Un après-midi de chien ! Il pleut, les rendez-vous ne se font pas comme je veux et je galère !
Bon je me sors de ce parking souterrain et je vais bosser plus loin, je m’élance dans les pistes de ce parking triste à mourir, lumière blafarde et ce gris…pas bon pour le moral ! M… Je plante sur les freins et j’entends un grand bruit en même temps que le choc qui me secoue dans ma voiture…Eh bien voilà, il ne manquait plus que cela pour couronner la journée ! Bon les esprits repris, je sors de la voiture, prends le temps de m’allumer une cigarette et je me concentre pour faire l’état des dégâts, on ne va pas s’énerver.. Je regarde l’avant de ma voiture encastrée dans celle qui sortait du parc, bof pas grand chose, rien de grave. La porte de la voiture qui m’a si bien embrassé s’ouvre et une femme d’une quarantaine d’années sort. Elle a les yeux paniqués et l’air sincèrement désolée. Je m’adresse à elle :
— Rien de cassé ?
Elle me répond en secouant négativement la tête…enfin elle me regarde et me dit
— Et vous ?
Je rigole devant son air et lui dis :
— Cela pourrait être pire
Et je lui souris !
Elle me regarde étonnée, je ne crie pas contre une femme au volant moi homme conducteur ?
— Bien écoutez, il va falloir faire un constat non ?,
Elle hoche la tête, je sens bien que je dois prendre la situation en main.
— Bon on sort du parking, j’aimerai dégager la piste, on va où ?
Elle me regarde et me dit doucement,
— Venez chez moi, je n’habite pas loin.
Je recule …encore ce bruit de tôle, elle passe devant, nous sortons de ce parking et je la suis, je note vite son numéro d’immatriculation, on ne sait jamais ! Nous arrivons devant une maison elle ouvre la grille et nous nous arrêtons devant sa maison. Enfin, je la regarde…châtain foncé et des yeux verts comme je n’ai jamais vu. Sans être belle, elle est adorable, je prends le traditionnel constat européen et je me dirige vers la porte d’entrée, elle m’attend, je rentre, c’est joli sans grande fantaisie.
— Mettez-vous au salon, je nous prépare du café.
Je m’assieds sur un canapé et je commence à remplir ce que je peux du constat,
— Du sucre ?
La voix vient de la cuisine, je réponds positivement au petit plaisir du carré blanc. Elle rentre dans le salon en tenant les deux tasses, elle a enlevé son manteau, elle porte une robe en laine qui moule ses formes, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’elle est bien conservée ! Elle vient s’asseoir à côté de moi et me dicte toutes les indications pour remplir ce formulaire, j’apprends qu’elle s’appelle Marina et qu’elle est divorcée…enfin nous concluons cette formalité dans une bonne entente et avec de l’humour. Elle a un parfum qui me charme, elle parle de choses et d’autres, je suis fasciné par ses yeux quand soudain elle me dit :
— Je vous ennuie ?
Je bafouille que non et en la regardant droit dans les yeux je me rattrape en lui disant bêtement,
— C’est à vous ces yeux là ?
Elle rit d’un rire cristallin et pur, quelle belle femme ! Elle s’approche de moi, se penche et me dit
— Vous vous voulez les voir de très près ?
Elle est face à moi et des idées lubriques me viennent à l’esprit, je sens son haleine et je me risque à tendre la main pour lui caresser la joue, elle me sourit et comme dans un rêve au ralenti, ses lèvres se posent sur les miennes, elle se colle à moi, nos langues se rencontrent et se découvrent. Mes mains se posent sur son dos et je la caresse gentiment, par contre les siennes vont directement au point sensible qui me déforme mon pantalon, moi qui avais pris la direction pour le constat, là je ne dirigeais plus rien… Ma ceinture et mon pantalon rejoignirent la moquette, ses mains agiles et légères prirent possession de mon membre, elle s’appliqua pour me masturber de façon très superficielle, elle quitta mes lèvres me regarda droit dans les yeux avec un sourire et se mit à genoux devant, par réflexe, j’écartais les jambes. Elle me regarda dans les yeux et dit :
— Regardes bien mes yeux !
Maintenant sa bouche s’approcha de mon gland sa langue sortie et elle commença à me lécher, ses yeux toujours dans les miens, moi je m’y noyais et je ne contrôlais plus rien ! Sa bouche avait pris ma verge et la caresse qu’elle me prodiguait me fit fermer les yeux ! Elle avait gagné ! La chaleur me gagnait et je sentais ses cheveux qui frottaient mon ventre et les prémices du plaisir arriver, un sursaut de lucidité me fit ouvrir les yeux et là.. Je restai sans voix, Marina n’avait rien entendu comme moi, d’ailleurs elle continuait son uvre avec passion, malgré son habilité je me sentis débander, elle aussi, elle leva la tête et me dit:
— Cela ne te plaît pas ?
Mes yeux fixés sur le centre de la pièce lui firent tourner la tête, au milieu de la pièce se tenait une femme, qui nous regardait avec des yeux amusés ! Une fois que nos regards étaient sur elle, elle dit avec un ton coquin :
— Marina, je ne devais pas passer te chercher pour le fitness ? Tu aurais pu me le dire que tu avais pris un "engin" à la maison pour tes exercices physiques !
Marina lui sourit, elle me regarda et me dit .
— C’est Chantal, une amie.
Je restais sans voix, devant le ridicule de la situation, Marina était encore habillée elle!
Chantal restait plantée dans le séjour et Marina brisa la glace :
— Je suis désolée, je n’ai pas vu le temps passer et…
Chantal l’interrompit en lui disant :
— Non, non, pas de problème, je comprends et en soupirant.. Je t’envie !
Marina :
— Attends tu te méprends monsieur a eu un accident avec moi et…
Chantal éclata de rire en disant :
— Oui je vois le genre d’accident, tous les jours des pépins comme ça !
Cette phrase nous fit rire tous les trois. Chantal s’avança vers nous et se mit à genoux à côté de Marina surprise. Elle l’a regarda droit dans les yeux :
— On fait comme au fitness, on se prête l’engin ?
Marina lui sourit et dit :
— Entre divorcées on est solidaires non ? Chantal sans autres formes de procès s’empara de mon sexe et le caressa pour lui redonner de la vigueur, pendant ce temps Marina se redressa pour venir à côté de moi, s’empara de ma bouche pour reprendre le combat de nos langues, mon sexe avait repris une allure plus fière dans la bouche de Chantal, et moi je m’appliquai à enlever les vêtements de Marina qui lui couvraient le corps. Les pièces de son habillement volaient dans la pièce et je découvrais un corps ferme, un grain de peau très fin, des seins magnifiques. Ma bouche s’était emparée des ses tétons et je m’appliquais à les sucer et les lécher. Marina passait ses mains dans mes cheveux et gémissait de plaisir. Chantal me pratiquait une fellation d’une douceur incroyable qui avait certainement le but de me maintenir en forme, plus que de me finir.
Je me glissais au fond du canapé et fit venir Marina sur moi. Son sexe dégageait une odeur enivrante et c’est avec délice que je plongeais ma langue dans son intimité humide de désir. Je m’abreuvais de son nectar et jouais avec son clitoris, mes mains se perdaient sur ses seins et sur ses fesses, elle bougeait comme une reine de l’amour et cherchait un contact très proche entre mes lèvres et ses lèvres intimes, je glissais un doigt dans son intimité et c’est là qu’elle gémit plus fort, que je sentis sa jouissance sur et dans ma bouche. Elle s’affala sur le côté du divan avec un sourire heureux sur les lèvres. Je pus juste à ce moment prendre la tête de Chantal pour lui faire cesser sa fellation, j’étais au bord de l’éjaculation. Je la fis lever, je m’assis au bord du canapé et j’approchais son sexe blond à mes lèvres pour le violer de ma langue d’une façon dynamique et énergique, elle gémissait plus bruyamment que Marina, qui était à genoux derrière moi et qui me caressait le dos et les pectoraux, Chantal voyant le tableau que nous offrions à ses yeux, jouit d’une façon très expressive et s’affala sur la moquette. C’est seulement à ce moment que je remarquai qu’elle était entièrement nue ! Comment avait-elle fait, j’avais vraiment l’impression qu’elle ne m’avait jamais lâché avec sa bouche au moment de sa fellation ! Je me retournai vers Marina, j’avais envie d’elle, elle le comprit et à mon regard et elle se coucha sur le canapé en écartant les jambes, je me couchais sur elle et je la pénétrai, quel instant de bonheur, la découverte de l’autre intimement, j’effectuais les mouvements que la nature nous dicte dans ces moments là, ces seins balançaient de manière obscène et désordonnée. La vision du visage de Marina déformé par la recherche du plaisir et la danse de ses seins provoquèrent en moi une jouissance qui me fit vibrer tout le corps et me libéra de toute la tension accumulée lors des fellations, masturbations et autres caresses qui m’avaient maintenus sous pression jusqu’à ce point de non-retour. Marina respirait bruyamment et son orgasme m’avait comprimé mon pénis et quelques ondes de plaisir me parcouraient encore dans le corps. Affalé sur Marina, dans un moment de tendresse difficile à décrire hors du contexte, nous primes soudain conscience que nous avions presque oublié Chantal. Celle-ci était dans un fauteuil, les jambes sur les accoudoirs et sans aucune pudeur, elle se caressait son sexe qui luisait de mouille, je fis un bisou à Marina et à quatre pattes je me rendis vers cette grotte d’amour, mes lèvres trouvèrent très rapidement la forme de son vagin et ma langue entreprit une danse sur son clitoris tout dehors et rougi par les manipulations de sa propriétaire. Une main sur ses seins et une autre qui lui câlinait son adorable postérieur, un doigt inquisiteur se promenant dans sa raie à la recherche de son illet. Chantal me pressait la tête de toutes ses forces pour augmenter la pression sur son pubis. Je m’activais de plus belle et mon doigt préalablement lubrifié dans son vagin, parti visiter son anus de façon délicate et au moment où j’avais effectué plusieurs va et vient, elle coula dans ma bouche en lançant un cri de plaisir qui ne laissait aucun doute sur sa jouissance. Moi j’avais repris de la vigueur et cela se voyait ! Une fois retourné, je vis Marina sur le divan, allongée, paisible qui me souriait. Je me déplaçais vers elle et elle me prit dans ses bras. Son odeur, sa peau me rendait fou.
D’un geste décidé, je la plaçais les seins contre les coussins du canapé son adorable postérieur au bord du divan. Je la pris en levrette avec un peu moins de tendresse que lors de notre premier rapport, je voulais la posséder, m’imprimer dans ses chairs, m’imprégner d’elle. La réaction ne se fit pas attendre, Marina s’activait et venait à la rencontre de mon pénis, nous bougions comme des déments et alors que je me répandais en elle en hurlant et en serrant mes mains sur ses hanches, Marina poussa des cris de plaisir !
Une fois calmé, je m’assieds sur la moquette et Marina vient se lover contre mon buste.
Chantal habillée, nous regardait tendrement, nous fit un signe de la main et sortit de la maison sans un mot.
Marina, les mains sur mon torse, la tête sur mon épaule semblait pensive.
Qu’est-ce que tu as ? Ce n’était pas bien ?
Elle me fit un sourire et me dit :
— Non. non, tu as été merveilleux mais.je peux te poser une question ?
Je répondis par un silence, qu’elle prit pour un accord et elle continua
— Tu ne crois pas que Chantal est frustrée ?
Cette fois je répondis
— Pourquoi ?
Et brutalement elle me fixa et me dit :
— Pourquoi tu n’as pas fait l’amour à Chantal
Je la fixais et je lui murmurais :
— Ce n’est pas pour elle que j’ai eu un coup de foudre et que j’aime.
Des larmes jaillirent de ses yeux, nos mains se joignirent avant de repartir en exploration de nos corps pour reprendre ce désir de chair et d’amour qui nous tenait. Un rayon de soleil traversa la pièce pour caresser nos corps déjà unis.
N’oubliez pas votre constat européen en cas d’accident, cela peut finir en bonheur.