Tout le monde redescend et sinstalle dans le salon, Brigitte se met juste en face de moi. La discussion porte sur le temps, ce que nous avons fait cet après-midi, (nous navons pas tout dit), et du programme de demain. Brigitte se débrouille pour que, de temps en temps, jai une vue plongeante sous sa robe. Elle me fait des sourires entendus. A table, je la vois régulièrement passer sa main sous la table, la remonter et se sucer un doigt en me regardant droit dans les yeux. Jimagine ce quelle vient de faire et je sens mon slip shumidifier. Décidemment, un rien me fait réagir. Je ne peux mempêcher den faire autant et de me sucer le doigt que je viens de planter dans mon sexe liquéfié en la regardant droit dans les yeux. Ce manège néchappe pas à Aline qui est à côté de moi.
Elle te drague et tu lui rends bien.
Cest que jai bien réussi ma mission.
Un peu trop peut-être.
Cest toi qui la voulu.
Ouai, si tu veux, mais Paule va en souffrir.
Ne ten fais pas, elle est très attirée par elle et ne lui fera pas de mal.
Comment tu le sais ?
Cest elle qui me la dit.
Ok.
Nous finissons de manger assez rapidement pour nous retrouver de nouveau dans le salon. Brigitte se met à côté de moi et se penche vers moi.
Tu as aimé ?
Je ne peux pas te dire, je nai pas goûté.
Je parlais de ton jus.
Oui, jai adoré.
Elle sourit et se met à discuter avec tout le monde. Au bout dune petite heure, je sens la fatigue me tomber dessus et je prends congé de tout le monde. Je monte dans ma chambre, me déshabille et vais prendre une douche. Evidemment, jen profite pour me caresser, mes doigts saffolent sur mon clitoris, mais le cur ny est pas, la masturbation ne me satisfait plus complètement, jai besoin dautre chose, dune main sur mes seins, dune langue sur mon sexe, dun sexe au plus profond de moi. Je prends un peu de plaisir, mais ce nest pas très satisfaisant. Je me couche quand même en espérant trouver très vite le sommeil.
Je nai toujours pas réussi à mendormir quand jentends du bruit dans la chambre dà côté. Ce doit être Brigitte qui sinstalle pour la nuit. Jentends la douche un petit moment puis plus rien. Je suis sur le point de mendormir quand la porte de la salle de bain souvre, cest Brigitte.
Laure, je sais que tu ne dors pas, moi non plus je ne peux pas dormir, je pense trop à toi, jai besoin dun câlin, tu veux bien que je vienne dans ton lit ?
Elle est là, devant moi, je distingue dans la pénombre son corps nu, offert et jai soudain envie de le caresser.
Sil te plait.
Ok.
Elle entre dans mon lit et se plaque contre moi. Elle est nue et je sens son pubis lisse contre ma cuisse. Elle passe sa jambe sur la mienne, ce qui a pour effet de plaquer ses lèvres humides sur ma cuisse. Je nen peux plus, je lui saisis la tête et lembrasse fougueusement. Nos langues se battent, se câlinent, saffrontent, saiment. Mes mains redescendent, parcourent son dos et sattardent sur ses fesses. Je les pétris nerveusement, je la plaque contre moi de toutes mes forces, jai envie de la sentir en moi, de prendre possession de son corps, de me noyer dans sa chair, de ne faire plus quune, de me dissoudre en elle. Mon cur bat la chamade, je nai jamais ressenti une telle émotion au contact dun corps, que ce soit dun homme ou dune femme. Et puis, tout à coup, je me donne, je décide de ne plus faire un geste, de me laisser aller et de moffrir à cette gamine que je ne peux définir pour quelle fasse de moi ce que bon lui semble. Je reste allongée sur le dos à attendre quelle fasse quelque chose. Elle ne bouge pas pendant un moment et reste sur moi pesant de tout son poids puis se redresse et me couvre de baisers. Ses mains, sa bouche, sa peau qui se frotte à la mienne parcourent mon corps doucement en leffleurant à peine. Pour finir, elle se plaque contre moi, jai limpression quelle veut entrer en moi, quelle ressent la même chose que moi, quelle veut ne faire quune avec moi, petit à petit, elle se laisse aller sur moi tout en me couvrant de baiser. Elle explore les moindres recoins de mon corps sans un mot, lentement pour bien sen imprégner. Au bout dune bonne heure de caresses, de baisers, de câlins, dattouchements en silence, elle se redresse, pose ses mains de chaque côté de ma tête, me regarde droit dans les yeux en me souriant.
Je suis ta chose, et tu es ma chose. Nous sommes deux composantes dune même entité. Vivons tous les instants que nous donne la vie, sans attaches, sans contraintes, sans jalousies, intensément, de toutes nos forces. Tu es libre comme je suis libre, mais nous savons toutes les deux que nous ne pourrons pas vivre lune sans lautre, et ce pendant très longtemps. Je te laisse chérie, je vais aller dormir et te laisser dormir aussi. Demain est un autre jour, jespère quil sera conforme à nos attentes.
Sur ces paroles, elle se penche sur moi, membrasse le mont de venus. Elle me regarde.
Tu devrais enlever tous ces poils.
Les filles me les ont déjà coupés courts.
Oui, mais rien ne vaut une peau lisse et douce, tu devrais tépiler comme moi.
Et je pourrais le faire quand ?
Elle se penche sur moi pour bien scruter mes poils.
Demain, si tu veux bien que je men occupe, ils sont assez longs pour être épilés et je ne me sépare jamais de mes ustensiles.
Ok, jadorerais ça.
Très bien, bonne nuit chérie.
Elle membrasse et retourne vers la salle de bain pour rejoindre sa chambre. Je reste seule, allongée sur le lit les bras et les jambes écartées, complètement offerte à qui veut bien me prendre. Je reste quelques secondes ainsi puis me retourne sur le côté, me recouvre du drap et ferme les yeux, frustrée de ne pas avoir joui, mais heureuse des perspectives davenir. Contre toute attente, je mendors très rapidement.
Le lendemain, je me lève vers huit heures trente, enfile mon peignoir et descends pour prendre mon petit déjeuner. Seule Elisa est debout, en peignoir elle aussi. Nous prenons notre petit déjeuner en parlant de chose et dautre, sans grand intérêt. Son peignoir souvre un peu, et je remarque un très beau sein en poire, plein et encore bien droit. Elle voit la direction de mon regard. Je la regarde et lui souris.
Excuse-moi Elisa, mais je nai pu mempêcher de regarder ton sein, et je peux te dire que je le trouve très beau. Cest assez rare une telle poitrine chez les femmes de ton âge.
Merci, traites moi de vielle pendant que tu y es.
Excuse-moi encore, mais tu sais très bien ce que je veux dire, à plus de quarante ans avec trois enfants, en général ils sont descendus au rez-de-chaussée, or les tiens sont toujours aussi fermes, du moins cest limpression quils donnent.
Ok, tout va bien, mais je nai pas lhabitude quon me parle comme ça. En tout cas, cela prouve que mes efforts nont pas étés vains.
Je dois dire quil ny a pas que tes seins qui se tiennent, daprès ce que jai pu voir, tu as, excuse-moi lexpression, un cul denfer.
Laure !!!!
Cest lexpression consacrée pour décrire de très belles fesses. Je tai vu hier en maillot de bain et je dois dire que tes fesses ne passent pas inaperçues.
Je sais, Henri me le dit assez souvent, il trouve que je mhabille un peu trop sexy.
Que doit-il penser de moi ?
Ca ne le dérange pas, je peux même dire quil aime beaucoup les femmes habillées comme toi, car tu nes pas sa femme.
Et ses filles ?
La aussi, il a mis de leau dans son vin, maintenant il accepte plus facilement quand elles shabillent sexy, il trouve que cest de leur âge, il faut dire quelles nexagèrent pas trop. Bon, je vais faire ma toilette, à tout à lheure.
Elle se lève et se dirige vers sa chambre. Je fini mon petit déjeuner quand arrive Michel en tee-shirt et short de sport. Son short est assez minimaliste, il lui moule bien les fesses et fait ressortir le volume de son sexe. Mon sexe commence à sécréter un liquide chaud. Il vient membrasser et sinstalle en face de moi.
Bonjour tata, tu es magnifique ce matin, tu as bien dormi ?
Très bien, il faut dire que cest calme ici, ça me change de San Jose.
Tu ne regrette pas tes amis de là-bas ?
Si, un peu, mais tu sais, nous nétions pas très intimes, les distances sont énormes là-bas, nous ne nous fréquentions pas beaucoup. Tes surs descendent bientôt ?
Ho là non, elles ne tont pas dit que le dimanche matin elles allaient faire une partie de tennis ?
Non.
Elles jouent tous les dimanches avec papa et maman jusquà onze heures, je suis étonné quelle ne ten ai pas parlé.
Non, mais ça ne fait rien, je suis assez grande pour me débrouiller toute seule.
Dautant que Brigitte est là.
Cest vrai et toi aussi tu es là.
Pas pour longtemps, je prends une douche et je vais rejoindre mes potes pour un petit footing.
Ok, je vois que la famille est sportive.
Comme tu dis.
Il se sert un petit déjeuner et va vers la table basse de la piscine. Je vais massoir à côté de lui en faisant en sorte que mon peignoir baille un peu en haut et dégage une partie de ma poitrine. Tel que je suis positionnée, il ne peut manquer davoir son regard dans mon décolleté.
Tu viens souvent tinstaller ici pour ton petit déjeuner ?
Oui, jadore ça.
Il me regarde et je vois que son regard plonge sur ma poitrine. Je ne fais rien pour mesquiver, bien au contraire, insidieusement, je marrange pour en dévoiler un peu plus. Il se replonge dans son petit déjeuner quil termine en quelques secondes. Il se lève, prends sa tasse et ses couverts, me regarde et séloigne sans me quitter des yeux. Je sens quil est troublé, je ne le laisse pas indifférent, mais et il ne sait quelle attitude prendre vis-à-vis de moi. Jai quand même limpression que sa bosse devant est un peu plus grosse que tout à lheure. Je ne veux rien brusquer et le laisse retourner à la cuisine. Il dépose le tout dans lévier et monte vers sa chambre. Je me lève et remonte à mon tour pour prendre une douche et mhabiller. Je rentre dans ma chambre, enlève mon peignoir et vais dans la salle de bain. Je règle la température de leau et me glisse sous la douche. Cest le moment que choisi Brigitte pour entrer dans la salle de bain.
Bonjour Laure, besoin dun coup de main ?
Viens par-là, je vais moccuper de toi.
Elle est nue et vient me rejoindre sous la douche.
Tu sais que dici on peut voir la salle de bain de Michel.
A oui, comment ?
Regardes.
Brigitte sort de la douche, sessuie rapidement, se dirige vers la baie vitrée et se cache derrière le rideau. Je la suis et me colle à elle. En face, Michel est nu sous la douche, nous le voyons de dos.
Je lai souvent regardé se doucher, il me plait beaucoup, et jaimerais que ce soit lui qui me rende femme, mais je suis un peu effrayée par la taille de son sexe, jai limpression quil est énorme.
Ce nest pas une impression, jai vu des centaines de sexes dhommes dans ma vie et je peux tassurer que cest le plus gros de tous ceux que jai pu voir, et de loin. Mais ne ten fais pas, si cest fait dans les règles de lart, ce ne sera pas plus douloureux quavec un sexe plus petit, il suffit que tu le désire vraiment et que tu sois bien préparée.
Tu pourrais maider ?
Tu ne crois pas que tu men demande un peu trop ?
Ok, si je comprends bien, toi aussi tu aimerais faire lamour avec lui.
Je ne peux rien te cacher, jaime les femmes, mais jadore les hommes, surtout ceux qui sont membrés comme Michel.
Jai lu des revues qui parlent de sexe, en général les femmes aiment bien les gros sexes, mais celui-là me fait un peu peur.
Ne ten fais pas, ça se passera bien.
Tu seras là pour massister ?
Si tu insistes, je veux bien être là, mais à condition que moi aussi je participe.
Bien sûr, cest évident. Tiens, regardes, il se tourne vers nous.
Michel sest retourné vers nous et je ne peux mempêcher de pousser un petit cri de stupeur. Il bande, son sexe est redressé à la verticale et jai devant mes yeux un monstre de pas loin de vingt-cinq centimètres sur cinq ou six. Un vrai sexe de cheval. Son gland doit friser les sept centimètres de large. Il se caresse le sexe du bout des doigts pour entretenir sa raideur. Je ne pense pas quil veuille se masturber, juste ressentir la raideur de son sexe, je sais que les hommes aiment beaucoup ça. Je me demande si cest de penser à moi et davoir vu mes seins qui le met dans cet état. Moi, par contre, je suis au bord du délire, mon sexe coule abondamment, je descends ma main vers mon pubis quand Brigitte sen saisi et la porte sur son propre sexe. Mes doigts tombent sur une vraie fontaine, elle dégouline de cyprine qui coule sur ses cuisses. Mes doigts se replient et pénètre un peu dans son sexe. Je la sens se crisper et je ninsiste pas, dautant quune de ses mains sest emparée de mon propre sexe et que trois doigts lexplorent sans retenue. Mon corps ne répond plus, jai envie de jouir, de me perdre dans un autre corps. Je la prends dans mes bars et lallonge sur le tapis de la salle de bain. Je mallonge sur elle, lui présente mon sexe devant sa bouche et plonge ma tête sur le sien. Nos bouches explorent la vulve de lautre, nos langues titillent le clitoris offert. Comme le spectacle de ce sexe érigé nous avait mis dans tous nos états, nous jouissons très vite. Je me retourne et pose mes lèvres sur les siennes. Jadore embrasser des lèvres qui ont encore le goût de mon nectar damour. Jadore le goût de ma cyprine, je la trouve plus douce que toutes celles que jai pu boire dans ma vie. Le fait dembrasser ces lèvres qui portent mon odeur, le corps plaqué contre ce magnifique corps me fait de nouveau avoir un autre orgasme. Elle le ressent et se laisse aussi aller à jouir une nouvelle fois. Nous restons un moment, enlacées, sans bouger. Je suis sur le point de mendormir dans ses bras quand je la sens se libérer et se lever. Je me lève aussi et la rejoint derrière le rideau. Michel nest plus là, la salle de bain est vide. Brigitte ouvre leau, règle la température et nous nous glissons sous la douche. Nous nous lavons mutuellement, mes mains parcourent son corps comme les siennes le mien. Je mattarde un peu sur son sexe, jai encore envie de poser mes lèvres dessus, jaime son sexe lisse et doux. Je maccroupie, lui saisit les fesses et plaque mes lèvres sur sa vulve. Elle pose ses mains sur ma tête.
Oui ma chérie, oui, oui, vas-y, oui, jai encore envie de jouir sous ta langue.
Ma langue sactive sur son clitoris, elle pénètre dun petit centimètre à lintérieur de son antre. Je la bois, elle est un peu comme moi, elle coule abondamment, son sexe est une véritable fontaine. Jadore. Je lui mordille le clitoris, le titille avec ma langue, laspire jusquà ce que je la sente se raidir et jouir une fois de plus. Ses mains me plaquent la tête contre son sexe, elle tremble, est parcourue de frissons, son souffle est court, elle jouit de tout son être. Et puis, je sens son corps se détendre doucement, me redresse et pose mes lèvres sur les siennes pour un baiser passionné. Nous finissons de nous laver, nous séchons et allons dans ma chambre.
Tu es prête pour ton épilation ?
Tu veux le faire tout de suite ?
Si tu veux.
Ok, tu as ce quil faut ?
Oui, je vais chercher le matériel.
Je vais aux toilettes.
Brigitte est allé dans sa chambre pour chercher le matériel nécessaire.
Je vais aux toilettes, mais ce nest pas pour faire pipi, je veux me préparer à une sodomie, je me fais un lavement intime avec la petite douchette sur laquelle jai remplacé le pommeau par un embout spécialement étudié pour cet usage. Je sors des toilettes au moment où Brigitte revient avec un sac imitation cuir. Elle louvre et en sort une sorte de grand bol avec un fil électrique dans lequel il y a une pâte rose solidifiée. Je ne me suis jamais épilé les jambes à la cire, jai toujours utilisé un rasoir. Jappréhende un peu ce qui va se passer.
Cest ton appareil pour chauffer la cire ?
Oui, il faut la faire chauffer, et cet appareil la met à la bonne température, tu ne risques pas de te bruler. Montre-moi ou il y a une prise.
Nous finissons par trouver une prise et branchons lappareil.
Il y en a pour au moins une demi-heure pour arriver à bonne température, quest-ce quon fait en attendant ?
Que veux-tu faire dautre que lamour ?
Tu nest pas un peu frustrée de ne pas faire lamour avec un homme.
Un peu, mais tu sais, jai de quoi les remplacer.
Comment ça ?
Je vais chercher ma trousse et la vide sur mon lit. Brigitte ouvre de grands yeux.
Cest quoi tout ça ?
Des godemichés, des vibromasseurs, de la graisse et des préservatifs. Tu sais par les temps qui courent, il vaut mieux se protéger et pour linstant il ny a rien de mieux que les préservatifs.
Je sais, quest-ce que tu veux faire.
Tu vois ce godemiché avec une poire au bout du tuyau ?
Oui.
Prends le et appuie sur la poire pour le faire gonfler.
Elle se saisi du gode qui pendouille lamentablement, il est vide dair. Elle commence à appuyer sur la poire ce qui fait quil se redresse doucement. Au bout de quelques secondes, il fait trois centimètres de diamètres et commence à grossir en sallongeant. Brigitte pompe toujours. Je teste sa raideur de la main, il doit faire dans les 5 cm de diamètre.
Encore trois ou quatre coup de pompe et il sera prêt.
Mais il devient plus gros que le sexe de Michel.
Oui, et alors.
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