Par une chaude après-midi d’été j’étais allongé torse nu sur mon lit, je me reposais. Habituée à nous rendre visite presque quotidiennement, la fille de voisinage, dépassant à peine la vingtaine, entre dans ma chambre, me parle mais bêtement par jeu je ne réponds pas, je fais semblant de dormir. Elle me dit ne pas croire que je dors et que si je continue de faire semblant et de l’ignorer elle va m’attacher les mains au lit et me laisser là pour m’apprendre la politesse. Ne voulant pas la croire, elle si réservée et timide, je rigole intérieurement et force le jeu pour la taquiner en ne disant rien.
Puisque tu continues me dit-elle tant pis pour toi et de fait elle m’enlève ma ceinture et m’attache les mains au lit au-dessus de ma tête et profites de mon immobilisme pour m’attacher les pieds à l’autre bout du lit avec les taies d’oreiller.
D’un coup, fort surpris d’être attacher de la sorte en un tour de main, et de réaliser mon impuissance je sentis comme un piège se dessiner. Acculer à mon propre jeu, ne pouvant plus reculer, sans défense mais anxieux de la suite que cela peut prendre, je continue mon silence.Mais elle, exaspérée par mon insistance à me taire et voulant me faire réagir pour prouver que je ne dors pas, mais surtout excitée de son pouvoir acquis sur moi me menace d’enlever mon pantalon….!!! Oooooh! qu’est-ce qu’elle raconte elle n’osera surement pas…!!! Espérant sans trop de conviction avoir le dernier mot je continue mon mutisme.
Je n’aurais jamais imaginé qu’elle aurait osé mettre ses menaces à exécution mais elle était beaucoup plus vicieuse que je ne croyais. Me sachant à sa merci elle n’eut aucune hésitation pour me déculotter et je me retrouvai en slip plus vite qu’elle ne l’avais dit, cette exhibition forcée provoqua chez moi une bouffée de chaleur et derrière le mince rempart me restant, un début de raideur bien naturelle et incontrôlableJe me retrouvai donc comme un idiot pieds et poings liés à sa merci et de par mon propre jeu obligé de continuer de me taire…!! Ce silence se poursuivi pendant ce qui me paru de longue minute car elle prit son temps pour contempler ce qui était si peu cacher.
Mon excitation était à son comble et le gonflement de ma verge aussi, de la sentir se délecter du spectacle que je lui offrais bien malgré moi. Je sentais son regard fixé sur la bosse que formait mon slip, qui bougeait tout seul à cause du flux sanguin qui secouait mon sexe et que je ne pouvais contrôler, suivi par la suite de la sensation de ses mains parcourant ma verge et mes testicules. Ses deux mains épousant tout les contours de mon intimité au travers de mon slip, me le triturant sans cesse me le fire se raidir à exploser.
La vicieuse était arrivée à ses fins j’étais à sa merci et elle en profita. Impuissants et dans l’impossibilité totale de refuser je sentis ses mains tremblantes de plaisir descendre tout doucement mon slip pour me retrouver la bite à l’air.
Elle se délecta du spectacle offert et commença par me chatouiller dessous les testicules tout en s’amusant à faire glisser mon gland hors de sa protection naturelle pour le re-cacher aussitôt. Elle avoua qu’elle aimait jouer de la sorte avec le bout de ma queue et que moi aussi je devais surement apprécier et qu’elle finirait bien par me faire lâcher un son.
Elle savait ce qu’elle faisait car sentant que cela glissait moins bien à force du va et viens de ses doigts elle prit mon gland dans sa bouche chaude et humide. Elle mouilla abondamment mon bout en le suçant et le pompant goulûment tout en continuant de me chatouiller de l’autre main, mes testicules.
Je me mordais les lèvres pour ne rien dire. Elle s’amusait beaucoup de vouloir me faire jouir, elle aimait ce qu’elle faisait et je ne pus empêcher le plaisir m’envahir et mes muscles se raidir sous la montée de la jouissance. Elle le sentit et ses mains expertes reprirent leur jeu de cache cache avec mon gland tout en accélérant la cadence en exerçant une pression plus forte sur le filet.
Ce fut le coup de grâce, ce doux petit viol fut bon et je laissai échapper un petit cri alors qu’elle prenait son pied à voir mon sperme qu’elle avait provoqué sortir de mon membre et que je ne pouvais retenir. Ce qui lui soutira un petit rire nerveux de plaisir et de contentement…, t’as perdu, t’as parlé me dit-elle d’une petite voix comme si elle était gênée de ce qu’elle avait fait…!!!
Ensuite elle m’avoua en me détachant avoir pris son pied, que cela l’avait fait mouiller énormément de me faire éjaculer de la sorte, et que pour se faire pardonner si ça me disait je pouvais me venger en lui faisant tout ce qui me plairait….!!! Je ne la savais pas aussi cochonne et j’ai accepté la proposition mais ce que je lui ai fait c’est une autre histoire….!!!!