réajustait sa robe.

« Bon, tu fais quoi. Remets ton pantalon, il t’en reste une à baiser, et en plus c’est moi qui dois faire le boulot pour arranger les choses… »

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