Elodie était aux anges. Le dossier qu’elle avait sous le bras était la rampe de lancement d’une nouvelle carrière ! Elle fila hâtivement vers la machine et café, et se réjouit de trouver l’endroit désert. Elle était trop pressée de se rendre à son bureau, et de siroter un thé au citron en découvrant toutes les pièces du dossier, pour discuter de quoi que ce soit à qui que ce soit.
Une fois installée devant son bureau parfaitement rangé (elle était toujours extrêmement ordonnée sur son lieu de travail), et la première gorgée de thé consommée, elle étudia les données. Elle commença par les fiches d’identité des disparues. Les fiches s’accompagnaient de photos.
La première était Lisa Asthoën, 1 mètre 70, 27ans, sans emploi. Célibataire sans enfant. Française. Habite seule dans un pavillon à une cinquantaine de kilomètres des lieux. Les photos désignaient une belle femme noire, mince, qui portait un joli haut à travers lequel on pouvait deviner de jolis seins en forme de poire. Elle dégageait un charme certain.
La seconde se prénommait Alice Frenielle, 1 mètre 61, 19 ans, étudiante en commerce de l’art. Célibataire sans enfant. Française. Habite seule dans un studio à environ 30 kilomètres des lieux. Physiquement, elle aussi était ravissante. C’était une charmante rousse aux yeux verts, qui portait des discrètes tâches de rousseurs sur son visage. Elle avait une taille de guêpe, des belles fesses, et des seins qui, bien qu’assez gros, avaient l’air bien proportionnés. A croquer.
Elodie constata qu’en effet, il n’y avait aucun rapport entre ces femmes si ce n’était leur beauté et leur situation familiale. Les autres éléments du dossier étaient sans grand intérêt.
En reprenant un gorgée de thé, elle se dit que sa première enquête risquait d’être délicate à mener.
Elle passa la journée à synthétiser les données, à rentrer les infos sur ordinateur et à tenter de questionner la police sur l’enquête en cours (sans succès).
Elle rentra chez elle vers 19h. Avant de mettre la clé dans la serrure, elle sentit une délicieuse odeur de nourriture. Elle sourit d’aise, sachant qu’il s’agissait de son homme qui était derrière les fourneaux. Il ne cuisinait pas tous les jours, mais lorsqu’il s’y mettait, le résultat était toujours délicieux !
Elle entra furtivement dans l’appartement, bien décidée à le surprendre. Elle se mit sur la pointe des pieds et pénétra lentement dans la cuisine. Elle faillit pouffer de surprise : en effet, Guillaume, qui était dos à Elodie et en train de râper des carottes sur le plan de travail, portait pour seul vêtement un tablier de cuisinier. Elle s’approcha doucement en vue de donner une belle claque sur les fesses de son mari. Cependant, celui ci déclara :
— "Je t’entends, chérie.
— "Oh non !" Pesta t-elle, avant de le serrer dans ses bras
— "Je pensais pourtant avoir été discrète !" Rajouta t-elle. "Tu as passé une bonne journée, mon amour ? En quel honneur tu nous fais à manger ?
— "Tu es aussi discrète que le Géant Vert se déplaçant en chaussures de ski. Oui j’ai passé une bonne journée, merci." Il tourna la tête pour embrasser sa femme aux coins des lèvres, puis continua à s’occuper de ses carottes. "Je te cuisine une daube aux carottes et aux champignons pour te féliciter pour ton premier reportage."
— "Tu n’as pas oublié ! Tu es un ange !"
D’humeur joyeuse et taquine, elle se mit sur la pointe des pied afin que ses dents et sa langue puissent jouer s’amuser avec le lob de l’oreille du charmant cuisinier. Celui-ci avait bien mérité un peu de soutien moral ! Guillaume arrêta subitement sa besogne.
— "Ne t’occupe pas de moi." Lui susurra Elodie. "Fais comme si je n’étais pas là…"
Elle revint à la charge, mordillant son oreille, lui soufflant doucement dessus. Pendant ce temps, elle passait ses mains sur les pectoraux bien formés de Guillaume, sur ses abdominaux fermes, sur ses épaules musclées… Elle profita un moment de ce corps qui lui faisait tant envie, puis s’en décolla, enleva son blazer et son chemisier, et fit tomber son soutien gorge. Elle fit profiter à Guillaume de la douceur de ses seins contre son dos, se plaquant et se frottant à nouveau contre lui. Ses mains repartir à l’exploration du corps de Guillaume, et elle choisit cette fois-ci de manger le cou de son mari plutôt que son oreille.
Le concerné respirait bruyamment, il avait l’air d’avoir beaucoup de mal à se consacrer à la confection du repas, ce qui amusait Elodie.
Celle-ci décida d’en rajouter une couche. Elle laissa glisser ses mains jusqu’au sexe de Guillaume. Le morceau de chair était déjà à moitié bandé. Sans encore l’attraper véritablement, elle fit courir ses doigts le long de la verge, effleurant de temps à autre le gland déjà lubrifié par le liquide séminal. Ses attouchements eurent bientôt l’effet escompté, puisque le membre finit par se redresser totalement, ce qui permit à Elodie de sentir cette jouissive chaleur et raideur qu’elle prit fermement dans sa main droite. Elle le branlotta tandis que son autre main s’occupait de ses boules. Elle les caressa, les serra doucement, les cajola pendant une minute ou deux, puis rejoignit la première main. Elle masturba ainsi la queue de Guillaume, et entoura le gland de la paume d’une main, le compressant légèrement. En maintenant cette pression, elle fit courir ce fourreau improvisé le long de la verge de Guillaume, jusqu’à son bas-ventre. Elle reproduisit ce geste avec sa main gauche, puis avec sa main droite, et ainsi de suite. A chaque fois ses mains récupérait un peu de liquide séminal, leur permettant de glisser facilement.
Guillaume avait carrément arrêté toute cuisine, il était incapable de se focaliser sur autre chose que les caresses d’Elodie.
Elle s’empara de la queue de Guillaume, et le branla incessamment. Celui-ci soufflait de plaisir. Infatigable, elle accéléra son geste et garda ce rythme. Toutefois, Guillaume le prévint :
— "Stop chérie, arrête arrête… Je vais jouir si tu continues…!"
Elle ralentit, et lui glissa à l’oreille ;
— "Tu as raison : je préfère en garder un peu pour tout à l’heure.
— Me voilà frustré désormais ! Je te préviens, tu vas passer un mauvais quart d’heure !" Plaisanta t-il.
-" Seulement un quart d’heure ?
— C’est ça, moque toi ! Vas te détendre dans le salon, je finis de préparer à manger. Je t’ai servi un apéritif sur la table basse.
— Si tu savais comme je t’aime, toi !"
Elle lâcha sa queue de Guillaume, lui donna une petite tape sur les fesses, et s’enfuit en direction du salon, sans remettre son chemisier.
Elle y trouva effectivement un verre de Porto, son alcool préféré. Elle s’installa dans le canapé, et prit une gorgée de la boisson. Elle était au Paradis : la soirée promettait d’être aussi délicieuse que le contenu de son verre, qu’elle finit assez vite. Elle s’en resservit un deuxième.
Elle posa sa tête sur l’accoudoir, s’affala sur le sofa. Elle essaya de porter le verre à ses lèvres, mais, dans cette position, un peu de vin tomba, et glissa le long de sa gorge jusqu’entre ses seins. Elle se dépêcha de récupérer le liquide avec son index, qu’elle mit dans sa bouche. Les attouchements qu’elle avait fait sur Guillaume, ainsi que l’alcool qu’elle venait d’absorber (elle était toujours à jeun), avaient amené une vague d’excitation. Elle suçota son doigt en fermant les yeux, et imagina qu’elle avait entre ses lèvres la queue de son mari, le fait qu’il était humide décuplant son imagination. De son autre main, elle étala le reste de Porto sur sa poitrine, puis se la caressa. Elle jouait avec ses tétons, tirant légèrement dessus, puis caressait un sein, avant de faire de même avec l’autre. Ensuite, elle libéra sa bouche, descendit la main ainsi vacante le long de son corps. Au passage, elle empoigna ses deux seins, en se cambrant légèrement. Elle commençait à se sentir vraiment chaude.
Sans trop savoir pourquoi, elle se mit à penser à Lydie, et à l’immorale relation qu’elle entretenait avec le rédacteur en chef. Elle songea que, ce matin, lorsque la belle secrétaire avait quitté le bureau de M.Dugnat, ce dernier lui avait dit "A tout à l’heure". Nul doute qu’elle est revenu terminer le "travail" qu’elle avait commencé. Peut être même étaient-ils en ce moment même ensemble dans le bureau.
Elodie porta ses mains au niveau de son pantalon, le dégrafa, baissa la braguette.
Elle imaginait la petite soumise, déjà nue dans le bureau de son chef, obéissant au doigt et à l’il au moindre de ses ordres.
Elodie mit son majeur à l’entrée de son vagin, le mouilla de sa cyprine, et l’amena jusqu’à son petit bouton. Avec deux doigt de son autre main elle le décalotta, puis joua avec.
Elle les voyait dans ses pensées. Lui debout, elle à genoux. Elle serait en train de lui tailler une pipe pendant que, de sa hauteur, il donnerait des petites tapes sur la tête de sa suceuse comme on féliciterait un animal obéissant. Il sortirait sa queue de temps à autres, la laissant langue pendante, s’en servirait pour lui tapoter le visage, avant de lui donner ses couilles à lécher.
Elodie se rendit compte que, tandis qu’elle se doigtait, elle avait à nouveau porté ses doigts à sa bouche, s’imaginant à la place de Lydie.
Légèrement perturbée, mais toujours excitée, elle continua à se caresser et se laissa aller à son imagination.
Cette fois-ci, elle voyait Lydie se faire culbuter contre le mur. Elle aurait la paume de ses mains contre le mur, et subirait les coups de butoir de son maître, qui l’aurait attrapée par les cheveux. Celui-ci l’insulterait de tous les noms, et elle pousserait des petits cris de surprise et d’excitation en sentant une lourde main lui taper l’arrière train. Elle se ferait défoncer comme une salope et elle serait heureuse.
Soudain, un raclement de gorge la sortit de ses pensées. En ouvrant les yeux, il vit Guillaume qui la regardait en affichant un sourire ironique. Il s’était débarrassé de son tablier et avait une belle érection.
— "Quand je te dis que tu n’es pas discrète ; je t’entends gémir de la cuisine depuis tout à l’heure !
— On peut dire que tu tombes à pic, toi… Viens me prendre, je n’en peux plus !
— Je crois que je vais d’abord admirer le spectacle. Ca me plait beaucoup ce que je vois là. Mais avant tout, enlève ce qui te reste de vêtements.
— Tu es cruel."
Elle se déshabilla totalement, se mit en position assise sur le canapé et se doigta à nouveau, le provocant du regard en écartant largement les jambes. Guillaume se masturba doucement, observant sa femme enflammée. Il finit par s’approcher d’elle et plaça son sexe à quelques centimètres de son visage. Celle-ci leva la tête, elle se sentait si petite devant son mari qui la dominait de toute sa hauteur. Guillaume, la voix rauque, prit la parole.
"- Suce."
Cette simple injonction la rendit folle. Elle eut l’impression de mouiller encore plus, si cela était possible. Elle se jeta sur la bite qui lui était offerte et la pompa comme une possédée.
Guillaume se laissa sucer quelques instants, mais il prit rapidement la tête de sa femme à deux mains, la bloqua, et fit coulisser sa verge dans la bouche gourmande, s’en servant comme d’un vagin. Elodie sentait le gland atteindre le fond de sa couche. Cette fellation forcée rappela à Elodie la soumission dont faisait preuve Lydie. Elle subit cette intromission buccale, continuant à se doigter, puis se dégagea.
"- Je ne peux plus attendre. Prends moi !" Et elle se mit à quatre pattes sur le sofa.
Guillaume se plaça derrière elle et s’enfonça immédiatement. Elle était trempée. Elle feula de plaisir.
"- Oh oui elle est bonne ta queue… Han…! Parle moi mal, je suis ta chose…!
— Tu aimes ça, ma salope ?!
— Ouiii j’adore ! Je suis ta salope ! Défonce moi la chatte !"
Elle se reconnaissait plus. Elle sentit l’index de le majeur de Guillaume se poser sur ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et les suça comme s’il s’agissait d’un sexe. Elle se faisait pilonner brutalement en émettant des gémissements étouffés.
"- Prends toi ça, pétasse. Je vais t’apprendre ce que c’est que la vie, moi. T’es vraiment une bonne grosse chienne qui adore se faire sauter !"
Ces paroles électrisaient Elodie. Ainsi traitée, elle sentait la jouissance arriver. Soudain, elle sentit une main s’agripper à ses cheveux. Guillaume la força à redresser la tête en tirant sur ses cheveux.
Plus que jamais, elle se voyait comme dans la vision qu’elle avait de Lydie et M.Dugnat. Cette pensée déclencha son orgasme. Elle poussa des hurlements satisfaits, en se cambrant afin de mieux sentir la queue de Guillaume tout au fond d’elle. Guillaume ne ralentit pas le rythme et continua à la culbuter. Bientôt, il dit :
"- Viens me bouffer les couilles". Puis il sortit de sa chatte brûlante.
Elodie se retourna, et, toujours à quatre pattes, se jeta comme une vorace sur les boules remplies. Elle regarda lubriquement sous mari, qui s’astiquait le manche.
"- Je vais venir sur ton visage !" brama t-il en lui tirant les cheveux pour que son minois lui soit accessible.
Et il se répandit en longs jets sur le visage d’Elodie, qui ferma les yeux et la bouche. Elle en avait partout. Guillaume la lâcha.
Elle se risqua à ouvrir un il et vit devant elle la queue qui n’avait pas encore perdu de sa rigueur. Elle lécha affectueusement son gland, puis regarda Guillaume dans les yeux en souriant et déclara :
"- J’espère que le repas est enfin prêt : je meurs de faim !"