Sa cible : les femmes mariées 1
Target: Beautiful Married Women- I
Coulybaca / Black Demon
Comme sa première année de fac se terminait, Tad Skipper Harmon pensait retourner chez lui pour l’été.
Cela avait été une bonne expérience en attendant de rejoindre l’université d’état que de vivre cette année de sport étude, mais cette fac était située dans une petite ville universitaire où on faisait tout pour supporter l’équipe locale.
C’était très différent de l’importante communauté dans laquelle il avait grandi, une banlieue d’une grande ville.
Bien sur le fait d’être une vedette de l’équipe lui valait un maximum d’attention de la part des filles du coin dont nombre tombaient amoureuses de lui.
Mais pour Skipper rien ne pouvait remplacer la vie sociale qu’il envisageait de mener de retour chez lui, une vie sociale qu’il entendait orienter nettement vers le sexe.
Bien sur, il avait copulé avec nombre de ses coreligionnaires féminines, mais il ne parvenait pas à satisfaire ses appétits de luxure, il avait surtout envie de se faire des femmes mariées fidèles et sophistiquées.
C’est l’été précédent que tout avait commencé, juste avant de quitter la maison pour gagner l’université, une opportunité qui l’avait follement excitée et stimulée comme jamais il ne l’avait été auparavant.
Comme il allait fréquenter une classe de sport étude, Skipper ne voulait pas que ses parents aient à lui envoyer de l’argent, d’autant plus qu’ils avaient déjà ses trois cadets qui fréquentaient le lycée et qu’il avait obtenu une bourse scolaire.
Sa sour aînée avait déjà suivi les courts d’une haute école de commerce sans le concours financier de leurs parents.
Skipper n’avait rien contre le fait de travailler durement, en fait, il aimait tous les types de travail en plein air sous le soleil qui lui permettaient en outre d’entretenir sa forme.
Il avait déjà tondu des pelouses lorsque plus jeune il cherchait à se faire un peu d’argent de poche, il avait décidé de reprendre cette activité fructueuse.
Comme il était la vedette locale d’une équipe de football briguant le titre universitaire, beaucoup de gens le connaissaient et encore plus depuis qu’il avait été élu joueur de l’année.
Chacun avait lu dans les journaux qu’il attendait de rejoindre l’université d’état et tout le monde ne cherchait qu’à l’aider en lui confiant des petit travaux comme la tonte des pelouses.
Lorsqu’il suivait les cours de troisième du collège, il avait développé un gros penchant amoureux pour la nouvelle prof qui, en milieu d’année madame Harris qui prenait sa retraite.
L’adorable mademoiselle Terri Collins sortait tout juste de la fac munie de sa maîtrise d’enseignement.
Skipper aurait bien voulu passer ses journées en classe pour la voir et l’admirer.
La nuit il rêvait d’elle, il bandait alors comme un âne et avait appris du coup à se masturber.
Dès lors, après cette année de classe Skipper faisait toujours le détour pour passer devant sa classe pour lui faire un bonjour amical et la saluer amicalement.
En quelques années, Skipper était devenu un féministe très pratiquant, un vrai tombeur comme le surnommait ses copains.
Etant donné sa popularité et son bagout de nombreuses filles étaient impatientes d’enlever leurs petites culottes pour se donner à lui.
Comme Skipper n’était pas particulièrement timide, il couchait avec chaque jolie fille qui en manifestait l’envie.
Chaque fille qui obtenait de lui un rendez-vous savait à quoi s’en tenir, elle allait ôter sa petite culotte et écarter les cuisses en grand sans lui demander d’enfiler un préservatif.
Lors de ces années lycées, de charmantes jeunes filles durent prendre du recul avec le lycée pour des raisons familiales…
Les familles cherchaient à tenir les choses secrètes envoyant leurs filles prendre soin de leurs vielles grands-mères où aider leurs tantes.
Mais bien entendu, c’était pour cacher le fait que leurs petites filles s’étaient fait engrosser alors qu’elles fréquentaient encore le lycée.
Pour certaines raisons inexplicables, elles refusaient toutes de livrer le nom de leur suborneur dans le but de protéger Skipper.
— Bonjour madame Wallace… Cria Skipper pour couvrir le son de la tondeuse en souriant à la jeune femme de ses rêves.
Son cour battit la chamade lorsqu’elle lui répliqua gentiment :
— Bonjour Skipper…
En la voyant poser des plats sur la table il remarqua sa nervosité, il se demanda tout de suite pourquoi elle était si nerveuse…
S’étant tapé bien des nénettes ces dernières années, c’était le type de réaction qu’il voyait de temps à autre lorsqu’une fille était stressée en le voyant.
Comme elle l’invitait à faire une pause et se joindre à elle pour siroter une boisson fraîche, il arrêta le moteur de la tondeuse empoigna sa chemise qui pendouillait sur son pantalon et s’en servit pour essuyer rapidement sa sueur.
Il remarqua alors qu’elle était vêtue fort élégamment et l’en complimenta :
— Waow… Vous êtes vraiment ravissante madame Wallace !
Il remarqua alors qu’elle rougissait comme une jouvencelle alors qu’elle balbutiait en retour :
— Oh… Je… Je.. Je dois me rendre à un repas de la ligue féminine un peu plus tard !
Il se rappela alors qu’effectivement monsieur Wallace lui avait demandé de venir tondre assez tôt car sa femme devait organiser un repas de la ligue féminine le lendemain, c’est ainsi qu’il comprit qu’elle s’était habillée ainsi pour le recevoir, se donnant l’excuse de devoir se rendre à un repas.
Une fois qu’elle se fut assis sur une des chaises du patio, il empoigna une chaise et s’assit tout près de son ex maîtresse d’école.
Il savait qu’il s’était assis un peu trop près d’elle pour une relation normale d’ex élève à ex prof, d’ailleurs un long frisson nerveux la parcourut toute entière.
Sachant maintenant l’effet qu’il lui faisait délibérément Skipper avait laissé sa chemise ouverte sur son torse alors qu’il se tenait tout proche de sa ravissante ex prof.
Alors qu’ils discutaient de son départ pour l’université d’état Skipper l’avisa qu’il devait reporter la date de son départ à l’issue de son camp d’entraînement d’août, lui rappelant combien lors de ces camps ses amis et sa ville lui manquaient.
Lorsque que madame Wallace posa sa petite main manucurée de frais sur sa main droite pour le réconforter, un frisson nerveux courut le long de sa colonne vertébrale.
Récupérant rapidement de ce frémissement il en profita pour capturer son autre main dans sa main gauche.
Ce qui avait débuté comme un geste tout à fait innocent de sa part faisait maintenant battre le cour de Terri.
Son ancien élève, maintenant un séduisant jeune étudiant retenait sa main entre les siennes.
Les yeux baissés, respirant avec peine elle sentit Skipper jouer avec son alliance.
Elle voulait désespérément libérer sa main mais n’en trouvait pas la force, perdant toutes forces alors qu’il caressait lascivement sa main et son bras.
Elle ne savait pas quoi penser lorsqu’il lui confia :
— Depuis cette époque ou vous évoluiez dans la classe, je rêve de vus chaque nuit… Si vous saviez… A quel point j’ai été déçu et dépressif lorsque j’ai appris vos épousailles avec monsieur Wallace !
Son ancien élève se tenait près d’elle lui avouant qu’il pensait à elle, rêvait d’elle toutes les nuits alors que justement elle s’était vêtue ainsi pour retenir son attention.
— Oh mon Dieu… Qu’ai-je fait en m’habillant ainsi pour lui ? Pour quoi ai-je enfilé une tenue sexy pour lui plaire ? Frémissait Terri en regroupant ses esprits, en enlevant sa main de son tendre piège.
Elle repoussa sa chaise en arrière, elle voulut se lever, sa chaise faillit tomber dans son dos alors qu’elle balbutiait :
— Je… Skipper… Je… Je dois partir rapidement… Pour arriver à temps à mon déjeuner avec mes amies…
Skipper observait attentivement la femme de ses rêves qui se préparait à se ruer dans sa maison pour lui échapper.
Il remarqua que dans sa hâte, elle avait mal refermé la porte coulissante qui était restée entrouverte.
Il ne voulait pas laisser passer cette occasion en or qu’elle lui offrait involontairement, il se glissa discrètement dans la maison et verrouilla la porte coulissante dans son dos.
Regardant autour de lui il remonta le long vestibule s’approchant de son but… Leur chambre conjugale !
Jetant un oeil discret il vit l’adorable madame Wallace, lui tournant le dos, penchée sur une commode, cherchant visiblement à reprendre une attitude normale elle haletait sourdement.
— Bordel, ce qu’elle est bandante ! Pensait Skipper alors qu’il s’approchait, il tendit la main qu’il posa gentiment sur sa taille, à ce contact inattendu elle haleta :
— Ahhhhhhhhhhh… Non… Skipper… Nonnnnnnn… S’il te plait… Je t’en prie… Tu… Tu n’as rien à faire dans ma chambre ! Va-t’en ! Je dois me rendre à mon déjeuner !
Se rapprochant encore d’elle, son corps venant au contact du sien, il lui murmura à l’oreille :
— Vous êtes si bien habillée… Si sexy juste pour me plaire, n’est ce pas madame Wallace ? Vous mentez au sujet de ce repas à la ligue féminine, n’est ce pas ? Monsieur Wallace a consulté votre agenda, il mentionnait ce repas à la date de demain… Vous vous êtes habillée ainsi juste pour moi, n’est ce pas madame Wallace ?
La sentant frissonner, entendant son sourd halètement, il écarta largement ses doigts posés sur sa taille, l’encerclant quasiment.
Terri ne parvenait pas à regrouper ses esprits, pas avec ce séduisant jeune homme si près d’elle, la touchant intimement.
Elle frémit et grinça des dents en sentant les doigts de son jeune élève ouvrirent les boutons de son corsage pour se couler sur la chair de son estomac pour la caresser encore plus intimement
— Skipper… Non… Je t’en prie… C’est… C’est mal… Je… Je suis mariée… Et tu es… Tu es un ancien élève… frissonna-t-elle en priant pour que ses supplications l’amènent à cesser ses caresses si enivrantes, lui permettant de préserver sa fidélité envers son mari !
Se pressant contre elle, il lui grignota le lobe de l’oreille avant de titiller l’intérieur de son oreille.
— Je vous aime madame Wallace ! Je vous ai toujours aimée… Et maintenant je vous veux… Je veux vous faire l’amour… Et vous aussi, vous voulez qu’on s’aime, n’est ce pas ? Vous brûlez d’envie que je vous fasse l’amour ? N’est ce pas madame Wallace ? Lui soupirait-il tendrement.
— Ohhhhhh… Ohhhhhhhhh Skipperrrrrrrrrrrr… Ahhhhhh… vagit-elle alors que sa main empaumait un de ses nibards au travers de son soutien-gorge de dentelle.
Sentant ses tétons s’ériger entre ses doigts, Skipper continuait à l’allumer alors que son autre main commençait à déboutonner son corsage.
Une fois son chemisier ôté de sa jupe il s’attaqua à deux mains à son soutien-gorge le repoussant au-dessus de ses tendres mamelles.
Skipper commença alors à malaxer et triturer ses nichons, les amenant à se raidir sous l’indéniable l’excitation, ses tétons étaient dressés comme des petites gommes, il adorait entendre son ex-prof si sexy gémir alors qu’il la caressait intimement.
Totalement sous l’emprise du plaisir qui lui octroyait les caresses de son jeune ex-élève, elle ne put qu’agripper le rebord de la commode pour s’éviter de défaillir.
— Ohhhhhhhhh… Oooooooohhhhhhhhhh… Frissonnait-elle, yeux fermés alors qu’il lui mignotait lascivement les nichons, une caresse que jamais personne, à part son mari ne lui avait décerné, et surtout pas des étudiants en mal d’amour…
A cet instant, défaillant sous caresses, Terri oubliait totalement son chemisier qu’il lui ôtait tendrement le laissant choir au sol.
Il en advint de même lorsqu’il lui dégrafa son soutien-gorge, descendit les bretelles sur ses bras, la jolie pièce de dentelle tomba à son tour sur le sol de la chambre.
La robe déboutonnée, la fermeture éclair descendue, son léger vêtement tomba sur ses chevilles?
Quelques secondes plus tard il roulait sa petite culotte de dentelle sur ses hanches puis sur ses mollets avant de rejoindre sa robe tirebouchonnée sur ses hauts talons.
Stupéfiée par la force de Skipper qui l’enlevait comme une plume dans ses bras, Terri drapa son bras autour de son cou pour ne pas tomber, les lèvres de son ancien élève prirent alors goulûment possession des siennes.
Lèvres entrouvertes, elle frissonna alors que l’épaisse langue de Skipper dardait dans sa bouche qu’elle inspectait alors minutieusement, en réponse elle l’entoura de la sienne.
Bien que confiant en lui-même Skipper ne parvenait pas encore à croire en sa bonne fortune alors qu’il tenait sa ravissante ex prof entre ses bras l’embrassant passionnément.
C’était un rêve que d’avoir la somptueuse madame Wallace entièrement nue dans ses bras à l’exception de ses hauts talons et de sa petite culotte pendant à sa cheville droite.
C’était d’autant plus émouvant que c’était la première fois qu’il allait partager le lit d’une femme mariée, une jeune femme mariée aussi ravissante que sophistiquée, et de plus sur le lit conjugal du couple.
— Ooooooooooo… Oh, mon Dieuuuuuuu… Skipper… Skipper… Que me fais-tu ? Frémit Terry alors qu’il l’allongeait sur son lit.
Elle frissonnait de plaisir, son corps était parcouru d’ondes lubriques, qui émanait de son sexe avidement léché par son jeune amant.
— Ohhh… Oh… Oh, mon Dieuuuuuuuuuu… Ahhhhhhhhhhhh… Gémissait-elle le corps secoué de sursauts convulsifs alors qu’un intense orgasme la terrassait sous les lèvres de Skipper qui dégustait son petit clito érigé.
Jamais Terry n’avait expérimenté des sensations aussi fantastiques !
De fait jamais un homme n’avait enfoui son visage entre ses cuisses, même pas son petit mari.
Elle avait juste lu dans des magazines ce que voulait dire "se faire brouter le minou".
Il était évident que les rôles de prof et d’étudiant étaient inversés, l’innocente petite prof apprenait les joies du sexe par son ancien élève qui s’avérait un excellent professeur.
Terry sentait des flashs électriques escalader ses flancs alors qu’elle s’arquait pour lui permettre de mieux savourer sa foufoune engorgée de sang et de cyprine.
Et maintenant, cuisses grandes écartées elle sentait le sang s’accumuler dans ses babines charnues, un éclair traversa soudain la tête de Terry en réalisant sa faiblesse.
Elle avait fait don de sa virginité à son mari lors de leur nuit de noce et voilà qu’elle se préparait à lui être infidèle.
Elle était sur le point de commettre un adultère, et de plus sur leur lit conjugal… Et pire encore, avec un de ses anciens élèves.
Elle ne pouvait dénier le fait qu’elle voulait que Skipper lui fasse l’amour, qu’elle n’avait aucunement l’intention d’arrêter en si bon chemin… Mais Terry réalisa soudain que Skipper était prêt à la posséder sans prendre aucune précaution.
— Skipper… Ohhh, Je ne veux pas que tu t’arrêtes… Mais… S’il te plait… Je t’en prie, enfile une capote… S’il te plait… Je t’en prie, Skipper… Tu… Tu risques de m’engrosser… " le suppliait-elle misérablement.
Il n’était pas question pour Skipper d’arrêter pour enfiler un préservatif.
De fait ça rendait sa conquête encore plus excitante.
Il tenait dans ses bras sa charmante maîtresse d’école, elle tremblait sous ses caresses alors qu’il pressait son gland turgescent contre sa fentine juteuse.
Il avança un peu son pubis en entendant la somptueuse madame Wallace gémir de plaisir, il frissonnait follement en l’entendant vagir :
— Skipper… Oh, Skipperrrrrrrrrr… S’il te plait… Sois gentil… Ohh-hhhhh, mon Dieuuuu… Ton pénis est si groooooosssss… Pleurnichait-elle misérablement en sentant son épieux de chaire s’engouffrer profondément dans ses profondeurs, elle gémissait comme jamais elle n’avait gémi tant son plaisir et sa douleur étaient grands.
Et encore n’était-ce que le début alors que son amant se retirait de quelques centimètres pour se mettre à la labourer énergiquement.
Elle avait orgasme sur orgasme, elle nouait ses jambes dans le dos de son jeune amant, alors qu’il l’entraînait vers de nouveaux orgasmes.
Lèvres collaient à celles de son jeune amant, langue visitant sa bouche, bras et jambes verrouillées dans on dos Terry succomba à un nouvel orgasme alors que son ancien élève explosait profondément en elle.
Un flot de foutre jaillit dans son intimité, un torrent de foutre qui lui emplit la cramouille, c’était encore une sensation nouvelle pour elle, son mari utilisait toujours des préservatifs quand ils faisaient l’amour.
— Ohhhhhh… Skipper… Skipppeeeeeeeeerrrrrr… Pantela-t-elle longuement.
Ils dormirent dans les bras de l’un l’autre, imbriqués l’un dans l’autre comme seuls des époux devraient l’être, ils s’éveillèrent en même temps.
Ils s’étreignirent fiévreusement s’embrassant passionnément avant de se livrer à une nouvelle séance de baise, la grosse bite de Skipper coulissait toute à son aise dans sa foufoune inondée.
Jamais le lit des Wallace n’avait subi une séance amoureuse aussi vigoureuse à ce jour, il couinait et craquait de toutes ses membrures, la tête de lit frappant en mesure le mur sur lequel elle s’appuyait.
Tard dans l’après-midi, alors que Skipper emplissait les derniers sacs à ordure d’herbe coupée, il releva les yeux et vit arriver la voiture de monsieur Wallace.
Skipper savait que dans la chambre, la ravissante femme du proprio cherchait actuellement à aérer les lieux après avoir frénétiquement changé les draps souillés de sperme avant que son mari n’arrive.
Comme monsieur Wallace pénétrait dans l’arrière cour pour le saluer et lui serrer la main, Skipper se marrait intérieurement de serrer amicalement la main de cet homme dont il venait de séduire et baiser la femme pendant toute la journée.
Ayant suborné une jeune femme heureusement mariée pour la première fois, Skipper ne parvenait pas à croire ce sentiment de plénitude qui l’emplissait, lui rendant sa conquête encore plus savoureuse.
— Bordel quel bon coup ! Bientôt madame Wallace se relèvera la nuit pour lui donner le biberon afin d’arrêter ses pleurs ! Gloussait-il en son fort intérieur.
Puis la pensée d’un challenge lui vint en tête :
— Combien de paisibles et fidèles femmes mariées n’attendent qu’un jeune comme moi pour se vautrer dans leur lit ?
Il ne lui restait que six semaines avant de rejoindre l’université, il était conscient que cela risquait de prendre un certain temps pour se glisser dans la petite culotte d’une autre jeune femme mariée.
L’épisode avec madame Wallace était très différent, il s’agissait de son ancienne maîtresse d’école et il la connaissait depuis des années.
Il était déterminé à ne traiter les pelouses que des maisons où il savait pertinemment que de ravissantes jeunes femmes demeuraient en compagnie de leur mari et de leur famille.
Comme la banlieue était relativement petite, Skipper connaissait presque tout le monde et s’il se posait des questions sur le lieu de résidence de certaines beautés, il pourrait se servir de l’annuaire téléphonique.
La chance semblait lui sourire, Greg Foster, un de ses coéquipiers l’invita à venir vider une bière en sa compagnie un vendredi soir.
Comme ils n’avaient ni l’un ni l’autre l’âge de consommer des boissons alcoolisées, son copain l’informa que ses parents ne faisaient pas trop attention à cela.
Ses parents seraient là, mais ils ne les gêneraient pas, ils voulaient juste que pas un de ses copains n’aient d’accident au sortir de chez après avoir bu quelques bières.
Skipper savait que madame Eileen Foster était ravissante, car il l’avait déjà admiré à plusieurs reprises, il se demandait s’il parviendrait à se glisser dans sa petite culotte maintenant qu’il avait une certaine expérience des femmes mariées.
Autour de la piscine des Foster, garçons et filles faisaient la fête, Greg avait invité ses parents à participer à leur petite fête.
Monsieur Foster était un bon vivant qui aimait boire le coup avec des jeunes gens faisant la fête avec eux.
Madame Foster n’aimait pas la bière, Skipper gardait l’oil sur la ravissante rouquine qui portait une jolie robe verte et jouait correctement son rôle d’hôtesse et de chaperon.
Ayant discuté auparavant avec Greg, Skipper avait appris que madame Foster venait de fêter ses 48 ans, qu’elle avait épousé son mari alors qu’ils étaient encore en fac, et que Greg était né dès l’obtention des diplômes de ses parents.
Voulant en apprendre autant que possible son éventuelle proie, Il avait continué d’interroger discrètement Greg, il apprit alors que la ravissante mère de son coéquipier était une décoratrice d’intérieure renommée et qu’elle travaillait dans une entreprise de la ville.
En détaillant les charmes de leur hôtesse Skipper estimait qu’elle devait mesurer environ 1,70 pour 60 kg, elle avait de longues jambes et une petite poitrine qui ne devait pas excéder un 90 B, il pensait d’ailleurs hilare :
— Il n’y a pas 25 moyens de le vérifier ! Je suis impatient de voir ses mignons tétons, de les mignoter tendrement, de refermer mes lèvres sur eux.
Vers une heure du matin, Skipper observa monsieur Foster souhaitant une bonne nuit à tous puis e prendre la direction de sa chambre tandis que madame Foster préparait les dernières pizzas pour ses jeunes affamés.
Skipper décida que c’était le bon moment de tenter une approche avant qu’elle ne rejoigne son mari.
Se détachant du groupe des jeunes fêtards, il se dirigea vers la cuisine où madame Foster s’appliquait à réchauffer les pizzas.
Eileen Foster ne pouvait s’empêcher d’observer la transformation de Skipper ce jeune adolescent efflanqué qui jouait avec son fils s’était mué en un magnifique athlète.
Bien qu’heureuse avec son mari, Eileen se demandait ce qu’elle ferait si elle était une de ses condisciples de fac et qu’il s’intéresse à elle.
Elle frissonna longuement à cette idée érotique qui venait de lui traverser l’esprit, se chapitrant elle-même :
— Honte sur toi Eileen d’avoir de telles pensées !
Mais tout au fond de son esprit elle savait très bien que, si elle était encore minette de la fac elle mouillerait sa petite culotte s’il daignait faire attention à elle.
Elle se penchait sur le four pour vérifier la cuisson des pizzas, lorsque une voix familière l’interpella soudainement :
— Hey madame Foster, puis-je vous aider ? Se redressant vivement elle se retourna et sourit à Skipper en lui répondant :
— Bien, encore… Encore une minute et les pizzas seront prêtes… Tu… Tu pourras alors m’aider à les sortir du four…
Son cour battait la chamade alors qu’une onde de chaleur lui parcourait le corps.
Se penchant à nouveau sur le four, elle échangea poliment quelques mots avec le jeune homme s’enquérant des nouvelles orientations de sa carrière universitaire. Elle lui confia :
— Je suis sure que vous nous manquerez…
Elle se demandait comment elle le prendrait si Skipper lui faisait véritablement des approches, il lui répondit alors :
— Certaines choses me manqueront aussi beaucoup, c’est sur… Je regretterais sûrement de ne plus vous rencontrer, de ne plus vous voir !
Le cour battant à tout rompre elle avala sa salive alors que ses sphincters vaginaux se crispaient violemment.
C’est alors que le minuteur du four se déclencha signalant que les pizzas étaient prêtes, soulagée Eileen pensa alors :
— Merci mon Dieu… Sauvée par le gong !
Une fois la dernière des pizzas sortie du four, madame Foster les informa :
— Bon appétit les enfants, le temps de laver les derniers plats et je vais me coucher !
Skipper vit alors que la plupart des jeunes avaient trouvé chaussures à leurs pieds se réfugiant dans les coins obscurs de la pièce.
Sachant qu’il ne manquerait à personne, que tous penseraient que lui aussi s’était réfugié dans un coin obscur pour flirter avec une mignonne jeunette, Skipper se glissa discrètement dans la maison alors que madame Foster lavait sa petite vaisselle.
Il remonta silencieusement le vestibule qui menait aux chambres et pénétra dans une chambre d’ami, pour y attendre que la ravissante femme et mère de famille remonte à son tour le vestibule.
Sa vaisselle terminée, Eileen jeta un oeil sur le pourtour de la piscine où s’embrassaient tendrement les jeunes gens, elle secoua sa tête en pensant :
— Oh, avoir leur âge et profiter des caresses d’un athlétique jeune étudiant qui peloterait mes charmes… Elle rit à cette pensée perverse se disant en elle-même :
— Ouais, c’est bien bon… Mais lorsque j’avais leur âge les choses étaient bien différentes… Pas une fille honnête n’aurait voulu passer pour une fille facile ! On devait se marier vierge à la sortie du lycée… Je parie que toutes jeunes filles qui flirtent avec des garçons on déjà des années d’expérience des rapports sexuels !
— Je suis vraiment heureuse que cette petite fête se soit aussi bien déroulée… Pensait-elle en traçant son chemin dans le noir remontant le familier vestibule qui menait à leur chambre conjugale.
— Haaaaaaaaaaaaa…" Grommela Eileen traumatisée alors que quelqu’un l’attirait dans la chambre d’ami.
Apeurée, elle sentit une main ferme lui couvrir la bouche, le cour battant la chamade Eileen frémit de peur.
C’est alors qu’elle entendit la voix familière de Skipper lui susurrer :
— N’ayez pas peur madame Foster… Ce n’est que moi Skipper ! Et la porte de la chambre d’ami se referma dans son dos les plongeant dans une totale obscurité.
Eileen tremblait de tous ses membres en l’entendant tourner le bouton de porte,
Sachant qu’elle était enfermée dans cette chambre seule avec cet étudiant aussi entreprenant.
Haletant nerveusement elle sentit la pression sur sa bouche se relâcher, puis il l’enleva, elle balbutia alors :
— Skipper… Tu… Comment… Comment peux-tu oser ? Je… Je pensais… Je pensais que tu me respectais ! A son grand désappointement il lui répliqua :
— Bien sur que je vous respecte madame Foster… Mais vous êtes si belle… Je veux, au moins une fois, vous serrer dans mes bras… Et vous embrasser tendrement !
Elle frissonna en sentant les lèvres de Skipper effleurer les siennes, il les pressait intentionnellement contre les siennes.
Elle savait qu’elle devrait se débattre de toutes ses forces et ne pas lui laisser tirer avantage de sa faiblesse momentanée.
— Non… Dis-lui non… Tu ne dois pas te montrer aussi perverse… Infidèle à ton mari… Ton mari qui dort dans la chambre contiguë… Se disait-elle en son fort intérieur.
Mais déjà les lèvres de Skipper dévorait son rouge à lèvres cherchant à s’infiltrer entre ses dents serrées.
Comme il la serrait contre son corps athlétique, Elle défaillit, écartant suffisamment les dents pour lui permettre d’infiltrer sa langue dans sa bouche affamée.
Elle se sentait faible et chancelante alors qu’il lui mignotait le lobe de l’oreille, elle sentit soudain tâtonner dans son dos à la recherche de l’agrafe fermant sa robe.
Sa main descendit sur la chaire tendre de son dos, la caressant lascivement, Eileen sentit alors ses mains expertes dégrafer son soutien-gorge.
Haletante, cherchant sa respiration, le copain de son fils l’embrassait à nouveau avec passion alors qu’il repoussait sa robe et les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules.
Comme leur deuxième baiser prenait fin, un éclair de bon sens traversa l’esprit d’Eileen, elle le supplia alors :
— Skipper… Skipper… S’il te plait, ce n’est pas bien… Je t’en prie… Tu dois cesser… Sur le champ !
Haletante elle pantela :
— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Alors que Skipper se penchait sur ses nibards et prenait un de ses tétons entre ses dents.
Eileen tendit les bras les posant sur sa nuque alors qu’il mordillait la chair tendre de son mamelon.
Il s’était immédiatement érigé sous ses caresses expertes, il bandait entre ses dents.
Alors qu’il s’occupait de son autre téton, Eileen pantela :
— S’il te plait Skipper… Tu… Tu es assez jeune pour être mon fils !
Sur ces mots Skipper se redressa et lui roula un nouveau patin, Eileen sentit qu’il empoignait ses bras et les tirait vers le bas entre leurs deux corps.
A sa grande surprise, Eileen choquée se retrouva au contact direct de son épieu de chair bandé, le jeune homme lui soupira alors à l’oreille :
— Est-ce que sa taille vous suffit madame Foster ?
— Oh mon Dieuuuuuuuu… Put seulement gémir Eileen alors que ses doigts enserraient sa hampe rigide qui battait dans la paume de sa main.
Eileen ne parvenait pas à refréner ses instincts féminins, elle serra la colonne de chaire entre ses mains réalisant à quel cette bite dont il voulait lui faire goûter, elle était épaisse et longue.
Alors que Skipper titillait son lobe d’oreille, caressant lascivement son corps à demi-nu; Eileen se sentait perdue alors qu’il lui susurrait :
— Je veux te faire l’amour madame Foster !
Ayant inspecté la disposition de la chambre un peu plus tôt, Skipper prit facilement la fragile beauté entre ses bras et la transporta dans l’obscuri-té.
Il l’allongea sur le lit dont il avait plus tôt rabattu le couvre-lit et les draps, puis il la débarrassa de ses chaussures, la dépouilla de sa robe, puis roula sa petite culotte de satin sur ses chevilles.
Quelques secondes plus tard, il frottait son corps musculeux contre sa tendre carnation, puis il empoigna sa main gauche et la tira jusqu’à toucher sa virilité exacerbée.
Se blottissant contre elle, Skipper prenait un grand plaisir à employer son de femme mariée, il lui demanda :
— Dis-moi ce que tu veux le plus ma petite madame Foster… Prend ma bite en main madame Foster… Guide là dans ta fentine engorgée de cyprine !
Incapable d’objecter quoi que ce soit, encore moins de lui résister, en fait priant pour que ce jeune étudiant la possède, Eileen empoigna sa bite tressautante la promenant lascivement tout le long de sa foufoune suintante.
— Ohhhhhhh… Ohhhhhhh, Skipperrrrrrrrrrrr… Grommelait-elle alors que l’épaisse colonne de chair lui distendait la cramouille pour la pénétrer puissamment.
N’ayant fait l’amour qu’avec son mari auparavant, elle réalisa combien la bite de ce jeune homme était plus épaisse que celle de son mari, elle ne tarderait d’ailleurs pas à comprendre qu’elle était aussi bien plus longue.
— Oh Skipper… Oh, oui… Prends-moi… Baise-moooooooiiiiiiiiiii… Pantelait-elle éperdue.
Les deux amants s’aimaient avec passion, répondant l’un à l’autre à chaque poussée de leurs corps imbriqués.
Elle était d’autant plus désarmée qu’il l’appelait toujours par son nom d’épouse, la labourant profondément sachant qu’elle n’oublierait jamais cette séance enivrante :
— Oh madame Foster t’es si douce et si sexy… Ta chatte est si étroite… Veux-tu que je te fasse un bébé madame Foster ? Veux-tu que je t’engrosse ? Je vais jouir dans tes profondeurs madame Foster…
Jamais elle n’oublierait lui avoir répondu :
— Oui.. Oh, oui… Engrosse-moi mon chéri… fais-moi un petit bébé, mon Skipper chéri !
Tôt le lendemain matin, clignant des yeux alors que le soleil dardait au travers de la fenêtre, Eileen jetait un coup d’oil circulaire pour réaliser où elle se trouvait.
En sentant la caresse des draps posés sur elle, un frémissement rétrospectif la parcourut en entier lorsqu’elle réalisa qu’elle n’avait pas rêvé.
Elle se trouvait dans la chambre d’ami de leur maison et sa robe et son soutien-gorge jonchaient le sol prés de la porte.
Tirant les draps sur elle, elle contracta les muscles de ses cuisses en sentant la moiteur qui baignait son entrecuisse.
Bougeant légèrement ses cuisses, Eileen frémit en sentant le cloaque marécageux qui couvrait son entrejambe, elle tendit la main pour toucher les boucles poisseuses de sa chatoune.
Yeux fermés Eileen chercha à se rappeler tous les détails de son aventure, cette fantastique séance de baise qui lui avait offert le séduisant jeune homme.
Elle se souvenait s’être réveillée peu après leur premier coït, sa bite était toujours imbriquée en elle et se déployait à nouveau reprenant une vigueur certaine, alors ils s’étaient aimés à nouveau.
Avec l’intervalle de temps passé elle savait qu’il était maintenant trop tard pour qu’une douche vaginale la protège d’un éventuel enfantement.
— Mon Dieu… L’ai-je vraiment supplié de m’engrosser ? Se demandait-elle horrifiée.
Skipper avait tracé une seconde encoche sur sa ceinture en témoignage de sa bonne fortune, une nouvelle semaine d’été s’ouvrait devant lui et il comptait bien en profiter largement.
Il se trouvait chez monsieur et madame Rob Hinton une autre ravissante jeune femme qu’il escomptait bien voir succomber dans ses bras.
L’adorable madame Cathie Hinton en tarderait plus à trahir ses voux de fidélité envers son époux.
Agée de 27 ans, mariée depuis 5 ans, mère d’une jeune enfant de 3 ans Cathie travaillait dans une entreprise de vente de biens immobiliers et se débrouillait pour engager une baby-sitter lorsqu’elle devait faire visiter une maison.
Rob Hinton qui travaillait tard chaque nuit, essayant désespérément de monter en grade dans la grande entreprise de comptabilité se mit à négliger son adorable femme et leur fils.
A tel point que Cathie sentait ses jambes s’affaiblir à la vue du séduisant jeune homme qui venait tondre leur pelouse C’était un des travaux qu’il avait programmé ce week-end.
Son mari était continuellement fatigué et pas assez forme pour lui faire l’amour, elle était dangereusement en manque d’autant plus que Rob était vraiment bien trop fatigué pour se montrer performant et que celà risquait de durer.
La pelouse fauchée de frais, Skipper vidait les herbes dans des grands sacs ordures lorsqu’il entendit s’ouvrir la porte coulissante et la ravissante madame Hinton commença à disposer le parc de son fils.
En arrivant pour tondre la pelouse, il avait aperçu la somptueuse jeune femme vêtue d’une élégante robe bleue alors qu’elle liait son fils dans son siège de voiture.
Il apprit désappointé que des clients biens immobiliers s’étaient manifes-és inopinément et qu’elle se pressait de prendre l’affaire en main.
Comme elle fouillait dans son porte-monnaie pour lui donner une avance Skipper lui dit de ne pas se tracasser, que cela pouvait attendre la semaine suivante.
Son fils dans son parc, Cathie ne pouvait s’empêcher de mater le torse en sueur du fascinant jeune homme qui avait enlevé son tee-shirt qui pendouillait maintenant de la poche arrière de son short.
Cathie sentait ses jambes s’affaiblir, les muscles de ses cuisses se crisper alors que sa cyprine inondait l’entrejambe de sa petite culotte.
Haletante, elle se retourna et rentra rapidement dans la maison, pour y préparer une carafe d’orangeade.
Elle ne pouvait cependant s’empêcher de le mater au travers de la fenêtre.
Elle servit deux grands verres d’orangeade et retourna à l’extérieur juste au moment ou Skipper rangeait la tondeuse dans un appentis.
Son fils était paisiblement occupé à jouer avec ses jouets bien en sécurité dans son parc, elle sortit marchant sur l’herbe coupée de frais se dirigeant vers l’appentis.
Toute proche de la remise elle appela Skipper :
— Skipper… Voulez-vous un verre d’orangeade fraîche ?
— Entendant des bruits confus dans le petit hangar, elle se pencha en avant pour voir l’aguichant jeune gaillard lui sourire en la remerciant, tendant la main pour prendre le verre, puis sa main libre saisit sa main maintenant libérée pour l’attirer dans la remise.
Ayant constaté l’extrême nervosité de Madame Hinton alors qu’elle traînait dans sa cuisine, sachant que la blonde beauté avait passé pas mal de temps à le mater, Skipper pouvait prédire ses réactions à venir.
Prenant l’autre verre dans on autre main, il les posa tous deux sur une étagère proche puis il attira la tremblante beauté entre ses bras pour lui rouler une pelle passionnée.
Il l’étendit sur les sacs à ordures pleins d’herbe qu’il venait de déposer dans la remise, sans vergogne il lui écarta les cuisses et lui caressa lascivement les jambes, roulant sa petite culotte sur ses chevilles.
En constatant qu’elle ne lui opposait aucune résistance et qu’elle haletait éperdue il comprit qu’elle avait une folle envie de faire l’amour.
— Oh Madame Hinton… Votre chatte est si trempée… Si étroite… Marmonnait Skipper en la pénétrant séance tenante de son épaisse bite turgescente, elle encercla son torse de ses jambes alors qu’il s’enfouissait au plus profond de sa foufoune.
Alors que son jeune fils jetait son hochet à l’extérieur de son parc, la ravissante mère de famille tortillait du cul sur les sacs à ordure peine d’herbes et de rameaux.
— Oh mon Dieu… Mon Dieu… Ahhhhhhhhhhhhh… " Couinait la jeune mère en succombant à un intense orgasme qui la submergeait toute, alors que Skipper continuait à la labourer énergiquement lui disant :
— Ne penses-tu pas que Tommy a besoin d’une camarade de jeu madame Hinton ? Ahhhh… Ouiiii… Je jouisssssssss… Ah ma petite chérie… Ma chère madame Hinton… Tommy aura bientôt une compagne de jeu !
— Un peu plus tard, alors que le petit Tommy jouait avec ses hochets dans le parc, ne requérant donc pas l’attention de sa jolie mère, elle pouvait tranquillement poursuivre la séance entamée.
— Agenouillée sur le sol de terre battu elle branlait la bite épaisse du jeune et séduisant gaillard qu’elle suçait allégrement, c’était un acte auquel elle ne s’était jamais livré auparavant, mais elle voulait tant plaire à son jeune amant !
Tandis que le petit Tommy roulait sur le dos tenant fermement le biberon de lait que sa gentille mère avait déposé à son coté dans le parc, suçant avidement le liquide nourricier, pas très loin de là, dans l’appentis son adorable mère suçait aussi avidement déterminée à savourer pleinement le liquide nourricier qui l’attendait.
Le petit Tommy se tourna vers la remise, en vidant son biberon, des couinements et des bruits de sucion ainsi que la voix du jeune homme qui grommelait avaient attiré son attention :
— Ahhhh, madame Hinton… Ah, ouiiiiiii… Oh, mon DIeu… Je jouis… Ahhhhhhhh, oui… Avale… Avale mon foutre… Bois tout madame Hinton !
Allongé sur le dos dans son dortoir, tout en mangeant un sandwich Skipper se remémorait la ravissante petite brunette qu’il s’était débrouillé pour séduire quelques semaines avant son départ pour l’université d’état.
Il visualisait les longs cheveux noirs de la somptueuse madame Lori Wesson, la femme d’un des conseillers municipaux âgée de 33 ans.
L’ensorcelante jeune femme avait décidé de fonder une famille, et il était très heureux de l’y avoir aidé.
En trois occasions il avait déjà tondu la pelouse des Wesson, puis ils lui avaient demandé de nettoyer la grande piscine située dans l’arrière cour. En ces occasions il n’avait pas pu s’empêcher de reluquer les longues jambes de la jeune épouse du conseiller municipal.
Alors que madame Wesson était allongée sur un transat se faisant dorer au soleil, Skipper savait pertinemment que ses yeux cachés par ses lunettes de soleil étaient braqués sur lui.
S’essuyant le front, feignant crever de chaleur il sollicita poliment :
— Cela vous dérangerait-il, madame Wesson que j’ôte mon tee-shirt ? Il fait vraiment très chaud !
Comme prévu, madame Wesson lui répondit :
— Bien sur Skipper… Si ça peut te soulager !
Puis elle ajouta :
— Tu peux piquer une tête dans la piscine Skipper, si tu veux te rafraîchir !
Le rusé Skipper jouant les timides répliqua :
— Merci madame Wesson, mais ce ne serait peut-être pas bien…
En fait il avait choisi la bonne approche, madame Wesson l’exhorta alors :
— Allons Skipper, ne sois pas aussi timide ! En fait, moi aussi j’ai envie de me rafraîchir… J’insiste pour que tu me rejoignes dans l’eau ! Sur le champ !
Skipper sourit à pleines dents en la voyant se lever de sa chaise longue pour plonger tête la première dans la piscine.
Se dépouillant de son tee-shirt, Skipper la suivit immédiatement, remontant à la surface à proximité de la jolie jeune femme.
Lori Wesson ne niait pas le fait que ce séduisant jeune homme l’émoustille, d’autant plus qu’il était le héros local du fait de ces exploits dans l’équipe de football.
Elle l’avait invité amicalement à se joindre à elle dans la piscine, sans aucune arrière pensée, elle ne voulait pas passer pour arrogante parce qu’elle était l’épouse du président du conseil municipal.
Mais le sentant aussi proche d’elle, elle commençait à regretter son invitation.
Battant l’eau, retropédalant un rien, Lori tenta de mettre un peu de distance entre elle et le séduisant jeune homme.
En fait, elle avait vraiment reculé mais Skipper lui souriait à pleines dents la fixant dans les yeux alors qu’il la poursuivait dans l’eau.
Mais bientôt elle buta contre le bord de la piscine qui lui interdit de continuer à le fuir. Haletante, incapable de proférer la moindre protestation alors qu’elle battait l’eau des pieds, elle sentit le jeune gaillard lui agripper les fesses tout en l’embrassant avec passion.
Comme Skipper était plus grand que l’adorable beauté, il avait pied à cet endroit de la piscine où il clouait la femme du président du conseil contre le mur.
Lorsqu’il cessa de l’embrasser, il la releva de façon à ce que ses nibards se retrouvent au niveau de l’eau, il se pencha alors et mordilla son téton gauche au travers du tissu de son bikini.
Puis il mignota son mamelon droit arracha une plainte de plaisir et douleur confondus des lèvres de la somptueuse baigneuse.
Ce n’est qu’après l’avoir dépouillée de sa petite culotte de bikini qu’il entendit les premières protestations de la belle dame.
— S’il te plait… Je t’en prie… Je… Je n’ai jamais trompé mon mari !
— Confiant en lui-même, Skipper sourit tendrement à la jeune femme paniquée, lui malaxant fermement la croupe alors qu’il la serrait contre lui avant d’enfouir brusquement sa grosse pine dans son étroite foufoune.
— Oooooooooooohhhhhhh… Ahhhhh, mon Dieu… Ahhhhhhhh… Mon Dieu… Tu es si grooooooooos ! Frissonnait Lori s’agrippant aux épaules de son jeune amant alors qu’il l’embrochait énergiquement.
Oh mon Dieu… Il me viole ! Se disait-elle éperdue de honte, mais son subconscient lui rappela alors :
— Un viol… Mon cul ! Bordel, tu n’as cessé de le mater depuis qu’il tond la pelouse… Et qui rêvait en supplément de lui faire nettoyer la piscine, tout en paradant à ses cotés tous charmes à l’air ? Bordel tu ne demandais que ça : te faire ramoner… Il n’a fait que répondre à tes voux les plus chers !
— Ohhhh, madame Wesson… Tu es si étroite… Bordel t’étrangle ma queue… Ohhhhhhhhhh… J’ai entendu le président du conseil ne veut pas que tu travailles pour pouvoir fonder une famille ! Si je peux vous y aider… En quelque façon… Ironisait Skipper alors qu’il coulissait allégrement dans sa chatoune étroite.
— Aiiiiiiiiiiiii… Ahhhhhhhhhhhh… Répliqua-t-elle d’une voix aiguë alors qu’il s’enfouissait au fin fond de son utérus.
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