Louise la questionna longtemps sur le sujet en préparant les serviettes car elle avait déjà entendu parler des femmes fontaines mais n’en avait jamais rencontré . Érine finit par lui proposer de lui montrer et que ce serait plus simple que la théorie. Elle s’approcha de Louise et, avant que celle-ci ne puisse esquisser un mouvement, l’embrassa à pleine bouche. Le moment de surprise passée, Louise répondit à ce baiser en lui offrant sa langue et en lui saisissant l’arrière de la tête avec sa main libre.
Érine saisit un sein de Louise et le caressa. Puis cette main descendit à son pubis. Louise posa les serviettes et se mit également à la conquête du corps d’Érine Mon sexe était de nouveau en érection et je devais le frotter pour le soulager. Elles en étaient arrivées à se caresser mutuellement leur boutons et les râles de plaisir commençaient à être de plus en plus fort. C’est alors qu’Érine installa Louise sur le rebord de la baignoire et lui expliqua comment une femme pouvait connaître la jouissance par l’éjaculation. Elle se mit debout à ses côtés et alors qu’elle l’embrassa de nouveau, elle lui introduisit deux doigts dans le vagin. Elle ne les enfonça pas entièrement et commença à gesticuler sa main. Louise avait écarté instinctivement les jambes pour laisser libre court à cette main qui lui faisait découvrir de nouvelles sensations que même mon père ne lui avait jamais, visiblement procurées.
Elle se laissa envahir par cette nouvelle volupté et cessa d’embrasser Érine pour se concentrer sur ce plaisir qui, elle n’en revenait pas, arrivait comme un cheval au galop. Les doigts qu’elle sentait en elle n’était pourtant pas rentré profondément et ils étaient maintenus fermement crochu pour appuyer sur un point précis de son vagin qu’Érine n’avait pas mis longtemps à trouver.
Celle-ci écarta son pouce et commença à titiller le bouton de Louise tout en continuant sa pression. Louise dodelinait de plus en plus de la tête en se demandant comment Érine pouvait arriver à la faire chavirer aussi vite. C’est alors que celle-ci agita sa main de plus en plus vite et en pressant de plus en plus fort la paroi vaginale. Louise s’agrippa au bras d’Érine tant elle fut surprise par ce qui lui arrivait. Elle ne savait si elle devait lutter face à cet assaut de plaisir qui commençait à la remplir ou tout bonnement s’abandonner à cette main experte. Alors Érine lui demanda de se lâcher et l’embrassa de nouveau à pleine bouche auquel Louise répondit en lui offrant aussi de nouveau sa langue puis des bruits bizarre se firent entendre au niveau du sexe Louise et alors qu’elle cria sa jouissance des éclaboussures giclèrent autour de la main d’érine.
Voir Louise jouir ainsi eut raison une seconde fois de mon sexe qui lâcha la purée dans le mouchoir qui l’entourait. Une fois Louise calmée, Érine retira ses doigts dégoulinant d’un liquide translucide qui avait formé une petite flaque à ses pieds. Louise pas encore remise de ses émotions avait du mal à se tenir au rebord de la baignoire. Elles finirent par se regarder puis à rire aux éclats. Louise se remit debout et déposa une des serviettes par terre sur la petite flaque. Elle venait de connaître pour la première fois la jouissance par une femme et quelle jouissance. Je n’en avais pas perdu une miette. Mais alors qu’Érine demandait ou se trouvait les toilette car elle voulait faire pipi, Louise la retint.
« Attend ! » dit-elle. « A mon tour de te montrer quelque-chose. Vient !» et Louise monta dans la baignoire. Érine intriguée la suivit et monta dedans également. Une fois une en face de l’autre, Louise s’agenouilla devant Érine : « j’ai mieux que des toilettes. »
« Comment-ça ? dit Érine qui avait peur de mal comprendre
« Vas-y, libère toi. »
« Mais non, je ne peux pas. Pas comme ça enlève toi et regarde-moi si tu veux. »
« Non. Tu viens de m’apprendre quelque chose sur le sexe, à mon tour. Vas-y, fais sur moi. N’ai-pas peur ou ne t’offusque pas, c’est moi qui te le demande » dit Louise en la regardant dans les yeux. « si tu veux des nouveaux jeux avec ton mari, je suis sûr que celui-là l’enchantera » continua-t-elle en lui faisant un clin d’il.
Érine semblait hésiter intérieurement. Mais finalement, se décida. Elle se mit en position en s’avançant au plus près de Louise.
«Écarte tes petites lèvres et penche toi en arrière.» lui conseilla Louise qui décida de se coucher dans le fond. Érine s’exécuta et ne put mettre ses jambes que de chaque côté. Louise lui parla pour la détendre et lui demanda juste de se laisser aller. Mais Érine de par la proposition et la position n’y arrivait pas et voulut arrêter mais Louise avait visiblement plus d’un tour dans son sac. Elle lui redemanda de se décontracter et alluma légèrement le robinet d’eau lui déclarant que la sensation d’eau froide pouvait plus facilement déclencher le pipi.
Après quelques instants d’attente, Érine fini par lâcher quelques gouttes. Louise tendit les mains pour écarter un peu plus les lèvres du sexe d’Érine qui se laissa faire puis survint ce jet jaune qui jaillit et vin éclabousser le torse de Louise et ses seins. Une fois lancée, Érine se lâcha entièrement et arrosa littéralement Louise qui se trémoussait en-dessous. Une fois qu’elle eut finie, Louise se releva et embrassa fougueusement Érine
« Ton urine sent un peu fort. La prochaine fois, il faudra te préparer en buvant beaucoup d’eau.»
Puis elle lui demanda d’inverser les rôles. Érine refusa net cette demande mais devant la nouvelle insistance de Louise, elle finit par accepter l’expérience. Elle se mit à genoux devant elle. Louise se mit en position, écartant elle-même ses lèvres intimes pour se soulager. Cela ne se fit pas attendre. Érine se trouva aspergé sur tout le corps, l’urine dégoulinant de ses seins jusqu’aux jambes. Je fus surpris quand après quelques instants, elle se malaxa le corps avec ce liquide chaud qui lui coulait dessus. Elle regardait Louise dans les yeux puis descendit son regard vers cette fontaine qui semblait intarissable. Elle se caressa tout le temps que Louise s’épancha sur elle. Malgré être venu plus tôt, mon sexe devant cette vision en redemandait encore. C’était la première fois que je participais à une scène d’urologie en « live ».
Une fois l’épanchement finie, les femmes s’embrassèrent et se caressèrent de nouveau mutuellement puis se rincèrent avec le jet d’eau. Érine, visiblement peu farouche, avait l’air d’apprécier l’expérience. Louise lui dit alors : « pour jouer à ce jeu, il faut se préparer à l’avance car sinon, l’odeur peut vite être un frein aux ardeurs. Il faut boire régulièrement de l’eau auparavant, puis aller régulièrement aux toilettes. Après trois ou quatre fois, tu remplis ta vessie puis vous jouez ensemble. Ce qui sort est presque de l’eau chaude, il n’y a plus de toxine et tu peux même boire à la source. » lui raconta-t-elle en faisant un clin d’il.
Une fois séchées, elles reprirent les serviettes et redescendirent au salon. Je changeais de nouveau de caméra. La pièce était vide quand elles y arrivèrent et elles s’attachèrent à nettoyer le canapé. C’est quand je vis rentrer mon père pour aller dans la cuisine que je compris qu’il préparait un barbecue.
J’allais à la fenêtre et vis en effet Mathias qui s’en occupait pendant l’absence de mon père. Il n’était que 11h30 mais le temps de le préparer, il serait certainement prêt pour midi. Je vis Louise et Érine sortir. Elles avaient juste remises leur petite culotte et se baladaient seins nus. Elles allèrent s’étendre sur les transats pendant que les hommes s’occupaient du repas. Je décidais alors moi aussi de manger mon sandwiche que je ne regrettais pas d’avoir préparé. Après m’être vidé 2 fois, j’avais aussi besoin de reprendre des forces. Une fois prêt, ils s’attablèrent et mangèrent en discutant. Ils portaient juste chacun petite culotte et boxer. Une fois le café prit et la table rangée, ils allèrent tous se mettre sur les transats faire une sieste non sans s’être mit nus au préalable.
Cela me permit de faire le tri de ce que j’avais enregistré. Rien qu’à revoir les scènes, je bandais à mort. Je me remis en faction devant la fenêtre ou j’installai ma caméra sur pied pour pouvoir filmer entre l’interstice des rideaux. Bien m’en a pris car cela bougeait de nouveau en bas. Érine, allongé sur le transat à coté de mon père avait approché sa main de son sexe et s’était mise à le masturber. La réaction de mon père ne s’était pas fait attendre et son mandrin reprit une forme des plus olympiques. Érine sentant grossir l’engin le regardait se déployer toujours avec stupéfaction.
Mon père la regardait aussi et après quelques minutes de masturbation lente, Érine se releva et vin s’asseoir sur le bord du transat de mon père. Ma mère et Mathias ne s’était encore rendu compte de rien et continuaient de somnoler. Érine devait être en manque de sexe, ce n’était pas possible, elle semblait insatiable. Elle cracha deux ou trois fois sur le sexe pour rendre la masturbation plus facile elle regarda mon père dans les yeux puis se redressa. Elle monta sur le transat en positionnant ses pieds de chaque côté puis s’accroupit au niveau du sexe de mon père. Elle le saisit pour le mettre bien droit et se baissa pour tenter la pénétration.
Comme la première fois, cela ne fut pas chose aisée pour elle et après quelques tentatives plus ou moins douloureuse, le gland finit par entrer. Cette étape passée, cela fut plus facile. Mon père saisit Érine par la taille pour tenter de diriger l’intromission. Je filmais en gros plan avec ma caméra ces 2 sexes qui tentaient de s’emboîter tant bien que mal. Ils en étaient arrivés à la moitié du sexe de mon père. Érine maintenant faisait des vas et viens régulier sans chercher à s’enfoncer plus. Je voyais le sexe de mon père s’humidifier et des traces blanches apparaissaient et coulaient sur toute sa tige. Pourtant, il ne donnait pas signe d’avoir éjaculé. Cela faisait maintenant bien 5 minutes qu’Érine était empalée. Ses râles de plaisir avaient réveillé Louise et Mathias dont le sexe s’érigeait lui aussi. Louise commença à se masturber et faisait parfois entrer ses doigts dans sa fente. Érine remarqua qu’elle était le clou du spectacle mais ne s’arrêta pas pour autant. Elle se concentra sur son plaisir grandissant.
Je constatais que cela stimulait aussi encore plus mon père à l’agitation qui secouait son sexe. Mon père la saisie par la taille et il se mit à lui imposer son rythme. Le sexe entrait bientôt au trois-quarts de sa longueur. Le transat faisait de drôle de saut. Érine n’était que cris et supplices.
Mathias alors se déplaça et se positionna debout à ses côtés. Il n’avait pas arrêté de se masturber ainsi que Louise qui commençait aussi à se lâcher. Puis, il se fixa dirigeant son sexe vers la bouche de sa femme. Elle regarda son mari, elle compris son intention et le prit en bouche. Elle se délectait d’avoir ces deux mâles pour elle.
Mathias la laissait faire et la tenait par sa chevelure. Son sexe tendu remplissait plus facilement la bouche d’Érine Mais elle finit par le lâcher car son plaisir était trop fort. Elle n’était plus maître d’elle-même. elle cria de plus belle à chaque enfoncement quelle subissait maintenant Cette vision plus les cris de Louise qui jouissait à ce moment-là, eut raison de mon père qui se déversa de nouveau à l’intérieur d’Érine qui, elle-même, jouit en sentant le sperme à l’intérieur de son antre. Une fois mon père vidée, elle recula légèrement et se lâcha de nouveau par un formidable cri et un jet qui vint jusqu’à éclabousser le visage de mon père. Elle finit par s’écrouler sur lui toujours prise de spasme au niveau de ses jambes affaiblies par l’effort qu’elle venait de fournir.
Le sexe de mon père était maculé de sperme et de cyprine et avait baissé de volume. Mathias se tourna vers Louise qui s’était approché et qui se baissait pour prendre le sexe de mon père en bouche et entreprendre de le nettoyer. Elle fut rejointe cependant rapidement par Érine et elles furent deux à se le partager dans cette tâche. Mathias qui était en reste par ce qui venait de se passer se baissa pour effectuer un cunnilingus à Louise.
Mon père fit comprendre à Érine de venir sur lui et ils se positionnèrent en 69. A son tour il fit un cunnilingus et absorba tout ce qui sortait de la fente d’Érine entre sa cyprine et son propre sperme. Ces deux effluves dans les narines le ragaillardît de nouveau et il y eut bientôt assez de place pour les deux langues de femme. Mathias finit par se redresser et présenta son sexe devant celui de Louise et y entra d’un coup sec. Il venait de suffisamment le lubrifier pour que cela se passe sans douleur. Elle eut bientôt du mal à s’occuper du sexe de mon père tant Mathias y allait de bon cur.
Je le vit porter sa main sur son fessier promener sa main puis un doigt inquisiteur visiblement sur son anus. Louise remua son fessier et regarda mon père toujours occuper de vider la fente d’Érine Mathias cracha sur le séant de Louise et voulut faire pénétrer un peu plus son doigt tout en continuant de la marteler. Louise dans cette position ne pouvait se rebeller et le doigt gagnait des centimètres au fur et à mesure des poussées de Mathias. Elle se détendit alors et laissa le doigt entrer entièrement dans son fondement. Érine voyant ce qui allait se passer descendit du transat. Mon père et Louise se regardèrent alors et quand mon père compris les intentions de Mathias il lui fit signe de son consentement.
« Ce sera la première fois » dit-il en les regardants tous. Louise et mon père regardèrent alors Érine
« ben oui, je n’ai jamais voulus essayer il est quand même imposant ». Elle s’approcha de son mari toujours en train de pilonner Louise et l’embrassa comme pour un encouragement.
IL se retira alors et crachant une nouvelle fois sur l’anus, entreprit d’y faire entrer deux doigts. Louise se laissait faire et Érine alla aussi l’embrasser à pleine bouche le temps que son mari finisse la préparation. Quand il sentit que le moment était propice, il approcha son sexe de ce trou féminin inconnu jusque là pour lui.
Mon père demanda à ce qu’ils pivotent pour mieux voir le déroulement de ce qui allait se passer et ce fut une aubaine car cela me permit d’avoir une vue sur le fessier et je pus filmer en gros plan le sexe de Mathias tenter de s’introduire dans l’anus de Louise. Il dut tenir fermement son sexe pour garder le bon angle et après quelques secondes de poussée, le petit trou s’écarta pour laisser la tête entrer.
Mon père se masturbais son sexe durcit de nouveau tout comme je le faisais avec le mien. Érine n’avait pas cessé d’embrasser Louise et elle avança sa main pour la masturber et soulager la douleur que l’intromission pouvait engendrer. Ne se doutait-elle pas que mon père passait souvent par ce chemin ? Peut-être était-ce la peur de ce qu’elle pourrait ressentir en laissant un homme emprunter son chemin interdit qui la faisait agir de la sorte ?
Mathias qui s’était arrêté le temps de laisser Louise récupérer de l’entrée de son sexe chercha à s’enfoncer un peu plus. Il narrêtait pas de cracher sur son membre qu’il humectait ensuite avec une main pendant que l’autre tenait la taille de Louise. Sur ma caméra, je le voyais s’enfoncer doucement de plus en plus. Quand il arriva à la moitié de son sexe à l’intérieur, il recula. Il s’arrêta avant de sortir entièrement puis r avança doucement. Il s’y prenait en douceur, comme pour apprécier sa première sodomie. Il positionna ses deux mains de chaque côté du postérieur de Louise et écarta au maximum ses fesses afin de pouvoir aller le plus loin possible. Il cracha de nouveau sur son membre et s’enfonça de plus en plus. Les trois-quarts étaient entrés maintenant. Louise avait quitté la bouche d’Érine pour se concentrer sur l’intromission forcée de son fondement.
Elle sentait ce sexe s’enfoncer et épouser parfaitement les parois de son rectum plus facilement qu’avec mon père. Elle se senti remplis sur toute la partie occupée par ce sexe et celui-ci ne demandait qu’à s’enfoncer encore plus. Ne voyant rien de ce qui se passait derrière elle, elle se demandait si il y en avait encore beaucoup à vouloir rentrer. La main d’Érine la soulageait par sa masturbation et les sensations de plaisir, se mélangeaient dans sa tête. Mathias avait visiblement pour objectif d’enfoncer entièrement son sexe dans l’anus et il gagnait des millimètres à chaque poussée. Cela prit son temps mais il parvint enfin à faire toucher ses testicules au cul de Louise. Celle-ci avait la bouche grande ouverte et prenait de grandes inspirations pour faire passer cette nouvelle impression de remplissage. Érine continuait sa masturbation et mon père lui caressait les seins par en dessous.
Après 3 ou 4 allers-retours à fond dans le fondement, Mathias ressentis des sensations nouvelles de plaisirs. Il se sentait visiblement bien dans le cul de Louise. Il se sentait à l’étroit mais se doutait que cela allait bientôt se détendre. Il allait encore doucement pour apprécier ce moment avec parfois un grand aller-retour à la limite de sortir pour se renfoncer jusqu’à la garde après avoir humecté l’engin faisant lâcher des grands râles de plaisir à Louise qui se laissait remplir par ce gourdin et par les sensations de voluptés de plus en plus fortes.
Elle prenait plaisir dans l’initiation de ce puceau du cul. Mathias jugea qu’il était temps et commença à accélérer la cadence allant toujours jusqu’à l’extrême faisant claquer les fesses de Louise à chaque butée. Celle-ci ne se retenait plus, emporté par la cadence de Mathias et les caresses d’Érine sur son sexe, elle criait son plaisir à chaque coup en en redemandant et se sentant partir dans une jouissance rarement égalé par son mari. Peut-être cela était dû à la taille de l’engin qui , étant plus raisonnable, épousait parfaitement les parois de son rectum, sans cette impression de déchirure. C’est alors que Mathias n’en pouvant plus et de par les sensations ressenties par son sexe dans le fondement se libéra et déversa sa semence au plus profond de son trou qui n’était plus si petit après ces efforts. Louise hurla sa jouissance quand elle senti Mathias se vider en elle.
Mathias après quelques instants, commença à se retirer doucement. Son sexe imprégné de sperme n’avait pas fière allure. Érine embrassait de nouveau Louise et continuait de la masturber. Mon père passa devant et prit la place d’Érine pour l’embrasser. Louise l’embrassa fougueusement comme pour le remercier de l’avoir laissé prendre une telle jouissance. Après dix ou quinze minutes de remplissage, elle avait maintenant une sensation de délivrance et de légèreté. Mathias sortit enfin entièrement facilité par le ramollissement de son sexe.
Érine prit l’initiative d’emmener Louise faire un brin de toilette alors que les deux hommes plongèrent dans la piscine. Je branchai la caméra de la salle de bain mais les deux femmes ne firent que se nettoyer par une douche. En sortant Louise prétexta d’être fatigué pour rejoindre sa chambre ou elle s’allongea pour se reposer. Je trouvai cela bizarre qu’elle quitte une scène de sexe pour se reposer, elle qui semblait en chaleur perpétuelle. Mais je la vis s’étendre pour partir rapidement dans les bras de Morphée.
Érine redescendit alors pour rejoindre les hommes. Elle plongea avec eux et s’ensuivit une bagarre ou elle n’eut évidemment pas le dessus. Après ces quelques ablutions, ils remontèrent sur les transats ou ils se mirent à discuter. Ma caméra filmait toujours et une nouvelle fois, bien m’en a pris car je les vis se relever et s’écarter des transats. Érine s’agenouilla entre les deux hommes après avoir posé un des coussins du transat et les masturba chacun dans une main. Elle les prit ensuite tour à tour en bouche. Toujours difficilement pour mon père alors qu’il ne bandait pas encore à son maximum. Et plus facilement son mari qui bandait mou après avoir enculé Louise. Ce fut un tour de force qui dura un certain temps pour elle, afin de leur redonner un semblant de raideur suffisante. Mais plus le temps passait et plus elle changeait de membres en bouche et plus ces messieurs prenaient de la vigueur. Elle ne parvint plus qu’à masturber mon père pendant qu’elle pompait son mari. Puis, ils s’accordèrent pour changer de position
Une fois qu’il eut finit de les préparer, mon père se coucha et Érine se présenta au-dessus de lui. Elle se laissa descendre comme sur le transat sur le membre turgescent qui lui remplit de nouveau son vagin. Les différentes intromission précédentes firent que ce fut plus facile. Elle commença ses mouvements de bas en haut aidé par mon père qui la maintenait par la taille pendant qu’elle s’était remise à la fellation de son mari.
Après cinq minutes de cet exercice, le membre de mon père coulissait parfaitement, lubrifié naturellement par l’antre chaud dans lequel il était. Alors Mathias quitta la bouche de sa femme et se présenta derrière elle. Celle-ci se coucha sur mon père et cala sa tête sur son épaule gauche. Je n’en croyais pas mes yeux. Érine voulait subir une double intromission ?? Avec ces deux monstres ??
En effet, Mathias se baissa et commença à introduire directement un doigt dans le cul de sa femme. Mon père avait cessé tout mouvement et tenait Érine, ses bras croisés dans le dos. Puis Mathias entra un second doigt. Érine grimaça, pas du tout habituée à la sodomie. Enfin il se mit en position. Après visiblement un bref échange, mon père se retira alors pour faciliter l’accès à Mathias. Celui-ci s’accroupit légèrement pour tenir son sexe à quatre-vingt-dix degrés et le présenter à l’entrée. Ce ne fut de nouveau pas chose aisé pour lui car son membre glissait et il dut s’y reprendre quelque fois avant que le gland ne pénètre la rosette de sa femme. Mon père tenta de surélever son bassin pour tenter de présenter le bon angle à Mathias et que celui-ci puisse s’enfoncer plus facilement. Érine ne disait rien toujours maintenue par mon père mais je voyais le sexe de Mathias entrer de plus en plus.
Érine grimaçait et Mathias du s’interrompre deux ou trois fois avant de poursuivre son introduction que les effets de douleurs d’Érine s’estompe. Quand elle lui signifia stop, il lui caressa le corps, le dos, les fesses, avant de commencer quelques lent vas et viens en humectant son sexe. Érine commença a se relâcher dans les bras de mon père. Elle lui murmura alors quelque-chose à l’oreille. Mon père alors tint les hanches d’Érine surélevé, puis rapprocha son bassin avec son sexe tendu vers l’orifice vaginal. Je n’en croyais pas mes yeux, elle leur avait vraiment demandé une double intromission. Mon père fit quelques essais infructueux pour entrer mais finit par y arriver. Il alla alors doucement, car la place prise par le membre de Mathias ne lui laissait plus autant de liberté.
Au bout de cinq minutes, les deux membres étaient enfoncé maintenant quasiment chacun à la moitié de leur longueur quand elle cria de nouveau « stop ! » Ne pouvant en prendre plus dans ses orifices. Ce fut Mathias qui de par sa position donna le rythme de vas et viens. D’abord doucement pour que sa femme s’habitue puis de plus en plus rapidement. Mon père tentait de donner un coup de rein de temps en temps mais sa position était des plus délicates et en fait, il n’en avait nulle besoin. La pression exercée par les deux membres sur ses parois vaginales avait fait décoller Érine dès la première minute. Elle subissait des vagues de plaisir dont la force était de plus en plus forte. Ces deux sexes la remplissait et chacun lui apportait de par son endroit, des sensations différentes qui cumulées la faisait chavirer.
Elle se sentait partir et se laissa aller à ce plaisir qu’elle n’avait jamais connu jusqu’alors libérant sa cyprine sur mon père qui avait de plus en plus de mal à tenir en elle car le vagin, par ses contractions, cherchait à rejeter cet intrus volumineux. Érine continua de hurler sa jouissance malgré qu’elle eut finit d’éjaculer son jus et les deux hommes reprirent leurs cadences. Ayant éjaculé déjà plusieurs fois, ils avaient mis le mode endurance en marche et Érine n’arrêtait pas de jouir sous leurs coups. Ce spectacle et les cris d’Érine me firent éjaculer à mon tour une troisième fois dans un mouchoir. Mais tout à une fin et les deux hommes arrivèrent eux aussi à leurs paroxysme et se libérèrent chacun dans leurs trous respectifs de leurs sève blanche dont ils avaient encore de la réserve.
Érine épuisée ne bougeait plus. Les deux hommes l’avaient laminé. Jamais elle n’avait connu une telle expérience de remplissage par ses deux trous. Mathias après quelques instants lui libéra son fondement heureux d’avoir put enculer deux femmes en si peu de temps pour sa première expérience. Puis mon père sorti également son membre. Érine s’écroula sur lui épuisée. Lui et Mathias la soulevèrent alors car elle n’arrivait plus à tenir sur ses jambes et l’étendirent sur un transat.
Je filmais en gros plan son sexe d’où sortait de par ses deux orifices des filaments de spermes qui coulaient doucement. Puis je remontais sur sa poitrine et enfin son visage exprimant le bonheur d’une jouissance inégalée. Elle partit rapidement dans un sommeil réparateur se laissant aller à ce moment de béatitude qui lui donnait une impression de légèreté et de vide absolu Les deux hommes piquèrent de nouveau une tête dans l’eau avant de s’allonger également sur les transats.
Je coupais tout pour économiser les batteries. Il était 15h00 et cela faisait bien une heure et demi que je les filmais depuis la fin du repas. Que de chose j’avais pu découvrir aujourd’hui. Jamais je n’avais pensé passer une telle journée. Jamais je n’aurais imaginé vivre de telles scènes d’échangisme à ce point. Jamais je n’aurais pu croire, que mes voisins s’enverraient en l’air chez nous.
Je sauvegardais tout sur un disque dur. Je me ferais un film plus tard tranquillement sur cette journée pur sexe parental. Mais je ne savais pas que cela irait encore plus loin,,,,,
à suivre.