Nous sommes attablés avec quelques amis au bar, partageant nos dernières anecdotes. Mais tu n’écoutes rien et tu sais bien que moi non plus. Je suis, depuis déjà quelques minutes en train de te caresser sous la table du bout de mon pied, à chaque mouvement ma jupe dévoile un peu plus ma cuisse… Mon porte-jarretelles ainsi que mes bas.
Tu aimerais pouvoir y glisser tes mains mais c’est impossible sans se faire remarquer. Tous mes gestes sont là pour te charmer et t’exciter ; je me penche à plusieurs reprises pour te laisser découvrir la naissance de mes seins, laisse glisser ma main contre ta cuisse en passant, et surtout je t’observe avec ce regard sans équivoque, me délectant du trouble que je crée chez toi.
Bien que très excité, tu commences à être las de ce manège. Tu récupères tes affaires, salues nos amis et m’attrapes fermement par la main pour aller récupérer ta voiture, que tu avais précédemment laissée dans un parking sous-terrain.
À peine arrivés en bas des escaliers, tu me prends dans tes bras pour m’embrasser sauvagement, mêlant colère et passion tu me plaques contre le mur pour me posséder plus profondément et me coller contre toi. Je suis déjà très excitée, j’ai imaginé en boucle des scénarios possibles toute la soirée et je ne veux qu’une chose maintenant: te sentir en moi.
J’ouvre ta chemise d’un coup sec et descends ton pantalon pour te mettre nu. Me soustrayant de ton emprise je me mets à genoux pour enfin pouvoir accéder à l’objet de mon désir. Après t’avoir fait subir mon jeu pervers toute la soirée tu es aussi très excité, et c’est non sans un soupir de contentement que glisse enfin ma langue sur ton sexe dressé tout en te caressant le torse, les cuisses et les couilles de mes mains. Tu fermes les yeux et me laisses passer délicatement le bout de ma langue percée sur tout ton gland rouge de désir, je titille le frein et laisse glisser ma langue le long de ta bite tout en l’enfonçant dans ma bouche.
Je te regarde d’un air mutin, soupirer et prendre du plaisir sous mes caresses, j’ai le sexe trempé, je gémis d’excitation et d’envie, surtout lorsque tu me parles aussi crûment que tu le fais. Tu apprécies les compétences de ta soumise et tu le fais savoir. J’aime tellement te voir te tordre de plaisir sous mes caresses, mais tu refuses de me laisser faire jusqu’à la fin, tu veux utiliser la salope que je suis à ta guise, me dominer même dans ton plaisir.
Tu prends mes cheveux et me tiens la tête pendant que tu t’enfonces dans ma gorge, je ne bouge plus tandis que tu imprimes des mouvements de hanche pour me baiser la bouche.
Après quelques minutes de ce traitement délicieux, tu jouis dans ma bouche. Je m’empresse d’avaler ce délicieux nectar, léchant le coin de ma bouche et ta verge pour ne rien laisser.
Content de moi, tu me relèves et m’embrasses dans le cou, me caresses, me mordilles le long des hanches tout en m’enlevant mes vêtements, me voilà nue devant toi, offerte et coulante de désir.
À peine touches-tu mes seins que ma poitrine se tend et que mon cur s’accélère, tu passes ta langue sur toute ma poitrine, titilles mes tétons du bout de la langue, les mordilles, les maltraites. Je suis déjà presque au bord de l’orgasme tellement mon désir pour toi est fort, je suis une poupée entre tes mains attendant de combler tes moindres désirs. D’ailleurs, tu recommences à bander, je te caresse alors doucement pendant que tu explores mon corps de tes lèvres. Tu balades ta langue sur mes hanches, mon ventre… Mes jambes tremblent, ne me tiennent plus, alors tu me laisses me poser sur la voiture.
D’une main ferme, tu m’ouvres les cuisses, je suis là nue offerte seulement en bas porte-jarretelles et talons, essoufflée et impatiente. Cette vision te ravit tandis que ta langue glisse le long de mes cuisses pour finalement se diriger vers mon intimité. J’écarte les cuisses plus encore en gémissant de plaisir pendant que tu introduis ta langue dans mon vagin. Tu découvres mon corps de ta langue, lèches et me mordilles pendant que je me tords de plaisir. Tes mains me caressent les seins avec fermeté, presque trop m’arrachant des cris de plaisir bestial. Soudain tu te concentres sur mon clitoris et je me cabre violemment. Tu joues avec du bout de la langue le faisant rouler et l’aspires. Cette dernière caresse me déclenche un orgasme ravageur, je crie mon plaisir dans ce parking désert.
Sans rien dire, tu me retournes, me voilà les coudes sur la voiture les fesses en l’air vers toi. Tu places tes jambes entre les miennes pour les écarter un peu plus et profites de la vue m’insultant de salope, me claquant les fesses…
Je suis à toi et tu veux me posséder comme tel.
Tu prends ta bite et me pénètres d’un grand coup jusqu’à la garde, tu restes là quelques secondes au fond de mon ventre. Et tu commences les va-et-vient longs et lents ressortant à chaque fois pour rentrer au plus profond encore. Je suis en feu et tout mon corps est tendu, sensible, au bord de l’explosion.
Puis quand tu me sens au bord de l’orgasme, tu m’attrapes par les cheveux et me pilonnes violemment en criant ton plaisir. Je jouis sous tes coups de butoir, mon vagin se resserre autour de ta bite et mon corps se tend. Cela déclenche aussi ton orgasme, tu te places au fond de mon ventre pour déverser ton sperme chaud, chose qui me fait toujours crier mon plaisir.
Soudain, j’entends un bruit au loin me rappelant que nous sommes dans un endroit public et qu’il est possible que quelqu’un nous ait vus…