J’avais beau être excitée comme jamais, m’attendre à une relation passionnelle je n’en étais pour autant stupide. A ces paroles et ces actes je voyais que ce serait du sexe sauvage certainement d’ailleurs. Pourtant je ne pouvais m’empêcher de me laisser aller, posséder il m’attirait mon attirance avait créée une forme d’emprise sur moi que je ne pouvais contrôler.
J’étais toujours debout face à lui nue, lui toujours habillé. Ce qui marquait indéniablement une forme domination. J’étais tout simplement offerte à lui. Il explorait mon corps, comme s’il l’examinait sans tendresse. Il palpait mes seins, prenait mon cul à pleine mains tout en le fessant, passait sur ma chatte sans ménagement.
"Putain j’en peux plus t’es trop bonne sérieux je vais te démonter"
Il me coucha à quatre pattes sur le canapé. J’avais au moins espéré un baiser, le voir nu. A la place je me retrouvais déjà à quatre pattes sans aucun préliminaire. Cela dit vu comment je mouillais il n’était pas vraiment nécessaire.
Je tournais la tête, il descendit son pantalon jusqu’au genou et sans me prévenir fourra sa queue au fond ma chatte sans la moindre retenue, je sentis ses couilles venir buter contre mes cuisses. Son grand râle de soulagement c’était mélangé à mon gémissement mêlant surprise et plaisir.
"Putain ta chatte est chaude et ouverte, en plus d’être bonne t’as l’air d’aimer ça tu vas être mon vide couille parfait"
Il ne le vit pas, à ce moment là j’avais les larmes aux yeux. Triste de me rendre compte que définitivement il ne me voyait que comme une sorte de chienne à baiser et que moi tellement conne non seulement j’acceptais ça et j’y prenais du plaisir.
Il commençait à me baiser, enchaînant les coups de reins rapides. Il ne se gênait pas pour saisir mon cul à pleine mains et enchaîner les fessées. Ce qui rajoutait à chaque fois un petit plaisir que j’essayais tant bien de mal de cacher.
"Non pas que ce soit désagréable de te fourrer, mais là je peux plus résister quand je vois ton bon gros cul de chienne faut que je le démonte"
Il pris directement sa queue en main cracha sur mon anus et commença à me défoncer le cul. Il n,’y avait pas d’autres mots. Je suppose qu’il devait savoir qu’avec Fabien je pratiquais la sodomie
Il était jambe à moitié tendu, presque debout sur le canapé, limant mon cul ses doigts étant dans chaque côté de ma bouche pour avoir me tête bien en main et surtout un accès total à mon cul. Autant Fabien m’enculait, autant il le faisait de manière jamais cela avait été si brutale.
Son sexe luisant de ma mouille avait je pense bien aidé à ce que ça glisse parfaitement. Mes cris étaient étouffés par ces doigts tirant ma bouche. Je me sentais vraiment comme une chienne à ce moment là, seulement je ne me contrôlais plus je laissais le plaisir prendre le dessus. Je prenais tellement de plaisir que je ne ressentais même pas de honte malgré la position humiliante dans laquelle j’étais.
Ce qui me faisait le plus mal c’est que je comparais avec Fabien, sans même avoir la moindre pensée de tristesse d’être en train de le tromper, non je comparais simplement les deux et je me demandais pourquoi il ne m’avait jamais baisé comme Franck le faisait en ce moment.
Mes fesses rebondissaient dans tous les sens sous la puissance et la vitesse de ses coups de reins. L’acte fut de courte durée au bout de quelques minutes à me faire défoncer de la sorte, le tout agrémenté de la sensation de ses couilles tapant inlassablement sur ma chatte me firent vite jouir.
Ce qui provoqua chez Franck une montée de plaisir, ajoutait à cela mon cul se contractant pressant son sexe gonflé
"OOOOhhh, putain c’est bon, comment t’aimes ça sale chienne, OOhh, AHhh putain je lâche tout dans ton cul"
Je sentis en effet son sexe se contractait à plusieurs reprises. Une sensation agréable de chaleur m’envahissait le corps, surtout le cul je sentais le sperme me remplir.
Il ne traîna pas dans mon cul, il se retira rapidement pour se diriger sous la douche. Moi je restais transpirante le cul en l’air sur le canapé essayant de me remettre de mes émotions.
D’ailleurs cela me permettait de le voir enfin nu puisqu’il se déshabilla pour aller se laver. Il était vraiment bien foutu et son sexe était vraiment beau et puissant à la fois.
Alors que je le voyais se laver le sexe rapidement il ouvrit la porte de la douche.
"T’attends quoi le cul en l’air comme une chienne là ? Ramène ta gueule pour me nettoyer avec ta langue histoire que tu serves un peu à quelque chose là plutôt que d’être juste un trou à fourrer !"
Même me faire parler aussi mal me faisait un petit effet. Je me sentais comme libre et protégé sous ses ordres, que seul du plaisir pouvait m’arriver je me laissais donc totalement contrôler, totalement aller.
Je rentrais donc sous la douche, je me tenais face à lui alors que j’allais pour caresser ses pectoraux bien dessinés il ne me laissa pas de répit.
"T’inquiètes pas ne fatigue pas tes jambes va faire briller ton nouvel objet favori", me dit-il en prenant soin d’appuyer sur ma tête pour me mettre à genoux.
Je commençais à prendre sa queue en bouche, quand je reçus une claque.
"Je sais que t’es une grosse chienne qui aime la queue mais je ne crois pas t’avoir dit de la sucer non ?! Sors ta langue et polit moi la queue avec et n’oublie pas mes couilles"
Je m’appliquais à lécher sa queue un peu partout, il n’arrêta pas l’humiliation là.
"En même temps je vois mal comment tu vas pouvoir nettoyer ma queue avec ta langue de pute tiens ça ira mieux avec ça".
Il tira ma langue avec ses doigts et fit couler du gel douche dessus.
"Par contre je sais que t’as l’habitude d’avaler mais là je te conseille d’éviter".
Il éclata de rire. Même si je n’en avais pas avalé je sentais le goût du gel douche, c’était horrible. Je me dépêchais donc d’étaler le gel douche sur sa queue et de na nettoyer au plus vite pour me débarrasser du goût au plus vite.