Pendant que je fais le ménage, mes pensées deviennent de plus en plus obscènes, j’imagine des choses qui me font rougir de honte, je me sens toute chose, mon cur bat très fort dans ma poitrine.
Ma chatte commence à suinter, je m’étends sur le canapé, et retrousse ma jupe sur mon ventre, comme par hasard, j’ai omis de mettre une culotte ce matin.
J’ouvre largement les jambes, ma chatte est déjà gonflée, j’écarte les grandes lèvres de mon temple et découvre le bouton que mon fils a maintes fois fait vibrer.
Je fais glisser mes doigts sur cette boule sensible, hum ! C’est trop bon, la tension monte déjà.
À chaque passage de mes doigts sur le bouton, le coquin enfle davantage.
Je le prends entre mon pouce et mon index et le branle comme une petite bite.
J’imagine que c’est mon fils qui me masturbe, je murmure quelques mots.
Oui oui Marc, mon amour fait du bien à maman, fais-la jouir comme une damnée.
J’enfonce trois doigts de ma main libre dans mon volcan, je grince des dents, je soupire comme une bête, je fais faire de nombreux demi-tours aux intrus en même temps, je me ramone énergiquement.
Je geins de plus en plus fort, de ma chatte détrempée, s’écoule le surplus de cyprine.
Je ressors mes doigts et les porte à ma bouche affamée, je me délecte de ma cyprine, ma langue s’insère entre mes doigts à la recherche du nectar précieux.
Je suce un à un mes doigts pour les replonger aussitôt dans mon cratère brûlant et reprendre le délicieux ramonage.
Marc mon amour je vais jouir pour toi ! Oh, mon amour, comme tu me manques !
Mon clito est devenu gros comme une cerise, je le presse fortement, je me cabre, bloque mes doigts au fond de ma chatte, et hurle de jouissance.
Je retire mes doigts trempés et les lèche avec des hum de bonheur.
Je la fais glisser sous mon top, et attrape à tour de rôle mes tétons, ils sont durs comme jamais (surtout très sensibles).
Je les roule nerveusement entre mes doigts, je me pince les lèvres, ma bouche a un rictus affreux.
Mon autre main taquine toujours mon clito.
Soudain, j’aperçois mon fils dans l’encadrement de la porte, il a sa queue en main et se masturbe allègrement.
Je pousse un cri :
Mon Dieu, mon chéri, tu n’es pas en cours ?
Non maman, le prof et absent !
Ça fait longtemps que tu es là ?
Un bon moment déjà, je ne voulais pas t’interrompre, je me suis bien rincé l’il.
Qu’est-ce que tu dois penser de moi, voir ainsi jambes écartées !
Mais maman, je pense que tu as besoin de beaucoup d’amour et je vais t’en donner !
Regarde, ma queue vibre pour toi ma petite salope de maman que j’aime !
Il s’approche, fait tomber ses vêtements puis se dirige vers la cuisine à mon grand étonnement.
Il en revient avec quelques légumes, j’écarquille les yeux.
J’ai fait le marché ? Qu’il dit en riant.
Nous devons innover maman chérie !
Retire entièrement tes vêtements stp !
Ébahi, j’obtempère, il s’agenouille entre mes jambes, contemple ma chatte un bon moment puis la caresse doucement comme il sait si bien le faire.
Il vérifie la lubrification de ma chatte en enfonçant ses doigts, il les fait tourner en moi un petit moment puis dit :
Tu es déjà en condition, pas besoin de préparation mon amour !
Il présente à ma fente une carotte de bon diamètre, la fait monter et descendre plusieurs fois sur les grandes lèvres de mon vagin.
Il pousse doucement, le légume pénètre mon antre et s’enfonce entièrement en moi.
Il commence un petit va-et-vient.
Ça va maman ?
Oui mon chéri c’est même bon hummm !
Il accélère la cadence, j’agite mon bassin en poussant de petits cris de plaisir.
Il cesse le va-et-vient, prend un concombre aussi gros que mon poignet et le pose contre mon anus.
Mon Dieu tu vas me déchirer mon chéri !
Non maman, tu as un cul très souple, tu sentiras presque rien, tu verras !
Je suis un peu anxieuse, mais j’ai trop envie que mon fils me fasse jouir, je le laisse faire.
Il appuie sur le légume, l’anus résiste, il pousse plus fort.
L’anneau cède et avale petit à petit le concombre, je retiens ma respiration, je soupire un grand coup lorsque l’engin est bien en place.
Je me sens dilatée, distendue à l’extrême.
Ça va maman ?
Ça peut aller mon chéri, c’est un peu douloureux, fais doucement quand même !
Il entreprend un lent ramonage pour que mon corps s’habitue au légume.
La douleur s’estampe doucement, lentement le plaisir prend le dessus.
L’engin qui me remplit le rectum commence à me faire dire des choses que jamais je n’aurais osé dire en temps normal.
Oui, sodomise ta salope de maman, casse-lui le cul, fais-la gueuler, encule-la bien à fond !
Mon Dieu, c’est affreux, je prends du plaisir avec un concombre, c’est trop bon, oui, oui vas-y !
Le pilonnage devient de plus en plus violent, je halète, souffle, et grogne aux assauts renouvelés de mon jeune amant.
Maintenant, il joue avec les deux légumes, il les fait voyager en moi comme deux pistons en alternance, je suis en plein délire, le rythme est soutenu.
Maman manuvre la carotte pendant que je m’occupe de tes nichons !
Il agite le concombre d’une main pendant qu’avec l’autre, il me pétrit les seins, mes bouts sont durs comme du bois, il les écrase, je grimace, mais j’aime ça.
J’agite la carotte en grognant, je suis au bord de l’explosion.
Le concombre me fait un effet terrible, Marc sait le manuvrer, le coquin, il délaisse mes seins et enfonce le concombre à fond, je me raidis et pousse un hurlement de bête blessée.
Ma jouissance est si forte que la carotte est expulsée de ma chatte, je gicle comme une fontaine.
Mon fils remplace la carotte par sa bite, il me démonte comme un sauvage, j’ai l’impression d’avoir sa queue dans le même orifice le concombre.
Mais je ne rêve pas, il l’a fait, sa queue coulisse à côté du légume, je suis encore plus dilatée.
Mon amour n’arrête pas, encule ta maman bien à fond, ouiiiiiiiiiiiii ça viennnnnnt !
Je jouis une nouvelle fois aussi intensément que la précédente.
Mon corps tremble, coup sur coup, j’ai plusieurs orgasmes, je suffoque, mes yeux sont révulsés, ma tête bascule de gauche à droite, un filet de bave s’échappe de mes lèvres,
Marc envoie plusieurs décharges de semence au fond de mes entrailles, j’aime la chaleur de son sperme.
Je reste étendue sur le canapé les bras en croix, je suis en transe, mon corps et soulevé par de violents spasmes