Mon père était paniqué de me voir à ses côtés dans le lit. Il ne devait pas se douter que suite à l’épisode de cet après-midi il perdrait le contrôle de la situation. Il commençait déjà à sortir du lit et à fuir ma présence, comprenant que je savais ce qu’il avait fait. Je le retins par le bras:
-" Écoute Alex, tout à l’heure j’ai dérapé, je te pris de m’en excuser mais s’il te plait ne joue pas à ça."
Lui forcer la main ne marchait pas, il me fallait une autre approche, alors je lui relâchais le bras et l’invitais à s’installer à mes côtés car il était important que nous parlions. Il parût d’abord hésité puis me rejoints finalement sur le lit. Je m’installais en tailleur et il en fît de même
-"Ce que tu as fait cet après-midi m’a procuré beaucoup de plaisir et je t’ai laisser faire car j’avais envie que tu le fasses. Certes la loi interdit ce genre d’acte car ça dérange l’opinion publique, mais voilà,moi ça ne me dérange pas. Depuis quelques temps je te vois différemment, tu n’es plus mon père,tu es un homme qui me plait énormément et avec lequel j’ai envie de prendre du plaisir. Je ne sais pas ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait tout à l’heure mais ce que je sais c’est que tu m’as laisser avec un désir encore plus fort. Et si nous nous considérons comme seulement deux adultes, moi je suis une jeune femme célibataire qui n’a pas eu de rapports sexuels depuis quelques temps, et il me semble qu’il en est de même pour toi. Du coup il est normal que nous aillons comme des pulsions. Nous pouvons très bien les assouvir ici, juste pendant cette période, le temps que chacun retrouve un partenaire. Si cela peut facilité les choses je ne tappellerais plus papa mais Lionel .
— File de coucher, j’ai assez entendu de conneries pour ce soir."
J’avais perdue cette bataille mais pas la guerre, et je connaissais assez bien mon père pour savoir que le discours que je lui avais tenue allait germer dans sa tête et faire son petit chemin. Je commencerais peut-être à voir une différence dans son comportement dès le lendemain. En tout les cas il m’avait écoutée attentivement, j’avais même eu l’impression qu’il allait céder quand je lui avais dit que j’étais célibataire. Je descendais de son lit et regagnais ma chambre.
Je voulais à tout prix que mon père devienne mon amant,certes le côté relation interdite mexcitait au plus au point, mais surtout mon père était un bel homme,et j’aimais le sexe, plus que beaucoup de choses.
Le matin je me levais tôt pour ne pas rater mon père au cas où il voudrait fuir la villa pour la journée. Je prenais une douche et mettais une huile au parfum aphrodisiaque sur mon corps, j’enfilais une petite robe légère et vérifiais que lorsque je me baissais soit on pouvait plonger dans mes seins ou dans mon string, c’était le cas.
Je filais ensuite à la cuisine préparer le petit déjeuner et attendais patiemment que mon père se lève.
Il fini par me rejoindre vers les coups de dix heures. Il c’était lui aussi laver, et au lieu d’être torse nu comme à son habitude en vacances, il avait mis un polo blanc pour cacher sa nudité et probablement calmer mes ardeurs, sauf que le polo le rendait affreusement sexy. Il parut étonné de me voir dans cette tenue légère, ou de me voir tout cours:
-" ah! Tu es enfin réveillé, je t’ai préparé le petit dej’ et je t’attendais pour qu’on le partage ensemble." Il s’installa sans piper mot, commença à se servir et constata que je n’avais pas mis le sucre. J’allais lui chercher. Le sucre se trouvait dans un meuble tourniquet en bas,m’obligeant à me baisser. Je préférais alors me pencher, dévoilant ainsi mon intimité. Quand je me retournais vers mon père, il avait le regard dans son café mais paressait troublé. Je continuais mon petit jeux de "servante" le reste de la matinée lui mettant régulièrement sous les yeux mes atouts. Je mexécutais docilement aux "tu veux que je fasse la vaisselle?oui-Tu veux que je lance une lessive?oui!-Tu veux que je passe l’aspirateur dans ta voiture?oui!"
En fin de matinée il commençait a paraître agacer par mon comportement mais je continuais, au pire il m’engueulerai et je comprendrai que je n’en tirerais rien,au mieux il céderai. Lélément déclencheur de ce que j’attendais arriva vers l’heure du déjeuner, quand au lieu de l’appeler papa je l’appelais par son prénom
-"Lionel! le repas est prêt!"
A ce moment là il arriva dans la cuisine, je sentais ses muscles tendus, son visage envahi par la colère et je m’attendais à prendre un sifflante:
-"Alors comme ça tu veux continuer à être insolente avec moi, c’est ça? Tu sais que ce n’ai pas bien d’être insolente avec un homme plus fort que toi." A ma grande surprise j’avais fini par réveiller l’homme dominateur qu’était mon père dans ses jeux sexuels. Il s’assit sur une chaise et m’ordonna de venir à lui:
-" Tu joues avec moi depuis ce matin, tu devrais avoir honte,et tu oses sourire quand je te disputes. Tu veux que je te possèdes? Je vais te posséder mais il ne faudra pas venir pleurer ensuite." Et sans que je neus le temps de dire quoique se soit il me fit bascule sur ses genoux, fesses en l’aire. Une forte claque s écraser sur mes fesses. La douleur pris rapidement la place de la surprise et j’émis un petit cris. Une deuxième claque vint sabattre, puis une autre et une autre. Et malgré la douleur, une chaleur envahi mon bas ventre et la situation mexcitait. je sentis mon liquide charnel envahir mon corps, et les cris laissèrent place à des gémissement de plaisir. Je sentais lérection de mon père grossir sous mon ventre. A ce moment là il arrêta de me fesser et constata des larmes sur mon visage qui le satisfaire.
-" Voilà ce qui t’attendra la prochaine fois que tu seras insolente. Maintenant va dans la chambre d’amis, hier tu m’as dit que tu n’avais pas été entièrement satisfaite, je vais remédier à ça. Tu m’attends là-bas allongé nue sur le lit avec ton mp3 dans les oreilles assez fort pour ne rien entendre et tu te trouves en truc pour bander tes yeux. Moi je mange, je viendrais après, si je veux."
Voici donc l’homme autoritaire qu’il était et que je ne connaissais pas. Je n’étais plus sa fille mais une des ses conquêtes avec lesquelles il avait des jeux sexuelles qui dépassait la simple domination. Cela ressemblait plus à du SM pour le peu que j’en connaissais. Et bizarrement ça m’excitait encore plus. Jexécutais ses ordres et me retrouvais très rapidement nue sur le lit, la musique dans les oreilles et un foulard sur les yeux. Maintenant il me fallait l’attendre et l’attente fut interminable. Je commençait même à somnoler. Puis d’un coup une pluie d’eau geler vint se renversé sur moi. Mon père venait de me renverser une seau d’eau geler, ce qui eu pour effet immédiat de me faire pointer. Il attrapa alors mes deux tétons tout dur entre ses doigts et commença à les pincer et les malaxer. Je poussais des gémissements de plaisirs et mon liquide charnel coulait le long de ma chatte. A l’aide d’une de ses jambes il écarta les miennes et du constater l’effet qu’il me faisait car il délaissa mes seins et pénétra profondément trois doigts dans ma chatte lubrifiée. Il commença alors des petits va-et-viens et caressai mon clitoris avec son pouce. Mes gémissements devinrent des cris de plaisir et je sentais l’orgasme monter en moi. Mon père sarrêta alors. Pendant quelques secondes je me retrouvais seule avec mon excitation et elle était telle que tout mon corps bougeait à la recherche de l’orgasme. D’un coup il me fit assoir et pressa mes joues pour que j’ouvre la bouche. Il pénétra alors son sexe dans ma bouche. Pour faciliter la fellation je l’attrapai avec une main pour le masturber en même temps et lui caresser les couilles. De ses mains il entreprit de repincer et malaxer mes tétons. Je sentais son sexe grossir en moi et se retira. Je me retrouvais de nouveau seules avec mon excitation, assise,le corps trempé, la chatte inondée, la bouche ouverte, le bas ventre en feux. Le moindre contact pouvait me délivrer lorgasme qui attendait. Je fus retourner comme une crêpe sur le ventre, il me mis à quatre pattes, et je sentis un liquide frais et doux couler sur mes fesses, le long de ma raie, pour arriver à mon vagin et se mêler à ma mouille chaude. La sensation était extra et l’orgasme était au bord du précipice. Avec son sexe mon père entreprit des va et viens du haut de ma raie jusqu’à l’entrée de mon vagin. Contrairement à un peu plus tôt, c’est mouvement étaient devenus doux, mais dans un puissant coup de rein il me pénétra et déclencha en moi en orgasme interminable. Puis il commença des va et viens léger et de plus en plus vite, un autre orgasme me fit exploser en larmes de plaisir.Je n’avais jamais connue d’orgasmes multiples, mon corps tremblait de toute part, je n me contrôlais plus, et alors que je pensais ne plus être capable de rien, mon père fini par jouir dans un grand coup de rein, ce qui me procura un troisième orgasme. Je pleurais et tremblais de plaisir.
Mon père m’aida à me rallonger ,ôta les écouteurs et le foulard et me serra bien fort dans ses bras. Après le rapport sauvage que nous venions d’avoir, où j’avais découvert un homme autoritaire et maître de ses conquêtes,je retrouvais là un homme paternel et doux
-"Alors c’est ce type de relation que tu souhaites que nous ayons?
-Lionel,c’est ce que tu souhaites aussi,je me trompes?
— J’ai bien peur que non, et j’en est tellement honte". En me disant ceci il me resserra un peu plus fort dans ses bras. je le remerciait d’être l’homme qu’il était et j’osai approcher mes lèvres des siennes pour l’embrasser comme une amante, chose que nous n’avions jamais faite. Il recula d’abord,puis m’embrassa tendrement, avec tout l’amour qu’il avait pour moi. Ce baiser fut le plus merveilleux que je connus, et je finis par m’endormir dans ses bras malgré la faim qui massaillait.