Est ce que ma mère craignait que je m’éloigne d’elle durant sa semaine d’indisponibilité , toujours est il que pendant cette période elle m’offrait sans retenue le caresses chaudes et humides de sa bouche , jusqu’à 2 fois par jour .
Le soir , sur la balancelle ou le canapé suivant le temps , quand enlacés elle apercevait mon pénis entre les pans de mon peignoir , en me regardant , avec un grand sourire coquin elle glissait à genoux devant moi ; d’une main en coupe elle s’emparait de mes bourses épilées depuis qu’elle s’occupait aussi de ma toison , de l’autre tenait mon sexe . Sa bouche se refermait doucement sur mon sexe raide , je sentais sa langue décalotté mon gland , elle compressais mon sexe entre sa langue et son palais , sans bouger la tête elle commençait de longues et délicieuses sucions . Je faisais en sorte de me retenir au maximum pour en profiter . Elle me relâchait, me regardais sans doute pour voir mon plaisir et me reprenais .
Elle savait que lorsque mes testicules étaient bien remontées , l’éjaculation était proche . Je la prévenais toujours quand ses caresses m’amenaient au point de non retour . Elle m’enserrait un peu plus , mes contractions faisaient jaillir ma semence par saccades dans sa bouche .
Elle ne perdais rien , je la voyais déglutir , parfois quand mes giclées étaient abondantes et rapprochées , un peu de sperme s’écoulait aux coins de sa bouche . Cela a toujours été un plaisir de me faire sucer par elle .
Il est arrivé quelques fois où sur le point de sortir pour des achats ou autre chose , rien qu’en la regardant je bandais . Si elle voyait un début d’érection dans mon jean , elle s’approchait de moi , m’embrassait tout en déboutonnant mon pantalon , glissait une main dans mon slip en le baissant , extirpait délicatement mon sexe , s’asseyait au bord du lit ou sur une chaise ,en tenant mon sexe avec ses mains , entre le pouce et l’index , comme avec une flûte elle entamait un morceau de musique , sauf qu’elle ne soufflait dedans . La douceur de ses geste et de ses sucions me faisaient jouir très vite dans sa bouche , je lui nappait le fond de sa gorge et les amygdales de sperme chaud . Elle ne relâchait sa prise que lorsqu’elle était sûre de m’avoir vidé jusqu’à la dernière goutte.
Bien que le goût douceâtre de mon sperme lui plaisait , elle buvait toujours un verre d’eau ensuite .
J’ai toujours aimé les caresses de sa bouche , mais cela n’a jamais remplacé l’intensité sentimentale d’un rapport intime .De temps à autre nous avion des envies nocturne . Collée contre moi , elle me réveillait en me caressant l’entre jambe , très vite je bandais .
La première fois je l’ai attirée sur moi , l’obligeant à m’enjamber et à me chevaucher . Nous n’avions jamais pris cette position .
J’ai guidé mon sexe dans sa fente la laissant me diriger dans sa grotte . La tenant par les hanches elle s’est empalée sur moi jusqu’à sentir mon gland contre son utérus . Dans cette position je pouvais lui caresser et lui sucer les seins tout à loisir .
Elle ondula sur mon pal , provoquant son plaisir , après avoir joui elle s’affala sur moi toujours aussi raide dans son ventre , je l’ai renversée sur le dos et en quelques va et vient je me suis vidé .
Bien qu’aillant eu un plaisir très fort et envie de recommencer à l’occasion , ma mère m’a dit préférer être sur le dos pour faire l’amour , que c’était plus sentimental quand elle s’offrait .
J’aimais caresser ma mère , ses seins , son ventre , ses cuisses , ses fesses aussi quand elle était sur le ventre . Sa première caresse à elle était de me palper et soupeser les testicules , comme pour vérifier si j’étais toujours en bon état .
Un samedi , cela faisait environ 4 mois que nous étions en couple , déjà dans l’après midi je ne l’avais pas sentie aussi radieuse que d’habitude , ce soir là alors que nous venions de nous coucher , j’ai senti en elle comme un petit vague à l’âme .
Enlacés tendrement , bien qu’elle dise que tout allait bien , je savais qu’il y avait quelque chose et lui rappelait que nous avions décidé d’aborder tous les problèmes à deux .
Se serrant un peu plus contre moi , elle commença par me dire que la nature n’était pas juste . Comme elle me l’avait déjà confié , 10 ans auparavant elle avait interrompu une grossesse non désirée s’étant retrouvée enceinte de mon père , pour qui elle n’avait plus beaucoup de sentiments en le laissant " tirer un coup " ; et aujourd’hui où elle avait envie d’être enceinte de moi ; envie ressentie dès notre première étreinte en sentant ma semence se répandre dans son ventre , me dit-elle . Désir de maternité qui ne pouvait se réaliser du fait de sa santé , surtout que à part ce problème de santé , avec moi toutes les conditions étaient requises pour être maman une deuxième fois .
Un peu étonné par ses paroles , je lui ai demandé comment elle pouvait être aussi affirmative .
Elle me répondit que depuis le début de sa vie de femme , elle n’avait jamais rien ressenti d’aussi fort avec moi , que je lui avais apporté en peu de temps tout ce qu’elle n’avais jamais eu avec un homme .
Elle était aussi retournée chez sa gynécologue , qui avait à peu près le même âge qu’elle et avec qui elle avait lié un peu plus connaissance depuis que celle ci était au courant de notre situation , pour se faire expliquer les résultats du spermogramme que j’avais passé avec une ordonnance de celle ci.
En résumé , mon sperme était abondant avec une bonne concentration de spermatozoïdes très mobiles . Bref toutes les conditions étaient réunies pour être fécondée par moi .
Sa gynécologue lui avait dit qu’il rare de voir du sperme aussi abondant lors d’une éjaculation , on parlait alors d’hyperspermie ; j’avais éjaculé 4,8 centilitres de sperme dans l’éprouvette . Ce qui était , il paraît supérieur à la moyenne .
Ma mère lui confia qu’elle s’était rendu compte dès notre premier rapport intime de l’abondance de ma semence , pas étonnée de la chose au vu de la taille de mes testicules , chacun d’eux étant un peu plus gros qu’un uf de poule , qu’elle n’avait jamais vu de testicules aussi gonflés et que ce n’était pas pour lui déplaire .
J’ai compris alors le pourquoi du regard étonné de la laborantine quand je lui ai rendu l’éprouvette pleine de sperme.
C’est vrai qu’avant d’être avec ma mère , lorsque je me masturbais , je prenais plaisir à regarder mon sperme s’échapper en jets abondants que je recueillais dans un mouchoir en papier .
