Je suis un homme d’une quarantaine d’années et il m’arrive de mettre de la lingerie féminine. Cet été, un après-midi, une envie de m’habiller en femme me vint. Je mis alors des bas noirs, porte-jarretelles, corset, jupette et escarpin à talons hauts. Une fois fini, je suis allé dans la chambre, devant la glace de l’armoire pour me voir ainsi habillé ; humm, je me trouvais très sexy avec cette tenue, quand tout à coup, je vis dans la glace qui donne sur la fenêtre donc dehors, et sur la maison d’en face, ma voisine qui regardait à sa fenêtre.
Vite, je suis sorti de la chambre en espérant qu’elle ne m’a pas vu. Ma voisine est veuve ; elle doit avoir environ 65,70 ans, plutôt fine, assez grande, cheveux courts, et visage sévère avec qui je n’ai jamais discuté vraiment, c’est juste bonjour bonsoir quand on se croise. Bref, quelques jours se passent, et un matin, je reviens chez moi ; et elle est en train de décharger ses courses de sa voiture, je lui dis bonjour comme d’habitude, elle me répond en me souriant, puis elle traverse la rue, vient vers moi et me dit : "alors, on aime bien s’habiller en femme, je t’ai vu l’autre jour dans ta chambre, je veux que tu viennes chez moi cet après-midi à 15h avec ta tenue et les petits accessoires que tu dois avoir, tu as intérêt à venir sinon je lance la rumeur dans tout le quartier. » Et elle s’en va.
Je suis sous le choc ; paniqué et excité aussi, je rentre chez moi. Je ne sais pas quoi faire, vers 14h30 je me décide à y aller. Je prépare mes affaires, et je traverse la rue ; je sonne chez elle, je n’en mène pas large. Elle ouvre et me dit :
Je savais que tu viendrais, dorénavant, tu m’appelleras Madame, je vais te dresser, allez, entre.
Une fois chez elle, elle va s’asseoir dans un fauteuil, je suis debout devant elle.
Allez ; déshabille-toi, salope.
Oui, Madame.
Je commence à enlever mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt, je suis en slip devant elle.
Entièrement, enlève ton slip aussi.
Je le fais, je suis nu devant elle. « Très bien, mets tes vêtements de femme maintenant. »
Je commence par enfiler les bas noirs autofixants, un string noir, un corset que je serre fort pour me faire une taille fine et faire ressortir ma poitrine et mon cul, une jupette d’écolière au ras des fesses et des escarpins à talons hauts.
Hummmm, tu as vraiment l’air d’une petite pute comme ça, mets ta perruque, et ça sera parfait.
Je lui obéis, et me voilà transformé en pute.
Elle regarde ce que j’ai amené d’autre dans mon sac, elle trouve un petit plug de 3 centimètres de diamètre et un gode noir d’une vingtaine de cm et 4,5 centimètres de diamètre et du gel lubrifiant.
Quelle grosse salope tu es ! Je vais bien m’amuser avec toi !
Oui Madame ; je suis votre salope.
Très bien, mets-toi à 4 pattes.
Elle se positionne derrière moi, remonte ma jupe sur mon dos pour découvrir mes fesses.
Hummmm, quel beau cul de salope.
Elle prend le gel, en met sur ces doigts et sur le plug, elle écarte mon string, et commence à lubrifier ma rondelle ; elle enfonce 1 puis 2 doigts dedans, puis elle prend le plug, et l’enfonce dans mon cul.
Grosse pute, ça rentre tout seul, je vais te punir.
Là, j’ai le plug enfoncé dans le cul et elle commence à me donner une fessée, je hurle, tellement elle y va fort.
T’aimes ça salope, putain, truie……
Hummm ouiiiiiii, j’aime ça Madame.
Elle continue la fessée jusqu’à ce que mes fesses soient bien rouges. Là, elle enlève le plug, elle me dit d’ouvrir la bouche et me le rentre dedans.
Tu vas nettoyer le plug, sale pute.
Pendant que je nettoie le plug, elle prend le gode, met du lubrifiant dessus, le présente à l’entrée de ma rondelle et le fait pénétrer dans mon cul entièrement.
Grosse salope, tu as vraiment un cul accueillant.
Là, elle commence à me défoncer le cul, en faisant coulisser le gode de plus en plus rapidement ; hummm, je couine comme une chienne, et je sens que je vais finir par éjaculer ; je ne peux pas me retenir et mon sperme vient s’écraser au sol, elle le voit.
Putain, salope, tu as sali mon carrelage ; va lécher ça tout de suite.
Je penche ma tête et commence à lécher mon sperme avec toujours le gode bien planté dans mon cul.
Tu es vraiment une sale truie, lèche tout ton sperme et avale-le !
Je le fais.
T’aimes avaler ton foutre à ce que je vois, tu es vraiment une bonne salope.
Elle retire le gode de mon cul.
Tiens, lèche-le.
Je lèche le gode ; et une fois qu’il est redevenu propre, elle me dit :
Pour une première, c’est pas mal ; tu es une bonne pute, rhabille-toi et file ; donne-moi ton numéro de portable, et tiens-toi prête à recevoir des SMS et à devenir une bonne salope, j’ai plein de projets pour toi.
Je me rhabille, lui donne mon numéro et file en n’oubliant pas de la remercier et de lui dire que je veux devenir sa lopette. A peine rentré chez moi, mon téléphone vibre, je viens de recevoir un SMS qui dit :
Coucou, ma salope, je veux que tu achètes des nouveaux sous-vêtements, bas, jupe, culotte… et aussi des bottes avec talons hauts, un plug plus gros que celui que tu as, et un nouveau gode aussi également plus gros et plus long.
Je lui renvoie un message en lui disant :
Oui Madame ; je vais le faire le plus rapidement possible.