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La chanteuse – Chapitre 1

La chanteuse - Chapitre 1



On lui prête je ne sais combien daventures : son sex-appeal est très fort : je comprends pourquoi elle aurait une foule damants plus ou moins passagers, à lire les journaux people. Ce que je ne comptais pas du tout faire, malgré sa beauté était laventure suivante. Elle faisait une grande tournée en France, ses salles étaient toujours bourrées.

Après le spectacle elle dîne avec son équipe dans un restaurant réputé. Dès la fin du repas, elle se lève pour aller prendre lair un moment avant de rejoindre son hôtel. Je la croise en allant chez moi. Je la connais comme beaucoup de français, même si je nai pas été à son show. Elle marche sur le trottoir, trébuche, se trouve en équilibre instable : heureusement que je suis juste derrière elle : je la retiens par un bras, dun geste inconscient.

Elle se retourne je peux la voir de près : elle est plus belle que sur les photos, avec sa robe noire collante. Elle me sourit comme je lui souris également.

— Merci beaucoup mademoiselle.

— Mais de rien, cétait normal.

— Tiens je vous invite à venir boire un champagne dans ma chambre.

Il est un peu tard, tant pis elle parait sympa, je laccompagne jusquà son hôtel. Je ne risque rien dune telle femme.

Elle prend une bouteille dans le petit frigo, sort deux verres me fait asseoir sur un fauteuil pour venir sinstaller sur un autre. Nous bavardons comme de vielles copines qui se retrouvent.

— On peut se tutoyer, non ?

— Bien sur, cest plus amical.

— Tu aimes faire lamour, moi beaucoup.

— Moi aussi, je ne suis pas comme toi, je nai pas une foule dhommes que me courent après.

— Nécoutes pas ce quon colporte sur moi. Viens près de moi, tu verras ce que jaime.

Je suis curieuse, je me demande ce quelle veut montrer. Je vais près delle en sirotant ma flûte dun champagne fameux. Elle sapproche su bord du fauteuil comme pour mieux me parler. Je suis surprise quand elle mentoure mes jambes de mes bras.

— Ce que jaime cest les filles comme nous, et toi ? Tu naimes pas les filles dans un lit.

Ça y est je suis tombée sur une lesbienne, moi qui nai jamais fait lamour quavec des hommes, sauf une fois avec une copine quand nous nous amusions à singer une femme un peu masculine.

— Je ne sais pas si jaime les filles dans un lit, je nai jamais essayé.

Je ne te force pas, je peux tappendre simplement : cest facile. Et en plus avec moi tu jouiras comme jamais.

Tout en parlant elle pose sa tête juste sur mon pubis. Jen sens la chaleur à travers ma jupe. Ses mains sur ma jambe sont actives puisquelle monte doucement vers mes fesses. Je ne me défends même pas : je subis comme un insecte pris dans une toile daraignée.

Elle se lève pour venir contre moi. Je sens à travers sa robe les pointes de ses seins. Elle pose ses lèvres sur une joue, puis sur le cou. Jai brusquement envie de je ne sais quoi. Si je crois connaître la suite, elle fait ce quelle peux pour mexciter. Je me laisse aller à mes plus bas instincts. Quelque chose me dit que je vais passer un bon moment. Sa poitrine caresse la mienne à travers nos vêtements.

Je sens lhumidité de lexcitation envahir ma chatte. Je la laisse faire quand ses mains remontent le bas de ma jupe pour aller bien haut entre mes fesses.

— Tu aimes te faire enculer ?

Elle emploie des mots crus.

— Oui jaime bien sentir une queue au fond de mon cul.

— Tant mieux jaime caresser les fondements des filles. Je les fais jouir ainsi avant de les faire jouir encore plus fort.

Ses doigts passent le long de ma raie pour venir juste sur le rectum. Mes amants ne mont jamais fait ce genre de caresses. Cest redoutable quand je sens son doigt me masser le cul. Jécarte un peu les jambes, vaincue par son désir et par mon envie de connaître autre chose. La garce, elle me fait jouir bien vite : je suis à sa merci.

Elle me déshabille lentement comme le ferait un homme avec plus de tendresse. Je suis nue, totalement nue devant une fille que je ne connais depuis moins de deux heures.

Elle enlève sa robe noire : elle est nue dessous. Son corps svelte mattire, elle est plus belle que moi. Jadmire ses seins, sa taille ses hanches larges qui désigne ainsi une femme capable de porter des enfants alors que ce que nous allons faire est un peu contre nature.

Je sens tout son corps contre le mien. Elle est bien plus douce quun homme. Surtout je ne sens pas contre mon ventre une bite bandée ; cest presque bizarre. Ses mains parcourent tout mon dos, à la recherche de caresses qui me donnent la chair de poule. Jessaie de rendre tout ce quelle me fait. Je trouve sa peau parfaitement lisse. Je peux caresser le début de ses seins quand elle touche les miens.

Enfin sa bouche est sur le mienne. Jouvre la mienne dans un réflexe dans un réflexe animal. Cette fois je suis réellement sa chose : elle descend une main vers la chatte. Je me laisse faire, et participe même en écartant mes jambes. Je sens quand un doigt vient dans ma fente. Elle ne peut ignorer que jai envie tellement je mouille. Son doigt glisse dans mon intimité. Jen voudrais encore un peu plus.

Elle le sait quand elle me pousse sur le lit. Je voulais quelle me branle lentement. Pourtant je suis sur le lit, les jambes pendantes. La position doit lui plaire : elle peut voir tout mon sexe mouillé. Elle sapproche lentement de moi, ses doigts sont sur moi, enfin uniquement sur mes seins quelle caresse en faisant ressortir mes tétons durs. Je meurs denvie quelle caresse mon bouton. Elle ne fait rien dans ma chatte sauf quun instant très court après je sens sa bouche sur mon abricot. Elle membrasse là comme si cétait ma bouche. Cest agréable de la sentir là. Sa langue commence ses fouilles par le bas là où elle ma mit un doigt quand jai jouis tout à lheure. Je la sens lécher dabord avant de forcer un peu pour pénétrer. Elle arrive à entrer à peine dans mon cul. Quelle excellente sensation de sentir une langue dans cet endroit si secret où jusquà présent ne sont entrées que des bites. Elle prolonge longuement sa caresse. Je jouis encore une fois.

Maintenant elle entre dans ma figue. Je ne sais ce quelle me fait : je jouis toujours. Le sommet de lorgasme est quand elle prend mon clitoris entre ses lèvres. Je vais mourir.

Elle me fait mettre bien couchée sur le dos pour venir membrasser collée contre moi. Je retrouve lodeur et le goût de ma chatte dans sa bouche. Ses lèvres prennent mes seins pendant que sa main descend vers le pubis.

Je comprends à cet instant que je dois moi aussi la masturber, la faire jouir. Jarrive à ce que je veux facilement : elle écarte bien les cuisses. Je trouve rapidement mon objectif, un peu direct mais utile : son bouton. Je ne le caresse que dun seul doigt. Elle tend son bas ventre vers ma main. Je la masturbe longuement en arrêtant souvent, comme je fais pour moi.

— Vas plus vite, fais moi jouir, jen crève.

— Branles moi en même temps.

Je reçois à nouveau sa main qui se fixe elle aussi sur mon petit bouton. Que cest bon de nous masturber ensemble. Elle est aussi mouillée sinon plus que moi. Elle part un instant avant moi. Nos bouchent sembrassent à nouveau. Ma main va à la recherche de son anus. Je veux moi aussi la sodomiser. Je récolte un peu de cyprine dans ma main pour aller la lui mettre sur son cul. Jentre deux doigts facilement en pensant quelle doit bien se faire enculer par autre chose que des doigts.

Elle ma mis trois doigts dans le vagin. Que cest bon ces mouvements de va et vient. Mon intimité est violée depuis un moment et jen jouis toujours. Elle me branle bien, comme peu dhommes savent me le faire.

Nous arrêtons pour une suite normale : nous nous mettons en 69. Jai sa moule sur ma bouche et la mienne léchée avant que je sois en bonne position. Je préfère cette position qui nous rapproche pour mieux jouir ensemble. Nous ne comptons plus nos orgasmes, nous jouissons simplement.

Il se fait tard, je mendors entre ses cuisses pour me réveiller bien plus tard avec son odeur de femme comblée dans le nez. Ce nest quen me réveillant le lendemain que je termine ce que javais commencé. Je la lèche pour quelle se réveille.

— Tu es une garce, tu ne connaissais rien à lamour saphique et tu me réveille en me léchant.

— Tais toi et suces moi maintenant.

A nouveau en 69, nous continuons notre baise. Elle ma ouvert les yeux sur lamour au féminin. Cest elle qui conclue :

— Je tinvite chez moi : je nai personne dans ma vie, personne de fixe, jen ai marre de changer de fille. Restes avec moi là où jhabite.

— Tu habites où ?

— En plein bled vers Paris.

— Nous baiserons ?

— Quand tu voudras.

— Mais que vont dire les gens ?

— Rien : tu seras ma secrétaire.

— Baisons encore une fois avant daller chez toi.

— Tu sais chez moi jai de quoi nous enculer avec des godes gros comme tu aimerais. Jen ai un double pour nous baiser ensemble comme tu dois aimer, ou nous faire des doubles pénétrations.

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