Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et j’ai bientôt 36 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kilos. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis trois ans conseillère financière.
Ayant vu ma situation financière évolué favorablement, et puis quand on est dans la banque c’est plus facile, j’ai fait l’acquisition d’un appartement dans une résidence toute neuve située à deux pas de mon lieu de travail.
Après mon déménagement, les choses se sont progressivement mises en place. Le travail, la salle de sport, la danse… et ce voisin que je croise quasiment tous les jours… Un voisin, très beau gosse, sportif… qui un jour me dit :
— Depuis votre arrivée, je me pose la question, mais il semble que nous nous sommes déjà rencontrés ?
Je lui réponds :
— Cela est drôle car, je me pose la même question depuis quelque temps !
Nous passâmes en revue nos études, entourages, lieux de résidence, cercles d’amis, activités sportives,… et là nous avons eu la surprise de constater que nous avions une amie en commun. J’ai pratiqué l’athlétisme durant quatre ans avec une amie dénommée Sophie, de l’âge de 17 ans à 21 ans et Franck, il s’appelle Franck, a été le petit ami de Sophie durant cette même période.
Je sais que Sophie est maintenant mariée, pas avec Franck, et je me hasarde donc à lui demander ce qu’il fait ? S’il est seul ?…
— Après avoir terminé mes études d’ingénieur, j’ai trouvé du travail ici et après avoir été locataire durant plusieurs années, je me suis installé dans cette résidence, où je suis devenu, comme toi, propriétaire !
— J’ai vécu deux ans avec une collègue de travail, mais elle a eu une opportunité dans l’entreprise à l’étranger, je n’ai pas pu suivre, et la distance a eu raison de notre relation.
— Je suis seul depuis maintenant huit mois !
Je lui explique à mon tour mon parcours, Bac, Fac de Sciences Eco, la banque comme secrétaire puis comme conseillère financière…
Prise par le temps et le besoin de rejoindre l’agence, il me lance un :
— On peut se voir un de ces soirs si tu veux ? Je suis au 4ème gauche !
Et je pars au travail…
Plusieurs semaines se sont passées et nous ayant revus, il m’a invité à passer chez lui pour boire un verre. Habillée d’une jupe en cuir et de ballerines, d’un pull et d’une veste, je m’apprête à sonner lorsqu’il m’ouvre spontanément sa porte, ayant entendu du bruit en se doutant que ce ne pouvait être que moi.
Il m’invite à entrer et me débarrasse de ma veste. Bien installé dans un vaste appartement, pour un célibataire, cela est bien agencé et bien rangé. Il m’invite au salon et nous nous installons sur le canapé. Il a tout préparé, boissons et diverses nourritures, froid, chaud, salé et sucré… Nous parlons de choses et d’autres, de lieux connus, de connaissances communes…
La soirée se passe et j’avoue, étant sur place (deux étages plus bas), j’ai bu un peu d’alcool. Ayant besoin d’aller aux toilettes, je lui demande où ils se trouvent. Suivant ses indications, je m’y suis dirigée alors que lui allait vers la cuisine. Après la porte de la cuisine, au bord du couloir qui doit me mener aux toilettes, peut-être déséquilibrée par les effets de l’alcool, je manque de perdre l’équilibre. Franck me rattrape par la taille et me rapproche de lui. Dans l’élan, ou sous l’effet de l’alcool, je l’embrasse. Il se laisse faire et commence à prendre l’initiative. C’est désormais moi qui me laisse faire. Ses baisers se font de plus en plus pressants. J’ai fermé les yeux et me suis appuyée sur le mur de crainte de perdre mon équilibre plutôt mis à mal par l’alcool. Il enfonce d’autorité sa langue dans ma bouche et va chercher ma langue qui lui répond et se mélange avec la sienne.
Un éclair de plaisir me choque au fond de moi quand je réalise que je me mets à mouiller légèrement et que cela arrive alors que je suis en train d’embrasser l’ex d’une de mes anciennes amies. Je retrouve rapidement mes esprits.
Franck me fait des remarques sur le bronzage de mes jambes, qu’il se met très calmement à me caresser. Je sens sa main remonter ma jambe droite et toucher l’entrecuisse, je résiste un peu puis je le laisse passer dans un soupir de plaisirs et surtout d’inconscience.
Franck me ramène vers son canapé où je suis de fait obligée de m’allonger, laissant mes jambes ouvertes et mon petit slip un peu mouillé face à son regard. Franck ne tarde pas à s’approcher de mon visage et, au-dessus de moi, il dégrafe son pantalon qui tombe à mi-genoux. Il en sort un sexe énorme qu’il s’emploie à faire durcir et qui devient plus gros encore. Je n’ai jamais vu de sexe aussi imposant !
Franck me met bientôt son sexe devant la bouche et sans qu’il ne me demande rien, je m’empresse de le lécher du bout de la langue d’abord. Pendant ce temps ses doigts se sont frayé un passage dessous ma jupe. Ecartant mon slip, il m’a mis un doigt, puis deux, dans la chatte. Mes lèvres jouent bientôt habilement avec son sexe et il semble apprécier. Je mouille de plus en plus et l’envie de me faire prendre par Franck se précise.
Je me redresse sur la banquette et me mets à quatre pattes, la queue de Franck en pleine bouche, et ses deux doigts qui me ramonent de l’autre côté. Je sens qu’il apprécie, car sa queue est devenue très dure et très épaisse m’asphyxiant un peu. Il se place derrière moi et après avoir effacé mon slip de la raie de mes fesses, il entreprend bientôt de me mettre un doigt dans l’anus. Il sourit à l’idée de constater que cela semble rentrer tout à fait facilement.
Après avoir définitivement abaissé mon slip, Franck se place au bout de quelques minutes derrière moi et place son sexe devant ma chatte dont il caresse l’entrée avec son gland. Je recule vivement pour le faire rentrer. Il est dedans et se met à me défoncer la chatte comme peu me l’ont déjà fait. Sa bite est longue et épaisse et en plus il me pénètre très profondément. Il varie les rythmes et la profondeur de pénétration, un régal ! Au bout de presque dix minutes de ce régime, il se fige au fond de moi et éjacule. Je sens alors des secousses, comme électriques, me traverser le corps. Je jouis ainsi très profondément alors que je sens le sperme me couler entre les cuisses quand il se retire.
Franck revient vers mon visage et se met devant moi. Il me demande de lui laver le gland du foutre qui se trouve encore dessus. Mon nettoyage à grands coups de langue lui fait de nouveau de l’effet, car son sexe reprend rapidement de la vigueur. De nouveau doté d’un sexe d’une très belle taille, Franck se positionne derrière moi, entre mes cuisses. Je vais avoir droit à un extra. Il me pénètre de nouveau, mais sans me ménager et je crois que mon vagin va se déchirer durant les premiers coups. Il y va fort et m’enfile de toutes ses forces. Le plaisir revient au bout de quelques secondes et je sens ses mains me caresser les seins au travers de mon pull qu’il a en grande partie remonté. Pendant les secondes qui suivent, il me ramone à grands coups et je jouis une deuxième fois bruyamment.
Lui, n’ayant pas joui de nouveau se retire de mon vagin et commence à titiller mon trou du cul. Ayant hâte de savoir ce que me ferait cet énorme engin dans cet orifice, je me cambre et m’offre à sa bite. Il ne tarde pas à planter deux doigts dans ma chatte pour en prendre le jus nécessaire, ce n’est pas ce qui manque, et m’en enduit le trou. Après avoir eu la chatte en feu, il saisit mes fesses à pleines mains, les écarte en ayant une vue imprenable sur mon anus avec en dessous ma vulve béante et dégoulinante de sperme. Il se replace derrière moi et me pénètre par-derrière, en s’enfonçant lentement en moi. Je crois que mon cul va éclater. J’essaie brièvement de me débattre mais non seulement il me tient vigoureusement par les seins et s’empale dans mon cul, mais surtout cette idée est vite chassée par l’effet que cela me fait. Même s’il atteint ce que je crois être le fond à chaque coup de reins de sa part, je jouis encore une fois alors qu’il se met vraiment à me défoncer avec encore plus d’énergie et qu’au bout de quelques minutes, il éjacule au fond de mon trou et que je ressens une énorme chaleur au creux de moi-même, une forme de jouissance inhabituelle.
Quand je me redresse, je vois que lui aussi semble avoir particulièrement apprécié ce petit apéritif entre voisins… Il me gratifie d’un long baiser et me propose de passer au dessert sucré. Ce que j’accepte avec plaisir tant cela a pu me faire consommer énormément d’énergie.