Depuis que jai 16 ans, lâge de mintéresser aux filles jadmire ma sur ainée Françoise. Je la trouve très attirante, tellement que je ne pense quà elle en ma masturbant. Je connais peu dautre fille, sinon celle du lycée qui me semble particulièrement attardées, en un mot infréquentables. Une fois je lai vue nue sous la douche, elle se lavait le point névralgique où jaimerais y mettre mon petit bout de viande.
Les événements ont fait quelle sest mariée avec un garçon somme toute sympathique. Je ne retrouvais seul chez moi sans jamais la revoir quen rêve pour me tenir compagnie le soir.
Jai heureusement rencontré une fille simplement le jour où je ne cherchais personne. Marianne ma plu, linverse aussi. Nous navons pas mis longtemps à jouer à touche pipi, puis presque aussi vite à « dormir » tous les deux dans sa chambre. Comme moi, elle était vierge. Nous savions parfaitement ce quil fallait faire pour nous aimer.
Je me souviens encore que cest elle qui a provoqué mon érection en tripotant ma bite par-dessus le pantalon. Elle savait bien que je réagirais en mettant ma main sur son trésor. Je trouvais une chatte très humide. Elle avait autant envie que moi. Je la déshabillais sans trop de précaution. Dès que sa nudité me montrait son corps, Marianne aussi enlevait tout ce que je portais.
Je pouvais la branler normalement. Je trouvais vite son bouton que je caressais à ma manière encore rustique. Je pensais lui faire du bien alors que je la massacrais.
— Fais moi ce que je me fais, me demandais-elle en se masturbant. Je voyais une fille se donner du plaisir pour la première fois. Elle me faisait bander encore plus.
Je me rattrapais en la masturbant comme elle voulait pour obtenir un bon résultat quand elle me disait jouir. Elle prenait ma queue à pleine main pour astiquer ma bite. Jallais jouir moi aussi que je lai faite arrêter.
Jétais assez dur pour la suite. Je passais entre ses cuisses écartées, jallais entrer dans son con quand elle aussi marrête.
— Je suis vierge des trois cotés.
— Trois cotés ?
— Ben, oui la bouche, le con et le cul.
— Tu me veux où ?
— Jai une préférence pour le con : cest moins douloureux. Je te sucerais après et tu menculeras aussi, je suis curieuse de connaître le plaisir par une sodomie.
Vaste programme pour une première fois. Je suis un homme après tout, je vais le lui montrer. Tirer trois fois, cest largement faisable. Je me précipite dans son vagin, comme un imbécile, sans penser que les filles aiment tout ce qi est doux et lent.
Marianne marrête en route, je suis à peine à lorée de sa chatte.
— Suis ce que je te demande avec mes mains.
Je sens ses mains sur mes fesses. Elle appuie à peine. Jentre doucement. Pour le moment tout semble aller, sauf que japproche dun quelque chose qui résiste. Ses mains appuient sur mes fesses fortement. Je pousse pour sentir que jentre facilement maintenant.
Jaime sentir la chaleur de son con autour de ma queue. Je vais tout au fond, contre sa matrice, je pense. Je reste immobile pour savourer la chose : enfin je ne suis plus vierge, enfin je baise une fille.
Elle cherche ma bouche pour mettre sa langue. Javais oublié de lembrasser à linstant le plus important pour elle, juste au moment où elle devenait femme.
Puis, jentamais mon ballet de mâle avec mes aller et venues. Si elle navait rien dit quand se la déflorais à présent elle commençait à gémir. Elle métonnait : javais entendu dire quune fille ne jouissait jamais la première fois.
Jallais éjaculer dans son ventre quand elle me demandait den sortir :
— Non pas là, je ne prends pas la pilule.
— Où alors ?
— Sur le ventre
Je jouis sans elle sur son ventre comme elle le voulait. Je reste collé à elle sans bouger. Je ne débande pas dun poil.
— Viens menculer.
Elle se tourne sur le ventre puis en levrette. Elle recueille un peu de sa cyprine pour la mettre sur lanus. Je lui pose le gland juste sur son anus que jexplore un instant en y entrant deux doigts.
— Vas-y, entre dans le cul.
Tant pis si elle a mal, jentre facilement. A croire quelle sait se faire mettre par là. Pourtant elle ma bien dit quelle était vierge de ce coté. Ma facilité sarrête après deux millimètres.
— Vas doucement, tu me fais mal.
Je rajoute de la salive qui normalement facilite lintroduction, toujours daprès les dires des copains. Je reviens à la charge. Cette fois jentre un peu plus. Marianne ne dit plus rien, donc tout va bien. Jarrive à lui mettre presque toute ma queue. Je vais et viens de plus en plus facilement. Je sens soudain son sphincter se refermer sur ma bite : elle jouit.
— Cest bon, continue.
— Tu ma suceras ?
— Oui, après.
Je lui lime le cul en sentant bien ses fesses contre mon ventre. Elle jouit encore une fois avant que je sorte.
Je lui en veux, elle a jouit plusieurs fois alors que ma queue na pas déchargé.
Je suis sur le dos quand elle vient me prendre la queue dans sa main pour la mettre dans sa bouche. Je sens une sacré différente de plaisir entre son con, son cul serré et sa bouche bien mouillée avec une langue râpeuse qui lèche le gland avec une bonne souplesse. Cette fois je sais que je vais lui donner ma semence.
Ses lèvres se sont transformées en un autre sexe, cest bon, je me régale. Je me crispe en sentant monter mon jus, je le lui dis, elle a lair de ne pas entendre. Tant pis je lâche la sauce, la mienne qui vient des couilles. Marianne reçoit ma purée sans rien dire (elle est bien élevée pour ne pas parler la bouche pleine)
Quand ma queue sort de sa bouche, Marianne me montre sa bouche pleine de sperme. Je la vois lentement avaler ma sauce. Elle se tourne pour membrasser sur la bouche. Elle me donne un peu de mon jus pour que je le goute. Après tout ce nest pas si mauvais.
Puis notre vie sexuelle devient chaque fois plus chaude. Elle a pas mal denvie, entre autre essayer avec une copine. Pourquoi pas, si elle aime ça. Nous vivons ensemble depuis plusieurs mois quand en rentrant je ne la vois pas à la maison. Elle doit faire des courses, jattends tranquillement.
Surprise quand elle arrive, elle est presque nue, tient sous un bras des vêtements.
— Si tu savais.
— Quoi ?
— Je viens de baiser avec la voisine.
— Pourquoi sans moi ?
— Pour la première fois elle na pas voulu. Demain après midi nous la ferons venir ici, tu te la paieras aussi. Tu verras elle est vicieuse.
Je suis un peu jaloux que ma fiancée baise comme ça une voisine que je connais de vue que jaimerais bien baiser moi aussi.
— Baises moi, mets moi la au fond du cul.
Elle parle en me touchant la queue. Elle sait mexciter facilement, surtout quand elle se branle devant moi : je fais autant devant elle. Elle nattend même pas que nous soyons au lit, elle vient sur mes genoux pour sempaler elle-même sur la bite. Son dos est contre mon torse. Je sens tout se corps glisser sur le mien, doucement pour quelle profite bien de lentrée de ma queue dans son anus. Dans cette position elle peut se branler. Le premier effet est quelle jouit avant moi, comme souvent, elle prend ma queue dans la bouche pour une fellation dont elle a le secret.
Le lendemain il me tarde de rentrer chez moi. Il ny a personne. Pourtant elle ma bien dit que la voisine venait. Jentends la voix de ma femme mappeler pour que jaille justement dans la chambre dont la porte est ouverte en grand.
Elles sont là, les deux femmes nues, enlacées embrassées. Une main de la voisine branle ma Marianne. Ca na pas lair de lui déplaire à entendre ses gémissements.
Jentends pour la première fois la voisine :
— Bonjour, je mappelle Laura, la voisine. Je viens baiser en trio. Marianne baise drôlement bien. Je la branle pour que tu bande. Embrasses nous.
Je nembrasse personne, je me mets nu. Laura regarde ma queue avec envie. Je me penche pour embrasser Marianne puis, notre baiser fini, jembrasse Laura. Sa langue est plus agile que celle de Marianne qui pourtant embrasse fort bien. Javoue ne pas trop savoir que faire avec deux filles. Elles le savent en me demandant de baiser Laura la voisine qui attend ma queue avec impatience.
Laura me tend ses bras où je me réfugie pour mieux la serrer. Nos bouches font des bêtises puisque nos langues sont sorties pour se lécher dehors. Marianne nous regarde en se caressant je ne sais quoi dans la chatte, pas le clitoris en tout cas. A peine sur Laura, jai ses jambes autour de ma taille. Elle guide ma pine vers son con drôlement mouillé. Jentre presque trop facilement. Je suis au fond quand Laura entre deux doigts dans mon cul. Jaime quand Marianne me traite ainsi. Elles ont du échanger des détails sur leurs baises. Laura, comme Marianne gémit beaucoup. Je la lime, disons plutôt que nous sommes deux, dont elle à la limer.
Je voudrais bien lenculer. Je sors de sa chatte : elle en râle de déplaisir. Quand elle sent ma queue sur son cul, elle louvre simplement. Jentre en elle aussi facilement que dans son con. Marianne commence à se mêler de ma baise. Elle passe une main sous le corps de Laura pour lui branler le clitoris. Puis trouvant que cest insuffisant elle se couche carrément sous elle pour commencer un 69. La tête de Laura se penche vers le con de Marianne pour la lécher aussi.
Il me semble baiser deux femmes à la fois, surtout que quand je jouis, elles aussi sont en plein orgasme.
Nous cessons un instant, même si je bande encore, comme souvent après une bonne baise. Marianne est toujours sur le dos, les jambes ouvertes. Jentre directement dans son fourreau. Elle devait attendre ma bite depuis un moment.
— Tu vois, une bite ça sert toujours.
— Un langue de fille aussi.
— Nous baisons devant Laura.
— Et alors, tu las bien baisé devant moi.
— Tu te branlais.
— Jaime me faire du bien.
— Regarde ce que fait Laura.
— Comme moi, elle se branle. Jaime la voir se masturber.
— Jaime te faire jouir.
— Encules moi.
Je vais à nouveau dans cet anus avide de queue. Elle est restée sur le dos, ma queue entre dans son autre trou. Laure vient se mêler à nos jeux en venant poser sa chatte sur la bouche de mon amante Marianne. Elles ne sont déçues ni lune ni lautre.
La morale de cette histoire est que nous baisons souvent à trois, des fois en couple, soit une des feux femmes et moi, soit les deux femmes ensemble. La jalousie nest pas notre lot.