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le voyeurisme, une passion – Chapitre 9

le voyeurisme, une passion - Chapitre 9



Suite :

Elle était en effet topless juste à côté de moi, uniquement couverte par ce drap que jarrivais à lui enlever presque tous les soirs. Sauf que là, jallais pouvoir voir ses seins totalement nus, de mes yeux !

Je la laisse sendormir, refais quelques parties sur le PC mais je nai quune seule chose en tête : son corps. Vers minuit, sa respiration est devenue lourde et profonde et je décide de commencer mes manuvres habituelles.

Elle dort sur le dos mais suite à ces mouvements, le drap est en partie sous elle, bien bloqué par ses fesses. Mais je ne me décourage pas et essaie de trouver une « voie daccès ». Je commence à relever le drap de ses jambes et dénude ainsi progressivement ses pieds, ses genoux, ses cuisses. Le reste cependant ne peut remonter plus haut, étant coincé sous ses fesses. Je mattaque ensuite au haut : je baisse très doucement la couverture qui couvre sa poitrine, centimètre par centimètre. Et enfin, ses seins mapparaissent. Ses magnifiques et énormes seins sous là, sous mes yeux, sans aucune forme dobstacle. Me munissant de mon téléphone, je prends quelques clichés de sa belle poitrine.

Sa respiration reste régulière et je constate que la température élevée de cette nuit dété ne provoque pas de frisson sur sa peau nue. Je note même une certaine moiteur sur son cou et entre ses seins. Car, en effet, je commence à la caresser doucement. Je fais glisser ma main sur sa peau, passe un doigt sur ses tétons, appuie très légèrement pour lui palper sa belle poitrine. Je bande évidement comme un taureau mais je résiste à lenvie de sortir ma queue pour me branler.

Le spectacle est superbe mais pas entier car ce satané drap reste coincé sous ses fesses. Sans doute aveuglé par lexcitation, je décide de tirer dessus très doucement pour le libérer. Je progresse très lentement et surveille le moindre signe de mouvement. Mais alors que je tire sans doute un peu fort, elle se met à bouger, se gratte ses cotes dénudées en ronchonnant, mets sa main au-dessus de sa tête et écarte légèrement les jambes.

Je cesse un instant de tirer sur le drap, attends que la respiration redevienne lourde et reprend mon action. Au bout de quelques instants je parviens enfin à libérer le drap et le rabat doucement sur le côté opposé. Elle est là, presque nue, uniquement vêtue de son vieux mini short de pyjama en coton gris. Celui-ci est, à force dêtre porté, distendu, un peu déchiré et donc mal ajusté à son corps, si bien que son sexe est déjà presque visible.

A ce moment, prenant de la hauteur pour lobserver, je cède à lexcitation et sort mon sexe pour me branler au-dessus delle. Je contemple son corps sans défaut en me paluchant calmement. Elle était superbe, ainsi exposée. Je reprends quelques photos.

Je fixe mon regard sur son shorty en me disant que ce stupide morceau de tissus baillant me gâchait le spectacle. Il fallait que je lenlève

Je maccroupis à côté delle et tire légèrement sur le tissu au niveau de lentrejambe pour tenter apercevoir sa chatte. Puis, pensant que, comme le drap, je pourrais faire glisser le tissu, je commence à baisser le short dun coté de ses haches, puis le lautre. Aucune réaction pour linstant. Lélastique du short est à présent au niveau de son pubis, si bien que la partie entre ses cuisses baille totalement. Cette fois, jécarte franchement le tissu et découvre dans sa totalité son sexe, ses lèvres son clito.. Ses cuisses sont légèrement écartées et rien nobstrue ma vue sur cette magnifique chatte imberbe à part la faible luminosité de la pièce. Mes doigts, qui tenaient le tissu écarté, étaient à deux centimètres de sa peau. Il fallait que je la touche, il fallait que je touche son sexe.

Tout en maintenant le tissu avec mon majeur, je déplie mon index et le pose sur son sexe. Je caresse ses lèvres, son clito (sans titiller la partie sensible pour ne pas la réveiller) et descends même jusquà son anus. Mais alors que je mapprêtais à enfoncer un doigt en elle, elle se met à bouger. Je retire en un instant mon doigt, fais un bon en arrière et la vois qui se tourne sur le côté en grommelant. Alors que mon cur palpite encore comme un dératé, elle replie sa jambe droite sur elle, à hauteur de ses haches et se met presque sur le ventre. Adieu les nibards, je dis-je

Par contre, sa chatte, elle, est bien exposée dans cette position, avec un short toujours aussi mal placé. Encore mieux, son trou du cul est complètement visible. Je fais une photo en gras plan au passage. Le visage enfoui dans loreiller, elle semble à nouveau profondément endormie. La situation est vraiment trop tentante, trop excitante je décide de la toucher à nouveau.

Je caresse son cul et ses cuisses délicatement, glisse un doigt entre ses fesses et titille son anus. Il est évidement serré mais un peu de ma salive me permet dinsérer sans forcer les premiers millimètres de mon doigt. A ce stade, javoue ne plus savoir ce que je fais et être en pilote automatique, uniquement guidé par lexcitation. Mon doigt humide caresse également son sexe, entre ses deux lèvres, dans un mouvement de va et vient délicat.

Je sens alors quelque chose qui minterpelle : son sexe shumidifie. Alors que sa respiration se fait plus profonde, ses jambes sécartent encore un peu plus. Il semblerait quelle apprécie mes caresses dans son sommeil. Mais est-elle encore réellement endormie ?

A ce moment, je ne me pose guère de question et continue de la caresser. Plus besoin de me lécher le doigt, cest sa mouille qui le lubrifie et me permet denfoncer une phalange dans son cul et son vagin. Je titille aussi son clito en le faisant tourner doucement. Son respiration senrichit progressivement de légers gémissements. Sa bouche est entrouverte et jai limpression quun petit filet de bave sen échappe. Cela semble indiquer un profond sommeil Je continue donc de la caresser.

Alors que jaccélère mon mouvement sur son clito, elle écarte encore un peu plus les jambes et gémit de manière très distincte. Jenfonce alors mon doigt dans sa chatte et la doigte en profondeur. Elle est trempée et bien ouverte. Je sors mon majeur et lenfonce cette fois-ci dans son anus. Jusquà présent, je nétais pas allé plus loin que la première phalange. Mais un autre gémissement me pousse à lenfoncer davantage. Petite à petit jinsère la totalité de mon doigt dans son cul ce qui la fait encore plus baver de plaisir. Cet acte me rend presque fou dexcitation : je suis en train de doigter de fion de ma belle-sur dans son sommeil ! Je fais une photo de mon doigt dans son cul, tant cette image est excitante.

Je décide de la stimuler encore un peu plus. Ma main droite retourne dans sa chatte et avec mon autre main avec laquelle je me branlais, je doigte à nouveau son cul. Son mini short est trempé et distendu à force de le tirer sur le côté pour me donner laccès à son sexe.

Dans cette position agenouillée à côté delle avec mes deux mains occupées au niveau de son entrejambe, ma bite en érection vient régulièrement effleurer ses fesses. Le premier contact de sa peau sur mon gland était involontaire et ma fait frissonner mais maintenant je le frotte volontairement contre son cul. Javoue que lidée ma traversé lesprit : puis-je la pénétrer sans la réveiller ?

Mais, en plus de labuser sexuellement, je serais alors infidèle, totalement cette fois (car on ne peut pas dire que se masturber en regardant la sur de sa copine à moitié nue et la doigter est le top de la fidélité). Et je foutrais un bordel monstre dans la famille au point de foutre mon couple en lair. Je nétais pas prêt à un tel sacrifice pour un coup de queue

Avec mon sexe, je me contente donc deffleurer son cul, son anus, sa chatte trempée, mais sans y rentrer. Encore une petite photo de ma bite contre sa chatte. Puis je me concentre à nouveau sur elle et la masturbe un peu plus franchement. Sa respiration se saccade, ses gémissements sont de plus en plus nombreux. Elle tire légèrement la langue et bave de plaisir. En voyant cette langue, je ne résiste pas à la tentation : je la contourne me place en face delle. Tout en continuant de la doigter de ma main gauche, je me penche à sa hauteur et viens effleurer sa langue avec la mienne. Jen profite également pour contempler et caresser à nouveau ses seins qui métaient cachés depuis quelle sétait mise sur le côté. Puis je me redresse et avance mon sexe vers sa bouche. Je pose mon gland sur sa langue pendue et la frotte légèrement. Dune main je prends en photo cette scène incroyable de mon gland sur sa langue avec son beau visage endormi. Mon dieu, a posteriori, prétendre que jai essayé de rester fidèle en ne la pénétrant pas est dune mauvaise foi sans nom !

Pourtant le simple contact de mon sexe sur sa langue est divin et je nai aucun sentiment de culpabilité à cet instant précis. A un moment, il me semble même que le bout de sa langue remue et vient me titiller la bite. Mais alors que mon majeur gauche sort de sa chatte pour rentrer dans son cul, elle rentre sa langue pour gémir à nouveau. Sa langue ne pend plus mais sa bouche est toujours entrouverte. Jy insère doucement mon sexe. Très doucement. Mais je constate que cela force sur sa mâchoire et la gêne dans sa respiration Le risque quelle se réveille (si elle dort vraiment) est trop grand. Jabandonne.

Je méclipse de devant elle rapidement, retourne dans son dos, retrouve avec plaisir la vue de sa chatte et son anus débordant de son mini short. Il est tard, cela fait un moment que je suis là et je décide alors de la recouvrir et daller me finir aux toilettes. Mais alors que je tire le drap sur ses jambes, et que je commence à mécarter, jentends distinctement :

— mmmhh core.

A suivre…

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