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Une vente pas comme les autres – Chapitre 1

Une vente pas comme les autres - Chapitre 1



Cette journée restera gravé dans ma mémoire pour un bout de temps, en effet ce jour fut particulier pour mon petit ascenseur émotionnel. Je suis marié, cet homme qui nétais pas mon premier malgré le fait que je suis avec lui depuis mes 15 ans (oui jétais précoce). Mariée depuis 5 ans, mon bonheur nà fait que samoindrir durant ses 5 années.

La routine se fait pesante ces derniers temps, une sortie en boite de temps en temps et encore avec ses potes voila la seul modification faite au métro boulot dodo Les sorties au ciné, les restos en amoureux sont devenus rare, tout comme les rapports sexuel. Jai honte den parler à mes copines qui pour le moment me jalouse car daprès elles, jai tout pour être heureuse, cela me frustre.

2 mois quil ne ma pas touché, je me pose beaucoup de questions, me trompe til ? Je crois très peu à cette hypothèse. Bien que je sois souvent absente à cause de ma profession de commerciale, je doute franchement que mon homme puisse me tromper, ses soucis dérection quil subit depuis cette année lui font honte, il ne risquerait pas lhumiliation dêtre impuissant avec un coup dun soir.

Ses soucis mont fait posé pas mal de questions sur mon physique, jai toujours était complexé par ma poitrine que je trouve trop petite, bien que daprès les avis que jai eu, jai une belle poitrine. Je mets des soutiens gorges push up pour tricher mais mis à part cela je nai pas vraiment changé, jai du prendre un peu des fesses et des hanches mais il y a déjà bien longtemps que je suis comme cela, et je crois comprendre que je suis encore désirable car je me fait encore souvent trop souvent draguer par la gente masculine, surtout pas des gros lourds à vrai dire.

Nous sommes lundi, au briefing ce matin japprends que Julie est absente et donc, que cest à moi seul de démarcher Mr x dans sa maison de campagne .On a plutôt lhabitude de voir les clients dans leurs entreprises mais avec les gros, on fait quelques exceptions.

1h de route sous le soleil dun beau mois de mai, après avoir pas mal cherché (mon gps a merdé), je suis un petit peu en retard, je vais rentrer dans son allé mais avant cela comme lapparence joue beaucoup dans mon métier je fais un petit arrêt sur le bas côté pour me remaquiller convenablement, un petit peu de poudre, de rouge à lèvres, une petite touche de parfum, jai bien envie dune cigarette mais le temps me manque, elle maurait fait pas mal de bien car depuis ce matin je fais tout dans la précipitation du fait de labsence de ma collègue, je suis donc logiquement stressée par cette vente, ce stress vient aussi du fait de limportance de cette vente pour lentreprise, pour ma carrière

Je rentre dans cette magnifique maison, je rencontre cet homme en chemisette, cheveux court, couleur poivre et sel, la quarantaine, assez petit il doit faire ma taille en talons donc un petit mètre soixante dix, je ne serais le qualifier de bel homme mais il à un petit truc, ce petit truc nest pas son regard qui est plus quintimidant. Sa façon de me regarder est troublante, il est insistant comme si il essayait de me rendre mal à laise, ce quil réussit à faire.

Nous nous installons à table, je débute nerveusement mon blabla habituel pour présenter nos catalogues, je tremble, il doit le remarquer, jen attrape une suée, jai chaud et je sens sur moi son regard inquisiteur, je fais de mon mieux pour paraitre le plus à laise possible, mais difficile face à lui.

-Et bien enlevé votre veste, je vois que vous avez chaud mettez vous à laise.

-Merci, cest vrai que ces températures nous surprennent

Je navais pas enlevé ma veste de costume et me mets donc à laise, jenlève celle-ci avec soulagement.

-Vous avez un très beau chemisier en plus, voila

Cette remarque me prouve quil me prend de haut. Bien que mon chemisier je lavoue me va plutôt bien, cest un chemisier en coton bleu clair, une coupe italienne, avec col et poignée blanc.

Je lui souris généreusement, il fait de même, ça me fait dautant plaisir que javais limpression quil nen lâcherait aucun durant notre entrevue.

Je prends mon courage à deux mains, retrousse mes manches et continue ma vente avec plus dassurance jusqu’à ce que la sonnerie de mon téléphone retentisse, gros coup de stress, je réponds ?

-répondez, cest peut être important

Je suis morte de honte, je commençais à gagner en assurance et voilà que je reçois un appel deGeoffrey, mon homme Je me lève en lui souriant généreusement et prends lappel dans la grande et magnifique véranda

-ouai cest moi, tu mavais dit quoi pour le chien ce matin, quil fallait quoi ?

-attend tu me dérange en rendez vous pour ça, cest un tournant pour ma carrière ! Bien sur toi tu ne peux pas me comprendre puisque tu nas aucune ambi

Je ne finis pas ma phrase par surprise, surprise de ce qui marrive, en effet mon client sest collé à moi, il me renifle les cheveux, il défait mon chignon, je me retourne et lui sourit un peu mal à laise

-continu ton appel

Il place sa main sur mon ventre ! Mon cur ne fait quun tour, jen attrape une suée, je ne sais que faire

-Tes avec un homme là, cest qui ?

-Mais non cest personne, je suis seul

— Et quest ce que tallais dire là ? Cest pas parce que

Je reste muette, il mattire virilement avec sa main contre lui, je nentends même plus Geo, que faire dans cette situation ? Je ne fais rien, je suis paralysée, je tremblais déjà mais là jen ai même du mal à tenir mon téléphone. Voyant que je ne fais rien, il descend petit à petit sa main, je suis bouleversée, je suis ballonnée, ballonnée dexcitation, ma culotte est attaqué par une vague dhumidité abondante ! La barrière de ma ceinture est passée, il arrive sur mon mont de vénus, il me serre plus fort, je comprends que ce que je pensais être sa boucle de ceinture est en fait son sexe en érection ! Je trouve quelque part, peut être malgré moi le courage de lui signifier mon refus en essayant de retirer sa main.

Il mattrape cette main pour me contrôler à sa guise, jessaie quand même de me défaire de son emprise sans que cela ne puisse être audible mais cest impossible, il me faudrait mes 2 mains pour cela et je ne peux pas raccrocher tout de suite, Geoffrey le prendrait mal, il me parle, je ne sais pas de quoi, je nentends pas, je ne prête pas attention à ce quil me dit, je ne peux pas lui expliquer la situation dans laquelle je me trouve après lui avoir dit être seul, je me suis piégée toute seule !

Je ne peux plus bouger, il me contrôle contre mon gré ? Il place sa main droite sur mon bas ventre pour me caresser tendrement, jai le souffle court, les caresses descendent maintenant sur ma hanche, mes cuisses, lintérieur de mes cuisses je suis littéralement trempée

-Tu mécoutes au moins, jai limpression que je temmerde la ?

-Non je técoute continue

Je ne peux retenir un tremblement dans ma voie et un deuxième

-continue

Pour qui ? Je ne le sais pas moi-même, même si jai ma petite idée, jai surement honte de me lavouer.

Il conduit nos mains vers mon entrecuisse qui il doit le deviner est trempé, ma respiration est haletante alors que sa main droite fait doucement le chemin inverse pour revenir sur mon ventre un instant, juste le temps dune seconde qui me parut éternité. Un gémissement retenu voila ma réaction quand il ma attrapé le sein droit, pour le malaxer avec virilité. Sa main gauche contre la mienne sactive à me caresser lentrejambe, il mattrape lentrejambe, exerce une pression avec nos mains , mon minou noie ma culotte sous ses sécrétions que jaimerai contrôler tant elle me trahisse dans mon « combat » contre cet homme.

-Ta du temps au moins ? Je voudrai pas faire manquer une vente à madame qui fait si attention à ses chiffres car il montre sa réussite allo ?

-euh oui je técoute

Un baiser déposer sur mon épaule

-ta du temps

-oui ! Un oui qui vient de loin, un oui non retenu du fait de ce quil se passe sous ma ceinture, comment ne peut-il pas sapercevoir du manège qui se déroule ?

Un bouton de mon chemisier qui saute je regarde sa main tremblante faire, un second bouton de retirer puis un autre

-Tant mieux parce que la je lai fermé pendant

Un baiser déposé dans mon cou, jai les yeux clos, la tête jetée en arrière( un reflexe physique que jai eu à cause du frisson qui ma parcouru) un baiser sur ma joue, il ne peut pas membrasser sur la bouche dans cette position mais il ne doit plus avoir de doute sur ce quil peut faire de moi. Il me sort difficilement mon sein droit qui était emprisonné, il le malaxe avec virilité, mes tétons sont au moins aussi dur que son sexe ! Une pression plus accru sur ma main, sur ma fleur gorgée de cyprine, je meurs denvie de crier ma jouissance mais je ne peux le faire, je me retiens, sous la retenu je suis obliger de me cambrer, jai presque la tête collé contre la table en verre, mes fesses lui sont offertes, il est affalé sur moi, je sens très bien sa verge en érection, mon imagination travaille, elle dépasse facilement la moyenne !

Jai écarté le téléphone de ma bouche afin que mon mari qui continu son monologue nentende pas mes bruits suspects, mr X me libère mon sein afin denlever sa ceinture, son bouton, sa braguette, son caleçon, maintenant je la sens contre mon pantalon, elle est à lair libre, elle est contre moi, elle est grande. Je ne tiens pas en place, me relève, il abandonne ma main de son emprise pour défaire ma ceinture mais dans un dernier élan de résistance sans doute pour ma conscience, je le repousse en arrière de ma main libre. Vaste rejet quest cette molle poussette qui ne le freine pas dans ses ardeurs, il a reprit le contrôle de ma main quil place sur sa queue ! Dinstinct jai resserré ma main pour exercer une pression.

Il défait ma ceinture, jai épuisé toute mes cartouches, il fait, je fais glissé ma main sur sa bite, elle est longue, son gland est énorme, mon bouton est attaqué, il ne résiste pas, ma braguette non plus, doucement, presquaussi doucement que la masturbation qui lui est faite mon pantalon descend à mi cuisse, sa queue est maintenant vraiment contre mes fesses

-Tu me comprends ?

Sa main saventure derrière lélastique de ma culotte littéralement trempée dextase, elle caresse mon abricot gonflé à bloc, chauffé par sa main qui de par notre faute est déjà trempé. Il approche un doigt, je retient ma respiration jusqu’à ce quil sintroduit en moi, si facilement, cest si bon

-Je suis désolée bébé.

puis un deuxième doigt, ses doigts sont hyper-actif,ils chatouillent mon point g, le violente par moment, mon désolé est annonciateur de ma faiblesse, de lerreur que je commets.

-Je savais que tu me comprendrais parce que tu sais

Je place mon téléphone contre mon buste pour quil nentende pas les gémissements que je ne peux retenir, il membrasse sur la joue, sur le coin de la bouche, je reprends le téléphone en essayant de faire le moins de bruit possible, cacher mes gémissements pour ce qui est de la respiration haletante cest une autre affaire

-je vais te laisser finir ta vente on en reparle à la maison ?

Il me lâche la main, je le masturbe seul maintenant en tirant sur sa queue avec application, son gland est humide, il me mouille la fesse à chaque contact de son liquide pré-éjaculatoire.

-Ouiii pardon bébé, désolé

Il membrasse sur le coin de la bouche, me fais tourner la tête au sens propre cette foi-ci avec son index

-Cest pas grave. Il raccroche.

pour rencontrer mes lèvres, pour chasser ma langue qui ne refuse pas la rencontre !

Langoureux est notre baiser, troublant dexcitation fut mon ressentiment !

Je me sens bête, jai toujours le téléphone collé à loreille comme si mon mari navait pas raccroché, comme si jétais toujours coincé alors que dorénavant je suis libre de faire ce que je veux avec mes mains. Et pourtant je me fais, jembrasse cet homme, que je masturbe, qui me masturbe, jai le pantalon à moitié enlevé, le chemisier à moitié déboutonné, un sein à moitié sortit, et je suis déjà à moitié infidèle ? Le suis-je déjà ? Je le serais donc à quoi bon se poser la question.

Nos lèvres se séparent sous mes gémissements maintenant lâchés.

Je décolle enfin mon portable de mon oreille, alors quil donne de loxygène à ses doigts recouvert de mouille, ses doigts, sa main soccupe de faire descendre délicatement ma petite culotte.

Il doit être impatient car il ne fait descendre ma culotte qua mi cuisse. Impatiente je le suis aussi, je prends appui sur la table pour lui offrir ma croupe, pour quil me pénètre enfin !

Sa queue approche, je sens sa chaleur, elle arrive enfin, son gland caresse mes lèvres, il les écartent si largement pour introduire son gland qui fait chemin en moi.

-aaaah !

Un aaaah de soulagement

Il mattrape lépaule gauche avec sa main gauche, pose sa main droite sur ma hanche marque un temps darrêt puis rentre fort et revient doucement, il donne des coups lourds, puissants qui bute au fond de moi et qui marrachent un cri à chaque coup de rein ! Je me fais culbuter !

Mon portable que je tiens toujours ne va pas survivre tellement je le serre fort, un autre coup de rein, mon téléphone sonne, la photo de mon homme apparait, des contractions de jouissance me transpercent, des vas et des viens de plus en plus rapide, jen lâche mon téléphone qui glisse sur la table en vibrant

-Cest ton mari ?

-ooouuuuuiiiiii

Mes contractions sont de plus en plus intenses, mon vagin aspire son sexe dur comme de lacier.

Il se fait plus rapide mais tout aussi violent, il accélère ostensiblement le rythme, mes gémissements, les bruits de claquement de nos corps résonnent dans toute la maison !

Il fait une chaleur étouffante, la chaleur traverse nos corps suant de désir.

Je suffoque comme une chienne, il me retire son généreux membre

Je veux voir sa queue et lui fait face, la dureté de son érection est telle que si celle-ci avait un viseur mon visage en serait la cible principale, elle est droite comme un I

Sa pilosité pubienne est faible, il lentretient, ces testicules sont complètement imberbe ce qui me donne envie de les caresser pour tester leur douceur, sa queue est longue, très longue peut être 22cm, elle ne parait pas très grosse mais cela est sans doute du à son gland qui est effectivement énorme, il est dun beau rose vif, je meurs denvie de le prendre en bouche mais ce quil me propose ma lair plus satisfaisant.

Il me porte sur la table, me fait basculer en arrière en levant mes jambes quil pose sur son épaule droite, il réduit lentement la distance qui sépare mon minou de sa virilité, elle entre en moi timidement lentement, me laissant le temps dapprécier la grosseur de son gland, dapprécier la dureté de sa verge ! Sans signe annociateur et à mon agréable surprise il a démarré des va et vient bestiaux !

Son sexe tape le haut de mon vagin, il violente ma chatte visant juste à chaque fois, me donnant décharge de plaisir après décharge de plaisir, je navais jamais ressenti une telle sensation.

Il déboutonne enfin les 3 derniers boutons de mon chemisier, sort mon deuxième sein de son agonie, il en malaxe un avec violence et observe le second danser au rythme de ses coups de rein

Mes gémissements, mes cris communiquent la chaleur interne ! Je crois comprendre dans mon excitation que celle-ci vient du point g que je découvre !

Il doit penser que jen rajoute tellement mes cris sont généreux, ma mouille doit le convaincre de ma franchise, elle est terriblement abondante coulant même sur mes cuisses !

Je nai jamais autant crié, pris de plaisir que maintenant, je voudrais que cela dure des heures, jai des bouffées de chaleur folle, des contractions vaginale olympique, elles sont longues, fortes, puissantes, de plus en plus déroutante, jaspire sa queue au plus profond de moi, mes gémissement sont de ce fait plus long, plus fort

Je vais atteindre le summum de lextase, je le sens arriver, je narrive plus à me contrôler, mes muscles se contractent, je tremble, jétouffe sa queue en serrant mes jambes au maximum, jétouffe sa queue à cause de la pression féroce de ma chatte, sa bite se débat en se contractant par spasme, elle trésaille en moi, je sens le moindre mouvement de sa queue, jai crée un moulage de sa verge en moi, il va gicler !

Je gémis comme une folle, lalchimie est absolument parfaite, je libère un orgasme monstrueux quil accompagne du sien !

Il éclabousse de son foutre les quatre coins de mon vagin, son éjaculation est lourde, épaisse, puissante, abondante !

Il reste en moi un instant, je suis allongée sur la table, les yeux fermés, je savoure très peu de temps car je me rend compte de ce que je viens de faire, je viens de tromper mon mari avec un inconnu, je me suis faite baisé sans capote, comme une vulgaire salope et jai aimé cela, je suis allongée sur une table, à moitié déshabillé, mon chemisier collant de sueur ouvert prouvant la bestialité du rapport, un sexe encore en moi, les cuisses dégoulinante de mouille, la chatte inondée de foutre

Jouvre les yeux, il mobserve, sort enfin sa verge, je ne peux rester ainsi, je me lève, descend de la table en verre dou mes fesses, mon corps suintant ont marquées leurs empreinte, il est face à moi, aucun mot ne sort de nos bouches, je remonte ma culotte, mon pantalon sans prendre la peine de chercher à me nettoyer. Il est toujours face à moi, sans un bruit et honteuse de moi je magenouille et prend sa queue en bouche !

A mon contact je la sens se rendurcir a une vitesse incroyable, ma bouche ne lui suffisant surement pas, je laccompagne dune masturbation « énergique » je peux carrément placer mes 2 mains sur sa verge tant sa queue est longue, ne parlons pas de son gland il est énorme !

-Regarde moi salope

Humiliant, voilà le mot qui défini ce que jai ressenti en croisant son regard, malgré cela jai continué jusqu’à ce quil me repousse et me dise

-ouvre la bouche !

Son sexe sursautant, son sexe propulsant son foutre sur mon visage, discipliné jencaisse les jets les yeux fermés, je sens la violence du liquide me frapper la peau. Il a fini, jen ai sur les lèvres, les yeux, le front, partout !

Je suis resté agenouillé, les yeux clos, jusqu’à ce quil mapporte un paquet de mouchoir avec lequel jai essuyé les « traces », je venais pour la première fois de recevoir du foutre masculin sur mon visage, je navais jamais accepté jusqu’à là

Jai laissé les mouchoirs au sol, remis mes seins au chaud puis me suis rendu plus présentable sur le chemin de la pièce à vivre en réajustant ma tenue avec mon « statut ». Quel statut avais-je à ses yeux, est ce que je suis encore la jolie commerciale ou suis-je déjà devenue une vulgaire catin ?

-Voilà jai tout signé, cest bien ces feuilles que je devais signer ?

-Oui

Je lui souri encore, quelle cruche, il va surement penser que jai fait ça pour avoir le contrat, lai-je fait pour le contrat ?

Le temps de ranger mes nombreux dossiers qui ne mauront pour la plupart pas servi

-Bon je pense que nous avons fait affaire me dit-il avec le sourire jusquaux oreilles

Ce sont ses mots qui mont accompagnés jusqu’à la sortie, je ne lui ai pas répondu, je ne lai pas regardé, je suis repartie, honteuse je lai regardé tout le long de son allé dans mon rétroviseur, il était sur le pas de sa porte avec son air satisfait, satisfaite, moi ? Linconfort de ma culotte encore trempé en témoigne

Jespère que vous avez aimé cette histoire, pour améliorer mes récits je suis ouvert à tout commentaire sur lhistoire, la façon décrire Bisous !

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