Lorsque Linda retire le gode monstrueux du cul de Cloé, je ne peux m’empêcher de poser ma main sur le trou béant.
Sous ma douce caresse, je sens encore les multiples contractions des muscles de son anus.
Ma fille reprend ses gémissements, lorsque mes doigts pénètrent lentement son fondement brûlant.
Vas-y, fiste-lui le cul, elle adore jouir du cul ta petite salope de fille, elle va même en redemander ! dit Linda.
Mes doigts sont en elle, maintenant c’est ma main qui progresse, je suis en elle jusqu’au poignet.
Ma fille a les yeux fermés, elle grogne de plaisir.
L’entendre geindre augmente mon excitation, ma queue et raide comme du bois, Linda la saisit et la branle doucement en me souriant.
Je commence à faire de violents va-et-vient dans les entrailles de ma fille qui râle de plus en plus fort.
Ma main tourne à l’intérieur de la gaine distendue, Cloé pousse de plaintes rauques à chaque enfoncement de ma main.
Oh, papa, c’est trop bon, encore encore, oui oui !
Je ne veux pas la décevoir, je pousse fortement, j’hallucine, la moitié de mon avant-bras s’enfonce et est en elle.
Cloé se cabre, serre les dents et agite sa croupe.
Elle dit des mots inaudibles.
Elle va jouir, oui elle va exploser ! crie Roger.
J’accélère le pilonnage, je tourne de nombreuses fois ma main dans le cul dilaté de ma fille.
Elle pousse un cri atroce, sa cyprine gicle à flots discontinus sur mon avant-bras.
Chaque giclée la fait râler, elle bascule sa tête de droite à gauche, sa bouche est déformée par un affreux rictus, ses yeux sont révulsés, un filet de salive s’échappe à la commissure de ses lèvres.
La jouissance est terrible, sa respiration rapide m’effraie un peu, elle halète fortement puis pousse un cri:
Encore encore ooooooooooh !
Je continue de la ramoner sauvagement en fermant le poing, elle gicle abondamment en soufflant comme un buf.
Enfin, je retire ma main du cratère en pleine irruption.
Le trou reste affreusement ouvert.
Maintenant, regarde ce qu’elle peut absorber ta petite chérie ! dit Linda en souriant.
Elle enduit son pied de lubrifiant, et le place contre le trou béant.
Ma fille prend une meilleure position et invite sa tante à uvrer.
Vas-y tante, je suis super prête !
Tu veux que je procède comme l’autre fois ma chérie ?
Oui oui, c’était trop bon !
Doucement, Linda enfonce ses orteils, le cul commence à s’élargir sous la poussée.
J’en suis baba.
Je prends ma bite d’une main et la branle énergiquement, à ma surprise, Roger s’agenouille devant moi et saisit mon mandrin, il gobe le gland violacé et le tète fortement, sa langue fait merveille, je ressens comme des décharges électriques lorsqu’il me saisit les couilles de son autre main.
Il triture les bourses velues en les pressant de temps en temps.
Je pâme de bonheur, je n’aurais jamais imaginé que mon frère puisse me sucer.
Il ne reste que le talon du pied de Linda à l’extérieur du cul de Cloé. Comme une experte, ma belle-sur le fait coulisser.
Les râles rauques résonnent de plus en plus fort, soudain, Cloé se cabre et rugit comme un animal, elle gicle comme une fontaine, sa cyprine noie le sol.
Linda tente d’enfoncer le pied plus loin, mais c’est peine perdue, car Cloé agite trop fort sa croupe.
Je regarde ma fille qui prend un pied d’enfer.
La bouche de Roger s’acharne sur ma queue, je suis au bord de l’explosion.
Je repousse Roger, et serre fortement ma bite pour ne pas décharger.
Linda a retiré son pied et dit:
Cela s’appelle se faire éclater le cul, n’est-ce pas Cloé!
Oh oui, tante, j’aime tout ce que tu me fais !
Je demande à Cloé de venir s’empaler sur la queue de son oncle.
Difficilement, elle s’exécute, c’est en vacillant qu’elle enjambe le corps de son oncle, saisit sa queue et s’empale dessus.
Moi, je me place derrière, et enfonce mon mandrin noueux dans le même orifice que Roger.
Ma fille pousse un ouaaaaaaaaah de bonheur.
Oui mes amours, défoncez votre pute !
Je suis étonné du langage de ma fille, je crois qu’avec mon frère et sa femme, elle s’est dévergondée.
La chatte remplie de nos queues, Cloé agite son bassin, elle s’accroche à son oncle pour ne pas être désarçonnée.
Nos coups de reins sont féroces,à chaque coup de pilon, Cloé est décollée de sa monture, elle serre les dents en grognant de plaisir ;
Les bites coulissent aisément dans la gaine de chair, Linda ne reste pas inactive, elle roule entre ses doigts les mamelons durs de la jouisseuse.
Elle les étire le plus possible à la limite du soutenable.
Roger s’arc-boute et envoie de puissantes décharges de sperme, moi, je me retire rapidement, ma queue est gluante du sperme de Roger.
J’offre ma queue à Cloé qui n’en fait qu’une bouchée, elle suce et tète avidement mon engin tendu, elle se délecte en grognant.
Je la saisis par les cheveux et lui baise la bouche comme un sauvage.
Je m’enfonce jusqu’aux couilles dans sa bouche, je me bloque et décharge ma semence.
Cloé manque d’étouffer, elle me repousse, elle veut recracher.
Non ! lui crie Linda.
Avale ma chérie !
Elle obéit, elle déglutit jusqu’à la dernière goutte.
Linda lui écrase les mamelons, Roger besogne encore Cloé, elle se raidit, pousse un cri de bête blessée et jouit une énième fois.
Ma queue et toujours tendue, je reprends position derrière ma fille, et m’enfonce d’un seul coup dans son conduit anal dévasté par les multiples pénétrations de tous genres.
J’ai l’impression d’être dans une étuve, tellement le conduit est brûlant.
Je pilonne sans ménagement le fondement si accueillant.
Cloé reprend ses gémissements, comment est-il possible de jouir du cul de la sorte ?
Elle plante ses ongles dans l’épaule de son oncle en jouissant.
Roger grimace et jouit comme un beau diable, je ne tarde pas à le suivre, je me vide dans le corps de ma fille.