– Jean ?
– Ouais ! Salut Florian! Tu fais quoi là ?
– Là, j’suis chez ta bourge. T’es libre ? J’ai un super plan !
Il y avait trois jours que je n’avais eu de nouvelles ni de l’un ni de l’autre.
– Ben, en fait j’ai du taf.
– Un super plan boules. Elle va encore s’en prendre dans tous les trous.
– C’est cool, mais t’as pas forcément besoin de moi.
– Si, pour ramener la voiture.
– Faut que tu m’expliques là !
– On est dans la cour, on t’attend !
Intrigué et, il faut le dire, motivé par l’envie de tirer un coup, je descendis quatre à quatre.
Florian était assis à l’arrière avec ma logeuse que je saluai. Elle ne me répondit pas. Florian la réprmanda vivement.
– Tu fais encore ta fière ma chérie, tiens, pour la peine suce -moi.
Et je le vis, dans le rétroviseur, prendre la salope par le cou et la faire basculer vers sa braguette.
– Roule, Jean, j’te guide, c’est pas loin.
– Bon c’est quoi ton plan ?
– J’peux pas te dire, elle sait pas, mais elle va y passer la nuit. Moi, il faut que je sois rentré à 23 H 00. Donc il faut que tu me ramènes, à moins que tu passes la nuit là-bas…. comme elle.
Marie-clotilde sortit de son silence.
– Ah bon, je reste toute la nuit ?
– J’te l’avais dit ma p’tite chérie. J’ai promis à mes potes. Et ça fait partie de nos conventions.
– Bon, bon…
– Allez, maintenant ne cause plus et reprends ma bite dans ta petite bouche de pute.
Nous roulâmes vers le sud, vers Trélazé. Florian me fit stationner et nous laissâmes la princesse seule dans la voiture. A travers les fourés épais, nous gagnâmes une friche industrielle.
C’était un vieil hangar, à moitié défoncé avec un local, une petite maisonnette qui devait servir à un contremaître ou quelque chose comme cela autrefois.
Un jeune type vint à notre rencontre.
– Salut, t’a amené la meuf ?
– Ouais. Elle est dans la bagnole. Tiens, c’est mon pote Jean. Il va ramener la caisse.
– Salut. Moi c’est Vincent.
– Salut.
Il n’y avait pas de doute, j’étais dans un squat. Le jeune mec qui me parlait pouvait avoir à peu près vingt-cinq ans. Il était plutôt petit, portait un débardeur kaki et un sarouel. Le débardeur laissait apparaître un corps superbement dessiné et bruni par le soleil et la vie au grand air. Il avait un beau visage avec barbe et moustache irrégulières et des cheveux en dreadlocks. Il ne semblait pas qu’il fût de la plus grande propreté.
Il siffla. D’autres mecs sortirent du hangar. Au total, ils étaient neufs, entre vingt et trente ans. Les looks différaient, du crâne rasé à la crête, imberbe ou pas, en T-shirt ou marcel, en short, bermuda ou autres, tous un air de mauvais garçon et tous la même hygiène négligée. Un se distinguait pourtant, le dernier à sortir du hangar. Il était grand, crâne rasé, mince mais sculpté et surtout, à l’exception de rangers et chaussettes qu’il portait, il était entièrement nu. Un sexe gros et long, avec une paire de couilles très pendante dans une toison d’un blond tirant sur le roux, se balançait, majestueux, à la mesure de son pas très lent.
– Eh, Vince, c’est tes potes ? Elle est où la meuf ?
– T’inquiète c’est réglo.
Vincent fit les présentations à toute la troupe dans laquelle je me sentais assez peu à l’aise.
Vus de près, les types dégoulinaient de sueur. Il faut dire qu’il faisait très chaud, comme en plein été et qu’il n’y avait pas un souffle de vent.
Florian fut donc chercher ma propriétaire pendant que je suivais les mecs à l’intérieur du hangar. Malgré les tôles qui manquaient au toit et des pans de murs éventrés, l’atmosphère y était très lourde. Des chiens se promenaient çà et là qui ne firent aucunement attention à moi. Dans un coin, de vieux matelas étaient posés au sol, récupérés dans une déchetterie sans doute. Ils étaient dégueulasses. Des canettes de bière et autres bouteilles d’alcool vides jonchaient le sol.
Pendant les minutes où Florian me laissa seul avec ces nouveaux compagnons, ils eurent le temps de me dire que leurs occasions de baiser étaient rares puisque, malheureusement, il n’y avait pas de fille dans leur groupe. Ils m’interrogèrent aussi sur Marie-Clotilde :
– Tu l’as niquée ?
– Elle est bonne ?
– Ils sont comment ses nichons ?
– Elle suce ?
– Elle avale ?
– On peut la prendre dans le cul?
– Quel âge elle a ?
– Paraît que c’est une bourge?
– J’aime bien les putes qui couine, elle gueule bien ?
– Vous l’avez déjà prise à plusieurs, sérieux ?
Je répondis à toutes ces questions le plus simplement du monde et fit naître un énervement palpable, ne serait-ce qu’auprès de Lucas, le grand mec à poil, donc la trique s’allongeait démesurément et qui commençait déjà à se pignoler.
– Eh Lucas, t’excite pas déjà. Tu vas jouir avant qu’elle arrive.
– Tranquille Emile, y’a tellement longtemps que je m’suis pas vidé les burnes que j’vais te la défoncer toute la soirée.
– Longtemps longtemps… tu t’es encore tiré une branlette ce matin.
– C’est pas pareil qu’une meuf.
– Eh, les vl’a !
En effet, Florian et sa captive approchaient. Je n’avais pas encore fait attention à sa toilette mais je vis que tout avait été soigneusement choisi pour qu’elle ait l’air de ressembler à ce qu’elle était, une bourgeoise.
Elle était encore plus stricte que d’habitude. En tailleur toujours, le chignon serré et parfaitement ajusté, un chemisier blanc, des bijoux, les collants et les chaussures à talons, sans oublier un maquillage impeccable qui soulignait le contour délicat de ses lèvres, ni trop minces ni trop épaisses, et la noirceur de son regard.
A peine était-elle entrée difficilement dans le hangar, ses talons s’accommodant mal des gravats, que Lucas se précipita sur elle
– Laissez-la moi, laissez-la moi!
– Ta gueule l’obsédé, il y en aura pour tout le monde.
Mais, déjà, il était dessus, plongeant une main entre les cuisses. Il fut d’ailleurs rejoint aussitôt par la meute.
Avec neuf mâles surexcités autour d’elle, il me fut impossible de rien voir. J’entendis les cris, les exclamations et les explosions de contentement des compères qui étaient vraiment à la fête. J’entendis le déchirement sec du tissu et je vis voler les lambeaux du chemisier, le soutien-gorge, puis ensuite les restes du collant.
– Eh les mecs, matez-moi ses nibards.
– Putain, les obus.
– Et la chatte, vous avez vu comment qu’elle l’entretient !
– Putain c’est taillé, c’est propre.
– On voit qu’c’est du grand monde !
– Touchez-moi cette moule, putain, c’est tendre, c’est doux…
Le groupe se déplaçait vers les matelas, piétinant le tailleur et les vêtements masculins dont les hommes se défaisaient au fur et à mesure. Des mecs musclés, en rut, aux culs rebondis se déchainaient devant moi. A neuf gars bien décidés, il n’est pas difficile de soulever une nana qui fait à peu près 60 kilos. Ils l’enlevèrent donc de terre pour lui arracher sa culotte. Lucas s’en saisit en se mit immédiatement à la sniffer.
Putain ! Sentez-moi ça les gars. Ça pue trop bon la chnèque.
Viens ici crétin. J’ai la truffe dans l’original.
Effectivement, un type baraqué avait posé les cuisses de la femme sur ses épaules et lui fouillait la chatte du museau. Les autres continuaient à la soutenir en essayant de tripoter qui un nichon qui les fesses.
Lucas continuait de renifler la culotte et semblait près de défaillir.
Enfin la fille fut reposée à terre et ce fut le festival des bites. Elle suçait à droite et à gauche. Et chacun, dès qu’elle lui gobait le zob, faisait la même remarque :
– La chienne, elle suce trop bien
– C’est clair, elle aime la queue.
– Ah la vache, j’ai rarement connu un truc aussi bon.
– Ouf, le panard, ça f’sait trop longtemps.
Florian s’était approché. Il était nu et bandait comme un âne. Moi, encore un peu timide, j’avais juste ouvert ma braguette pour donner un peu d’air à mon sexe hyper tendu.
Lucas laissa enfin le slip de dentelle de côté et écarta le groupe.
– Faut que j’la baise, faut que j’la baise. Allongez-la-moi !
– Fais vite, on y a droit aussi nous.
Marie-Clotilde fut aussitôt mise sur le dos.
– Ecarte tes cuisses !
Elle le fit illico.
Lucas s’allongea au dessus d’elle, tendit ses bras et la pénétra après avoir tâtonné un peu pour trouver l’orifice.
– Oulala, les gars, c’est gigantesque ! Elle est profonde, j’mets toute ma queue dedans, j’suis bien au fond là ! Et elle est presque aussi étroite qu’une pucelle.
Pendant qu’il commençait son va-et-vient, une bite s’était présentée de chaque côté pour se faire masturber.
Lucas ne se contentait pas de coulisser d’avant en arrière, il roulait, obliquait, se tendait pour remonter, redescendre… et la femme gémissait de plaisir.
– Oh les mecs, le pied, le pied le pied… c’est du satin, on est comme dans du beurre. C’est la meilleur chatte que j’ai jamais pinée. Tu la sens ma queue salope ? Hein tu la sens ?
– HahahahahAAAAAA.
– Ouais, t’aime quand je te la pousse au fond comme ça hein salope. Putain les gars, ça c’est de la pute de luxe. On s’est pas fait entuber sur la marchandise. Ça va queuter toute la nuit dans cette salope c’est moi qui vous le dit !
Pour toute réponse les mecs contentaient de se pignoler et se donnaient le tour pour se faire branler.
– Oh, Lucas, tu nous la laisses un peu la bourge.
– T’inquiète mon coco, t’as tout ton temps pour la grimper la chienne.
– Empale-la au moins sur ta pine qu’on puisse lui faire bouffer nos roustons à cette trainée.
– Ça marche !
Alors il se mit sur le dos et elle vint s’asseoir sur le gros sexe dressé, face à lui.
– Comment tu t’appelles Madame ?
– Sophie.
Florian intervint en allant lui pincer les nichons.
– T’es qu"une salle menteuse ! Dis comment tu t’appelles à mon ami.
– Marie… Marie-Clotilde
– Oh c’est un vrai nom de duchesse ça. Putain, t’es une vraie bourge ?
– …
– Mais réponds putain !
– Oui !
– Mais t’aime le cul, hein? T’es une vraie truie? T’adore te faire mettre par des vrais mecs comme nous !
– Oui !
– Oh bordel à queue ! C’est trop bon. Allez, suce mes potes là, suce- les !
Et, pendant qu’il soulevait son cul pour enfoncer sa bite profondément, les mecs se succédaient pour se faire pomper le dard. Je parvins à m’immiscer.
– Eh, il a une belle quéquette ton pote là Florian. C’est un p’tit bourge aussi ?
– Non, c’est un bon pote.
– Tu t’en sers pas de vide-couilles de temps en temps ? Il a un beau p’tit cul !
– T’inquiète, depuis que j’suis maqué avec cette pouliche, j’ai tout c’qui faut.
– Sans blague ? C’est ta meuf ?
– Disons que je la fourre plus souvent que son mari et qu’elle peut plus se passer de ma pine. Hein ma chérie ?
Et comme réponse, elle tendit la main pour agripper le paquet qui lui rendait hommage sans ambigüité.
– Allez, les gars, on tourne !
– Ouais, Lucas, vire, c’est à nous.
– Putain… vous êtes… lourds…. d’ailleurs… j’viens là ! Rangez-vous…. A genoux….
Rapidement, il fut debout face à la femme.
– Prends ma pine entre tes nichons
Nous n’eûmes pas trop à attendre. L’énorme poireau dont la tête luisante allait et venait au cur de l’imposante poitrine comprimée par les mains fermes de la propriétaire dégorgea rapidement dans un flot puissante qui se répandit à droite et à gauche.
– Allez, en tournante, maintenant !
– Ouais, on a trop attendu.
Et, tour à tour, nous l’ enfilâmes par derrière. Nous restions quelques allées et venues puis nous laissions la place à un camarade.
– Putain, c’est dommage qu’elle cause pas!
– C’est vrai ça. Parle salope, dis que t’aime ça !
– Ben libérez-lui la bouche d’abord, parce que dans la haute on parle pas la bouche pleine!
Marie-Clotilde fut donc forcée d’ouvrir la bouche mais pas pour prendre des bites, pour causer. Elle ne le fit pas spontanément, mais vu l’insistance des mecs, les coups de claques sur le cul et les tenailles aux tétons, elle finit par s’y mettre et se dévergonda tout à fait.
– Allez, cassez-moi le cul, enfilez-moi vos queues!
– Voilà, on y est ! C’est bien. T’en veux de la bite dis ? Elle aime ça la dame des beaux quartiers !
– Oui, je ne suis pas venue là pour m’ennuyer. Je veux me faire prendre. Allez-y !
– Vous entendez ça les garçons ? Elle en veut !
– Et bien, elle va en avoir !
A suivre.